Courcelles-Chaussy est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est. Pont-à-Chaussy est réunie à Courcelles-Chaussy en 1812 et Landonvillers en 1973.
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Courcelles-Chaussy se situe sur la route nationale 3 de Paris à Mayence, à 18 km à l’est de Metz en direction de Sarrebruck. Le territoire de la commune est traversé par deux cours d'eau: la Nied française et le Ravenez.La commune se situe à la frontière linguistique matérialisée par les deux Nied: à l'ouest la Nied française (à Pont-à-Chaussy), à 6 km à l'est la Nied allemande (Raville, Bionville).
Courcelles-Chaussy est une «ville fleurie» avec une deuxième fleur attribuée en 2008 par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[1]. Landonvillers possède une abondante forêt.
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Nied, le ruisseau de la Goulotte, le ruisseau de la Rigole, le ruisseau de Ravenez et le ruisseau le Serrouelle[Carte 1].
La Nied, d'une longueur totale de 96,7 km, prend sa source dans la commune de Marthille, traverse 47 communes françaises, puis poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[2].
Réseaux hydrographique et routier de Courcelles-Chaussy.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Nied, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Courcelles-Chaussy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Courcelles-Chaussy, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 075 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (36,5%), terres arables (30,3%), prairies (21,5%), zones urbanisées (7,4%), zones agricoles hétérogènes (2,4%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
pendant la seconde annexion (1940-1944): Kurzel an der Strasse
Sobriquets
Surnoms à propos des Courcellois: Les Huguenots[15], terme rappelant l’introduction de la Réforme en 1562 dans ce village par le baron de Clervant. Les «khhèles» de Cohhèles (les petites cours de Courcelles)[15].
Histoire
Le monument aux morts.
L’origine de l’agglomération courcelloise n’est pas connue mais il n’est pas exclu qu’elle se soit développée après la conquête romaine autour des villas dont quelques vestiges ont été mis au jour à partir de 1900 tant sur les bans communaux que limitrophes[16]. Au Moyen Âge, deux hameaux Courcelles et Chaussy séparés par le seul Haut Chemin, l’actuelle route nationale 3, se sont lentement confondus pour ne former qu’une bourgade traversée par le Ravenez qui donne alors sa première configuration au village. C’est autour de ce cours d’eau que s’organise la vie dans les rues Maréchal-Leclerc et de l’Église, constituant ainsi le cœur historique de la cité.
Faisait partie au XVIesiècle de la seigneurie de Mengen, seigneurie dépendant du comté de Créhange[13].
Par la suite, le Haut Chemin, passage obligé entre Metz et l’Allemagne, devient naturellement le second secteur de fixation de la population.
Pont-à-Chaussy est réunie à Courcelles-Chaussy par décret du 7 août 1812[17].
En 1844, Courcelles-Chaussy a pour annexes le village de Pont-à-Chaussy et les fermes d’Urville et les Ménils. Le village possède une brigade de gendarmerie, étape et logement militaire; perception des contributions directes, recette de l'enregistrement et des domaines, résidence d'un garde général des eaux et forêts, distribution du courrier, poste aux chevaux; un notaire, un huissier; succursale. Une école est fréquentée par 87 garçons, et l’autre par 76 filles; les revenus des instituteurs sont de 850 fr. La population du village est de 1 321 individus pour 132 maisons. Le territoire productif est de 866 ha dont 12 en vignes et 282 en bois. La commune possède une fabrique considérable de machines à battre le blé, à manège, et de charrues de l'invention de M. Léonard, qui en est le propriétaire[18].
En 1866, une épidémie de choléra se développe dans le village et Jean-Jacques Leser, alors pasteur, se dévoue sans compter auprès des malades, protestants comme catholiques. Il n'hésite pas, lorsque les malades sentent leurs membres se refroidir, à se faire attacher à eux pour les réchauffer. Plusieurs d'entre eux sont ainsi sauvés.[19]
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Courcelles-Chaussy est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. À la fin du XIXesiècle, l’empereur allemand Guillaume II y jouissait d’une résidence secondaire, le château d’Urville (actuel lycée agricole), où il venait fréquemment. Trouvant le petit temple trop modeste, il fit rebâtir en un point plus central le temple réformé de la commune. La commune redevient française en 1918.
Courcelles-Chaussy est de nouveau annexée de 1940 à 1944 au Troisième Reich allemand. Malgré la combativité des troupes allemandes de la 462e Volks-Grenadier-Division de l'armée de Knobelsdorff, Courcelle-Chaussy est libérée par la 5e DI de l'armée Patton le 18 novembre 1944[20], à la fin de la bataille de Metz.
Depuis les années 1960, l’extension urbaine se fait de part et d’autre de cet axe majeur; aussi les flancs nord et sud de la commune sont-ils devenus des secteurs à vocation résidentielle.
Courcelles-Chaussy absorbe Landonvillers en 1972.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Moselle.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2019, la commune comptait 3 006 habitants[Note 3], en diminution de 1,57% par rapport à 2013 (Moselle: −0,03%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1836
1841
1861
1866
1871
971
1 034
1 032
1 298
1 429
1 321
1 519
1 375
1 238
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1875
1880
1885
1890
1895
1900
1905
1910
1921
1 193
1 187
1 122
1 124
1 132
1 168
1 230
1 160
935
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1 019
1 010
1 067
1 057
1 160
1 238
1 240
1 708
2 263
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1990
1999
2005
2006
2010
2015
2019
-
-
2 365
2 392
2 799
2 857
3 041
3 104
3 006
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2%, soit au-dessus de la moyenne départementale (33,6%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8% la même année, alors qu'il est de 26,2% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 520 hommes pour 1 531 femmes, soit un taux de 50,18% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,08%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
7,4
75-89 ans
8,2
15,8
60-74 ans
18,2
21,1
45-59 ans
20,8
17,2
30-44 ans
18,8
20,4
15-29 ans
15,0
17,5
0-14 ans
17,6
Pyramide des âges du département de la Moselle en 2018 en pourcentage[27]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,4
6,7
75-89 ans
9,6
16,6
60-74 ans
17,5
21,5
45-59 ans
21,1
19,3
30-44 ans
18,5
17,8
15-29 ans
15,9
17,6
0-14 ans
16
La bibliothèque.
Manifestations culturelles et festivités
De nombreuses manifestations animent toute l’année la vie de la commune, les plus remarquables sont:
les journées «Guerre et Paix», sous l’égide du syndicat de Courcelles-Chaussy et de sa région culturelle, évoquent chaque week-end du 11 novembre la commune et le Pays de Nied à des époques phares de l'histoire de France et de l’Europe;
le «Printemps au château d’Urville», chaque deuxième week-end de juin, est organisé par le lycée agricole de la commune et la Société d'horticultiure de Moselle et invite à découvrir le monde des jardins et une collection de plantes vivaces.
La fête patronale, chaque premier week-end d'octobre
Le 3 juin 2012, une plaque commémorative a été apposée à l'emplacement de l'ancienne synagogue. Ceci en présence des autorités civiles, des représentants des trois cultes: juif, catholique et protestant. De nombreux juifs originaires de la commune étaient présents ainsi que de nombreux habitants de Courcelles-Chaussy.
Évènements sportifs
Grand prix cycliste de Courcelles-Chaussy, 120 km, en juin: boucle passant par Servigny-lès-Raville, Frécourt, Maizeroy et Chevillon.
Étape du championnat de Moselle de skateboard organisé par l’Ufolep et l’APCS depuis plusieurs années. Le skate parc est considéré comme l’un des meilleurs de Moselle.
Course à pied: course des sangliers (course dans la nature de 13 km), le premier dimanche de septembre organisée par l'association Courir à Courcelles-Chaussy (C.C.C.) avec la participation de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
Vestiges de villas romaines.
La maison de Clervant: fait office de maison de retraite.
Château d’Urville et Guillaume II de Prusse.
Château d'Urville XVesiècle, entièrement remanié XIXesiècle (actuellement lycée agricole).
Le sentier des Huguenots: il rappelle la fidélité des Huguenots qui devaient se rendre à Ludweiler pour le culte et le baptême pendant la persécution (entre 1685 et 1789 l’exercice de leur culte était interdit en France). La «marche des Huguenots» a été inaugurée le 19 juin 1994 par les Mosellans et les Sarrois. Elle s’étale sur 48 km et traverse une région légèrement vallonnée au nord-est de la Moselle. Il est conseillé de faire deux étapes: Courcelles-Chaussy à Kleindal puis jusqu’à Ludweiler (ou en sens inverse). Le balisage est représenté par des croix huguenotes bleues sur fond blanc en plus de panneaux d’informations installés à tous les carrefours importants: Courcelles-Chaussy, Boucheporn, Kleindal, Ambach et à la frontière.
Le lavoir: situé au cœur du village, il est le seul restant.
Lycée agricole
Skate parc
À Landonvillers
Château de Landonvillers, premier musée d’icônes de France, ancienne maison seigneuriale rebâtie en 1873 dans le style du 18e siècle classique français. Entre 1903 et 1905, le château a été radicalement transformé par le docteur Haniel sur les plans de l'architecte Bodo Ebhardt. Le domaine est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [28].
Moulin.
École de plein air appartenant à la ville de Metz depuis plus de 60 ans[Quand?].
Édifices religieux
Église Saint-Rémi, XVIIIesiècle.
La Croix de Mission, installée dans l’ancien cimetière, a été offerte par l’abbé Prévot (devenu chanoine de la cathédrale de Metz et originaire de la commune). Le chemin de croix a été installé en 1828 et les orgues en 1874. L’abbé Kremer a fait don en 1896 à la fabrique du presbytère actuel. Les trois cloches actuelles, bénies le 11 mars 1923, ont remplacé celles enlevées par les Allemands en 1917.
Le temple protestant réformé place du Temple: il est de style néo-gothique et caractéristique de l’architecture wilhelmienne. L’empereur allemand Guillaume II décide le 2 décembre 1893 de faire bâtir une Kaiserkirche (un temple impérial) d’après les plans de l’architecte berlinois Paul Tornow (futur auteur de la façade occidentale de la cathédrale de Metz). La construction fut confiée à l’entreprise Weis de Metz. Le 27 mai 1894 la première pierre est posée par le gouverneur d’Alsace-Lorraine le prince Hohenlohe, oncle de l’empereur et futur chancelier. Le 18 mai 1895, les cloches arrivent de Berlin. Chacune portait l’écusson impérial et les inscriptions: «Empereur et Roi», de plus sur la grande: «Dieu», sur la moyenne: «le Roi» et sur la petite: «les frères». L’empereur inaugure le temple le 17 octobre 1895. Il remplacera l’ancien temple, situé à côté du château de Claude Antoine de Vienne, comte de Clervant et époux de Catherine de Heu, les seigneurs de Courcelles au XVIesiècle. Ce sont eux qui ont favorisé la propagation des idées de la Réforme en Pays messin. Ce temple, aujourd’hui monument historique, est significatif de l’influence allemande à la fin du XIXesiècle.
L'ancien temple protestant, construit en 1839 par les huguenots, rue Roger Mazauric, aujourd'hui désaffecté.
La synagogue fut construite en 1863. Elle fut lourdement endommagée au cours de la Seconde Guerre mondiale, vendue puis détruite en 1963. Remplacée par la construction d'un immeuble, rue du Maréchal-Leclerc, une plaque commémorative marque l'emplacement de l'ancienne synagogue.
Cimetière Israélite de 1842.
Cimetière protestant rue Roger-Mazauric.
Église Saint-Remi.
Temple protestant.
Ancien temple protestant.
Plaque de l'ancienne synagogue.
Cimetière Israélite.
Cimetière protestant.
Château de Landonvillers.
Personnalités liées à la commune
Le comte de Clervant: seigneur protestant de Courcelles au XVIesiècle.
Jean-Baptiste Pierre de Semellé (1773-1839), général de la Révolution et de l'Empire, décédé au château d'Urville et inhumé au cimetière de Courcelles-Chaussy.
Charles-Georges de Semellé (1845-1880), dit le comte de Semellé, petit-fils du général de Semellé, militaire et explorateur français, né le 5 juin 1845 à Courcelles-Chaussy.
Guillaume II, roi de Prusse et empereur d’Allemagne: il fit construire à Courcelles-Chaussy une gare, une école et un pensionnat pour jeunes filles.
François de la Rivière (1803-1874), major commandant, officier de la Légion d’honneur (1858), né à Courcelles-Chaussy[29].
Louis Pilla (1825-1866), soldat au 39e d’infanterie de ligne, chevalier de la Légion d’honneur (1848), né et mort à Courcelles-Chaussy[30].
Pierre Beauchat (1818-1883), major du 3e de chasseur, chevalier de la Légion d’honneur (1862), né à Courcelles-Chaussy[31].
Josué Hoffet (1901-1945), géologue, né à Courcelles-Chaussy, découvreur des premiers dinosaures au Laos en 1936.
Frédéric Hoffet (1906-1969), pasteur, avocat et écrivain, né à Courcelles-Chaussy, frère du précédent.
Paul Dorveaux (1851-1938), historien et médecin français, né à Courcelles-Chaussy.
Héraldique
Blason
Coupé de gueules à trois chevrons d’argent, et d’argent au lion de gueules chargé en cœur d’une étoile d’azur, à la fasce d’or brochant.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
Jeanne et Jean-Louis Vincler, Les Courcellois et l’armée impériale de l’annexion à la première guerre mondiale
Charles Vincler, La Marine nationale pour un Mosellan (1941-1945)
Gérard Léonard, Guillaume II, 1888-1918, La tragédie des Hohenzollern
Elda Léonard, Présence huguenote à Courcelles-Chaussy, le Temple de Guillaume II
Gabriel Quencez, Histoire de Courcelles et du Chaussy de 1650 à 1871
Gabriel Quencez, Histoire de Courcelles et du Chaussy de 1871 à 1918
Frédéric Hoffet – Antoine Sutter, L'empereur Guillaume II à Courcelles-Chaussy, 1893-1913
Victor Quencez – René Worms (Coordination Elda léonard), Le bon vieux temps à Courcelles-Chaussy
Bernard Kiffer, Valentin Kiffer, destin tragique d'un médecin de campagne 1892-1945
Jacques Bastien, La bataille de Colombey dans le conflit franco-allemand de 1870 à 1871
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
«Qualité des eaux de rivière et de baignade.», sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
Bärbel Kuhn, Martina Pitz, Andreas Schorr - "Grenzen" ohne Fächergrenzen: interdisziplinäre Annäherungen (2007)
Passé-Présent: La Moselle dévoilée N°10 (Septembre-octobre-novembre 2013)
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