Ses habitants s'appellent les Cotignacéens et Cotignaciennes.
Le vieux village possède plusieurs monuments inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[1] et le nombre de ses habitants a très fortement augmenté depuis 1968[2]. Il possède aussi un artisanat très actif. C'est un lieu de pèlerinage catholique pour les pères et les mères de famille et les couples en espérance d'enfants[3],[4]. La commune comprend deux sanctuaires religieux.
La commune fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France et a été labellisée plus beau village de France, par la commission qualité, le 1er octobre 2022.
Géographie
Localisation
Aux portes du parc naturel régional du Verdon, le village est situé à 17 km d'Aups et Barjols, 20 km de Brignoles, 23 km de Lorgues, 37 km de Draguignan et 47 km de Riez.
Géologie et relief
Il y a au-dessus du village une falaise faite d'une longue barre de tuf (80 m de haut, 400 m de long) aux multiples grottes[5] remplies d'énormes stalactites; il y a aussi un aven nommé la salle des Merveilles de 50 m de profondeur et plus de 200 m de couloirs, une très grande salle aux concrétions d'un blanc éclatant. Plus loin se trouve le gouffre des Trompines[6], où se précipite l'eau de la source Saint-Martin.
Un glissement de terrain s'est produit en 1902[7].
Sismicité
La commune se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[8],[9].
Vue panoramique de Cotignac
Hydrographie et les eaux souterraines
Cotignac est située en pays de La Provence Verte, adossé à un rocher au nord et le long d'un petit ruisseau, la Cassole (rivière), arrose la commune qu'elle parcourt du nord au sud et qui tombe d'une cascade d'eau de 10 mètres[10].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval:
Ruisseaux de la Cassole, de saint-barnabé,
Vallons de palière, de vaudeimar, des saintes-vierges, de garresse, du défens, de marlin, du bouillidou, de la gravière, du castellas, de nestuby, de pécounillier, des rocas, de rivauguier, de riforan,
Gorge de la femme.
Climat
Le climat est méditerranéen chaud avec des été secs, classé Csb[11],[12].
Voies de communications et transports
Voies routières
Commune desservie par:
la départementale 13 depuis Carcès,
la départementale 27 depuis Salernes,
et la départementale 50 depuis Entrecasteaux.
Quartiers et rues
Le village est composé des quartiers suivants[13]:
Les Ferrages: c'est le nom que l'on donne à un terrain planté de fourrages[14]
Les Ribbes
Le Cours
Le Pra de Pé: en provençal, le "Pra" est une pairie tandis que le "Pé" est le pied, la base d'une montagne[14] - c'est un quartier situé au pied de la partie ouest du Rocher
Les Naïs: en occitan, un "Nais" est une mare, une prairie marécageuse [14]. C'est un quartier situé au sud du quartier du Marais.
Le Marais: Dans le temps, la Cassole coulait du haut du Rocher (ce qui explique la formation de tuf sur la falaise) et venait stagner dans cette partie de la ville
La Ville Haute
Le Rocher: c'est le nom apporté à la falaise qui surplombe la ville
La Puade
La Combe Basse: une combe est une vallée étroite [14]
Saint Sébastien
Transports en commun
Transports Mouv'enbus[15]. À la suite de la création de l’agglomération, c’est cette dernière qui assure la gestion des transports à l’intérieur de son périmètre.
Toponymie
Le village est appelé Coutigna en occitanprovençal selon la norme mistralienne[16] et Cotinhac selon la norme classique. Il descendrait du nom d'homme Cottinius et du suffixe latin -acum («le domaine de»). Le latin cotoneum («coing») serait une étymologie populaire fantaisiste[17].
Histoire
Les deux tours vestiges du château féodal.
La fondation de Cotignac est très ancienne. Le nom Cotinacco est attesté dès 1030; d'après Albert Dauzat, le nom viendrait du nom d'homme gallo-romain Cottinius, du gaulois cottius, avec suffixe -acum[18]. Les deux tours carrées au sommet du rocher sous lequel s'abrite le village, appartiennent aux premiers siècles de la féodalité. Dès l'an 1033, le château de Cotignac existait, et appartenait à Boniface de Castellane[19].
Au XIIesiècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon est propriétaire de l’église paroissiale, et en perçoit les revenus. Elle la cède ensuite à l’église collégiale de Pignans[20].
La seigneurie de Cotignac passa plus tard dans le domaine des comtes de Provence. L'un d'eux, Raymond Bérenger V l'inféoda à Guillaume de Rezza, par une charte du mois de janvier 1232. Foulques de Pontevès (?-av.1337), lieutenant du sénéchal (1317), viguier d'Avignon (1333), chevalier, conseiller et chambellan du roi Robert, fut seigneur de Cotignac, de Carcès, de Bargême etc.[21]. Il fut le fils de Foulquet II de Pontevès et Marguerite des Porcellets. Il fut l'époux de Galburge d'Agoult de Sault[22]. Il fut le père de Jean et de Fouquet V[23]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Cotignac, Foulque de Pontevès, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[24].
Cotignac doit son importance économique à sa production d'huile d'olive, et historique à un vœu d'Anne d'Autriche et au pèlerinage que fit Louis XIV en 1660 à la chapelle de Notre-Dame-de-Grâces, située sur le mont Verdaille, non loin des remparts de cette petite ville.
Politique et administration
Mairie de Cotignac.
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[25]:
total des produits de fonctionnement: 3 477 000 €, soit 1 548 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 2 258 000 €, soit 1 008 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 2 074 000 €, soit 924 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 1 902 000 €, soit 847 € par habitant;
endettement: 1 901 000 €, soit 846 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 11,80%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 16,62%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 84,73%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017: médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation: 20 560 €[26].
Notaire retraité Conseiller départemental du canton de Brignoles (2015-2021) 10e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018- ) Président de l'Association des Maires du Var (2008-2020) Réélu pour le mandat 2020-2026
Intercommunalité
Cotignac est membre de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte de 97 165 habitants[31].
En , vingt huit communes composent la Communauté d'agglomération de la Provence Verte, à la suite de la fusion des trois communautés de communes Comté de Provence, Sainte-Baume Mont-Aurélien et du Val d'Issole.
Urbanisme
Typologie
Cotignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[32],[33],[34].
Elle appartient à l'unité urbaine de Cotignac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[35] et 3 512 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[36],[37].
La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[40].
Le Schéma de cohérence territoriale de la Provence verte, approuvé en janvier 2014, est en cours de révision[41].
À compter du 1er janvier 2017 le périmètre du SCoT comprend 43 communes réparties en 2 Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI):
La Communauté d’agglomération Provence Verte,
La Communauté de communes Provence Verdon.
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (48,1%), cultures permanentes (24,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,6%), zones agricoles hétérogènes (9,2%), zones urbanisées (4,5%), terres arables (0,8%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,1%)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[43].
Jumelages
Le village de Cotignac n'est actuellement pas jumelé avec d'autres villes.
Politique environnementale
L'inventaire national des espèces en recense 593 dans la commune [44].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].
En 2019, la commune comptait 2 111 habitants[Note 2], en diminution de 7,9% par rapport à 2013 (Var: +4,68%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 080
3 250
3 360
3 578
3 602
3 778
3 551
3 672
3 541
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 415
3 516
3 600
2 954
2 853
2 612
2 529
2 516
2 292
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 953
1 940
1 827
1 576
1 590
1 628
1 583
1 265
1 373
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
1 502
1 398
1 636
1 628
1 792
2 026
2 146
2 163
2 313
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 163
2 111
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Nice. Les élèves de Cotignac commencent leur scolarité à l'école maternelle[49](63 enfants), puis à l'école primaire[50](106 enfants) du village.
De nombreuses associations sportives sont installées à Cotignac: Yoga, Tai Chi, gymnastique, randonnée, tennis et danse country[52].
Cultes
Façade de l'église de Cotignac.
La paroisse catholique de Cotignac dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de Brignoles[53]. Elle est confiée aux prêtres de la Communauté Saint-Jean qui animent aussi le pèlerinage de l'église Notre-Dame-de-Grâces de Cotignac[54].
Lieu de pèlerinage catholique
Le RocherGrottes de CotignacLe marché provençal de Cotignac.Fontaine des Quatre Saisons (monument classé en 1949).
Cotignac conserve la mémoire de deux apparitions de la Vierge Marie[Note 3]. Cependant, même si le culte est célébré dès l'origine de l'apparition, cela n'a pas fait l'objet d'une reconnaissance officielle par l'Eglise.
Les 10 et , un bûcheron du nom de Jean de la Baume déclare avoir vu apparaître la Vierge Marie, avec l'Enfant-Jésus dans ses bras, entourée de saint Bernard de Clairvaux et de l'Archange saint Michel, lui demandant de faire bâtir une église, ce qui est fait sur décision des consuls de Cotignac[55],[56].
Essentiellement régionale, la notoriété de Cotignac comme lieu de pèlerinage s’accroît sous Louis XIII lorsqu'à Paris un moine, le Frère Fiacre déclare avoir eu le 27 octobre 1637, pendant qu'il priait, une révélation intérieure lui disant que la reine Anne d'Autriche dont le mariage était stérile depuis 22 ans, doit faire dire des neuvaines à la basilique Notre-Dame-des-Victoires, à Notre-Dame de Paris et à l'Église Notre-Dame-de-Grâces de Cotignac pour avoir un héritier au trône. La naissance de Louis XIV a lieu moins d'un an plus tard, la reine y voit le signe qu'elle a été exaucée et se rend à Cotignac en pèlerinage avec son fils Louis XIV[57]. À la suite de son pèlerinage à Cotignac, Louis XIV déclare chômé le 19 mars, jour de la Saint-Joseph[58].
Le , un jeune berger assoiffé, Gaspard Ricard, déclare avoir vu apparaître Saint Joseph, qui lui montre une source sous un rocher[59].
De là proviennent d'abord les sanctuaires de Notre-Dame-de-Grâces et du monastère Saint-Joseph du Bessillon ainsi que les pèlerinages à la Vierge Marie, à saint Joseph et à la Sainte Famille:
Des pèlerinages de pères et d'hommes et de femmes «désireux d'avoir des enfants»[60],[61] sont aussi bien organisés par le diocèse varois[62],[63] que par d'autres et rassemblent au total chaque année des participants venant de toute la France[64]. En 1976, un homme dont la femme vivait une grossesse difficile décida de marcher et de prier avec un ami. Pour rendre grâce après la naissance de son enfant, le père choisit de transformer cette marche en un rendez-vous annuel. Au fil des années, des amis le rejoignirent. Soutenue par des communautés religieuses, la marche devint pèlerinage[65]
Les deux sanctuaires attirent plus de 140 000 pèlerins par an, ce qui en fait le premier site visité dans le département du Var[66]. L'affluence est plus marquée autour des fêtes les 10, 11 et 15 août[Note 4] et du 8 septembre[67],[68].
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Culture du cognassier.
Culture de la vigne et transformation des raisins en vin[69],[70].
Moulin à huile, puis coopérative oléicole et vinicole dite La Défense puis Les Vignerons de Cotignac[71],[72].
Usine de chapellerie dite Usine Pecout, puis coopérative agricole de Cotignac (coopérative oléicole) et coopérative vinicole dite La Travailleuse puis Les Vignerons de Cotignac[75].
Un camping de 40 emplacements, ainsi qu'un gîte étape, sont proposés aux touristes[78].
Cotignac est un des 14 villages retenus par France 3 pour être «Le Village préféré des Français» en 2019[79],[80].
Les sanctuaires de Notre-Dame-de-Grâces et de Saint Joseph du Bessillon attirent plus de 140 000 pèlerins par an, ce qui en fait le premier site visité dans le département du Var[66].
Animation:
La fête du coing, événement labellisé Vignobles & Découvertes, visant à promouvoir les destinations œnotouristiques (Ville, Village et Tourisme)[81].
Église Notre-Dame de Grâces. Au mont Verdaille dans le sud-ouest, dominant la rive droite du torrent, se trouve l'église Notre-Dame de Grâces, fondée en 1519, et but d'un pèlerinage à la renommée devenue essentiellement régionale, contre la stérilité des femmes avant même la visite que Louis XIV et Anne d'Autriche, sa mère, y avaient faite[85].
Plaque de marbre noir placée sur ordre de Louis XIV au milieu de l'église de Notre-Dame de Cotignac: «Louis XIV, roi de France et de Navarre, donné à son peuple par les vœux qu'Anne d'Autriche, reine de France, sa mère, a fait dans cette église, a voulu que cette pierre fut ici posée pour servir de monument à la postérité et de reconnaissance, et des messes que la libéralité y a fondées, pour l'âme de sa dite mère. Le XIII avril MDCLXVII »[86].
Chapelle de Saint-Joseph et Monastère Saint-Joseph du Bessillon, sur le versant Est du Bessillon, construite en 1660, après l'apparition de Saint-Joseph à un berger. La chapelle de Saint-Joseph du Bessillon est visitée par un grand nombre de pèlerins.
Fontaines des Quatre-Saisons[93],[94] et le lavoir sur le cours Gambetta, inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[1],[95],[96].
Les armoiries de Cotignac se blasonnent ainsi* [99]:
Écartelé: au I, de gueules, à un pont de trois arches d'argent, mouvant de la pointe, surmonté d'un lévrier passant du même; au II, de sable, à trois bandes d'argent, et un chef d'or, chargé de trois étoiles d'azur; au III, d'or, à une cotice de gueules; au IV, d'hermine plain; sur le tout, d'azur, à cinq tours crénelées d'argent posées à plomb et ordonnées en sautoir, accompagnées de quatre trèfles d'or 1,2,1
(Armorial Général I, 208)
Personnalités liées à la commune
Frère Fiacre, religieux augustins déchaussés, il vient en 1637 en pèlerinage prier à l'église Notre-Dame-de-Grâces de Cotignac pour que le roi Louis XIII obtienne un fils. La naissance de Louis XIV neuf mois plus tard amène la notoriété nationale sur l'église et le village[100].
Louis Gérard, savant botaniste, auteur de la Flore de Provence, y est né[101]
Joe Dassin, chanteur, s'y marie le 14 janvier 1978 avec Christine Delvaux[108]
Eric Idle, humoriste britannique et membre des Monty Python, y possède une maison depuis 1971[109]
Alain Gérard (1950-2016), né à Cotignac, écrivain membre de la société des gens de lettres, grand prix littéraire de Provence pour La Dame de Sault.
Timothy Findley (1930-2002), écrivain canadien, qui vécut dans la commune et y est inhumé.
Antoine Giraud (1749-1811), général de la Révolution et de l'Empire, y est né.
Gabriel-Henry Blanc, (Cotignac 1915 - Cotignac 2009). Écrivain mémorialiste, historien de la culture et des traditions varoises
Henri Bosco (1888-1976), écrivain. Il situe son dernier roman, une ombre, à Cotignac.
Pièce de Gérard Valin:Sirius[Quoi ?]
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les apparitions de la Vierge à Cotignac
Les jours précédents le 15 août sont l'occasion de festivités particulières dans le sanctuaire.
Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, «Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du XeauXIIIesiècle», in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN1254-9371), (ISBN2-906162-54-X), p.217.
CARMAGNOLLE Joseph, Hubert: notice CARMAGNOLLE par Jacques Girault, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 20 octobre 2010.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Cotignac a été sélectionné en 2019 par Stéphane Bern pour concourir au titre de Village préféré des Français. Fin des votes le 20 mars. L'émission est diffusée en juin 2019 sur France 3.
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Octave Teissier, Histoire de la commune de Cotignac, Marseille, Alexandre Gueidon, (réimpr.1979), 346p. (lire en ligne) ou Histoire de la commune de Cotignac, Marseille, 346p. (lire en ligne)
Gérard Valin Sirius dans Irénée et Pierre, L'Harmattan, 2021-Pastiche du roman Une Ombre d'Henri Bosco
Axel Graisely, Cotignac au fil du temps, Éditions Un autre regard-Prestance, 2012
Gabriel Henry Blanc, Jean-Pierre Marseille, Un village en Provence, Cotignac à partir du XVIIème, Carcès, , 608p.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
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