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Cormeilles-en-Parisis est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France et donc dans le bassin parisien.

Cormeilles-en-Parisis

Vue partielle de Cormeilles sous la neige
depuis le parc Schlumberger.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité CA Val Parisis
Maire
Mandat
Yannick Boëdec
2020-2026
Code postal 95240
Code commune 95176
Démographie
Gentilé Cormeillais
Population
municipale
25 406 hab. (2019 )
Densité 3 050 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 00″ nord, 2° 12′ 00″ est
Altitude 26 m
Min. 22 m
Max. 170 m
Superficie 8,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Franconville
Législatives 3e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cormeilles-en-Parisis
Géolocalisation sur la carte : France
Cormeilles-en-Parisis
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Cormeilles-en-Parisis
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Cormeilles-en-Parisis
Liens
Site web https://www.ville-cormeilles95.fr/

    Ses habitants sont appelés les Cormeillais[1].


    Géographie



    Description


    Malgré sa proximité de Paris, qui est à 17 km, Cormeilles-en-Parisis est une commune plutôt verte[2], située sur le versant et le pied sud de la butte-témoin de Cormeilles (une des deux buttes du Parisis), alors que Franconville et Sannois sont situées sur le versant et au pied nord de la butte, Argenteuil à son extrémité est et Montigny-lès-Cormeilles à son extrémité ouest.

    Sa superficie est de 8,48 km² et son altitude minimale est de 22 mètres et son altitude maximale de 170 mètres[3]. Les espaces boisés et espaces verts représentent une superficie de 141 ha soit 1,41 km2 soit 16,6 % de son territoire[4].


    Desserte routière et ferroviaire

    La ville est desservie par la RD 392, ancienne route royale allant de Paris à l'Abbaye de Maubuisson et est aisément accessible par l'autoroute A15 depuis la Patte d'Oie d'Herblay (Sortie n° 5).

    La gare de Cormeilles-en-Parisis, sur la ligne de Paris-Saint-Lazare à Mantes-Station par Conflans-Sainte-Honorine, et de Paris-Saint-Lazare à Gisors est desservie par les trains de la ligne J du Transilien (réseau Paris-Saint-Lazare) qui mettent Cormeilles à, minimum 16 minutes, de la gare de Paris Saint-Lazare,.

    Un réseau de lignes d'autobus des cars Lacroix[5] dessert la ville ; la mise en service en 2015 d'une gare routière au sud de la gare SNCF avec la réfection et le réaménagement routier alentour et la dotation d’un parc à vélos labellisé Véligo pour un stationnement sécurisé des vélos a transformé ce quartier de la gare en un pôle d'échanges multimodal facilitant les déplacements[6]. L'ouverture d'un parking-relais de plus de 300 places rue de Nancy à l'été 2021 s'inscrit dans un programme lancé en 2016 par Île-de-France Mobilités pour encourager les banlieusards à utiliser les transports en commun[7].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes


    Les communes limitrophes sont Argenteuil, La Frette-sur-Seine, Franconville, Montigny-lès-Cormeilles, Sannois, Sartrouville et un petit morceau de Maisons-Laffitte, le champ de courses situé de l'autre côté de la Seine.

    Communes limitrophes de Cormeilles-en-Parisis[8]
    Montigny-lès-Cormeilles Franconville Sannois
    La Frette-sur-Seine Argenteuil
    La Seine & au-delà Maisons-Laffitte Sartrouville Argenteuil

    Hydrographie


    La commune est tangentée au sud-ouest de son territoire par l'un des méandres la Seine.


    Urbanisme



    Typologie


    Cormeilles-en-Parisis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[13] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

    Paysage pavillonnaire du quartier : Les Bois Rochefort.
    Paysage pavillonnaire du quartier : Les Bois Rochefort.

    Projets d'aménagement


    Friche de l'usine Lafarge, en bord de Seine. La production a été arrêtée dans les années 1990, la démolition commencée en 2004[18] se poursuit en 2019[19].
    Friche de l'usine Lafarge, en bord de Seine. La production a été arrêtée dans les années 1990, la démolition commencée en 2004[18] se poursuit en 2019[19].

    Après l'annonce, en 2017, du départ définitif du cimentier Lafarge de son implantation des bords de Seine où il est installé depuis 1970, succédant à la cimenterie Lambert construite en 1929[20], la ville de Cormeilles-en-Parisis souhaite revaloriser cette friche industrielle de 12,5 ha dans le cadre d’un projet urbain mixte, pour faire sortir de terre un nouveau quartier appelé Seine Parisii alliant à un port de plaisance de 150 anneaux, 1 200 logements (dont 30% de logements sociaux), un groupe scolaire de 12 classes, une crèche de 60 berceaux, 1840 places de parking et 3000 m² de commerces et restaurants.[21] En février 2020 la démolition des hauts silos de béton de 42 mètres marque le véritable début des travaux. Les premiers habitants sont attendus pour 2022-23 et la fin des travaux prévue pour 2030.

    Un pôle loisirs et commerces est en cours de construction depuis 2020 au sud de la ville dans le quartier des Bois Rochefort. Le projet devrait accueillir un parc de jeux destiné aux jeunes de 7 à 15 ans, un cinéma (trois salles et 299 fauteuils), un bowling, un karting électrique, un escape laser game, un café-théâtre, trois restaurants et un grand magasin d'alimentation[22].


    Toponymie


    Attesté sous les formes Cornioletus en 697 (DR) [À expliciter], Cormilias en 862 (CH2, II, 61-2) [À expliciter], Cormeliae en 1221, Cormellae In parisio en 1250, Cormelliae, Cormolium, Cormeil, Cormeilles[23].

    Le suffixe gallo-roman *-ETU (-etum) est un « suffixe collectif servant à désigner un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce », précédé de cormol, dérivé de corme genre de sorbier, appelé cormier. Ce terme étant vraisemblablement issu du latin populaire corma, du gaulois curmi « cervoise » (sorte de bière), en raison de l'ancien cidre de cormes.

    Le déterminant complémentaire en-Parisis renvoie à sa situation géographique sur l'ancien territoire des Parisii.


    Histoire



    Préhistoire et antiquité


    Les premières traces d'habitation remontent au néolithique et à la culture rubanée : cinq habitations, distantes les unes des autres d'une trentaine de mètres à l'emplacement de la gare de Cormeilles-en-Parisis, mises en évidence lors de travaux en 1890, avec des artefacts divers : poteries ou morceaux de poteries, objets en silex (percuteurs, pierres de jet, grattoirs, lames, ..) et en grès(hache polie, meule, et molettes, etc.). Des restes d'animaux ( boeufs, porcs, moutons, chèvrres, chevreuils) sont également identifiés[24]. D'autres découvertes de sites suivent dans les années 1960, 1970 puis 2000[25]

    En janvier 2015, sont retrouvés, dans le cadre d'une fouille préventive effectuée par l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP), six tombes individuelles datant du Néolithique (4 000 ans av.J.-C. voire 6 000 ans av.J.-C.). Outre les ossements des six personnes découverts intacts, des objets dans un état remarquable sont également exhumés tels que des outils en bois de cervidés ou un collier de perles[26].

    Au même endroit de cette importante découverte archéologique, est retrouvé un four datant de l'époque gallo-romaine.


    Moyen Âge


    La ville de Cormeilles est mentionnée pour la première fois en 697, dans une charte du roi Mérovingien Childebert IV qui offre aux religieuses du monastère d'Argenteuil la forêt royale de Cornioletus (on peut lire aussi Cormioletus) sur la rivière Seine, au pays Parisis[réf. nécessaire] .

    En 832, le nom de Cormeilles apparaît dans une charte de l'abbaye de Saint-Denis[réf. nécessaire] .

    Jusqu'à la Révolution française (1789), Cormeilles est le siège d'une châtellenie avec pour seigneur l'abbaye de Saint-Denis. Certains historiens de l'architecture considèrent que l'église de Cormeilles, ou plutôt sa crypte, construite par Suger au XIIe siècle, est un laboratoire de l'architecture gothique, antérieur à l'édification de la basilique de Saint-Denis[réf. nécessaire] .

    L'église a une haute tour, probablement élevée sur les ruines d'une plus ancienne, car, en 1359, pendant la captivité du roi Jean, Charles, régent, ordonne d'abattre la tour de l'église paroissiale, afin que l'ennemi ne s'y loge pas. Néanmoins, les études récentes de l'archéologue Philippe Bylwès et de l'historien Mathieu Lours, permettent de dater la base du clocher gothique du XIIIe siècle (années 1220-1230) avec une surélévation du XIXe siècle (1863-1865) qui lui donne son aspect actuel. Une meilleure lecture de la charte de 1359 indique la démolition - non pas de la tour (clocher) - mais de la "court de l'église parochiale de Cormeilles", autrement dit les fortifications qui entourent l'édifice[27].

    Cormeilles est à l'époque un village agricole où l'on produit du vin (les armes de la ville sont la vigne et le blé). On sait que le vignoble médiéval cormeillais était de qualité honorable puisque c'est celui que les rois envoyaient comme présent[réf. nécessaire] .

    Plan d'intendance de Cormeilles-en-Parisis, 1785. Arpenteur : Antoine Schmid. 79,5 cm x 54 cm. Cadastre de Bertier de Sauvigny.. Archives départementales du Val-d'Oise
    Plan d'intendance de Cormeilles-en-Parisis, 1785. Arpenteur : Antoine Schmid. 79,5 cm x 54 cm. Cadastre de Bertier de Sauvigny.. Archives départementales du Val-d'Oise

    Fin du XVIIIe siècle


    L'église Saint-Martin.
    L'église Saint-Martin.
    Vue partielle de Cormeilles / vieux village.
    Vue partielle de Cormeilles / vieux village.

    Pendant les états généraux, les viticulteurs de la ville réclament que leur production ne soit plus taxée à son entrée dans Paris… eu égard à sa médiocrité. À cette époque, le vignoble de Cormeilles/La Frette couvre 538 ha[réf. nécessaire] .

    Pour faire face aux disettes qui sévissent à Paris, le vignoble cormeillais est pour bonne part remplacé par des cultures céréalières ou maraîchères[réf. nécessaire] .


    XIXe siècle


    L'étude d'une famille de cultivateurs de Cormeilles [28]- les Lambert - nous renseigne sur les pratiques agricoles à Cormeilles au XIXe siècle. De 1811 à 1825, Pierre Étienne Lambert (1784-1836) et son épouse Marie Louise Sophie Warnet (1789-1863) sont fermiers de Pierre Claude Théodore Cottin (1760-1827), le plus important propriétaire de Cormeilles, qui habite une vaste demeure rue Neuve, Petit Château (actuel LP Le Corbusier), où se trouve également la ferme[29]. En 1825, les Lambert s'établissent à leur compte dans de nouveaux bâtiments qu'ils font construire dans la plaine au bord de la nouvelle route royale de Paris à Pontoise (actuel boulevard Joffre ou RD 392), lieu qui prend le nom du "Petit Cormeilles". Leur exploitation agricole occupe de 26 à 29,5 ha répartis sur toute la commune de Cormeilles. Les labours sont majoritaires en superficie (environ 39 %), suivis des luzernes (29 %), des prés (14 %), des arbres fruitiers (11,5 %) et enfin de la vigne (6,5 %), beaucoup moins présente proportionnellement que dans le reste de la commune qui compte 35 % de vigne soit 291 ha de vigne sur 833 ha de superficie totale. Les Lambert font également élevage de volailles et de moutons (98 moutons en 1836)[29]. À la deuxième génération, avec Charles Jules Lambert (1814-1869) et son épouse Louise Claire Bast (1823-1903), la polyculture reste la norme. À la mort de Charles Jules Lambert en 1869, la surface cultivée s'étend sur 23,02 ha répartis en 22 parcelles (sur les 726 ha et les 705 parcelles cultivés à Cormeilles). Cette importante exploitation agricole a deux facettes avec d'un côté une ferme de grande culture (céréales, betteraves fourragères, pommes de terre, prairies artificielles, élevage de moutons) et de l'autre une polyculture et élevage destinée à l'autoconsommation (volailles, vache, cochon) et au commerce local (moutons, lapins, volailles, asperges, arbres fruitiers)[28].

    La famille Lambert se lance aussi dans la fabrication et commerce du plâtre. Le gisement de gypse de la butte de Cormeilles ainsi que le moyen de transformer le gypse en plâtre sont connus depuis l'époque gallo-romaine. Des petites carrières ouvertes à flanc de coteau est extrait le minéral dont l'exploitation n'a jamais cessé. En 1830, Pierre Étienne Lambert et Marie Louis Sophie Warnet sont autorisés à construire un premier four à plâtre et en 1832 ils acquièrent 461 m2 de terrain pour établir une carrière à ciel ouvert[29]. À la génération suivante, avec Charles Jules Lambert et Louise Claire Bast, l'exploitation de la carrière passe de 0,25 à 3,03 ha en l'espace de 25 ans (entre 1843 et 1869) et sa valeur est multipliée par quatre. Dans cette période, on assiste à un début de mécanisation[28]. La production de matériaux de construction n'est réellement industrialisée qu'à partir de 1882 par Jules Hilaire Lambert (1846-1928) qui construit une première usine à plâtre et diversifie les fabrications - plâtre, chaux et briques - en utilisant toutes les couches géologiques qui entaillent la butte sur près de 100 m de hauteur[30]. Le développement de la carrière bénéficie des besoins en matériaux nécessaires à la reconstruction de Paris (initiée par le baron Haussmann) et l'expansion de la région parisienne. C'est l'époque où le « plâtre de Paris » acquiert une grande renommée.

    Parallèlement, on connaît la carrière Émy-les-Prés qui en 1840 est acquise par Jean Louis Gabriel Paulmier, reprise en 1846 par Pierre Hippolyte Pointelet et son épouse Marie Julie Demazy qui la revendent en 1868 à Charles Emile Detolle. Ce dernier y ajoute un four à chaux en 1875, avant de céder l'ensemble (4,79 ha) à Eugène et Jacques Pascal[31].

    La Guerre franco-allemande de 1870 est un véritable calvaire pour les habitants de Cormeilles-en-Parisis ; en effet dès le 19 septembre 1870, la ville tombe aux mains des uhlans prussiens qui s'adonnent à deux reprises au pillage (le 22 septembre et 4 octobre 1870) et vont procéder à des réquisitions, dont le montant total est estimé de 115 à 150 000 francs. Dans la nuit du 10 au 11 octobre 1870, les Prussiens découvrent les archives communales, dont ils jettent une partie dans un puits. Secrètement, un conseiller municipal descend dans le puits et put sauver la plus grande partie des archives de la commune, mais ne peut récupérer un registre de délibérations du conseil municipal (1848-1853). Après-guerre, la ville reçoit pour réparation de ses dommages une somme de 123 445 francs de la part de l'État, à répartir entre tous les Cormeillais ayant subi des préjudices.

    Article détaillé : Occupation de la France par l'Allemagne de 1870 à 1873.

    Le réseau ferré français se construit, permettant le transport de vins venus du Sud : le vin d'Île-de-France perd peu à peu de son importance (alors qu'il fut de loin le premier vignoble du territoire) et ne survit pas à l'arrivée, à cette époque, du phylloxéra. C'est la fin de l'histoire du vin sur la butte de Cormeilles.

    Entre 1874 et 1877 est construit le fort de Cormeilles, conçu par le général Séré de Rivières afin de contribuer à défendre Paris

    Article détaillé : Fortifications de Paris aux XIXe et XXe siècles.

    Le chemin de fer atteint Cormeilles en 1892, entraînant un relatif décentrage de la ville avec l'installation de commerces dans l'avenue de la Gare qui devient plus tard l'avenue Foch. En cette fin du XIXe et début du XXe siècle, du fait de cette arrivée du chemin de fer, la ville se développe fortement. De nombreuses familles bourgeoises s’installent à proximité de la gare dans cette campagne devenue si proche de Paris. Elles commandent à des architectes locaux de belles villas imprégnées du goût de l’époque pour l’éclectisme et l’Art nouveau.


    XXe siècle


    La place de l'église.
    La place de l'église.

    En 1902, Jules Hilaire Lambert et ses trois fils Charles (1876-1964), Léon (1877-1952) et Fernand (1879-1972) fondent la société Lambert et ses Fils. En 1908, elle devient Lambert Frères & Cie, société industrielle de premier plan dont le nom restera longtemps associé à Cormeilles[30]. Fabriquant du plâtre mais aussi des briques, de la chaux, du ciment, etc. la carrière Lambert devient l'une des plus grandes carrières à ciel ouvert d'Europe, avec un front de taille de 100 m de hauteur et 1 kilomètre de longueur[32].

    Entrée de la batterie n° 113 en août 1915.
    Entrée de la batterie n° 113 en août 1915.

    Pendant la Première Guerre mondiale, le Fort de Cormeilles est un poste avancé de la défense anti-aérienne de Paris.

    Aux lendemains de la Première Guerre mondiale, la société Lambert devient un acteur majeur de l'industrie des matériaux de construction en France[33],[34]. Elle complète son domaine industriel avec l'inauguration en 1931, d'une usine géante pour la cuisson, l'ensacquetage et le chargement en vrac en bord de la Seine[Note 3].

    Au cours des années 1930 et ensuite, une importante main d'œuvre exogène est importée : Bretons, Chinois, Polonais, Serbes, Tchèques, Portugais, Maghrébins[35]. Cette immigration précoce et diverse fait encore aujourd'hui partie de la personnalité de la ville.

    Désaffectée, la carrière Émy-les-Prés exploitée au XIXe siècle, et les anciens fours à chaux serviront dans les années 1920 et 1930 d'école de chasse pour les clients de l’armurerie parisienne Mainwaring. À la fin des années 1960, les terrains, propriétés de la société Lambert Frères & Cie seront repris par la commune et seront aménagés pour y construire la Salle des fêtes Émy-les-Prés (1969) et la piscine municipale (1972).

    Sous l'Occupation, les forces allemandes stockent dans le Fort des munitions, notamment pour les torpilles sous-marines. Après la Libération de la France, le fort devient prison militaire, puis centre d'accueil pour les harkis algériens et leurs familles et même logement pour du personnel du Ministère de la Justice.

    La cimenterie est acquise par la société des Ciments Lafarge en 1970 avant que le site désaffecté soit vendu en 2019 pour le projet d’urbanisme Seine Parisii.

    Le four rotatif de la cimenterie en 2001.
    Le four rotatif de la cimenterie en 2001.

    Au début des années 1980, l'exploitation de la carrière est appelée à cesser et le site manque, de justesse, de devenir une décharge de produits industriels et dangereux. Une mobilisation des citoyens, habitants et associations permet aux pouvoirs publics (élus locaux et ministères) de prendre conscience du danger et fait échouer ce projet. Depuis 1987, la carrière s'est agrandie vers le nord, et les parties ouest et est de 100 hectares sont peu à peu remblayées et reboisées à l'état naturel. En 1990, la société Plâtres Lambert et avec elle la carrière et la plâtrière de Cormeilles entre dans le giron de la société British Plaster Board (BPB) qui possède déjà en France la société Placoplatre. BPB est à son tour absorbée par le groupe Saint-Gobain en 2005[36].

    Le fort sert de centre d'entraînement commando inter-armée jusqu'en 1997

    Encore plus qu'ailleurs les prix de l'immobilier à Cormeilles s'envolent[37], faisant perdre peu à peu ses quartiers populaires à la ville (notamment le quartier des ouvriers de la carrière, démoli en 1994 et remplacé par des lotissements pavillonnaires) et, paradoxalement, une partie de son cachet.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Cormeilles-en-Parisis est incluse dans l'arrondissement d'Argenteuil.

    Cormeilles-en-Parisis forme avec la commune de Montigny-lès-Cormeilles le canton de Cormeilles-en-Parisis de 1964, date de sa création et ce jusqu'en mars 2015. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée dans le canton de Franconville constitué des communes de Franconville et de Cormeilles-en-Parisis[38].

    La commune fait partie de la 3e circonscription électorale du Val-d'Oise.


    Juridictions


    Depuis le 1er janvier 2020 les juridictions compétentes pour Cormeilles-en-Parisis sont[39] :

    Pour toute information sur le droit et la justice, les Cormeillais peuvent s'adresser à la Maison de la justice et du droit, à Argenteuil [40].


    Intercommunalité


    À sa création fin 2005, Cormeilles-en-Parisis fait partie de la Communauté de communes du Parisis qui devient, en 2011, la Communauté d'Agglomération Le Parisis (CALP).

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, la CALP fusionne[41] avec la Communauté d'agglomération Val-et-Forêt voisine pour former, le , la communauté d'agglomération Val Parisis, dont la commune est désormais membre.

    Val Parisis est à l'initiative de l'installation de nombreuses caméras de vidéosurveillance sur les communes de son territoire[42].


    Tendances politiques et résultats


    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Yannick Boedec remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 6 766 voix (78,27 %, 32 conseillers municipaux élus dont 8 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[43] :
    - Anita Bernier (PS, 1 305 voix, 15,09 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
    - Alain Quiot (FG, 573 voix, 6,62 %, 1 conseiller municipal élu).
    Lors de ce scrutin, 42,43 % des électeurs se sont abstenus.

    Article détaillé : Élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVD menée par le maire sortant Yannick Boedec obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 498 voix (74,39 %, 31 conseillers municipaux élus dont 7 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[44] :
    - Laurent Jallu (UG, 782 voix, 12,93 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
    - M. Carlos Soares De Sousa Coelho (DIV, 766 voix, 12,66 %, 2 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 62,14 % des électeurs se sont abstenus.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1830 1843 M. Foulon    
    1843 1847 Charles Courtin   Régisseur général et directeur général des hôpitaux militaires
    1847 1848 Delavallée    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1892 1899 Louis Gonse   Historien de l'art
    1899 1900 Émile Delorme    
    1900 1919 Louis Gonse   Historien de l'art
    1919 1929 Charles Dufour    
    1929 1934 Paul Bloch    
    1934 1945 Charles Bruot    
    1945 1947 René Duclaud PCF  
    1947 1953 Paul Carrat    
    mai 1953 mars 1965 Gérard Vérité    
    mars 1965 juin 1995 Jean Ferrier DVD  
    juin 1995 mars 2008[45] Lucienne Malovry RPR puis UMP Analyste
    Sénatrice du Val-d'Oise (2004 → 2011)
    mars 2008[46] En cours
    (au 10 février 2021[47])
    Yannick Boëdec[48] UMP → LR Ancien responsable logistique à la Cité des Sciences
    Conseiller général de Franconville (2015 →)
    Président de la CA du Parisis (2014 → 2015)
    Président de la CA Val Parisis (2016 →)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[49],[50],[51]

    Jumelages



    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 25 406 habitants[Note 5], en augmentation de 8,48 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5501 3301 3361 2801 1941 2551 2191 2421 258
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2751 4321 5601 5482 0701 9341 8361 9072 285
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6542 8273 2404 5366 1697 9438 4608 49410 638
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    11 48613 82914 06314 48417 41719 64321 50323 49723 924
    2019 - - - - - - - -
    25 406--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    Les différents établissements scolaires de la commune sont cités par niveau d'enseignement et, dans chaque niveau, par ordre chronologique de construction et donc de mise en service[57].


    Culture



    Sports


    Équipements sportifs : Le Beffroi, salle René-Berthieu, salle des Pierres-Vives, salle polyvalente, salle de boxe, local de cyclotourisme, local d'escrime, salle de la Savoie, gymnase Alsace-Lorraine, piscine municipale, skate park, Cyber-Espace municipal, gymnase salle des fêtes, Cosec, stade Gaston-Frémont, complexe sportif Léo-Tavarez, terrains de tennis extérieurs et intérieurs, terrain de foot synthétique, gymnase Léo-Tavarez, centre aquatique Les Océanides, futur complexe sportif rue de Saint-Germain.


    Santé


    Implantée de longue date à Cormeilles, au 15 avenue de la Libération, la Clinique du Parisis, du groupe Ramsay, ferme définitivement à l'été 2020. Sa maternité longtemps réputée, en particulier pour le traitement de la stérilité, attire de toute la région de nombreuses femmes venues y consulter les spécialistes et accoucher, ce qui explique le grand nombre de personnes ayant dans leur NIR 95176, qui est le code Insee de Cormeilles-en-Parisis.

    Après diverses péripéties quant à son devenir, et plusieurs ventes et reventes, le promoteur Bécarré, entreprise parisienne familiale de 30 salariés, la rachète à La Mutuelle Générale en octobre 2021 pour la réhabiliter en 39 logements du T1 au T5. Il est prévu au rez-de-chaussée de la résidence, un pôle médical de plus de 300 m2. Les travaux sont en cours au printemps 2022 et la livraison est programmée pour 2024[81].

    Une maison médicale pluridisciplinaire ouvre au printemps 2021 au sud de la ville dans le quartier des Bois Rochefort. Situé au 173 rue de Saint-Germain, le bâtiment regroupe sur deux niveaux une vingtaine de cabinets médicaux : cardiologue, pneumologue, chirurgien-orthopédiste, ostéopathes, gastro-entérologue, sages-femmes, podologue, ORL, pédopsychiatre…[82]

    Une maison de retraite, située dans le haut de Cormeilles, au 1 rue de Franconville, l'Ehpad La Châtaigneraie accueille des personnes âgées[83].


    Manifestations culturelles et festivités



    Économie


    L'un des grands (et historiques) pôles économiques est la carrière de Cormeilles, aujourd'hui exploitée par Placoplatre, filiale de Saint-Gobain. Seul le gypse est valorisé et est transformé en plâtre. Compte tenu de la pureté exceptionnelle de son gypse, l'usine de Cormeilles produit des plâtres d'une excelllence rare, recherchée pour les moulages artistiques et industriels ; ils représentent 60 % des exportations françaises de plâtre[84]. L'usine Placoplatre de Cormeilles produit également des carreaux de plâtre.

    La carrière est destinée à redevenir, après remblaiement avec les matériaux de découverture du site lui-même (marnes et sables) et avec des apports extérieurs de terres issues des chantiers de terrassement de toute l'Ile-de-France, constructions privées et travaux du Grand Paris, un espace vert naturel de 120 à 130 ha, ce qu'il était avant l'exploitation de la carrière au milieu du XIXe siècle, et qui devrait être définitivement aménagé à l'horizon 2030 au cœur même de la Région parisienne[84].

    Fin 2018, il y a à Cormeilles (hors particuliers employeurs) 476 établissements employeurs donnant du travail à 4 960 salariés qui se répartissent ainsi : 2 entreprises dans l'agriculture avec 8 employés, 32 établissements industriels avec 329 emplois, 78 entreprises de construction et 462 emplois, 316 entreprises de commerce, transports ou services divers comportant 2336 salariés, dont plus de la moitié dans le commerce et la réparation automobile, 48 établissements d'administration publique, d'enseignement, de santé ou d'action sociale employant 1825 personnes[85].

    La commune dispose d'un marché alimentaire couvert[86] construit en 1935, avenue Maurice Berteaux près la mairie, en régie municipale depuis 2001 et réhabilité en 2006, il est ouvert les mercredis et samedis de 8h à 12h30. Il fait large place aux producteurs et artisans des métiers de bouche locaux.

    Le marché couvert.
    Le marché couvert.

    Dans le sud de Cormeilles, la zone artisanale des Bois Rochefort, regroupe de nombreuses PME et TPE.
    Dans le même quartier, mais plus au sud, à la limite de Sartrouville en 2016 un important centre commercial Les Allées de Cormeilles ouvre, comprenant 11 enseignes dont Castorama et Jardiland et une quinzaine de commerces et services de proximité dont un hard-discount, et un supermarché Casino et une crèche au sein des zones d'habitations ainsi qu'un pôle de six restaurants[87].


    Revenus de la population et fiscalité


    A Cormeilles-en-Parisis, en 2019, pour 10 106 ménages fiscaux, et 26 335 personnes dans ces foyers, la médiane du revenu annuel disponible (en euros) par unité de consommation (c’est-à-dire par personne et après déduction des impôts directs et réception des prestations sociales [88] et qui est différent du revenu fiscal médian par ménage) est de 27 370 . Avec un premier décile à 13 660 € et un neuvième décile à 45 980 €. 76% des ménages fiscaux sont imposés[89].

    Par comparaison ces chiffres sont dans le Val d'Oise[90] de 22 220 € pour la médiane, de 10 880 € pour le premier décile et de 39 510 € pour le neuvième décile, et pour l'Île-de-France[91] la médiane est de 24 060 €, le premier décile à 11 110 € et le neuvième décile à 49 090 €. Donc Cormeilles est un peu plus riche que la moyenne des communes du Val d'Oise et de celles de la région de l'Île-de-France.


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Église Saint-Martin.
    Église Saint-Martin.

    Cormeilles-en-Parisis compte un seul monument historique sur son territoire :

    Article détaillé : Église Saint-Martin de Cormeilles-en-Parisis.

    On peut également signaler :

    Hôtel de la Prévôté.
    Hôtel de la Prévôté.
    Article détaillé : Système Séré de Rivières.

    Personnalités liées à la commune


    Elles y sont liées soit parce qu'elles y sont nées, ou qu'elles y sont décédées soit qu'elles y ont vécu une partie de leur vie, en y habitant ou en y séjournant.

    L'ordre dans lequel elles sont citées est l'ordre chronologique de leur année de naissance.


    Scientifiques


    Personnalités du monde des arts et de la littérature

    Monument élevé à la mémoire de Daguerre à Cormeilles-en-Parisis.
    Monument élevé à la mémoire de Daguerre à Cormeilles-en-Parisis.

    Sportifs


    Autres


    Héraldique


    Cormeilles-en-Parisis
    • Parti : au 1er d'azur à la gerbe d'or, au 2e d'or au pampre tigé, feuillé et fruité au naturel.

    Cormeilles-en-Parisis au cinéma et à la télévision


    Article détaillé : Liste de films tournés à Cormeilles-en-Parisis.

    Le Fort de Cormeilles a servi de décor à plusieurs films dont La Nuit des généraux (1967) d'Anatol Litvak, avec Peter O'Toole et Omar Sharif, ainsi que Chocolat de Roschdy Zem avec Omar Sy.


    Voir aussi


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    Bibliographie



    Livres

    Par ordre chronologique de parution :


    Articles / Périodiques


    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. C'est sur cet emplacement qu'est construit à partir de 2020 le quartier de Seine Parisii Voir le paragraphe sur les projets d'urbanisme
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. http://www.capeutservir.com/postaux/
    2. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Cormeilles-en-Parisis, Herblay et Franconville dans le Top 30 des villes « vertes » : Ce classement établi par le Figaro immobilier concerne les communes de la grande couronne parisienne (Val-d’Oise, Yvelines, Seine-et-Marne, Essonne) », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    3. PLU et Cadastre https://plu-cadastre.fr/cormeilles-en-parisis-95240/
    4. Ces données reposent sur la base de données géographiques Corine Land Cover (CLC), inventaire biophysique de l'occupation des terres et de son évolution au niveau européen https://plu-cadastre.fr/cormeilles-en-parisis-95240/#urbanisme
    5. « Cars Lacroix : Accueil », sur www.cars-lacroix.fr (consulté le )
    6. De nouveaux aménagements pour le pôle gare de Cormeilles-en-Parisis VOnews L'actualité du Val d'Oise http://vonews.fr/2015/05/27/de-nouveaux-amenagements-pour-le-pole-gare-de-cormeilles-en-parisis/ Consulté le 5 février 2022
    7. Site de la mairie de Cormeilles https://www.ville-cormeilles95.fr/article/ouverture-du-parking-relais-de-la-gare Consulté le 5 février 2022
    8. « Communes limitrophes de Cormeilles-en-Parisis » sur Géoportail..
    9. « Communes limitrophes de Cormeilles-en-Parisis » sur Géoportail..
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « La cimenterie Lafarge en cours de démolition », Le Parisien, (lire en ligne).
    19. « Cormeilles-en-Parisis : les silos de l’ancienne cimenterie vont tomber », Le Parisien, (lire en ligne).
    20. Voir l'article d'Alexandre Boucher à la une du journal "Val d'Oise 95" du 1er février 2020 https://yannick-barbier.pagesperso-orange.fr/news/Fichiers_2020/Parisien_01-02-2020.pdf Consulté le 20 septembre 2022
    21. « Nouveau quartier Seine Parisii | Cormeilles-en-Parisis », sur www.ville-cormeilles95.fr (consulté le )
    22. « Val-d'Oise. Pôle de loisirs à Cormeilles-en-Parisis, les travaux démarrent », sur actu.fr (consulté le )
    23. Hippolyte Cocheris, Dictionnaire des anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, Ed Cerf et Fils à Versailles, ouvrage mis en ligne par le Corpus Étampois. [À compléter car Cocheris ne dit pas tout cela]
    24. Gérard Baillou, Le Néolithique dans la Bassin parisien, IIe supplément à Gallica Préhistoire, CNRS Éditions, , p. 53
    25. « Archéologie & histoire de Cormeilles-en-Parisis », sur Départment du Val d'Oise
    26. « Découvertes archéologiques », sur Ville de Cormeilles-en-Parisis
    27. Philippe Bylwès, Jeanne et Henri Mouliérac, Mathieu Lours, Saint-Martin de Cormeilles-en-Parisis. Aux racines du gothique, Cormeilles-en-Parisis, Association pour la Sauvegarde de l'église Saint-Martin de Cormeilles-en-Parisis, , 96 p. (ISBN 978-2-9531638-0-3).
    28. Jacques Hantraye, L'ascension de la famille Lambert de Cormeilles-en-Parisis (XVIIe-XIXe siècle). Volume 2 : Les mutations de l'exploitation agricole et l'essor de l'activité plâtrière (1836-1882), Cormeilles-en-Parisis, Musée du Plâtre, , 56 p. (ISBN 978-2-9530327-1-0).
    29. Jacques Hantraye, L'ascension de la famille Lambert de Cormeilles-en-Parisis (XVIIe-XIXe siècle). Volume 1 : Aux origines de la pluriactivité (vers 1650-1836), Cormeilles-en-Parisis, Musée du Plâtre, , 44 p. (ISBN 978-2-9530327-0-3).
    30. Vincent Farion, Si la Carrière m'était contée. La plâtrière et les usines Lambert, le quartier et ses habitants à Cormeilles-en-Parisis (1832-2008), Cormeilles-en-Parisis, Musée du Plâtre, , 56 p. (ISBN 978-2-9530327-2-7).
    31. Jacques Hantraye, Les ports au plâtre. Le commerce du plâtre sur la Seine et l'Oise au XIXe siècle, Cormeilles-en-Parisis, Musée du Plâtre, , 212 p. (ISBN 978-2-9530327-7-2).
    32. Albert Armangué, « Carrière de Cormeilles-en-Parisis, historique de la mécanisation », Les Articles du Musée du Plâtre, , p. 8 (lire en ligne).
    33. Vincent Farion, « L'effort de guerre des usines Lambert en 1914-1918 », Les Articles du Musée du Plâtre, , p. 12 (lire en ligne).
    34. Vincent Farion, « Lambert dans les années 20, une industrie en pointe », Les Articles du Musée du Plâtre, , p. 4 (lire en ligne).
    35. Jean Gropelli, « Le quartier de la Carrière dans les années 1930 », La Lettre Blanche, , p. 7-8 (lire en ligne).
    36. Vincent Farion, Placoplatre et autres histoires industrielles, Paris, Anabole, , 194 p. (ISBN 978-2-9538265-5-5).
    37. Dans son classement annuel du mois de décembre 2007, le journal professionnel l'Immobilier des notaires (no 120) annonce que Cormeilles-en-Parisis est la ville la plus chère du Val-d'Oise avec une moyenne de 3 827 euros au mètre carré
    38. Décret no 2014-168 du 17 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Val-d'Oise.
    39. Liste des juridictions compétentes pour une commune du site du ministère français de la justice http://www.annuaires.justice.gouv.fr/annuaires-12162/liste-des-juridictions-competentes-pour-une-commune-22081.html#cmq_path=https%3A%2F%2Fjustice.comarquage.fr%2Fpois%2Fsearch%3Fcontext_action%3Ddirectory%26context_hide_list%3DTrue%26context_hide_map%3DTrue%26context_hide_category%3DTrue%26context_widget_mode%3Dtrue%26context_collectivity_type%3Don%26context_subscription_territory%3D4eb2fa76b473e41c18000001%26context_territory%3D4eb2fa76b473e41c18000001%26context_categories%3DJuridiction%26context_subscription%3D%26context_schema%3D%26context_pois_tab%3D%26context_organism_type%3D%26context_group%3D%26context_organization%3D%26context_what%3D%26context_two_col%3DFalse%26context_hide_directory%3DFalse%26context_db_sources%3Djustice%26schema_name%3DAll%26territoires_de_competence%3D4eb2fab1b473e41c18002533%26search%3Dsearch Consulté le 26 01 2022
    40. Site du Ministère français de la justice "L'accès au droit dans le Val d'Oise" https://www.cdad-valdoise.justice.fr/lacces-au-droit-dans-les-valdoise/
    41. « Arrêté préfectoral A 15-607-SRCT du 14 décembre 2015 portant fusion des communautés d'agglomération « Le Parisis » et « Val et Forêt », et extension de périmètre à la commune de Frépillon au 1er janvier 2016, et statuts de la nouvelle intercommunalité » www.valparisis.fr/sites/valparisis/files/document/article/a_15_607_srct.pdf Consulté le 4 février 2022
    42. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. L'agglomération Val Parisis va installer entre 150 et 200 nouvelles caméras de vidéosurveillance d'ici 2026 : Val Parisis, déjà équipée de 400 caméras, poursuit sa montée en puissance. Entre 150 et 200 caméras de plus surveilleront ce territoire de 283 000 habitants d'ici 2026 », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    43. Résultats officiels pour la commune Cormeilles-en-Parisis
    44. « Val-d'Oise (95) - Cormeilles-en-Parisis », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    45. Laurence Allezy, « Cormeilles-en-Parisis. L'alliance à droite n'aura pas lieu », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    46. Bénédicte Agoudetsé, « A Cormeilles-en-Parisis, Yannick Boëdec (UMP) mise sur son bilan : Élu en 2008 à la tête de la ville, Yannick Boëdec a lancé sa campagne ce week-end. Avec une confiance que compte bien perturber la socialiste Anita Bernier », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    47. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Les projets à venir à Cormeilles-en-Parisis : Au cours de ses vœux en ligne, le maire (Lr), Yannick Boëdec, a égréné les réalisations qui verront le jour ces prochaines années », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    48. Alexandre Boucher, « Cormeilles-en-Parisis : Yannick Boëdec part sans opposition : Le maire sortant vient d’annoncer qu’il briguera un troisième mandat. Il ne sait toujours pas quel candidat se présentera en face de lui en mars prochain », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    49. Daniel Chollet, « Yannick Boëdec brigue un deuxième mandat : Yannick Boëdec brigue un deuxième mandat », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « En 2001, la maire de Cormeilles fera de Yannick Boëdec son adjoint à la jeunesse, aux affaires scolaires et finances. Avant de lui passer la main en 2008. Une élection marquée par une lutte fratricide à droite. L’Ump avait alors désigné une autre adjointe, Marie-Christine Martinet. Yannick Boëdec, candidat sans étiquette (l’Ump, à qui il avait rendu sa carte, reviendra le chercher) était arrivé en tête, Marie-Christine Martinet s’était retirée et la droite avait conservé la ville. Comme depuis près de soixante ans ».
    50. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Municipales 2020 : Yannick Boëdec, candidat à un troisième mandat à Cormeilles-en-Parisis : Seul en lice pour l'instant, le maire (Lr) sortant depuis 2008, patron de l'agglomération Val Parisis et conseiller départemental, repart en campagne », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal délégué à la jeunesse en 1995, sous le premier mandat de Lucienne Malovry, le benjamin deviendra ensuite adjoint aux affaires scolaires, puis aux finances et enfin maire, en 2008, dans un contexte compliqué ».
    51. « Procès-verbal du conseil municipal séance ordinaire du 28 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus des conseils municipaux 2020, sur https://www.ville-cormeilles95.fr (consulté le ).
    52. « Comité de jumelage | Cormeilles-en-Parisis », sur ville-cormeilles95.fr.
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    54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    57. La référence princeps est un opuscule de 23 pages édité à 12 000 exemplaires par le service "Communication" de la Mairie de Cormeilles en janvier 2022, rédigé par Alexandre Boucher du service des Archives municipales et intitulé "Hors série 2022 Cormeilles Au temps des écoles". Ce "Hors série" doit s'interpréter comme un numéro hors-série du journal mensuel communal "CORMEILLES MAG" édité par ce même service "Communication" de la mairie et distribué dans les boites aux lettres des Cormeillais et qui est également disponible en ligne sur le site de la Ville de Cormeilles-en-Parisis à l'onglet "Publication" Consulté le 6 février 2022 https://www.ville-cormeilles95.fr/
    58. Pages 4, 5 et 10 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    59. Page 8 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    60. Page 9 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    61. Page 6 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    62. Page 7 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    63. Page 11 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    64. Page 12 du "Hors-série Cormeilles au temps de l'école"
    65. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Cormeilles-en-Parisis : le 111e collège du département inauguré : Implanté sur la Zac des Bois Rochefort, au coeur d'un terrain de 12 000 m2, le 111e collège du Val-d'Oise répond à l'augmentation du nombre d'élèves », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    66. Page 21 du Hors-série "Cormeilles au temps de l'école"
    67. Daniel Chollet, « Cormeilles-en-Parisis. L'internat du lycée Le Corbusier labellisé "d'excellence" par le ministère de l'Éducation nationale : Le lycée Le Corbusier à Cormeilles-en-Parisis fait partie des 253 internats labellisés en France », La Gazette du Val-d'Oise, 186/2021 (lire en ligne, consulté le ).
    68. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Cormeilles-en-Parisis. Lycée : le chantier avance : La situation sanitaire n'entame pas le chantier qui avance entre les rues de Saint-Germain et Riera-et-Christy. Le lycée doit être livré en 2022 », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Imaginé par l’architecte urbaniste Jacques Dubois, ce vaste lycée de 42 millions d’euros, dédié à l’enseignement général et technologique, sera d’une capacité de 1 200 élèves, dont une centaine pour des classes d’enseignement supérieur (classes préparatoires aux grandes écoles, Cpge et classes de Brevet de technicien supérieur (Bts) ».
    69. Page 22 du Hors-série "Cormeilles au temps de l'école"
    70. Site de l’École et collège Saint-Charles http://www.stcharles-cormeilles.fr/category/notre-etablissement/organisation/ et http://www.stcharles-cormeilles.fr/ecole/bienvenue-a-lecole-saint-charles/ Consulté le 27 janvier 2022
    71. Musée du Plâtre
    72. Danel Baduel, « À Cormeilles-en-Parisis, le musée du Plâtre sommé de quitter en partie les lieux », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne)
    73. Thibault Chaffotte, « Cormeilles-en-Parisis : quel avenir pour le Musée du Plâtre ? », Le Parisien, (lire en ligne)
    74. « Google map », sur google.fr (consulté le ).
    75. « Cormeilles-en-Parisis a enfin ses studios de danse et de musique », Le Parisien, (lire en ligne).
    76. « Reportage en image », sur Valdoise.fr (consulté le ).
    77. « Ecole de danse Virginie Delcourt », sur ecolededansevd.com (consulté le ).
    78. École de musique
    79. Article de Hugo robert dans les Échos du 2 mars 2022 https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/a-cormeilles-en-parisis-39-logements-dans-une-ancienne-clinique-rehabilitee-1391159
    80. « La Maison médicale du Parisis | Cormeilles-en-Parisis », sur www.ville-cormeilles95.fr (consulté le )
    81. Daniel Chollet, « Val-d'Oise. Cormeilles-en-Parisis. À l'Ehpad La Châtaigneraie, les résidentes réalisent des peluches pour les enfants défavorisés : Après trois mois de travail, vingt-huit peluches ont été confectionnées par une dizaine de résidentes de l'Ehpad , en faveur du Secours Populaire français », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    82. https://www.placoplatre.fr/L-ENTREPRISE/Carrieres-de-gypse/Carriere-de-Cormeilles-en-Parisis
    83. Données INSEE https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-95176
    84. https://www.ville-cormeilles95.fr/article/le-marche
    85. https://www.ville-cormeilles95.fr/article/la-zac-des-bois-rochefort
    86. Voir sa définition sur le site de l' Agence nationale de la cohésion des territoires https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/mediane-du-revenu-disponible-par-uc
    87. Données INSEE https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-95176#chiffre-cle-8
    88. Données INSEE https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=DEP-95
    89. Données INSEE https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=REG-11#chiffre-cle-8
    90. Notice no PA00080033, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    91. Albert Besnard, L'église de Cormeilles-en-Parisis, Paris, Librairie historique des provinces Émile Lechevalier, , 48 p..
    92. page consultée le 23 mai 2016
    93. Située au carrefour des rues de Montigny, du Martray et Léopold Mourier, l'ancienne place du Martray a été renommée place Prosper-Montagné par arrêté préfectoral en 1957 mais ce nom ne figure sur aucune carte, car aucune adresse n'y est référée. L'adresse de cette maison du prince de Ligne correspond au 1 rue de Montigny bien que le portail donne sur le carrefour. https://www.ville-cormeilles95.fr/sites/cormeilles-en-parisis/files/document/article/o.pdf Page 17 art. 1079 Consulté le 17 avril 2020
    94. https://www.ville-cormeilles95.fr/sites/cormeilles-en-parisis/files/document/article/o.pdf Consulté le 17 avril 2020
    95. Page consultée le 23 mai 2016.
    96. Site de l'ARS95 Consulté le 23 août 2021 http://www.ars95.fr/la_maison_relais_les_coquelicots/
    97. Le quartier Alsace-Lorraine, Service municipal des Archives de Cormeilles-en-Parisis, brochure 2015 p.8, https://www.ville-cormeilles95.fr/sites/cormeilles-en-parisis/files/document/article/brochure_jpat_2015_web_1.pdf
    98. Jean-Pierre DENIS, L'art Nouveau dans le Val d'Oise, 2012, p.26 à 28 https://www.fichier-pdf.fr/2013/11/20/l-art-nouveau-dans-le-val-d-oise-95/preview/page/26/
    99. Histoire du fort sur le site de l'association des Amis du fort de Cormeilles
    100. https://www.fichier-pdf.fr/2017/03/06/daguerre-2017/daguerre-2017.pdf Consulté le 24.03.2020
    101. http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/cormeilles-en-parisis-celebre-le-230e-anniversaire-de-la-naissance-de-daguerre-08-12-2017-7440879.php Consulté le 24.03.2020
    102. https://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/64302/cormeilles-en-parisis-place/
    103. https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/monument-aux-morts-de-14-18-cormeilles-en-parisis/
    104. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Jeunesse_Raymond_Réal_Pedretti_1.jpg
    105. Aurore Gauthier et Vincent Farion, « Yvonne Duttile, sculptrice (1883-1979) », Les Articles du Musée du Plâtre, , p. 4 (lire en ligne).
    106. Marguerite Pilven, « Stéphane Belzère, la peinture à l'épreuve du temps », Le Quotidien de l'Art, (lire en ligne).
    107. http://boxingcormeille.wifeo.com/le-club.php
    108. https://www.judocormeilles.fr/resultats/
    109. Cormeilles-en-Parisis : Sabrina Ouihaddadène au sommet du karaté
    110. Voir la préface écrite le 10 août 1904 par un descendant de Du Pont de Nemours (J.-A.Du Pont de Nemours) dans le livre publié en 1906 à Paris pour la famille Du Pont, non mis dans le commerce et intitulé "L’enfance et la jeunesse de Du Pont de Nemours racontées par lui-même". Le texte intégral de cet ouvrage est mis à disposition sur le site de l'Institut Coppet (Voir https://www.wikiberal.org/wiki/Institut_Coppet) consulté le 23 août 2021 https://www.institutcoppet.org/lenfance-et-la-jeunesse-de-dupont-de-nemours-racontees-par-lui-meme/ Citation : "Le danger, pourtant, était toujours menaçant et la situation excessivement grave. Du Pont de Nemours « avait à se soustraire à un mandat d’arrêt dont l’objet spécial était de l’envoyer mourir à la Force, le 3 septembre. » Il se cachait sous le dôme de l’Observatoire du collège des Quatre-Nations, aujourd’hui l’Institut, séjour qui « ne contenait point de lit » et où « il ne pouvait recevoir que difficilement du pain et plus difficilement de l’eau. » Il devait cet asile à l’amitié courageuse de deux astronomes ; le célèbre Lalande et un de ses jeunes élèves, Harmand, qui était également pour les sciences morales et politiques l’élève du prisonnier, dont il avait guidé les pas dans cette retraite. C’était avec beaucoup de peine et de danger qu’Harmand l’y avait conduit et parvenait à lui procurer des subsistances. Il eut un jour à craindre d’être forcé de partir pour la guerre et de laisser le solitaire sans vivres. Lalande offrit en ce cas de les porter lui-même. » Le 2 septembre, les portes de Paris furent ouvertes quelques heures pendant l’excitation générale qu’amenèrent les terribles massacres, et Du Pont de Nemours put s’échapper de l’Observatoire et sortir de la ville. Il se réfugia à Cormeilles dans une petite maison de campagne d’Harmand ; avec un abat-jour sur les yeux, il se fit passer pour un vieux médecin et délivra des ordonnances à tous ceux qui lui en demandèrent."
    111. https://maitron.fr/spip.php?article126800
    112. Voir page 7 la brochure "Le quartier du Val d'Or Histoires à lire et à s'inventer" publiée en 2016 par la Mairie de Cormeilles et consultée le 23 août 2021 https://www.ville-cormeilles95.fr/sites/cormeilles-en-parisis/files/document/publication/brochure_quartier_val_dor.pdf
    113. https://www.ville-cormeilles95.fr/sites/cormeilles-en-parisis/files/document/article/panneaux_expo_centenaire_1918-2018_-_cormeilles_1918.pdf
    114. http://ecole.nav.traditions.free.fr/encadrement_kieffer_philippe.htm
    115. Journal municipal Cormeilles Mag no 208 de décembre 2016, p.9 https://docplayer.fr/193293309-Cormeilles-joyeuses-fetes.html
    116. Ces images sont celles des fonds d'Archives municipales https://www.flickr.com/photos/165456727@N08/albums/72157716006485621/with/50351832758/
    117. http://museedelaresistanceenligne.org/media5325-StA
    1. p. 162.
    2. p. 156.
    3. p. 153.
    4. p. 154.
    5. p. 155.
    6. p. 158.
    7. p. 166.
    8. p. 149.
    9. p. 163-164.

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    [de] Cormeilles-en-Parisis

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    [en] Cormeilles-en-Parisis

    Cormeilles-en-Parisis (French pronunciation: [kɔʁmɛj ɑ̃ paʁizi] (listen), literally Cormeilles in Parisis) is a commune in the Val-d'Oise department in Île-de-France in Northern France.
    - [fr] Cormeilles-en-Parisis

    [ru] Кормей-ан-Паризи

    Кормей-ан-Паризи (фр. Cormeilles-en-Parisis) — муниципалитет во Франции, в регионе Иль-де-Франс, департамент Валь-д'Уаз. Население — 21 503 человека (2006)[2]. Муниципалитет расположен на расстоянии около 18 км северо-западнее Парижа, 12 км юго-восточнее Сержи[3].



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