Condé-sur-Sarthe est une commune française située dans le département de l’Orne en région Normandie, peuplée de 2 490 habitants[Note 1].
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La commune est située à l’ouest d’Alençon. De nombreuses carrières de granite ont été exploitées pendant plusieurs siècles jusque vers 1980, pour construire l’agglomération alençonnaise. Il ne subsiste plus aujourd’hui que des plans d’eau en lieu et place des carrières.
La route nationale 12 traverse Condé-sur-Sarthe d’est en ouest. Cette route relie Paris à Brest. La commune est desservie par le réseau de bus Alto[1]. Ce réseau fait partie des Transports Urbains de la Communauté Urbaine d’Alençon. Condé-sur-Sarthe est desservie par Itinéo 4, Itinéo Acces, Domino 1, 2 et 4.
La Sarthe vue depuis Condé-sur-Sarthe.
Le territoire est bordé au sud par la Sarthe. La vallée de la Sarthe est concernée par les inondations dues aux crues de la rivière. Les zones inondables regroupent les terrains inconstructibles ainsi que les terrains à préserver de toute urbanisation nouvelle. Ces zones sont répertoriées dans le cadre du plan de prévention des risques d’inondations du département de l’Orne[2].
Le climat à Condé-sur-Sarthe[3] se situe entre le climat océanique de la Bretagne et le climat océanique dégradé du Bassin parisien. Les températures moyennes s’échelonnent entre 2°C et 5°C en hiver et entre 15°C et 25°C en été. Les précipitations annuelles sont de l’ordre de 700 mm en moyenne. Les mois les plus pluvieux vont de septembre à janvier.
Les principaux quartiers sont: la Boissière, le Bourg, la Jardinière, le Pont Percé, le Vert Village. Les lieux-dits sont: la Bigotière, les Brosses, Châtillon, la Cusselière, les Dragées, l’Étang, la Folie, la Galochère, la Guépinière, les Guettes, la Hardronnière, Hertré, le Grand Hertré, le Petit Hertré, les Joncs, la Mare à Rouland, Montperthuis, le Parc Labbé, les Sablons, les Vallées, Vaucelles, Verveine.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 10,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Alençon - Valframbert», sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946[12] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[13],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,8°C pour la période 1971-2000[14] à 10,9°C pour 1981-2010[15], puis à 11,3°C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Condé-sur-Sarthe est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Alençon, une agglomération inter-régionale regroupant 8 communes[20] et 41 243 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (42,3%), prairies (27,4%), zones urbanisées (16,1%), forêts (7,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Condetum en 1081[27], Condé en 1793, Condé-sur-Sarthe en 1801[28].
Le nom Condé viendrait du terme celtiquecondate, nombreux Condé, également ancien nom gaulois de Rennes, Candé (langue d'oïl) et Condat (langue d'oc), équivalent du latin confluentes (confluent) qui a donné les Conflans.
Sous la Révolution, Condé-sur-Sarthe a été renommée L’Île-sur-Sarthe[réf.nécessaire].
Sur ordre de Jules César en 50 av. J.-C., les Romains ont construit des routes. L’une d’entre elles venant de Chartres traversait la Sarthe au gué du moulin de Condé, qui se situe au confluent de la Sarthe et de la Randumière.[réf.nécessaire]
Politique et administration
La communauté urbaine
Condé-sur-Sarthe fait partie des trente-six communes de la communauté urbaine d'Alençon.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans l'Orne.
Les électeurs condéens votent régulièrement à gauche.
À titre d’exemple, lors du second tour de l’élection présidentielle de 2007[30], Ségolène Royal (PS) obtient 54,3% des suffrages exprimés contre 45,7% des suffrages pour Nicolas Sarkozy (UMP).
De plus, lors du second tour des législatives de 2007[31], Joaquim Pueyo (DVG) obtient 63,15% des suffrages contre 36,85% pour Yves Deniaud (UMP). Yves Deniaud qui sera élu dans la première circonscription de l'Orne.
Lors du référendum du 29 mai 2005[32] sur le traité constitutionnel pour l’Europe, le «non» l’emporte à Condé-sur-Sarthe avec 52,49% des suffrages contre 47,51% de «oui». L’abstention étant de 24,69%. (Résultats nationaux: «non» à 54,67%, «oui» à 45,33%, abstention à 30,63%).
Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et trois adjoints[33].
Prison
Une maison centrale de 220 places a été construite en 2011. Elle est considérée comme une des plus sécurisée de France[35]. Le 5 mars 2019 se produit une agression de deux surveillants par un détenu terroriste à l'aide d'un couteau en céramique apporté par sa compagne. Celle-ci est décédée des suites de ses blessures causées par l'intervention des forces du Raid. L'attaque est suivie d'un mouvement de grève des surveillants. Le , Francis Dorffer prend en otage deux surveillants, relâchés ensuite sans blessure. La rotation de l'emploi atteint 30% par an[36].
Enseignement
École publique de niveaux maternelle et primaire.
Démographie
La population
La population de Condé-sur-Sarthe[37] est composée de 47,4% d’hommes et de 52,6% de femmes. (moyenne nationale: 48,6% d’hommes, 51,4% de femmes). La majorité des ménages est composée de deux personnes, représentant 32,7% des ménages condéens.
La population est majoritairement propriétaire (67,7%) contre 31% de locataires. Les logements sont principalement des maisons individuelles (94,7%), la moyenne nationale étant de 56,8%.
La pyramide des âges[37] est la suivante + (nationale):
0 – 19 ans: 27,7% (24,6%)
20 – 39 ans: 25,2% (28,1%)
40 – 59 ans: 29,3% (26%)
60 – 74 ans: 10,1% (13,6%)
75 ans et plus: 7,7% (7,7%)
Évolution démographique de 1790 à aujourd’hui
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 2 490 habitants[Note 9], en augmentation de 8,69% par rapport à 2013 (Orne: −3,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1836
1841
1846
1851
1856
392
428
564
538
670
776
840
885
914
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
942
982
951
926
957
957
925
931
912
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
834
907
842
811
785
801
940
956
1 020
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2018
1 134
1 166
1 745
1 945
2 231
2 157
2 142
2 291
2 478
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
2 490
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emplois
Le taux de chômage à Condé-sur-Sarthe[41] est de 7,7%, il est inférieur à celui de la moyenne nationale qui est de 12,9%. Les actifs représentent 49,8% de la population, les jeunes scolarisés 27,8%, et les personnes retraitées représentent 7,3% des Condéens. Les actifs sont divisés en différents secteurs d’activités: 34,6% d’employés, 26,1% de professions intermédiaires et 22,9% d’ouvriers. Les agriculteurs ne représentent que 1,2% des actifs.
Les principaux secteurs d’activités implantés sur la commune sont les suivants: commerce 43,1%, services aux entreprises 18,3%, services aux particuliers 12,8% pour un nombre total de 109 établissements.
Revenus
Les revenus moyens par ménage à Condé-sur-Sarthe[41] sont de 17 447 €/an. La moyenne nationale est de 15 027 €/an.
Gastronomie
Naissance du camembertLe Rustique dans la commune de Condé-sur-Sarthe. Il s’agit d’un fromage de catégorie «pâte molle à croûte fleurie».
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin
Architecture
L’église Saint-Martin est d’architecture romane et a la particularité d’avoir été rénovée en partie pendant la période gothique. De ce fait, on peut observer des arcs en plein cintre d’un côté de la nef, et des arcs en ogive de l’autre côté. Elle abrite des vitraux classé à titre d'objet aux Monuments historiques[42].
Les cloches
Inscriptions gravées sur les cloches de l’église Saint-Martin de Condé-sur-Sarthe[43]:
Petite cloche: «Cloche des catéchismes nommée Marie Joséphine par les petits garçons et les petites filles de la première communion 1872 bénie par Mgr Rousselet évêque de Séez assisté par M. Pierre Isidore Hardy curé».
Cloche intermédiaire: face 1«Donnée par Mr Adolphe Fould au nom de ses enfants Achille et Etienne Nommée Marthe Etiennette par Mr Etienne Gaston et Melle Marthe Colette Antoinette Berthe Fould». Face 2«Bénite par Mgr Rousselet Évêque de Séez assisté par Pierre Isidore Hardy curé 1872».
Grosse cloche: «J’ai été nommée Anne Charlotte par Mr Charles Achille Fould et Mme Anne Clémentine Rattier épouse de M Charles … je pèse … Kil … Crapelet propriétaires du domaine de Verveines et bienfaiteurs de cette paroisse bénite en 1866 par Mgr Rousselet évêque de Séez comte romain et officier de la légion d’honneur M l’A Lecomte étant curé MM Rattier Maire Garnier adjoint Guillard Ruel Bourdon Adde et Goujon marguilliers».
Les anciennes carrières de granite
Localisation des anciennes carrières de granite dans Condé-sur-Sarthe:
la Cette.
le Pont-Percé.
la Galochère.
la carrière du Hertré.
la Grenouillère.
la Jardinière.
la Mare à Rouland.
le Temps Perdu.
la Grande Carrière de Beauséjour.
l'Ancienne Carrière à M. Pierre.
La laiterie et Le Rustique
Le célèbre camembertLe Rustique doit son existence à la laiterie de Condé-sur-Sarthe. Après la Première Guerre mondiale, Jules Mallet débute l’activité de la laiterie "EMA" (Etablissements laitiers Mallet Condé, près d'Alençon) qui avait pour slogan: «EMA, le beurre qui vous plaira». Cinquante ans après, cette laiterie deviendra la fromagerie Hutin à la suite de la reprise de l’activité par la famille Hutin. Plus tard, elle sera appelée fromagerie Lutin.
Le , à la suite de l’explosion d’un néon électrique dans un atelier, un incendie dévastateur va provoquer la fermeture de la fromagerie. L’entreprise sera réimplantée dans une commune voisine, la commune de Pacé. La fromagerie Lutin deviendra Société IDEVAL, puis fromagerie Riches Monts (groupe Sodiaal). Aujourd’hui, le camembert Le Rustique y est toujours fabriqué à l’instar des fromages vendus sous la marque Riches Monts.
Le moulin
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La mairie
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Le château de la Cusselière
Le château de la Cusselière date du XIXesiècle. Il est d'inspiration italienne. Il fut imaginé en 1882 par Modeste Chambay, peintre-photographe. Celui-ci est enterré dans le village.
Les salles d’activités
La salle Fould, plus communément appelée salle des fêtes, cette salle est aujourd’hui réservée aux évènements du conseil municipal (élections, réunions diverses…).
La salle polyvalente permettant d’organiser et de rassembler de multiples manifestations.
La salle du Quartz, dernière salle d’activités en date, elle rassemble à elle seule: une salle de sport, l’école de musique, une salle d’activités diverses (possibilité de réservation également) et un local utilisable par les jeunes de la commune ou par diverses associations sportives et culturelles.
Les monuments aux morts et les calvaires
Tous ces monuments ont été sculptés dans le granite extrait des carrières de la commune.
La Galochère, le «monument des fusillés». Le 22 juin 1944, quatre jeunes hommes ont été exécutés par les Allemands dans cette carrière isolée. Ces quatre résistants faisaient partie du maquis de Trun. Quelques jours plus tard, le 30 juin, ce sont quinze résistants des maquis de Courcerault et de Mortagne-au-Perche qui seront fusillés au même endroit. Aujourd’hui, une stèle commémorative en granite de Condé-sur-Sarthe se trouve au milieu de cette ancienne carrière, rappelant les noms de chacun des fusillés. Chaque poteau d’exécution est rappelé par cinq balustres[44] sculptées dans le granite. La fosse où se trouvaient les corps est entourée de bordures et est régulièrement fleurie.
Le monument du bourg.
Activité et manifestations
Sport et loisirs
L'Espérance de Condé-sur-Sarthe fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une autre en division de district[45].
Les sections sportives de l'Association Sport et Loisirs sont: badminton, CLSH, football, judo, randonnée pédestre, tennis, tennis de table, tir à l’arc, yoga, volley-ball, course à pied, anglais[46]. L’école de musique propose: accordéon, chorale adulte, flûtes, guitares, piano et claviers, solfège.
Personnalités liées à la commune
Étienne Le Court (mort en 1533), curé martyr de l’Inquisition, brûlé à Rouen pour avoir embrassé le protestantisme.
Le bienheureux abbé Martin Loublier
La paroisse de Condé-sur-Sarthe s’honore d’avoir un ancien curé saint martyr.
Le bienheureux Martin François Alexis Loublier est né et baptisé dans l’ancienne paroisse d’O (Mortrée, Orne) le 17 octobre 1733. Curé de Condé-sur-Sarthe de 1766 à 1792. Premier maire à avoir été élu à Condé-sur-Sarthe entre le 7 février 1790 et le 16 janvier 1791. Il refusa le serment constitutionnel et remit les clefs de sa charge le 25 juin 1792. Arrêté le 31 août 1792, emprisonné au séminaire de Saint-Firmin à Paris, il y fut jugé arbitrairement avant d’être jeté par une fenêtre le 3 septembre 1792 lors du massacre général des prêtres enfermés à Saint-Firmin[Note 10]. Il fut béatifié par le pape Pie XI le 17 octobre 1926.
Son nom reste maintenant attaché à Condé-sur-Sarthe: il a été donné à la rue principale du lotissement situé près de la salle du Quartz.
La famille Fould
Certains descendants d’Achille Fould ont marqué l’histoire de la commune de Condé-sur-Sarthe.
Armand Achille Fould, né le 19 septembre 1890 à Condé-sur-Sarthe. Arrière-petit-fils d’Achille Fould et fils de Charles Armand Achille Fould, il est maire de Condé-sur-Sarthe entre 1920 et 1927.
Jacques Fould, né le 20 mars 1892 à Saint-Julien-Beychevelle (Gironde). Arrière-petit-fils d’Achille Fould et fils de Charles Armand Achille Fould, il prend la succession de son frère à la mairie de Condé-sur-Sarthe entre 1927 et 1953.
Notes et références
Notes
Population municipale 2019.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Ministre de l’Agriculture du 14 janvier au 20 février 1932 dans le gouvernement Pierre Laval (3)
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 111 - (ISBN2600028838).
Allan Kaval, «Attentat de la prison de Condé-sur-Sarthe: la sécurité des unités de vie familiale en question», Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Pierre Pellegrini, Mémoire sur Condé-sur-Sarthe, 2003, (ISBN2952029806).
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