Cieurac est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dénudé et clairsemé de champs de lavande, de genévriers et de chênes truffiers.
Cieurac
Le château de Cieurac.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Cahors
Intercommunalité
Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire Mandat
Guy Peyrus 2020-2026
Code postal
46230
Code commune
46070
Démographie
Population municipale
587 hab. (2019 )
Densité
31 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 22′ 07″ nord, 1° 30′ 32″ est
Altitude
Min. 189 m Max. 292 m
Superficie
18,7 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Cahors (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Cahors-3
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Cieurac
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Cieurac
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tréboulou, le ruisseau de Cieurac. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un espace protégé (le «Camp Ramon») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cieurac est une commune rurale qui compte 587 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Cieuracois ou Cieuracoises.
Le nom occitan de la commune est Siurac (prononcer Cioura).
Géographie
Commune du Quercy située dans l'aire urbaine de Cahors, sur l'autoroute A20 au sud de Cahors.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Le Montat», sur la commune du Montat, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 832 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, dans le département de Tarn-et-Garonne, mise en service en 1885 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[11] à 14°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination «géoparc des causses du Quercy», faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].
Un autre espace protégé est présent sur la commune:
le «Camp Ramon», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 13,4ha[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21]:
les «coteaux de Hauteserre et du pech Arras» (129ha), couvrant 3 communes du département[22];
les «pelouses sèches des Bouyguettes, cultures du Pesquié et ruisseau du Tréboulou» (146ha), couvrant 2 communes du département[24].
le «vallon du ruisseau de Cieurac» (68ha), couvrant 3 communes du département[25].
la «zone des Volcans, des Ségalas et de l'aérodrome de Cahors-Lalbenque» (142ha), couvrant 3 communes du département[26];
Voies de communication et transports
La desserte de la commune est assurée par la ligne d'autocar 881 du réseau régional liO, permettant de rejoindre la gare de Cahors depuis Varaire[27].
Urbanisme
Typologie
Cieurac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[28],[I 1],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (49,5%), zones agricoles hétérogènes (34,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6%), cultures permanentes (4,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9%), prairies (1,4%), zones urbanisées (0,1%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cieurac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tréboulou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[34],[31].
Cieurac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cieurac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[36]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 270 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 270 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[31].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic, une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].
Toponymie
Le toponyme Cieurac est basé sur l'anthroponyme latin ou roman Severus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[40].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].
En 2019, la commune comptait 587 habitants[Note 7], en augmentation de 21,53% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
515
622
636
545
565
590
606
660
680
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
689
707
638
618
611
873
584
560
537
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
467
437
415
342
305
248
249
230
261
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
233
212
229
279
264
287
374
402
415
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
504
587
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Au début du XXesiècle, Cieurac comptait 437 habitants[46].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 229 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 596 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 560 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 338 personnes, parmi lesquelles on compte 81,1% d'actifs (73,1% ayant un emploi et 8% de chômeurs) et 18,9% d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 55 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 251, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,7%[I 10].
Sur ces 251 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 5% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4% les transports en commun, 1,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
40 établissements[Note 10] sont implantés à Cieurac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
40
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
2
5%
(14%)
Construction
10
25%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
11
27,5%
(29,9%)
Information et communication
1
2,5%
(1,8%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
8
20%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
2
5%
(12%)
Autres activités de services
6
15%
(8,7%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,5 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 40 entreprises implantées à Cieurac), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans le Quercy Blanc», une petite région agricole couvrant une partie du sud-ouestdu département du Lot[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (32 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 204ha[49],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Cieurac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[50]. La peinture monumentale sont référencer dans la base Palissy[51].
Le Château de Cieurac;
Le Château de Pauliac;
Le Château de Haute-Serre;
Le Moulin à vent de Cieurac;
Fontgrande;
Fouytéri.
Personnalités liées à la commune
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Raoul Marquessac (1828-1900), officier de marine et homme politique français, y est décédé.
Arria Ly (1881-1934), militante féministe française, y est née.
Le pèlerinage de Compostelle
Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, «Les noms des communes du Parc», Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol.1, , p.115 (lire en ligne).
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