Chapelle-Vallon est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
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Chapelle-Vallon | |
L'église de Chapelle-Vallon en 2008. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Nogent-sur-Seine |
Intercommunalité | Communauté de communes Seine et Aube |
Maire Mandat |
Michèle Ecuvillon 2020-2026 |
Code postal | 10700 |
Code commune | 10082 |
Démographie | |
Gentilé | Chapelats, Chapelates |
Population municipale |
245 hab. (2019 ![]() |
Densité | 13 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 26′ 11″ nord, 4° 02′ 27″ est |
Superficie | 19,24 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Troyes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Creney-près-Troyes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Rilly-Sainte-Syre | Les Grandes-Chapelles | Voué |
Chauchigny | ![]() |
Montsuzain |
Villacerf | Mergey | Aubeterre |
Au cadastre de 1810, le village était encore Les Petites-Chapelles et avait au territoire : les Bouverots, Mont-Bonnet, le Moulin-à-Vent, Nuisement, Sainte-Croix, Sainte-Geneviève, les Tuileries.
Chapelle-Vallon est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,3 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (2,1 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Le plus ancien seigneur de Chapelle-Vallon connu est le comte de Champagne, en 1155 par la donation faite par Henri au prieuré de Saint-Sépulcre de Sambrières. Les templiers et leur maison du village eurent des droits seigneuriaux et finirent par prendre la succession de ceux du prieur, la maison fut ensuite incluse dans les possessions de celle de Cernay. La commanderie locale avait parfois le nom de Coulour, elle fut ravagée par les guerres de Religion au XVe siècle[8]
En 1789 le village dépendait de la généralité et l'intendance de Chalons, de l'élection et du bailliage de Troyes.
À l'écart de la commune où se trouve la chapelle Sainte-Geneviève sur le bord de la voie de Rhèges, voie romaine allant de Rhèges à Troyes. Ce sont les restes du village de Froides-Parois, Frgidi Parietes cité au XIIe siècle dans un rôle des fiefs de Méry. Elle avait sa propre paroisse du doyenné d'Arcis avant de passer à celui de Troyes en 1427. Elle relevait de la seule collation de l'évêque.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1793 | 1815 | Benoit Clément | ||
1815 | 1832 | Nicolas Hanriot | ||
1832 | 1846 | Sainton-Florain | ||
1846 | 1846 | Quentin Bourgeois | ||
1846 | 1848 | Robert-Cottel | ||
1848 | Sainton-Molins | |||
mars 2001 | 2014 | Michèle Nebot-Picard[10] | ||
mars 2014 | En cours | Michèle Ecuvillon Réélu pour le mandat 2020-2026 [11] |
DVG | Employée |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].
En 2019, la commune comptait 245 habitants[Note 3], en diminution de 1,61 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
581 | 555 | 526 | 449 | 459 | 484 | 503 | 499 | 479 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
471 | 460 | 449 | 421 | 392 | 379 | 369 | 379 | 343 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
314 | 280 | 242 | 201 | 209 | 206 | 186 | 187 | 173 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
165 | 176 | 165 | 162 | 186 | 196 | 191 | 237 | 244 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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245 | - | - | - | - | - | - | - | - |
L'église sous le vocable de Saint-Pierre-ès-Liens appartenait au grand doyenné Troyes, elle appartenait au prieur de saint-Sépulcre auquel elle avait été donnée en 1114. La tour est du XIIe siècle avec la nef, pour le reste elle est du XVIe siècle.
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