Champlitte ([ʃɑ̃plit][1], en franc-comtoisChampitre) est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la région culturelle et historique de Franche-Comté.
Champlitte est composée de plusieurs communes associées: Le Prélot (depuis 1805), Leffond, Montarlot-lès-Champlitte, Margilley, Neuvelle-lès-Champlitte et Champlitte-la-Ville (depuis 1972) et Frettes (depuis 1974). La commune de Champlitte est la plus vaste du département et de Franche-Comté, la deuxième plus vaste de Bourgogne-Franche-Comté et la 96e commune la plus vaste de France.
Ses habitants, appelés les Chanitois, étaient au nombre de 1 761 en 2019 ce qui en fait la commune la plus peuplée du canton de Dampierre-sur-Salon. Elle fait partie des 41 communes de la Communauté de communes des 4 Rivières.
Elle bénéficie des labels Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté et Commune touristique. Depuis août 2016, Champlitte est la commune référente pour le développement de la Via Francigena en France et en Suisse (depuis 2021). En 2021, elle est classée Station Verte et reçoit une étoile au guide Michelin.
Géographie
La cité surplombe la rivière Salon à l'orée de trois régions historiques: la Franche-Comté, la Bourgogne et la Champagne. Elle est établie sur un promontoire à 240 mètres d'altitude.
Champlitte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gray, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (39%), forêts (36,7%), prairies (17,6%), zones agricoles hétérogènes (3,2%), zones urbanisées (1,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3%), cultures permanentes (0,3%), mines, décharges et chantiers (0,2%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
L'origine du nom de Champlitte proviendrait de campus litensis (camp des Lites au IIIesiècle) ou de campus limites (territoire frontalier). On en retrouve les premières mentions écrites dans la chronique de l'abbaye Saint-Pierre de Bèze[9].
Histoire
La région de Champlitte est occupée très tôt, puisqu'on a retrouvé des preuves de présence depuis 400 000 ans avant notre ère. Mais les traces d'occupation sont nombreuses dans le secteur surtout à partir du paléolithique moyen. Durant la période gallo-romaine, Champlitte est à proximité de deux voies, l'une de Langres à Besançon, et l'autre de Danmartin à Langres.
Plusieurs villas, retrouvées au cours des siècles, un trésor monétaire du IIIesiècle confirment que l'endroit était habité[10]. Le premier seigneur de Champlitte dont le nom soit conservé, est Gérard de Fouvent.
Un château fort est attesté au Moyen Âge, incendié à plusieurs reprises. Les seigneurs de Fouvent, agissant en maîtres dans leur seigneurie, construisent un château-fort au sommet de la colline, à proximité immédiate d'un foyer de peuplement plus ancien (gallo-romain): le village de Champlitte-la-Ville situé à 1 km, installé en fond de vallée et sans valeur défensive, entre en concurrence avec le centre nouveau né du château, le castrum qui lui est installé sur une butte[11]. Des sondages archéologiques menées par l'INRAP en 2010 attestent cette présence et sa position[12],[13].
Les quartiers d'habitation se fixent à l'intérieur de la forteresse, dans la basse-cour, le bourg se développe dans la vallée, entre le château et le pont; les halles et les murs sont mentionnés depuis 1252[11]: le fossé est le premier obstacle à franchir pour celui qui vient de l'extérieur, il peut mesurer entre 15 et 20 mètres et derrière le fossé se trouve le rempart à l'origine certainement en bois[11]. La proximité du château assure la protection des activités marchandes et artisanales. La ville va ensuite se peupler de monastères: prieuré bénédictin de Saint-Christophe à Champlitte-la-Ville, le couvent des Augustins (XIVesiècle), le chapitre collégial (1439) puis en 1475 quand la ville fut ruinée par les Écorcheurs de Pierre de Craon[14], Charles Quint fait clore le bourg par une muraille bordée d’un fossé et fortifiée de plusieurs tours. Les travaux sont vraisemblablement dirigés par Ambrosio de Precipiano qui réalisa les fortifications de Gray et de Dole. Quelques vestiges de cette période sont actuellement encore visibles (tour des Annonciades, tour Charles-Quint, fossé, couvent des Augustins) et la topographie des ruelles permet de lire la structure ancienne de la ville.
La seigneurie de Champlitte appartient ensuite à une branche cadette de la maison de Vergy, et la ville prospère sous la protection des sires de Vergy.
Champlitte a fait successivement partie des diocèses de Langres, de Dijon puis de Besançon.
Elle fut chef-lieu du district de 1790 à 1795[15].
Constitution de la commune
Champlitte a absorbé en 1805 Le Prelot, formant la commune de Champlitte-et-le-Prélot. Bien plus tard, une nouvelle fusion est opérée, le , et la commune de Champlitte est créée par la réunion des anciennes communes de Champlitte-et-le-Prélot, Champlitte-la-Ville, Leffond, Margilley, Montarlot-lès-Champlitte, Neuvelle-lès-Champlitte.
Le , la commune a été agrandie par le rattachement de Frettes, ancienne commune appartenant auparavant à la Haute-Marne[15].
En superficie, c'est la commune la plus étendue du département de la Haute-Saône[réf.nécessaire].
Chronologie
1479: Durant la guerre de succession de Bourgogne, les troupes de Louis XI détruisent Champlitte.
1538: Charles Quint fait entourer la bourgade reconstruite d'un fossé et de murailles fortifiées de plusieurs tours dont certaines sont encore existantes: tour Charles-Quint, tour des Annonciades.
1560: François de Vergy succède à Claude de Vergy (son oncle), et devient gouverneurs suppléants du Comté de Bourgogne pour le roi d'Espagne. Le siège militaire se trouve au château de Gray.
1562-1566: construction probable du château de Champlitte, par Nicolas Moris.
5 septembre 1574: Philippe II d'Espagne fait de la terre de Champlitte un comté en faveur de François de Vergy, gouverneur du comté de Bourgogne et de Charolais, à raison de ses grands services[16].
1595: siège de Champlitte par Henri IV.
1620: fondation du couvent des annonciades célestes.
9-14 septembre 1636: premier siège de la cité pendant la guerre de Dix ans, par le duc de Saxe: la ville tient bon et repousse les assiégeants[17]
août 1638 :second siège du conflit: les habitants trouvent refuge dans le château face aux attaques des troupes françaises. Les troupes du duc d'Angoulême, général de Louis XIII, incendient la forteresse et la ville.
1674: remaniements du château.
1751: château de nouveau incendié.
1781: reconstruction du château par l'architecte Claude Joseph Alexandre Bertrand, à la demande d'Hippolyte Jean-René de Toulongeon[18].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle est depuis 1793, et jusqu'à la réforme territoriale de 2014, le chef-lieu du canton de Champlitte[15].
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes des quatre rivières, intercommunalité créée en 1996.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Haute-Saône.
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Directeur des Tréfileries de Conflandey Vice-président de la CC des Quatre-Rivières (2014 → )
Jumelages
Champlitte et le département de la Haute-Saône sont jumelés avec la municipalité de Martínez de la Torre (Veracruz, Mexique) depuis 1986[23].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2019, la commune comptait 1 633 habitants[Note 3], en diminution de 7,16% par rapport à 2013 (Haute-Saône: −1,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 628
2 654
2 849
3 326
3 612
3 083
3 084
3 064
3 101
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 865
2 865
2 845
2 740
2 580
2 531
2 529
2 418
2 353
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 242
2 107
2 078
1 675
1 610
1 535
1 549
1 592
1 626
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
1 423
1 383
2 113
1 991
1 906
1 828
1 864
1 868
1 771
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 639
1 633
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
22 janvier: Saint-Vincent, fête du saint patron des vignerons.
Association Développement Durable du Canton de Champlitte (ADDCC)[27];
Passion d'antan;
Amicale laïque;
Bibliothèque de Champlitte (un des points lecture du réseau de bibliothèques de la Médiathèque Départementale de Prêt de la Haute-Saône - MDP70);
Union Sportive Chanitoise;
Association intercommunale pour l'enfance;
Le Confrérie Saint-Vincent;
Les Compars de Chanitte;
Leffond Animation;
Montarlot Renouveau.
Guitare sur Salon
Activités sportives
Tennis de table
Badminton
Judo
Foot
Tennis
Hand
Tourisme
Musées
Circuits VTT
Randonnées pédestres
Caves viticoles et vignes
Économie
La SILAC, société de thermolaquage[28] est le plus gros employeur local (environ 200 employés en 2012). Quelques entreprises de taille beaucoup plus modestes complètent ce domaine d'activité (entreprises de mécanique générale Chanitec[29] ou acomep[30]).
L'agriculture est l'autre axe économique de Champlitte, avec notamment deux domaines viticoles: Le Domaine de la Pâturie[31], anciennement nommé Grand Vignoble Chanitois[32] et Pascal Henriot, vigneron (en viticulture biologique) indépendant[33]. Champlitte est une commune vaste de 13 000 hectares: c'est l'une des communes les plus boisées de Franche-Comté avec 5 500 hectares de forêts dont la moitié (2 337 hectares) est en bois communaux. Champlitte possède ainsi la plus grande forêt communale de Haute-Saône. Le terroir est aussi reconnu pour ses cultures de truffes de Bourgogne[34].
Le tourisme saisonnier est enfin le dernier point fort de la commune de par l'offre patrimoniale proposée, avec la présence des Musées départementaux de la Haute-Saône, la présence de sites protégés de pelouses sèches sur terrain calcaire et d'infrastructures touristiques du type camping, gîtes d'étape, hôtels, et restaurants. De nombreux sentiers balisés pédestres sillonnent le territoire[35]. Le territoire est également traversé par l'itinéraire européen de la via Francigena, passant par Champlitte, Besançon et la Suisse[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Bâtiments historiques remarquables
Vieille ville
Maison Briard (dénommée Cour violette en raison de ses bâtisseurs MM. Coursier et Violet)
Ancien hôpital royal (1675)
Ancienne abbaye de Montarlot
Anciennes maisons du Chapitre
Mairie (ancienne dépendance du château de Champlitte)
Église Saint-Jean-Baptiste de Leffond
Orangerie-théâtre du XVIIIesiècle[37] construite par l'architecte Claude Joseph Alexandre Bertrand, belvédère sur la vallée du Salon
Cabordes anciennes et reconstituées sur le site des Lavières[38]
Oratoire Saint-Didier et sa statue du XVIIesiècle[39].
Monuments historiques classés
Château-Musée (ayant servi successivement de mairie, d'école et de collège, actuellement musée départemental d'arts et traditions populaires): château (XVIe-XVIIIesiècles)[40].
Article détaillé: Château de Champlitte.
Église Saint-Christophe de Champlitte (XIXesiècle) - beffroi du XVesiècle - église construite à partir de la chapelle seigneuriale voûtée d'ogives des sires de Vergy (XVesiècle). Des gargouilles ornent le sommet de la tourelle escalier[41]
Église Saint-Christophe de Champlitte-la-Ville (nef romane, clocher-porche et chœur gothiques)[42]
Maison dite espagnole (1573)[45], no13 place des Halles. La date est inscrite sur le linteau. Aucune indication concernant le premier propriétaire. Lors d'une restauration, la forme des fenêtres a été allongée par la suppression des pierres d'appui moulurées qui reposaient sur le bandeau inférieur[18].
Philibert Jambe de fer, musicien et compositeur, y est né vers 1515.
Hugues de Saulieu, bailli de Langres et de Champlitte au XIIIesiècle.
Jean Grusset dit Jean Richardot, chef-président du Conseil privé des gouverneurs des Pays-Bas espagnols, les archiducs Albert d'Autriche et l'infante Isabelle-Claire-Eugénie d'Autriche, né à Champlitte en 1540[47].
Cléradius de Vergy (1580-1630), comte de Champlitte et gouverneur de Franche-Comté
Hippolyte-Jean-René de Toulongeon (1739-1794), lieutenant-général y est né.
Anne Edmé Alexandre de Toulongeon (1741-1823), frère cadet du précédent, maréchal de camp y est né.
François Emmanuel Toulongeon (1748-1812), frère des précédents, député.
Claude-Christophe Gourdan, parlementaire né à Champlitte, le 1er novembre 1744, et mort dans la même ville le 2 août 1804.
Louis Édouard Gourdan de Fromentel (1824-1901), médecin et paléontologue.
Étienne Bach (1892-1986), pasteur protestant, officier et résistant français engagé dans l'action pour la paix et la réconciliation franco-allemande, installé à Margilley (Champlitte) de 1945 à sa mort, décédé à Margilley.
Marcel Hanriot (1894-1961), aviateur.
Charles Piroth (1906-1954), lieutenant-colonel d'artillerie, y est né.
Albert Grand (1914-1998), compagnon de la Libération, commandeur de la Légion d’honneur, né et inhumé à Leffond, aujourd'hui intégré à Champlitte.
Abbé E. Bougaud et Joseph Garnier, Chronique de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon; suivie de la chronique de Saint-Pierre de Bèze: publiées d'après les textes originaux, Dijon, éditions Darantiere, , 568p. (lire en ligne) sur Gallica.
Jean Christophe Demard (ouvrage tiré de sa thèse), Jicaltepec, terre d'argile: chronique d'un village français au Mexique, Paris, éditions du Porte-Glaive, , 302p. (ISBN978-2-906468-04-7).
Jean-Christophe Demard, Histoire de Champlitte et de sa région, Langres, éditions Guéniot, , 478p. (ISBN978-2-87825-342-9).
Viviane Ivol (dir.) et Nathalie Bonvalot (catalogue de l'exposition), La vie de château: de la forteresse à la résidence de plaisance, Champlitte, éditions des musées de Haute-Saône - Château de Champlitte, , 84p. (ISBN978-2-917629-04-8, présentation en ligne).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p.104.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Bougaud, Garnier (1875) p.238.
Demard (2006) p.11-21.
AFFOLTER (E.) et al., Atlas des villes de Franche-Comté, Série médiévale, I, Les bourgs castraux de Haute-Saône, Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 3eédition, 1992
Véronique Brunet-Gaston: Le château médiéval de Champlitte in La vie de château, de la forteresse à la résidence de plaisance
Françoise Laurencin et S.A.R.L. Sélection du Reader's digest, Guide des beaux villages de France, Sélection du Readers' Digest, (ISBN2-7098-0278-3 et 978-2-7098-0278-9, OCLC21236036, lire en ligne)
«Gilles Teuscher passe la main après deux mandats de maire: Le maire de Champlitte ne se représente pas en mars prochain aux municipales. Au terme de deux mandats de premier édile, incluant également le conseil départemental et la vice-présidence de la CR4C en charge de l'Economie et eds Finances, Gilles Teuscher a daicidé de laisser la place aux autres», L'Est républicain, 19/2/2020 mis à jour le 20/2/2020 (lire en ligne, consulté le ).
«Patrice Colinet entre expérience et jeunesse: Champlitte. Après Jean-Marc Henriot fin janvier, c'est au tour de Patrice Colinet de présenter la liste à la tête de laquelle il part à la conquête de la mairie, en binôme avec Martine Gautheron. Tour d'horizon sur les candidats et le programme», La Presse de Gray, (lire en ligne, consulté le ).
Bruno Grandjean, «Signature du traité d'amitié ce dimanche à Champlitte (70) avec le Mexique à l'occasion des 30 ans de jumelage», L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
MAff - Herve FERRAND, «Randonnées», sur entresaoneetsalon.fr (consulté le ).
«Patrimoine - Le bourg haut-saônois s’engage à valoriser au mieux cet itinéraire, emprunté par les pèlerins ralliant Rome à l’époque médiévale. Convention signée avec l’Association Européenne de la Via Francigena.», L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne)«Cette voie, empruntée par des pèlerins venant de France pour se rendre à Rome, trouve son origine à la fin du premier millénaire où un évêque de Canterbury, Sigéric, était allé dans la ville sainte pour recevoir du pape, le pallium, insigne de sa charge épiscopale».
Pascal Brunet, in La vie de château, de la forteresse à la résidence de plaisance, Musées départementaux Albert et Félicie Demard I.S.B.N 978-2-917629-04-8
Paul Delsalle, «Le Chanitois Jean Richardot, à la tête des Pays-Bas et de la Franche-Comté (1540-1609)», dans Champlitte, place forte du comté de Bourgogne: XIIIe-XVIIe siècles, Vy-lès-Filain, Éditions Franche-Bourgogne, (ISBN979-10-96159-00-0), p.221-230.
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