Champagne-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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Champagne-sur-Seine | |
![]() L'écluse. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Fontainebleau |
Intercommunalité | Communauté de communes Moret Seine et Loing |
Maire Mandat |
Michel Gonord (DVG) 2020-2026 |
Code postal | 77430 |
Code commune | 77079 |
Démographie | |
Gentilé | Champenois |
Population municipale |
6 353 hab. (2019 ![]() |
Densité | 873 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 23′ 44″ nord, 2° 47′ 45″ est |
Altitude | Min. 42 m Max. 111 m |
Superficie | 7,28 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Champagne-sur-Seine (ville-centre) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | champagne-sur-seine.fr |
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La commune est située dans un coude de la rive droite de la Seine à l'extrémité sud du plateau de la Brie à environ 10 km par la route[1],[Note 1]. à l'est de Fontainebleau[Carte 1].
Vulaines-sur-Seine Samoreau |
Héricy Machault |
|
Thomery | ![]() |
Vernou-la-Celle-sur-Seine |
Moret-Loing-et-Orvanne | Saint-Mammès |
Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :
Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Voulzie.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,17 km[8].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est présente sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[15],[16],[17].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Champagne-sur-Seine comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3],[18], la « forêt domaniale de Champagne » (487,55 ha), couvrant 5 communes du département[19] ; et les « Les Basses Godernes » (9,8 ha)[20] et trois ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] :
L'espace naturel sensible des « Basses Godernes » d'une surface de 11 hectares bordant la Seine sur plus d'1 kilomètre a été aménagé par le département en 2007 autour d'un étang .
Champagne-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Champagne-sur-Seine, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[27] et 27 934 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].
La commune compte 76 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[32] (source : le fichier Fantoir).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3%), zones urbanisées (25,6%), eaux continentales[Note 8] (5,5%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %)[33].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[34],[35],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[36].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[37]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 3 078 dont 48,9 % de maisons et 50,9 % d’appartements.
Parmi ces logements, 86,6 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 11,6 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 48,7 % contre 50,2 % de locataires[38], dont 35 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et 1,1 % logés gratuitement.
La commune est desservie par :
Pendant longtemps, la commune de Champagne-sur-Seine est un village rural sans histoire, occupé, pour l'essentiel, par des maraichers et des vignerons, à l'instar de la commune voisine de Thomery. Cependant, un changement fondamental intervient au début du XXe siècle. En 1902, la compagnie Schneider décide d’implanter, non loin de Paris, des ateliers de construction électrique[42] pour alimenter les équipements du Métropolitain. Le site de Champagne est choisi, entre une boucle de la Seine et la ligne du PLM. La jonction entre le Loing (prolongement du canal du Centre) et la Seine, non loin de là à Saint-Mammès, permet par ailleurs une liaison directe avec Le Creusot, siège d'origine de l'entreprise. Le contexte social et politique a joué en faveur de cette implantation car des grèves très dures se sont déroulées à la fin des années en 1899-1900 au Creusot et ont donné lieu à des licenciements et à une restructuration des usines. Il est décidé d’éloigner les électriciens, principaux initiateurs de ces grèves, mais main-d’œuvre qualifiée indispensable pour le futur développement économique de l'activité de construction électrique de la firme.
256 familles sont ainsi déplacées soit 649 Creusotins recensés en 1906. La population de la commune passe ainsi de 600 habitants en 1903 à 2 000 habitants en 1911, puis 3 200 habitants en 1926. Les employés, au sein de l’usine, passent de 560 en 1903 à 1 500 en 1926. À ces Creusotins s'ajoutent des ouvriers venus de Russie, après la Première Guerre mondiale et la prise de pouvoir bolchevik. Ils font d'ailleurs construire une chapelle orthodoxe entre 1937 et 1939. Une telle installation rend indispensable la création d’une véritable cité ouvrière entre le village ancien et l’usine, avec les équipements nécessaires. 58 hectares de terrains sont achetés à cette occasion. Une société immobilière anonyme est créée en octobre 1902 pour gérer les logements ouvriers. Celle-ci utilise les services de l’architecte Edmond Delaire (1856-1921) pour réaliser une série de logements collectifs. Seize immeubles de 3 étages sont construits entre 1902 et 1903, abritant 269 logements. Chaque immeuble comprend des appartements de 2 à 4 pièces, avec salle d’eau privative et sanitaire, le tout relié à un réseau d’égouts et de traitement des eaux. À ces logements collectifs s’ajoutent des pavillons destinés à loger les contremaîtres de l’usine, situés à proximité de la Seine. Ces logements se révélant insuffisants, d’autres – individuels, en bandes – sont construits, dans le quartier des Alouettes, rue du Pas-Rond (actuelle rue de la Libération), puis 96 dans le quartier de l’Aubépine, au sud de l’usine, entre 1920 et 1921. Dans les années 1930, l’usine dispose ainsi de 518 logements.
Des commerces sont créés simultanément au sein même des immeubles, soit 44 boutiques (contre les 4 présentes avant l’installation de l’usine). Une coopérative d’usine permet par ailleurs aux ouvriers de s’approvisionner à moindres frais. Trois écoles sont construites en 1904 ainsi qu’un cours spécial professionnel en 1905, pour former les futurs ouvriers de l’usine. Très rapidement, un stade est aménagé ainsi que 260 jardins ouvriers, propriétés de l’usine et loués exclusivement aux travailleurs de Schneider.
Après un déclin au cours des années 1930 et une contribution à l'industrie de guerre allemande sous l'occupation, l'usine connait un regain d'activité après la Seconde Guerre mondiale. Mais la production périclite et l'usine ferme au début des années 1990.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1930 | 1944 | Pierre Béraud | Ingenieur | |
1944 | 1945 | Paul Nicolas | ||
1945 | 1947 | Albert Barrière | ||
1947 | mars 1971 | Henri Maugé | ||
mars 1971 | juin 1995 | Gilles Simmer | RPR | |
juin 1995 | mars 2001 | Eugène Chupeau | SE | |
mars 2001 | mars 2014 | François Roger | MDC puis PS |
Enseignant |
mars 2014 | septembre 2014 | Jean-Pierre Vernery[43] | PS | Retraité Élection invalidée par le tribunal administratif[44] |
octobre 2014 | En cours (au 7 juillet 2020) |
Michel Gonord[45] | DVG | Cadre Réélu en 2020 |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [46],[47].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Champagne-sur-Seine est assurée par le SIA de Champagne-sur-Seine Thomery pour le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [48],[49],[50].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2019[48],[52].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Champagne-sur-Seine, Vernou-la-Celle-sur-Seine qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [48],[53],[54].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[55].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2019, la commune comptait 6 353 habitants[Note 10], en augmentation de 1,02 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
440 | 438 | 478 | 543 | 524 | 520 | 528 | 525 | 557 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
494 | 533 | 463 | 494 | 477 | 481 | 496 | 480 | 740 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
605 | 1 772 | 2 028 | 2 723 | 3 284 | 3 154 | 3 109 | 2 871 | 3 559 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 837 | 5 298 | 5 543 | 5 406 | 6 092 | 6 594 | 6 593 | 6 475 | 6 423 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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6 200 | 6 353 | - | - | - | - | - | - | - |
Il existe à Champagne deux écoles élémentaires : Henri-Maugé et Saint-Gilles, l'une établie vers le haut de la cité, l'autre située en centre-ville. La commune abrite également le collège Fernand-Gregh, du nom d'un poète français, membre de l'Académie française (1873-1960). Cet établissement, réputé pour l'excellence de ses résultats[réf. nécessaire], accueille des élèves provenant principalement de Champagne-sur-Seine, Thomery, Saint-Mammès et Vernou-La-Celle-sur-Seine. Elle accueille aussi le Lycée La Fayette, Lycée des métiers de l’Énergie, du Numérique et des Industries de production.
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 2 703 (dont 46 % imposés), représentant 6 302 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 19 840 euros[59], le 1er décile[Note 11] étant de 10 960 euros avec un rapport interdécile de 3[Note 12].
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 088, occupant 2 480 actifs résidants (dont 15,2 % dans la commune de résidence et 84,8 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 60 % contre un taux de chômage de 11,1 %. Les 28,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,4 % de retraités ou préretraités et 13,1 % pour les autres inactifs[60].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 332 dont 29 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 55 dans la construction, 83 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 14 dans l’Information et communication, 4 dans les activités financières et d'assurance, 6 dans les activités immobilières, 60 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 40 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 41 étaient relatifs aux autres activités de services[61].
En 2020, 83 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 68 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[62].
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : De gueules au pont droit de trois arches d'argent, maçonné de sable, posé sur une rivière d'argent mouvant de la pointe, surmonté d'une roue d'argent dentée de seize pièces d'or, sur laquelle broche un éclair du même posé en bande ; au chef cousu d'azur chargé de trois grappes de raisin d'argent, feuillées d'or, celle du milieu de deux pièces, celle de dextre d'une pièce à senestre et celle de senestre d'une pièce à dextre. |
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