Cazals est une commune française située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Pour les articles homonymes, voir Cazals.
Cazals
Place de Cazals à la fin du XIXesiècle, photographie par Eugène Trutat conservée aux archives municipales de Toulouse.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aveyron. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: trois sites Natura 2000 (les «gorges de l'Aveyron, causses proches et vallée de la Vère», Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou» et la «forêt de Grésigne et environs»), un espace protégé (le «cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cazals est une commune rurale qui compte 233 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 624 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Cazaliens ou Cazaliennes.
Géographie
Localisation
Cazals est une commune du Quercy. Le bourg, à l'est de la commune, est situé dans les gorges de l'Aveyron, sur la rive droite de l'Aveyron. La partie ouest du territoire communal se trouve sur le causse de Caylus.
Cazals est limitrophe du département du Tarn, au sud.
Elle se situe à 34,0 km de Montauban, préfecture du département, et à 14,4 km de Septfonds, bureau centralisateur du canton de Quercy-Rouergue dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie de la Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Aveyron, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[3],[Carte 1].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes[4].
Réseaux hydrographique et routier de Cazals.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Montricoux», sur la commune de Montricoux, mise en service en 1999[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 740,3 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 31 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[14] à 14°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3ha[18].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[20]:
les «gorges de l'Aveyron, causses proches et vallée de la Vère», d'une superficie de 11 660ha, un ensemble de plusieurs grands espaces et milieux, caractérisé par une grande vallée dominée par de grandes falaises, des pentes à pelouses sèches et des plateaux secs, quelques petites vallées encaissées et surtout de nombreuses cavités naturelles riches en chiroptères. De nombreuses pelouses sèches abritent de belles stations à orchidées[21];
Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou», d'une superficie de 17 144ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[22];
la «forêt de Grésigne et environs», d'une superficie de 27 701ha, un site où onze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles sept espèces de rapaces (dont le Faucon pèlerin et le Grand-Duc d'Europe)[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24]:
le «cirques de Thouryes et de Bône» (489ha), couvrant 3 communes dont une dans le Tarn et deux dans le Tarn-et-Garonne[25], et
la «rivière Aveyron» (3 500ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[26]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24]:
le «causse du Frau et falaises rive droite de l'Aveyron entre Montricoux et Saint-Antonin-Noble-val» (6 135ha), couvrant 7 communes dont une dans le Tarn et six dans le Tarn-et-Garonne[27];
la «vallée de l' Aveyron» (14 644ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[28].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Cazals.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cazals est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[I 1],[30].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,2% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (38,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,9%), forêts (21,3%), prairies (7,5%)[31].
Hameaux et lieux-dits
Logement
Voies de communications
La commune est traversée par deux voies routières départementales formant intersection au lieu-dit Caminade: d'ouest en est, la D75 bis traversant le bourg puis l'Aveyron; du nord au sud, la D958.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cazals est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2021[35],[32].
Cazals est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[36].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cazals.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 181 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 158 sont en en aléa moyen ou fort, soit 87%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[40].
La commune est en outre située en aval des barrages de Pareloup, de Pont-de-Salars et de Saint-Géraud, des ouvrages de classe A[Note 9] disposant d'une retenue de respectivement 169, 21 et 15 millions de mètres cubes[42],[43],[44]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[45].
Toponymie
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Formé sur casa en langue d’oc, du bas-latin, casa, au sens de «maison».
Histoire
Préhistoire
Antiquité
Moyen Âge
Dès le Moyen Âge, Cazals fut une seigneurie qui a appartenu aux familles suivantes:
Famille Cazals: présente à Saint Antonin Noble Val dès le XIIesiècle. Ils furent vraisemblablement les premiers seigneurs de Cazals[46].
Famille de Penne: cette famille est citée en 1251 dans un acte comme seigneur de Cazals[47].
Famille de Comminges: elle hérita de la seigneurie de Cazals à la suite du mariage de Cécile de Penne avec Arnaud Roger de Comminges, vicomte de Bruniquel en 1397. Cette famille resta pendant huit générations seigneur de Cazals jusqu'en 1736 où Jean Roger de Comminges, vicomte de Bruniquel lègue à son épouse Marie Véronique Despagne la seigneurie[48].
Famille Despagne de Cazals: c'est en 1759 que la seigneurie est transmise au neveu de Marie Véronique Despagne, Jean Joseph Despagne[49].
Temps modernes
Révolution française et Empire
Avant 1790, Cazals appartenait à la sénéchaussée de Montauban. Elle fut rattachée au département de l'Aveyron, à sa création, le 4 mars 1790.
Le 21 novembre 1808, elle fut rattachée au département de Tarn-et-Garonne lors de la constitution par Napoléon Ier, avec les communes du canton de Saint-Antonin-Noble-Val[50].
Époque contemporaine
Cazals a disposé d'une gare, toujours visible[51], sur la ligne de Lexos à Montauban-Ville-Bourbon fermée en 1955 puis déferrée. Cette gare fut toutefois implantée dans le département voisin du Tarn, sur le territoire de la commune de Penne.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
2014
Raymond Cavaillé
DVG
Retraité
mars 2014
2015
Max Herviou
2015
2020
Georges Espinoza
2020
En cours
Alain Emeriau
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].
En 2019, la commune comptait 233 habitants[Note 10], en diminution de 0,43% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
595
619
589
606
624
607
616
611
602
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
612
520
493
481
491
450
438
447
416
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
388
336
291
258
251
234
236
235
165
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
149
153
138
176
181
159
176
184
242
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
230
233
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 110 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 222 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 340 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 126 personnes, parmi lesquelles on compte 68% d'actifs (60,2% ayant un emploi et 7,8% de chômeurs) et 32% d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 23 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,9%[I 10].
Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 20% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8% les transports en commun, 7,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
21 établissements[Note 13] sont implantés à Cazals au [I 13].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,1 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 21 entreprises implantées à Cazals), contre 14,9% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 615ha[58],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Jean-Baptiste de Cazals. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[59]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[59].
Sur le causse au lieu-dit le Frau: Monuments préhistoriques:
Le Dolmen du Frau 2 et une importante nécropole de l'Age du Fer[60].
Dans la vallée de l'Aveyron: Nombreuses grottes;
Château de la fin du XVesiècle, qui a été transformé au fur et à mesure notamment en école.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de Tarn-et-Garonne.
Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople à un agneau pascal couché d'argent, tenant une croix haute d'or à laquelle est appendue une bannière d'argent à la croisette de gueules, au 2e de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 3e d'argent à la fasce ondée d'azur et à une croix pattée et alésée brochante[61].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[41].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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