Castelnau-Barbarens (Castèthnau-Barbarens en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, le ruisseau de Larroussagnet, le ruisseau de Saint-Germier et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Castelnau-Barbarens est une commune rurale qui compte 546 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 474 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Castelnausiens ou Castelnausiennes.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine d'Auch en Gascogne, située en Astarac[1] sur l'Arrats et sur l'ancienne route nationale 626.
Le village est situé au carrefour de la D 40 et de la D 626 d'Auch vers Saramon, à une quinzaine de kilomètres d'Auch en direction du sud-est.
Castelnau-Barbarens se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Voies de communication et transports
Entrée ouest de Castelnau-Barbarens en septembre 2021.Rue de Castelnau-Barbarens.
Castelnau-Barbarens est traversé du nord-ouest au sud-est par la D 626 qui relie Mimizan (Landes) à Ajac (Aude).
Le village est aussi traversé du nord au sud par la D 40 qui relie Mansonville à Mont-d'Astarac.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Arrats, le ruisseau de Larroussagnet, le ruisseau de Saint-Germier, l'Oulé, le ruisseau de la Gavache, le ruisseau de la Haderne, le ruisseau de Lamazon, le ruisseau de Lasserre, le ruisseau de la Tuque, le ruisseau de Lempay, le ruisseau de Mazères, le ruisseau de Monlezun, le ruisseau d'en Sabardan, le ruisseau des Plagnes, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 48 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[6].
Réseaux hydrographique et routier de Castelnau-Barbarens.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1°C et la hauteur de précipitations de 685,4 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 14 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour 1981-2010[15] à 13,5°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17]:
les «coteaux de Castelnau-Barbarens» (264ha)[18], et
les «landes d'en Mounéou» (38ha), couvrant 2 communes du département[19]
et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[17]:
les «coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch» (13 191ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Castelnau-Barbarens.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Castelnau-Barbarens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (78,1%), zones agricoles hétérogènes (6,8%), prairies (5,8%), forêts (4,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Castelnau-Barbarens est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelnau-Barbarens.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 297 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 297 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999, 2003, 2008 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 1998, 2000, 2002, 2003, 2012, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Toponymie
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Histoire
Le mobilier préhistorique découvert et les nombreux vestiges gallo-romains (lieu-dit du Taros) attestent d'une occupation humaine très ancienne sur le site.
Il faut remonter à 1140 pour trouver la première mention du lieu: Castèt nàou dé Barbaréncs: traduisez ceci "nouveau château fort sur site barbare" [réf.nécessaire]. Au XIIesiècle, les coseigneurs Bernard I comte d'Astarac, et Guillaume Arnaud Desbarats, conclurent un accord, pour édifier à parts égales le "Château Neuf" de Barbarens: "Bastirén et edifiquirén per mici Io castet nàou de Barbarens".
Ce site, difficile d'accès, était spécialement choisi pour éviter toute invasion. Ainsi, il se dressait sur la plate-forme supérieure du site, et le piton rocheux, au centre, servait d'assise au donjon. Le village dominé par le château des comtes d'Astarac, était donc agrippé sur les flancs abrupts des terrasses concentriques. Les arcs des rues s'abaissent en gradins vers la vallée.
Avec Durban (Gers), Moncassin et Villefranche d'Astarac, Castelnau Barbarens fut dès le XIIesiècle, l'une des quatre châtellenies de l'Astarac. On ne peut retrouver aujourd'hui que de rares vestiges du château. Elles nous apprennent qu'il y avait trois tours crénelées, reliées par de gros murs. À l'ouest, deux de ces tours gardaient la vallée. La tour qui existe encore, parce que la partie supérieure fut plus tard reconstruite, pouvait abriter des archers. C'était une tour de défense qui protégeait, à l'est, l'unique possibilité d'entrer au château.
Le village se construisit ensuite autour du château: pour attirer la population, les coseigneurs promirent aux familles de les protéger. Mais, la famille Desbarats (dès le XVesiècle), plus tard les comtes d'Astarac, et plus tard encore les comtes d'Uzès, abandonnèrent leur emprise féodale sur Castelnau Barbarens, tandis que les populations paysannes devenaient maîtresses de leurs destinées.
Pierre à pierre, le château s'écroula, jusqu'à n'être plus en 1850 qu'un amas informe engendrant légende. Il émergeait une tour carrée de 22 mètres de haut, qui devait son entretien et sa survie à sa reconversion, puisque les habitants lui avaient donné entretemps l'usage de clocher, perçant à la base de la tour deux portes en arc brisé. C'est à partir de 1865, que l'église actuelle fut édifiée sur l'emplacement du château. La pioche et les mèches vinrent à bout de la forteresse imprenable, de même qu'elles détruisirent sur la place d'Uzès, l'église Saint-Nicolas, devenue trop petite pour les 1 184 habitants. La chapelle votive Notre-Dame-de Pitié fut heureusement conservée[1].
Héraldique
Blasonnement:
De gueules au rocher d'or mouvant de la pointe, sommé de trois tours d'argent ouvertes, ajourées et maçonnées de sable[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2019, la commune comptait 546 habitants[Note 8], en augmentation de 6,02% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
891
653
866
964
1 474
1 353
1 394
1 342
1 384
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1 313
1 309
1 231
1 266
1 178
1 136
1 113
1 115
1 030
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
975
963
743
815
792
788
726
671
590
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2017
525
421
432
414
452
484
489
515
528
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
546
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 231 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 540 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 590 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 323 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7% d'actifs (71,6% ayant un emploi et 8,1% de chômeurs) et 20,3% d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 93 emplois en 2018, contre 112 en 2013 et 94 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 239, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,4%[I 10].
Sur ces 239 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 66 travaillent dans la commune, soit 28% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7% les transports en commun, 6,8% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
55 établissements[Note 11] sont implantés à Castelnau-Barbarens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
55
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
8
14,5%
(12,3%)
Construction
14
25,5%
(14,6%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
16
29,1%
(27,7%)
Information et communication
1
1,8%
(1,8%)
Activités immobilières
1
1,8%
(5,2%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
9
16,4%
(14,4%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
4
7,3%
(12,3%)
Autres activités de services
2
3,6%
(8,3%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 55 entreprises implantées à Castelnau-Barbarens), contre 27,7% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35]:
AEP Auch Electricite Plomberie, travaux d'installation électrique dans tous locaux (173 k€)
SASU Marten Jukema, production d'électricité (114 k€)
Gers Agri TP, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (91 k€)
TACG - Tacg, transports routiers de fret interurbains (12 k€)
L'agriculture est très présente à Castelnau-Barbarens.
Agriculture
La commune est dans les «Coteaux du Gers», une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 60 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 41 en 2000 puis à 39 en 2010[38] et enfin à 36 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 40% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[39],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 851ha en 1988 à 2 578ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 48 à 72ha[38].
Enseignement
Manifestations culturelles et festivités
Danses occitanes lors du Rondèu.
Lo Rondèu, festival de danses et musiques traditionnelles[40].
Exposition à la chapelle Notre-Dame-de-Pitié du au (artisanat et peinture)[41].
Santé
Sports
Un club de ping pong et de badminton sont présents sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Villa gallo-romaine du Taros;
Église Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas de Castelnau-Barbarens[42]. L'église a été construite en 1867 sur l'emplacement du château des comtes d'Astarac. L'ancienne tour de guet de ce château est devenu la tour clocher de l'église en 1867[43](résumé historique de l'église incohérent sur la référence…). Pièce maîtresse des possessions comtales, la forteresse est citée en 1244, avec Durban, Lasseube-Propre, Moncassin et Simorre, dans l’hommage rendu par le comte Centulle II et sa mère Segnis de Lomagne au comte de Toulouse pour l’ensemble du comté[44].
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié de Castelnau-Barbarens devenu un espace pour les expositions artistiques[45].
Château d'En Poucouron. Chartreuse construite à la fin du XVIIIe siècle ou au tout début du XIXe siècle pour la famille de Brux, propriétaires de plantations à Saint-Domingue[48]. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Pépieux. Logis quadrangulaire d'origine médiévale, fortement remanié aux XVIIe et XVIIIe siècles[49]. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Saint-Guiraud, à quelques mètres à l'ouest de la motte qui porte la chapelle. Propriété privée, ne se visite pas.
Site castral de La Tourasse. La carte de Cassini mentionne un château ruiné et le cadastre de 1825 une "Tour de Labesse"[50], dont le soubassement est visible en élévation.
Motte castrale du Tucoulet.
Château de Villeneuve. La carte de Cassini mentionne un château, dont le seul bâtiment conservé aujourd'hui en élévation est la "métairie" visible sur le plan cadastral de 1825[51]. Propriété privée, ne se visite pas.
Façade de l'église Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas
Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas. La tour devenu clocher en 1867
Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas. La nef et le chœur de l'église
Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas. Les vitraux où sont représentés (de gauche à droite): saint Nicolas, la crucifixion de Jésus et sainte Quitterie
Statue de sainte Quitterie devant l'église Sainte-Quitterie-Saint-Nicolas
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Les embans.
Croix derrière l’église.
Partie basse du village.
Vue de la campagne.
Personnalités liées à la commune
Édouard Lartet (1801-1871): géologue, préhistorien et paléontologue né sur le territoire de la commune.
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.I: Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
David Bourdeau et Jacques Lapart, Châteaux et belles demeures du Gers. Astarac, Pardiac, Savès, Editions du Val d’Adour, , p. 103..
Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècle, thèse d’Histoire, sous la direction de Philippe Araguas, Bordeaux, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, , p. 404..
Archives départementales du Gers, 3P_CASTELNAU-BARBARENS_13, section C3, 1825, n°335.
Archives départementales du Gers, 3P_CASTELNAU-BARBARENS_25, section G2, 1825, n°312.
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