Cassagnabère-Tournas est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.
Cassagnabère-Tournas | |
Vue sur Cassagnabère-Tournas. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Saint-Gaudens |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges |
Maire Mandat |
Philippe Vignes 2020-2026 |
Code postal | 31420 |
Code commune | 31109 |
Démographie | |
Gentilé | Cassagnaberois, Cassagnaberoises |
Population municipale |
467 hab. (2019 ![]() |
Densité | 19 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 13′ 40″ nord, 0° 47′ 27″ est |
Altitude | Min. 286 m Max. 422 m |
Superficie | 25,24 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Cazères |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.cassagnabere-tournas.com/ |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Louge, la Nère, le ruisseau Riou Pudé et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cassagnabère-Tournas est une commune rurale qui compte 467 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 522 habitants en 1856. Ses habitants sont appelés les Cassagnaberois ou Cassagnaberoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : une croix, inscrite en 1926.
La commune de Cassagnabère-Tournas se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 67 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 14 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 24 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Gaudens[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Esparron (4,3 km), Peyrouzet (4,4 km), Saint-Lary-Boujean (4,4 km), Aulon (4,7 km), Castéra-Vignoles (5,2 km), Saint-Marcet (5,5 km), Ciadoux (5,6 km), Montgaillard-sur-Save (5,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Cassagnabère-Tournas fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Cassagnabère-Tournas est limitrophe de dix autres communes.
Escanecrabe | Esparron | Saint-André |
Ciadoux, Saint-Lary-Boujean |
![]() |
Boussan, Aurignac |
Saint-Marcet | Aulon | Peyrouzet |
La superficie de la commune est de 2 524 hectares ; son altitude varie de 286 à 422 mètres[7].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Louge, la Nère, le ruisseau Riou Pudé, la Housse, l'Aiguillon, le ruisseau de Barus, le ruisseau de la Couerle, le ruisseau de la Dendue, le ruisseau des Piteaux et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Louge, d'une longueur totale de 100 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-Lécussan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Muret, après avoir traversé 34 communes[10].
La Nère, d'une longueur totale de 33,3 km, prend sa source dans la commune de Cardeilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Louge à Montoussin, après avoir traversé 17 communes[11].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[17] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 36 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24] : la « forêt de Mauboussin » (554 ha), couvrant 5 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] : les « forêts de Boussan et Mauboussin » (1 672 ha), couvrant 6 communes du département[26].
Cassagnabère-Tournas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 2],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,5 %), terres arables (35 %), forêts (21 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones urbanisées (1 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par la route départementale D 635 (ex RN 635) avec le réseau Arc-en-ciel de Haute-Garonne.
Le territoire de la commune de Cassagnabère-Tournas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Nère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[32],[30].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Cassagnabère-Tournas est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Mauboussin. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[33],[34]
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 262 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 262 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Le toponyme Cassagnabère-Tournas est issu du gaulois cassanos, signifiant chêne[37].
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[38],[39].
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Cassagnabère-Tournas faisait partie de l'ex-canton d'Aurignac) et avant le de la communauté de communes des Terres d'Aurignac.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | mars 2008 | Michel Estines | ||
mars 2008 | mars 2014 | Bernard Discors | ||
mars 2014 | avril 2018 (démission) | Gérard Loiseau | SE | Retraité de l'enseignement |
juin 2018 | En cours | Philippe Vignes | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2019, la commune comptait 467 habitants[Note 8], en augmentation de 0,86 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
832 | 1 093 | 991 | 1 216 | 1 413 | 1 508 | 1 411 | 1 450 | 1 487 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 522 | 1 485 | 1 369 | 1 343 | 1 359 | 1 284 | 1 231 | 1 205 | 1 190 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 186 | 1 128 | 1 096 | 909 | 883 | 833 | 752 | 726 | 680 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
581 | 544 | 464 | 424 | 426 | 389 | 393 | 449 | 457 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
467 | - | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[44] | 1975[44] | 1982[44] | 1990[44] | 1999[44] | 2006[45] | 2009[46] | 2013[47] |
Rang de la commune dans le département | 134 | 169 | 199 | 214 | 239 | 259 | 262 | 253 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Cassagnabère-Tournas fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal commune de Saint-Marcet (CE1, CE2, CM1, CM2), et sur la commune (école marternelle et CP)[48].
Foyer rural, bibliothèque, manifestations culturelles[49].
Gymnastique, badminton.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 197 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 425 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 580 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,9 % | 6,5 % | 16,4 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 235 personnes, parmi lesquelles on compte 71,6 % d'actifs (55,2 % ayant un emploi et 16,4 % de chômeurs) et 28,4 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 67 en 2013 et 67 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 135, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,6 %[I 11].
Sur ces 135 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 1,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
36 établissements[Note 11] sont implantés à Cassagnabère-Tournas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 36 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 11,1 % | (5,7 %) |
Construction | 10 | 27,8 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 7 | 19,4 % | (25,9 %) |
Information et communication | 1 | 2,8 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 5,6 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 3 | 8,3 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 5 | 13,9 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 5,6 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 2 | 5,6 % | (7,9 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 36 entreprises implantées à Cassagnabère-Tournas), contre 12 % au niveau départemental[I 15].
La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 53 | 30 | 29 | 25 |
SAU[Note 14] (ha) | 1 428 | 1 569 | 1 632 | 1 329 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 30 en 2000 puis à 29 en 2010[52] et enfin à 25 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 53 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[53],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 428 ha en 1988 à 1 329 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 53 ha[52].
![]() |
Son blasonnement est : coupé : au premier d'or au châtaignier de sinople, au second d'azur plain.
|
---|
Sur les autres projets Wikimedia :