Cartigny est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Cartigny.
Cartigny
La mairie-école.
Administration
Pays
France
Région
Hauts-de-France
Département
Somme
Arrondissement
Péronne
Intercommunalité
CC de la Haute Somme
Maire Mandat
Philippe Genillier 2020-2026
Code postal
80200
Code commune
80177
Démographie
Population municipale
715 hab. (2019 )
Densité
47 hab./km2
Géographie
Coordonnées
49° 54′ 53″ nord, 3° 00′ 38″ est
Altitude
Min. 55 m Max. 107 m
Superficie
15,15 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Péronne (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Péronne
Législatives
5ecirconscription de laSomme
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Cartigny
Géolocalisation sur la carte: France
Cartigny
Géolocalisation sur la carte: Somme
Cartigny
Géolocalisation sur la carte: Hauts-de-France
Cartigny
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Géographie
Localisation
Paysage de la commune.
Cartigny est un village rural picard du Vermandois situé à 6 km au sud-est de Péronne, 21 km au nord-est de Saint-Quentin et 38 km au nord de Noyon.
Géographie physique
Nature du sol et du sous-sol
Relief, paysage, végétation
Hydrographie
La Cologne au moulin Binard, situé entre Cartigny et Buire-Courcelles.
La commune est limitée au nord par la Cologne, un affluent du fleuve côtier la Somme, et ses zones humides.
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Géographie humaine
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (83,4%), forêts (10,4%), zones urbanisées (4%), zones agricoles hétérogènes (1,6%), eaux continentales[Note 1] (0,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2%)[1].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[2].
La commune comprend plusieurs hameaux, dont Beaumetz, Brusle, Le Catelet.
Voies de communication et transports
En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens et ligne no44, Montdidier - Chaulnes, Péronne - Roisel)[3].
La commune est traversée par les routes départementales RD 194, RD 188, aisément accessible par les ex-RN 37 ex-RN 29 (actuelles RD 937 et RD 1029).
Communes limitrophes
Doingt
Buire-Courcelles
Tincourt-Boucly
Mesnil-Bruntel
N
Hancourt
OCartignyE
S
Estrées-Mons
Bouvincourt-en-Vermandois Vraignes-en-Vermandois
Urbanisme
Typologie
Cartigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].
Toponymie
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Histoire
Des clichés d'archéologie aérienne de Roger Agache ont permis des mettre en évidence des substructions d'édifices antiques, notamment un petit fanum daté du IerauIVesiècle[9],[10],[11]
Moyen-Âge
Trudon des Ormes, dans les Possessions de l'Ordre du Temple en Picardie (Éditions Yvert et Tellier, Amiens, 1893) cite le lieu-dit le Catelet, sur les hauteurs du village de Cartigny, comme étant le lieu où fut fondée une maison de l'ordre du Temple[12],[Note 4].
Temps modernes
Carte de Cassini du secteur (vers 1750).
Sur la carte de Cassini ci-contre datant du XVIIIesiècle, Cartigny est situé sur le chemin de Pœuilly à Péronne.
Les deux hameaux, Brusles et Beaumetz, font partie de la paroisse de Cartigny.
Au sud, deux fermes sont mentionnées: Le Câtelet qui existe encore et Bias dont il ne subsiste aucune trace.
Un moulin à vent en bois était situé non loin de la Chapelle Notre-Dame des Vignes.
En 1861, les frères Coquin créent une sucrerie, qui devient Coquin A. Sagnier et Cie en 1896. Elle est ensuite transformée en société en commandite simple sous le nom de Sagnier & Cie en 1898. En 1861, la sucrerie fonctionne avec trois chaudières et une machine à vapeur de 20 CV pour la râperie, 2 machines (10 cv) pour turbine et pompes[13].
L'ancienne gare
Cartigny a possédé une gare sur la ligne de chemin de fer de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, portion comprise entre Péronne et Roisel; la gare la plus proche était celle de Doingt-Flamicourt en direction de Péronne et celle de Tincourt-Boucly à 4 km vers Roisel.
Ouverte en octobre 1873 d'abord à voie unique, doublée en 1908, cette ligne a cessé d'être exploitée dans les années 1970. Le tracé est aujourd'hui une voie verte et la gare est devenue une habitation.
De la voie ferrée à la voie verte...
Un train à l'arrêt en gare de Cartigny vers 1910.
La nouvelle gare vers 1920.
L'ancienne gare de Cartigny de nos jours.
Carte de la section Péronne - Roisel vers 1910.
Horaire des trains en 1910.
L'ancienne voie ferrée devenue voie verte à Cartigny.
Première Guerre mondiale
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Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[14] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [15].
Articles connexes: Occupation du Nord-Est de la France par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale et Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme.
La sucrerie est reconstruite en 1924 par la Société Vermandoise de Sucreries, qui utilise le site pour l'installation d'une nouvelle râperie alimentant la Sucrerie de Sainte-Emilie à Villers-Faucon. L'entreprise créée également une cité ouvrière. En 1939, la râperie emploie 40 ouvriers permanents[13].
Article connexe: Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
La sucrerie cesse son activité en 1950, et son site est utilisé par un silo de stockage de céréales ou travaillent en 1985 3 salariés[13].
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2019, la commune comptait 715 habitants[Note 5], en diminution de 4,28% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
692
688
665
685
837
845
836
849
847
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
869
863
894
914
947
1 003
975
920
1 009
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 027
1 019
952
588
801
735
775
736
736
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
730
750
659
804
770
701
652
625
728
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
752
715
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Située dans l'académie d'Amiens et en zone B pour les vacances scolaires, l'école publique de Cartigny accueille 78 élèves pour l'année scolaire 2015-2016[25].
Afin de permettre aux élèves de déjeuner près de l'école et non comme jusqu'alors à Tincourt-Boucly, le conseil municipal de février 2020 a décidé d'étudier la création d'une cantine[26]
Autres équipements
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La salle communale.
Économie
L'activité locale est principalement agricole.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Sainte-Radegonde: ses vitraux datent de la Première reconstruction, après les destructions de la Première Guerre mondiale, et ont été conçus pat Gérard Ansart[27].
Article détaillé: Église Sainte-Radegonde de Cartigny (Somme).
Ferme de Brusle: 31, 33 rue de Tincourt, datant du XIXesiècle et détruite pendant la Première Guerre mondiale, reconstruite en style Art déco, constituée d'un rez-de-chaussée en brique, d'un étage en faux pan-de-bois. Les débords de toits sont portés par des consoles en bois. Présence de baies cintrées au rez-de-chaussée avec balustrade en béton. La cour est pavée, limitée d'une d'entrée sur mur-bahut[28]
Ferme de Beaumetz: 23 rue de Bouvincourt. Elle aussi succède à une ferme détruite pendant la Première Guerre mondiale et est représentative des édifices de qualité de la Reconstruction, qui semble s'être déroulée entre 1920 (source orale) et 1923 (date portée sur la statue de Saint-Hubert). Elle comporte des façades en faux pan de bois au niveau du 1erétage avec des volumes différenciés et des combles individualisés et de forme variées. Le perron d'entrée est couvert d'une terrasse à côté de laquelle se trouve une avancée hors œuvre à 5 pans au rez-de-chaussée, imitant la structure d'une tour. Retour en pignon coupé couvert d'une demi-croupe; débords du toit sur consoles en bois. Deux écuries symétriques en L dont les murs sont à angle arrondi. Puits carré en brique couvert en pavillon[29].
Vestiges de la sucrerie: avec des bâtiments en brique dotés de décorations en briques bicolores: pilastres, chapiteaux, faux œils-de-bœuf à bossage. Le logement patronal ou conciergerie est construit en brique, en rez-de-chaussée, couvert d'un toit à longs pans, croupe et demi-croupe. Ses baies sont rectangulaires, avec arc en anse de panier[13].
Chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs: chapelle de dévotion en brique et pierre qui a traversé la Première Guerre mondiale sans dommages. Elle date du début du XVIIIesiècle[30].
Chapelle Notre-Dame-des-Vignes: sur une colline, à l'écart du village, datée de 1863. C'est la seule de la Somme à porter ce nom[30].
La via Francigena qui part de Canterbury (Royaume-Uni) pour rallier Rome passe dans le village[31].
Monument aux morts.
La nef de l'église avant les destructions de la Première Guerre mondiale.
Carte spéciale des régions dévastées: 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
«Maison du Temple du Catelet
Le Catelet, commune de Cartigny, Somme arrondissement et canton de Péronne
point final omis.
Ce fut la maison du Temple la plus considérable dans cette partie du Vermandois. Elle fut fondée très certainement au XIIesiècle, grâce aux libéralités des sires de Montécourt (Montécourt. com. de Monchy-l'Agache, Somme, arr. de Péronne, cant de Ham).
Cependant les documents font défaut sur son origine. Un acte émané de Philippe-Auguste, à la requête de ses bourgeois de Péronne (1217), nous apprend que les Templiers avaient pris possession de pâtures situées près du Catelet et les avaient entourées de fossés, bien que les bourgeois de Péronne en eussent la saisine depuis longtemps. C'est pourquoi, le roi manda à ses aimés le maître du Temple et le frère Aimard, qu'ils eussent à détruire les fossés et à remettre les bourgeois de Péronne en bonne saisine comme jadis.
Mais la discorde ne tarda pas à se mettre de la partie, et il fallut encore l'intervention du roi (1218) pour confirmer l'accord survenu entre les Templiers et les bourgeois de Péronne. C'était au sujet de marais, sis entre Cartigny et Doingt (Doingt. Somme, arr. et cant de Péronne). Ils avaient été donnés jadis par Simon de Montécourt, aux Templiers qui les avaient transformés en prés, contre l'assentiment des bourgeois de Péronne. Il fut convenu alors que le Temple continuerait à faire des prés, selon qu'il le jugerait utile, mais que les animaux du pays pourraient paître librement dans ces prés, une fois par an, après la coupe du foin.
Au mois de février de l'année 1224, dans la maison même du Catelet, un chevalier, Raoul de Brocourt, rendit l'hommage aux Templiers, pour 80 «moiées» d'une terre sise aux alentours de sa maison de «Saint-Prul», et s'engagea à payer 5 sous de parisis d'amende, toutes les fois qu'il manquerait de comparaître à la citation des frères du Temple.
Un autre vassal du Temple, Jean de Cartigny, chevalier, fit don à la Commanderie, en octobre 1245 d'une masure à Cartigny, avec tous ses droits. Il tenait cette maison en fief, du Temple.
C'est là tout ce que nous avons trouvé sur cette maison du Temple; nous savons cependant qu'elle existait encore à la fin du XIIIesiècle, et nous avons mentionné plus haut Jean de Maimbressy, comme précepteur du Catelet en 1291. Le procès des Templiers nous apprend que cette maison avait une chapelle, mais il ne nous dit pas le nom de son dernier précepteur.
Un frère sergent du Temple, Étienne de Domont, qui avait encore l'habit de l'ordre et la barbe, bien qu'il se fût écoulé déjà plus de trois années depuis l'arrestation mémorable, déclarait en 1311 avoir été reçu en l'année 1281 ou environ, par Jean de Maimbressy, chevalier, précepteur du Vermandois, dans la chapelle du Temple du Catelet, et en présence du frère sergent, Guérin de Grandvilliers, qui fut plus tard précepteur du Ponthieu.
Un autre sergent du Temple fut reçu vers l'an 1300 dans cette même maison par Guérin de Grandvilliers, en présence d'un frère Pierre, berger. Dans sa déposition, il est question d'une grange, de la maison du Temple.
Le domaine du Catelet échut en 1311 aux Hospitaliers d'Éterpigny (Eterpigny. Somme, arr. et cant de Péronne); mais les guerres qui ne cessèrent de désoler notre malheureux pays depuis le XIVesiècle et qui éprouvèrent tant la Picardie, eurent bon marché des anciennes commanderies du Temple.
La visite prieurale de 1495, nous apprend que la chapelle de la maison avait été ruinée par les guerres du siècle, attendu que «pendant icelles guerres, l'on se mettait au fort et à sûreté en la dite chapelle». Sans doute, l'antique maison du Temple était-elle aussi ruinée que la chapelle.
Cependant l'abbé de Cagny, dit que les débris de cette Commanderie existaient encore au milieu du siècle dernier. Dévastée au XVesiècle, elle le fut de nouveau au XVIe, lors du siège de Péronne en 1536, et saccagée encore une fois, un siècle plus tard par les troupes espagnoles.
D'après E. Mannier, le domaine du Catelet se composait, sous les Hospitaliers, d'environ 500 journaux de terre arable, 20 journaux de bois, et 52 de prés.
Précepteur du Catelet
En 1291. - Jean de Maimbressy, chevalier.»
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, «Etude sur les possessions de l'ordre du Temple en Picardie», Mémoires de la société des Antiquaires de Picardie, 4e série, vol.2, , p.212-215 (lire en ligne).
«Philippe Genillier veut rester maire de Cartigny», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Philippe Genillier (74 ans) a décidé de se lancer dans la campagne des prochaines élections municipales à Cartigny (700 habitants) pour un deuxième mandat. Il faut se souvenir que les élections de 2014 avaient fait couler beaucoup d’encre à Cartigny, la liste de Philippe Genillier ayant balayé celle de Christian Derozier, édile depuis 200».
«Deuxième mandat pour Philippe Genillier à Cartigny», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«La création d’une cantine est à l’étude à Cartigny: Le conseil municipal s’est réuni récemment», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Bertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t.II: Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement, , 320p. (lire en ligne[PDF]), p.171.
Gilles-Henri Bailly, Stéphanie Caulliez, Philippe Laurent, Isabelle Barberor, «Ferme de Brusle: Dossier IA80000821», Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
Gilles-Henri Bailly, Stéphanie Caulliez, Philippe Laurent, Isabelle Barberor, «Ferme de Beaumetz: Dossier IA80000822», Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.261 (ASINB000WR15W8).
Romain Michelot, «La via Francigena a le potentiel de Saint-Jacques: Le chemin de pèlerinage qui part de Canterbury pour rallier Rome passe par la Somme et l'Aisne. Il est maintenant référencé dans un guide.», Le Courrier picard, , p.8 (lire en ligne).
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