Candillargues est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault, en région Occitanie.
Candillargues | |
L'église de Candillargues. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Montpellier |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du pays de l'Or |
Maire Mandat |
Anthony Melin 2020-2026 |
Code postal | 34130 |
Code commune | 34050 |
Démographie | |
Gentilé | Candillarguois |
Population municipale |
1 950 hab. (2019 ![]() |
Densité | 237 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 37′ 15″ nord, 4° 04′ 08″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 7 m |
Superficie | 8,23 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mauguio |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | candillargues.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Bérange, le ruisseau d'Aigues-Vives et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (l'« étang de Mauguio »), deux espaces protégés (l'« étang de l'Or » et la Petite Camargue) et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Candillargues est une commune rurale et littorale qui compte 1 950 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
Ses habitants sont appelés les Candillarguois ou Candillarguoises.
Le village de Candillargues se situe à environ 15 kilomètres à l'est du centre de Montpellier et environ 4 kilomètres de Mauguio, chef-lieu du canton.
Le territoire communal est situé sur la rive nord de l'étang de l'Or et est encadré par la Cadoule à l'ouest et le Bérange à l'est.
Mudaison (3.92 / 4,61 km) |
Lansargues (3.42 / 4,26 km) |
Saint-Just (5.47 / 8,50 km) |
Mauguio (4.76 / 5,40 km) |
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Saint-Laurent-d'Aigouze (10.36 / 19,83 km) |
Carnon (10.91 / 20,96 km) |
La Grande-Motte (6.82 / 25,02 km) |
Aigues-Mortes (11.49 / 27,50 km) |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946[7]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 15,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[11].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[18],[19], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[20].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21] : le « marais de Cros Martin et de Fanguière » (205 ha), couvrant 2 communes du département[22] et le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] : le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » (14 344 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[24].
Candillargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 1],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[27]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones humides côtières (27,7 %), terres arables (26 %), cultures permanentes (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), eaux maritimes (0,9 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Candillargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les département de l'Hérault et du Gard, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[33], retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2014[35],[31].
Candillargues est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 497 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 490 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Côme-de-la-Palus[40].
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Blason | D'or au clocher de l'église du lieu au trait de sable accompagné en chef à dextre d'une pomme de gueules tigée et feuillée d'une pièce de sinople, à senestre d'un canard volant contourné au naturel et en pointe d'un taureau de sable, la tête contournée en défense accornée au naturel. |
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Détails |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 1977 | juin 1995 | Jean Melin | ||
juin 1995 | mars 2001 | Huguette Defontenay | ||
mars 2001 | mars 2014 | Daniel Édo | DVD | |
mars 2014 | juillet 2020 | Alain Monestier | SE | Cadre supérieur |
juillet 2020 | En cours | Anthony Melin[41] | SE | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2019, la commune comptait 1 950 habitants[Note 10], en augmentation de 25,08 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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114 | 143 | 132 | 120 | 160 | 191 | 198 | 171 | 190 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
179 | 134 | 176 | 181 | 163 | 150 | 187 | 201 | 266 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
284 | 267 | 303 | 301 | 293 | 304 | 304 | 321 | 302 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
286 | 311 | 292 | 476 | 687 | 1 143 | 1 241 | 1 269 | 1 559 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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1 797 | 1 950 | - | - | - | - | - | - | - |
Les vignes développées au XIXe siècle ont laissé place à l'arboriculture dans la seconde moitié du XXe siècle avec l'implantation du canal d'irrigation du Bas-Rhône-Languedoc qui passe deux kilomètres plus au nord à Mudaison[45].
En bord d'étang, l'aérodrome comprend une piste de 900 mètres[45] et sert aux vols d'ULM.
En 2018, la commune compte 737 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 936 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 050 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,5 % | 7,2 % | 7,7 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 172 personnes, parmi lesquelles on compte 84,2 % d'actifs (76,5 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeurs) et 15,8 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 287 emplois en 2018, contre 255 en 2013 et 233 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 907, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 72,8 %[I 10].
Sur ces 907 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 148 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
167 établissements[Note 13] sont implantés à Candillargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 167 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 18 | 10,8 % | (6,7 %) |
Construction | 20 | 12 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 31 | 18,6 % | (28 %) |
Information et communication | 6 | 3,6 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 12 | 7,2 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 12 | 7,2 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 40 | 24 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 14 | 8,4 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 14 | 8,4 % | (8,1 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (40 sur les 167 entreprises implantées à Candillargues), contre 17,1 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 33 | 18 | 22 | 15 |
SAU[Note 16] (ha) | 645 | 721 | 788 | 748 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 18 en 2000 puis à 22 en 2010[49] et enfin à 15 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[50],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 645 ha en 1988 à 748 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 50 ha[49].
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