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Cagnes-sur-Mer (en occitan : Canha de Mar) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole Nice Côte d'Azur.

Cagnes-sur-Mer

Vue du Haut-de-Cagnes.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Louis Nègre (LR)
2020-2026
Code postal 06800
Code commune 06027
Démographie
Gentilé Cagnois
Population
municipale
52 178 hab. (2019 )
Densité 2 907 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 52″ nord, 7° 08′ 56″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 187 m
Superficie 17,95 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons de Cagnes-sur-Mer-1 et de Cagnes-sur-Mer-2
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cagnes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Cagnes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Cagnes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Cagnes-sur-Mer
Liens
Site web cagnes-sur-mer.fr
    Église Saint-Pierre du Cros-de-Cagnes depuis la plage.
    Église Saint-Pierre du Cros-de-Cagnes depuis la plage.

    Ses habitants sont appelés les Cagnois.


    Géographie



    Localisation


    Cagnes-sur-Mer est une ville du sud-est de la France située sur les rives de la mer Méditerranée, entre Saint-Laurent-du-Var et Villeneuve-Loubet. Elle s'étend le long d'une anse offrant près de quatre kilomètres de plage et est entourée de collines, dont celle du château qui culmine à 90 mètres d'altitude.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Cagnes-sur-Mer
    Vence La Gaude Saint-Laurent-du-Var
    Saint-Paul-de-Vence
    La Colle-sur-Loup
    Saint-Laurent-du-Var
    Villeneuve-Loubet Mer Méditerranée Saint-Laurent-du-Var

    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 1 795 hectares ; l'altitude varie entre 0 et 187 mètres[1]. La classification sismique est zone 4 (sismicité moyenne)[2] et quelques séismes sont ressentis à Cagnes-sur-Mer[3].


    Hydrographie


    Cagnes-sur-Mer dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 130 000 équivalent-habitants[5].

    Cagnes-sur-Mer est une commune située dans une zone de sismicité moyenne[6].


    Climat


    Article détaillé : Climat des Alpes-Maritimes.

    Climat classé Csa dans la classification de Köppen et Geiger[7].

    Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[8]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Cagnes-sur-Mer, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[9].


    Voies de communication et transports



    Transports routiers


    Transports publics


    Lignes SNCF

    La commune est desservie par deux gares des TER Provence-Alpes-Côte d'Azur:

    Cagnes-sur-Mer est desservie par les bus des Lignes d'Azur, réseau de l'agglomération niçoise.


    Ports


    Transports aériens

    Les aéroports les plus proches sont :


    Vélo

    Verbalisation des cyclistes au-delà de 10 km/h
    Verbalisation des cyclistes au-delà de 10 km/h

    Cagnes-sur-Mer a été la première ville, à partir du , à mettre une amende de 35  pour les vélos qui dépassent 10 km/h sur les pistes cyclables[12],[13]. Les contrevenants seront contrôlés par radars, comme des automobilistes[14]. Il faut savoir que la majorité des vélos ne disposent pas de compteur de vitesse, qui n'est pas obligatoire.


    Urbanisme


    La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[15].


    Typologie


    Cagnes-sur-Mer est une commune urbaine[Note 1],[16]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[19] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[24]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[25],[26].

    Vue sur Cagnes-Sur-Mer depuis le Haut de Cagnes.
    Vue sur Cagnes-Sur-Mer depuis le Haut de Cagnes.

    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (70,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,6 %), forêts (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), eaux maritimes (0,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].


    Morphologie urbaine


    La commune comprend un vieux bourg médiéval perché sur une colline dominée par le château Grimaldi, une ville moderne à ses pieds et un village de pêcheurs, appelé Le Cros-de-Cagnes, en bordure de mer.


    Logement


    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 29 344, alors qu'il était de 25 994 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 79,1 % étaient des résidences principales, 15,1 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 24,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 75,1 % des appartements[a 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 56,9 %, en hausse par rapport à 1999 (53,0 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était toujours très inférieure au seuil légal de 20 % : 4,5 % contre 4,2 % en 1999[a 3].


    Projets d'aménagements



    Toponymie


    La commune doit son nom au torrent et fleuve côtier qui la traverse, la Cagne. On retrouve ce nom sur des tronçons ou des affluents de la Cagne (Cagnette, Vescagne, Combe de Cagnes) dans la région de Vence et de Coursegoules. Il peut s'agir à l'origine d'un terme générique renvoyant à la présence de roseaux ou de cannes sur les rives d'un ruisseau[Note 3].

    La commune est nommée [ˈkaɲɔ de ˈmaʀ] et s'écrit Canha de Mar en occitan selon la norme classique ou Cagno en provençal selon la norme mistralienne[35].


    Histoire


    Cagnes semble apparaître au XIe siècle. De par sa proximité avec le fleuve Var qui sert de frontière entre le comté de Provence et celui de Savoie, il devient en 1388 un poste frontière important. Après avoir souffert de nombreux conflits frontaliers au XVIe siècle, la bourgade connaît une période de calme sous le règne de Louis XIII avant de subir de nouvelles invasions sous les règnes de Louis XIV et Louis XV.


    Le territoire de Cagnes avant Cagnes


    Comme le reste du littoral des Alpes-Maritimes, le territoire de Cagnes-sur-Mer a livré des traces d'occupations anciennes. Parmi elles, on citera notamment une exploitation agricole antique au Moulin de Cassol[36] (près de la gare) et un atelier de céramique au lieu-dit Saint-Véran.

    Le premier site se présente comme un petit bâtiment abritant des bassins liés à des pressoirs à raisin ou à olive pour produire du vin ou de l'huile. Il semble avoir fonctionné entre le milieu du Ier siècle et le IIIe siècle, bien que l'on ait aussi trouvé des céramiques du Ve siècle associées aux structures mises au jour[37].

    À Saint-Veran a été mis au jour un four antique ayant produit des céramiques communes (casseroles, marmites...). Le mobilier associé se compose essentiellement de céramiques de l'Antiquité tardive (Ve siècle). On notera l'importance des importations d'Afrique du Nord antique et même de la mer Égée qui montrent le maintien des liens du littoral de la Gaule avec le reste de Méditerranée à cette période[38].


    Le Haut de Cagnes


    Le Haut de Cagnes
    Le Haut de Cagnes

    L'histoire de la ville est étroitement liée à celle de son château. En effet, c'est en 1309 que Rainier Ier Grimaldi, coseigneur de Monaco, devient seigneur de Cagnes. Il fait bâtir le château Grimaldi qui deviendra bientôt une propriété de la branche des Grimaldi d'Antibes, jusqu'à la Révolution française. Au XVIIe siècle, Jean-Henri Grimaldi, marquis de Corbons et baron de Cagnes[39], sous la protection de Louis XIII et de Richelieu, transforme le château médiéval en une demeure confortable dans laquelle il mène une vie fastueuse.

    Plaque datant de la Révolution française sur un mur du Haut-de-Cagnes (Alpes-Maritimes).
    Plaque datant de la Révolution française sur un mur du Haut-de-Cagnes (Alpes-Maritimes).

    Lors de la Révolution française, la famille Grimaldi est chassée de la ville et se réfugie à Nice. Le château est laissé à l'abandon jusqu'à ce qu'un particulier le rachète et le restaure en 1875. Le dernier marquis de Cagnes et d'Antibes s'éteint en Belgique au XXe siècle.


    Le Cros-de-Cagnes


    À la fin du XVIIIe siècle, des pêcheurs viennent de Menton deux fois par an jeter leurs filets dans les eaux cagnoises. Ces dernières sont si poissonneuses qu'ils décident de s'installer définitivement sur cette côte, alors marécageuse, vite rejoints par des Cagnois qui abandonnent leurs activités agricoles. Le petit village ne cesse de prospérer grâce à la pêche, atteignant son apogée au début du XXe siècle avec une flotte de plus d'une centaine de pointus (nom donné aux bateaux de pêche locaux). Le Cros-de-Cagnes a célébré les 200 ans de sa création le 1er juin 2013 lors d'une journée de festivités impliquant toutes les associations locales[40],[41].

    Article détaillé : Le Cros-de-Cagnes.

    Politique et administration



    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans les Alpes-Maritimes.
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    Récapitulatif de résultats électoraux récents


    Scrutin 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 5e % 1er % 2e % 3e %
    Municipales 2014 UMP 52,61 FN 24,34 FG 11,41 DVD 6,35 PS 5,26 Pas de 2d tour
    Européennes 2014 FN 35,44 UMP 27,95 PS 8,75 UDI 7,38 EELV 5,64 Tour unique
    Régionales 2015 FN 41,44 UMP 36,98 PS 11,08 AEI 3,56 EELV 3,36 UMP 55,20 FN 44,80 Pas de 3e
    Présidentielle 2017 FN 29,83 LR 28,74 EM 18,86 LFI 12,31 DLF 4,65 LREM 52,08 FN 47,92 Pas de 3e
    Législatives 2017 MoDem 32,24 LR 27,75 FN 20,92 LFI 6,55 DLF 2,32 LR 57,77 MoDem 42,23 Pas de 3e
    Européennes 2019 RN 32,57 LREM 21,19 LR 11,77 EELV 10,91 DLF 4,23 Tour unique

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Cagnes-sur-Mer.
    Articles connexes : Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République.

    Depuis 1944, sept maires se sont succédé :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1953 Louis Négro SFIO Conseiller général de Cagnes-sur-Mer (1945 → 1951)
    1953 1956 Hippolyte Vial    
    1956 1959 Louis Négro SFIO  
    1959 1961 Édouard Robion   Décédé en fonction
    1961 février 1983 Pierre Sauvaigo UNR puis UDR
    puis RPR
    Avocat au barreau de Grasse
    Député des Alpes-Maritimes (1973 → 1983)
    Conseiller général de Cagnes-sur-Mer (1963 → 1983)
    Décédé en fonction
    mars 1983 septembre 1984 Jean-Raymond Giacosa RPR Premier adjoint du précédent
    Décédé en fonction
    novembre 1984 juin 1995 Suzanne Sauvaigo RPR Avocate
    Députée des Alpes-Maritimes (1988 → 1997)
    Conseillère générale de Cagnes-sur-Mer-Ouest (1983 → 1988)
    Élue à la suite d'une élection municipale partielle
    juin 1995[42] En cours
    (au 20 juin 2020)
    Louis Nègre DVD puis
    UMP → LR
    Professeur d'éducation physique et sportive
    Sénateur des Alpes-Maritimes (2008 → 2017)
    Conseiller général de Cagnes-sur-Mer-Centre (1998 → 2008)
    1er vice-président de la Métropole Nice Côte d'Azur (2012 →)

    À la suite de la démission collective du conseil municipal, une élection municipale partielle a eu lieu en février 1998, amenant à la réélection de Louis Nègre.


    Politique de développement durable


    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[43].


    Jumelages


    Au 6 août 2013, Cagnes-sur-Mer est jumelée avec[44] :


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 52 178 habitants[Note 5], en augmentation de 11,16 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3041 1681 5191 9362 3492 3172 1022 4542 443
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2802 4352 7932 5822 4002 8553 0572 9623 029
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 3813 7055 0445 3957 4997 8669 0389 31511 066
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    15 39222 11029 53835 21440 90243 94248 31346 63249 902
    2019 - - - - - - - -
    52 178--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune est la quatrième du département des Alpes-Maritimes en nombre d'habitants.


    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,7 % la même année, alors qu'il est de 30,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 23 953 hommes pour 27 458 femmes, soit un taux de 53,41 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,72 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ou +
    2,4 
    10,8 
    75-89 ans
    14,3 
    16,9 
    60-74 ans
    19,5 
    20,2 
    45-59 ans
    18,9 
    18,4 
    30-44 ans
    17,4 
    15,7 
    15-29 ans
    13,9 
    17,1 
    0-14 ans
    13,5 
    Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    9,2 
    75-89 ans
    12 
    17,4 
    60-74 ans
    18,7 
    20,4 
    45-59 ans
    19,9 
    18,5 
    30-44 ans
    17,6 
    16,6 
    15-29 ans
    14,7 
    17 
    0-14 ans
    14,6 

    Enseignement


    Les établissements d'enseignement sur la commune[50] :


    Manifestations culturelles et festivités


    Championnat du monde des boules carrées, Cagnes-sur-Mer, 2011.
    Championnat du monde des boules carrées, Cagnes-sur-Mer, 2011.

    Santé


    Il y a huit maisons de retraite à Cagnes sur Mer, dont sept sont médicalisées (il s'agit d'EHPADs - Établissements d'Hébergement des Personnes Âgées Dépendantes). L'EHPAD Cantazur de 79 places est un établissement public. Les six autres EHPADs sont privés à but lucratif[53].

    On trouve également la polyclinique Saint Jean à Cagnes sur Mer qui regroupe un service d'urgences, un service de Médecine, un service de chirurgie, et une Maternité[54].


    Sports



    Médias



    Cultes



    Économie



    Budget et fiscalité 2019


    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[61] :

    Avec les taux de fiscalité suivants :


    Revenus de la population et fiscalité


    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 206 , ce qui plaçait Cagnes-sur-Mer au 17 294e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[62].

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 110 [63].


    Emploi


    En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 29 157 personnes, parmi lesquelles on comptait 73,7 % d'actifs dont 65,5 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs[a 4].

    On comptait 14 051 emplois dans la zone d'emploi, contre 11 435 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 19 395, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 72,4 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un moins d'un emploi par habitant actif[a 5].


    Agriculture



    Entreprises et commerces


    Au 31 décembre 2010, Cagnes-sur-Mer comptait 5 912 établissements : 101 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 241 dans l'industrie, 788 dans la construction, 3 828 dans le commerce-transports-services divers et 954 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

    En 2011, 753 entreprises ont été créées à Cagnes-sur-Mer[a 7], dont 444 par des autoentrepreneurs[a 8].

    Une zone touristique internationale (ZTI), où les commerces de détail peuvent déroger au repos dominical des salariés, a été délimitée sur une partie du territoire de la commune par un arrêté en date du 5 février 2016[66].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    La commune contient de nombreux monuments et objets répertoriés à l'inventaire culturel du patrimoine général[67].


    Édifices religieux


    Le château-musée Grimaldi

    Château Grimaldi (XIVe siècle)
    Château Grimaldi (XIVe siècle)
    Article détaillé : Château Grimaldi.

    Acheté par la municipalité en 1939, le château[81] est transformé en musée en 1946. Outre son intérêt architectural et sa fresque représentant la chute de Phaéton, réalisée en 1620 par Giulio Benso, le château abrite un musée ethnographique de l'olivier, la donation Suzy Solidor comprenant une quarantaine de portraits de la chanteuse réalisés par de grands noms de la peinture du début du XXe siècle, la donation André Verdet et un musée d'art moderne méditerranéen[82]. Chaque été, le château propose également des expositions temporaires dans le cadre de son Festival international de la peinture.


    Le domaine Renoir

    Article détaillé : Musée Renoir de Cagnes-sur-Mer.

    C'est en 1907 que le peintre Pierre-Auguste Renoir fait l'acquisition d'une propriété[83], dans le quartier des Collettes[84], où il s'installe en 1908 après avoir fait construire la villa-atelier et dans laquelle il vivra jusqu'à sa mort en 1919[85]. Il y vivra avec sa femme Aline et leurs trois enfants, Pierre, Jean et Claude. C'est là qu'il abordera pour la première fois la sculpture avec l'aide de Richard Guino. Malgré ses rhumatismes articulaires, il y a peint jusqu'à la fin de sa vie[86]. Il y a reçu de nombreux amis artistes et son marchand Ambroise Vollard.

    Aujourd'hui transformé en musée, ce domaine propose, outre la visite de l'atelier du peintre, des tableaux de la période nacrée (1889 à 1919), des sculptures, des lithographies et des études préparatoires.

    De nombreux artistes, tels que Pierre-Auguste Renoir, Chaïm Soutine, Raoul Dufy, Tsugouharu Foujita, Victor Vasarely, Moïse Kisling, Yves Brayer, Paul Cognasse et son épouse Jeanne Michau dite Calern, Mouloudji, Georges Simenon, Jean Villeri, Brigitte Bardot, Suzy Solidor, Georges Ulmer… ont séjourné et travaillé à Cagnes-sur-Mer, surnommée jusque dans les années 1960 le « Montmartre de la Côte d'Azur ».


    L’hippodrome

    En , l'hippodrome de la Côte d'Azur ouvre ses portes avec des installations provisoires. Huit ans plus tard, en , c'est l'inauguration officielle. Depuis, les infrastructures n'ont cessé de se développer et de s'améliorer, ce qui lui a permis de devenir l'un des plus importants hippodromes de France aussi bien d'un point de vue sportif (nombreuses courses de Groupes en trot, galop et obstacle) qu'au niveau de la fréquentation.


    Médiathèque municipale

    La médiathèque est installée dans une maison de maître de 420 m2, à proximité de la gare de Cagnes-sur-Mer, achetée par la ville en . Sur la façade sud du bâtiment on trouve un cadran solaire. La première vidéothèque du département est inaugurée en 1988. Site de la Médiathèque

    Des documents relatifs au peintre Pierre-Auguste Renoir peuvent être consultés sur place[87].

    Georges-Émile Lebacq, 1910 Cagnes-sur-Mer
    Georges-Émile Lebacq, 1910 Cagnes-sur-Mer

    Ludothèque municipale


    Patrimoine naturel


    Le territoire de la commune est situé au sein de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[88],[89]. L'artiste Belinda Bussotti crée pour la préservation des hippocampes une sculpture qui sera dressée sur la promenade de la plage[90].


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Armoiries de Cagnes-sur-Mer.
    Armoiries de Cagnes-sur-Mer.

    Blasonnement :

    Coupé : au premier, d'or au levron passant d'azur ; au second, de gueules à la barre d'argent[92].

    Devise : « La foi sauve l'âme » (La fe sauva l'ama).

    Ces armoiries sont en fait des armes imposées d'office à la suite de l'édit de novembre 1696, elles sont dues à un commis de Charles d'Hozier (cf. Armorial Général de 1696, Provence 1re partie, folio 701).

    Selon Cappati, les véritables armes de cette commune seraient les suivantes : D'azur à l'agneau pascal d'argent. Elles apparaissent sur deux pierres d'angles du château. L'une est encore en place (angle nord, à mi-hauteur), l'autre a été déposée et est exposée à l'intérieur du musée.



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le nom de Cagnes est généralement expliqué par le nom de personne latin Cannius sans raison évidente. On a aussi évoqué une prétendue racine pré-indo-européenne kan (= hauteur), qui renverrait à la situation de la ville médiévale.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Références


    Insee

    Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
    7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
    Autres références
    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
    2. Zonage sismique français en vigueur depuis le 1er mai 2011 défini dans les décrets no 2010 – 1254 et 2010 -1255 du 22 octobre 2010, codifiés dans les articles R. 563-1 à 8 et D563-8-1 du code de l’Environnement
    3. Cagnes-sur-Mer et les séismes, www.azurseisme.com
    4. L'eau dans la commune
    5. Description de la station
    6. Didacticiel de la règlementation parasismique
    7. Table climatique
    8. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    9. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    10. Port Cros-de-Cagnes
    11. Ports et aménagements portuaires
    12. Le texte de l'arrêté municipal
    13. Journal télévisé de l'édition nationale de FR3 du 4 septembre 2012
    14. Journal "Le Monde": ce n'est pas un canular
    15. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    25. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Projet de requalification de la gare de Cagnes-sur-Mer
    30. Concertation publique de la nouvelle gare de Cagnes-sur-Mer
    31. Aménagement et stationnements de la Place De-Gaulle de Cagnes: le projet se précise
    32. Eco-quartier de la Villette
    33. Un écoquartier signé Wilmotte
    34. Requalification du Béal
    35. Dictionnaire français-provençal Jules Coupier, 2009 page 1513
    36. Moulins de Cagnes
    37. Gwënola Magna, Emmanuel Pellegrino, Isabelle Rodet-Belarbi, Une petite structure rurale d'époque romaine à la périphérie d'Antipolis : le moulin de Cassole à Cagnes-sur-Mer, Mémoires de l'Institut de Préhistoire et d'Archéologie Alpes Méditerranée, ISSN 1286-4374, 2005, 45, p. 75-101.
    38. Emmanuel Pellegrino, Le matériel de l'Antiquité tardive issu de sondages anciens à Saint-Véran, Cagnes-sur-Mer (A.-M) : indices de production de céramiques communes en Provence orientale, Archéologie du Midi médiéval : 2003, 21, p. 234-244.
    39. Dictionnaire véridique des origines des maisons nobles ou anoblies du royaume de France: contenant aussi les vrais ducs, marquis, comtes, vicomtes et barons, Volume 2. P. Louis Lainé, 1 janvier 1819 Bertrand
    40. Reportage d'Imazur sur les 200 ans du Cros de Cagnes
    41. Reportage sur les 200 ans du Cros-de-Cagnes.
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    43. Agenda 21 de la ville de Cagnes-sur-Mer
    44. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
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    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    52. Animations au son de l'orgue de Barbarie
    53. Estelle Chomette, « Heureux en Retraite », Heureux en Retraite, (lire en ligne, consulté le )
    54. Professionnels et établissements de santé
    55. « ENGIE Open de Cagnes-sur-Mer », sur cagnes-sur-mer.info,
    56. Actualités Cagnes-sur-Mer
    57. Nice-matin, édition Cagnes-Vence-Saint-Laurent-Carros
    58. Paroisse Saint Matthieu
    59. Mosquée de Cagnes-sur-Mer, OMCM
    60. A.C.I. Synagogue ET C.C. 4, Impasse Douce France, Cagnes-sur-Mer
    61. Les comptes de la commune
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    63. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
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    68. L'église paroissiale
    69. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
    70. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
    71. Cagnes-sur-Mer, sur provence7.com/
    72. Notice no PA00080686, base Mérimée, ministère français de la Culture, place Notre-Dame de Protection : classement par arrêté du 4 avril 1939
    73. Chapelle Notre-Dame de Protection
    74. Cagnes sur Mer, Chapelle Notre Dame de Protection
    75. Le Cros-de-Cagnes
    76. A.C.I. Synagogue et C.C.
    77. L'association des musulmans a dévoilé sa mosquée au public à Cagnes, sur Nice Matin
    78. Monuments commémoratifs : Monument aux Morts du Cros-de-Cagnes, Monument aux Morts, Plaques commémoratives 1914-1918 église Cros-de-Cagnes, Stèle commémorative attentat du Drakkar noir, Plaques commémoratives, Plaques émaillées 1914-1918 mairie annexe Cros-de-Cagnes, Stèle commémorative
    79. Monument aux morts. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
    80. monument aux morts de la guerre de 1914-1918
    81. Château des Grimaldi
    82. Notice no PA00080687, base Mérimée, ministère français de la Culture Château Grimaldi ou château de Cagnes : classé MH 15 avril et 5 mai 1948
    83. Domaine des Collettes, maison de Renoir
    84. Notice no PA06000001, base Mérimée, ministère français de la Culture Domaine des Collettes: classement par arrêté du 25 octobre 2001
    85. Renoir à Cagnes-sur-Mer
    86. La Côte d'Azur des Peintres
    87. fonds Renoir
    88. Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
    89. Inventaire et protections réglementaires de l'environnement de la commune
    90. La rédaction, « Un hippocampe se dresse désormais sur la promenade de la plage à Cagnes-sur-Mer », sur Nice-Matin, (consulté le )
    91. Les Justes parmi les nations de Cagnes-sur-Mer
    92. Nice Côte d'Azur 1 : Cagnes-sur-Mer, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

    Voir aussi


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    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    На других языках


    [de] Cagnes-sur-Mer

    Cagnes-sur-Mer [.mw-parser-output .IPA a{text-decoration:none}kaɲ syʁ mɛːʁ] ist eine französische Gemeinde mit 52.178 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Alpes-Maritimes in der Region Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    [en] Cagnes-sur-Mer

    Cagnes-sur-Mer (French pronunciation: ​[kaɲ syʁ mɛʁ], literally Cagnes on Sea; Occitan: Canha de Mar) is a French Riviera town in the Alpes-Maritimes department in the Provence-Alpes-Côte d'Azur region in southeastern France.
    - [fr] Cagnes-sur-Mer

    [ru] Кань-сюр-Мер

    Кань-сюр-Мер (фр. Cagnes-sur-Mer, окс. Canha de Mar) — город и коммуна на юго-востоке Франции в регионе Прованс — Альпы — Лазурный берег, департамент Приморские Альпы, округ Грас, кантоны Кань-сюр-Мер-1 и Кань-сюр-Мер-2[1]. До марта 2015 года население коммуны было распределено среди трёх упразднённых кантонов: Восточный Сен-Лоран-дю-Вар-Кань-сюр-Мер, Западный Кань-сюр-Мер и Центральный Кань-сюр-Мер.



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