Brem-sur-Mer (prononcer [bʁɛmˑsyʁˑmɛʁ]) est une commune du Centre-Ouest de la France, située à proximité de la « Côte de Lumière », dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
Le territoire municipal de Brem-sur-Mer s’étend sur 1 617 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 27 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 55 mètres[1],[2].
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Localisation
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Altitude: 53 m sur le secteur de la Bourdallière et 49 m à la Crulière.
Environnement
La commune présente la particularité de ne pas donner directement sur la mer malgré son nom, mais sur la partie nord du marais d'Olonne, la façade maritime formée par un cordon dunaire se trouve en effet sur le territoire de la commune de Bretignolles-sur-Mer.
Voies de communication et transports
Accès routiers
La commune est traversée par la route départementale 38, cet axe routier qui relie les stations balnéaires est très fréquenté en période estivale et lors des longs week-ends.
De nombreux projets au cours des années 2000 et 2010 se sont proposé de dévier l’agglomération de Brem voire celle de Bretignolles.
Parallèlement, la mise en voies rapides de la route départementale 32 raccourcit le temps de parcours entre Brem et Challans ou Nantes.
Transports en commun
Les gares les plus proches sont situées à plusieurs kilomètres de la ville. Celle de Saint-Gilles-Croix-de-Vie permet de rejoindre Nantes, chef-lieu de région, par un TER. Celle des Sables-d'Olonne permet de rejoindre Saumur et Nantes aussi avec un arrêt à La Roche-sur-Yon, chef-lieu de la Vendée, qui assure une correspondance avec la ligne de Nantes-Orléans à Saintes.
La gare des Sables-d'Olonne est la gare TGV la plus proche. Depuis 2008, des trains assurent quotidiennement la liaison avec Paris-Montparnasse, mettant ainsi la capitale française à 3 h 20 du littoral vendéen.
Transport aérien
Bien qu'il existe des aérodromes à Talmont-Saint-Hilaire (Les Sables-d'Olonne-Talmont) et à La Roche-sur-Yon (aux Ajoncs), aucun n'assure pour l'instant de ligne régulière avec d’autres aéroports. L'aéroport international le plus proche est celui de Nantes-Atlantique.
Urbanisme
Typologie
Brem-sur-Mer est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bretignolles-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 7 389 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Sables-d'Olonne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
La commune, bordée par l'estuaire de l'Auzance, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].
Le territoire est composé de plusieurs secteurs:
le « Bourg », appelé également centre-ville, qui regroupe autour de l’église Saint-Martin, la plupart des commerces et des services (santé ou administratif). Autour de ce bourg se sont construits à partir des années 1970, plusieurs quartiers résidentiels, dont les Remelières, le Four-à-Chaux ou encore le Moulin-Blanc;
le quartier de Saint-Nicolas, un quartier encore typique construit autour de l’église Saint-Nicolas.
Le territoire communal compte de nombreux villages, parmi lesquels:
la Gâchère, un ancien village typique de pêcheurs bordé par l’Auzance, qui a été le théâtre, le , d'une escarmouche entre les Bleus républicains et les Blancs insurgés dirigés par Guerry du Cloudy.
la Corde, un village d’artisans;
la Frémière et la Mignotière;
Un nouveau quartier pavillonnaire a été créé il y a une dizaine d'années à la sortie de l’agglomération le long de la D38 en direction de Brétignolles qui comporte une centaine de pavillons dont certains sont habités à l'année.
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (34,4%), zones agricoles hétérogènes (32,7%), zones urbanisées (17,9%), zones humides côtières (6,1%), prairies (4,4%), forêts (4,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2%)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune de Saint-Martin-de-Brem porte le nom de Havre-Fidèle[16] et celle de Saint-Nicolas-de-Brem celui de Bellevue[17].
Réalisé en 1899, un pont, celui du Havre-de-la-Gachère, relie Olonne à Saint-Martin[19]. Quelques années plus tard, en 1904, les premiers estivants arrivent pour la première fois sur les communes du pays brémois[20].
Alors que la ligne de Bourgneuf aux Sables traverse la commune de Saint-Martin-de-Brem, une gare est implantée dans le bourg en 1920[21]. Celle-ci est par la suite transformée en bureau de poste[22]. Correspondant approximativement à l’actuelle route départementale 38, le tracé de la ligne de chemin de fer reliait la gare de Saint-Martin-de-Brem à celle de Brétignolles-sur-Mer et de l’Île-d’Olonne.
Par arrêté préfectoral du avec effet au , les communes de Saint-Martin-de-Brem et de Saint-Nicolas-de-Brem sont réunies en une même entité —Brem-sur-Mer— sous le régime de l’association. Saint-Martin accueille alors le chef-lieu et Saint-Nicolas-de-Brem est transformé en commune associée. En 1999, le conseil municipal souhaite transformer le regroupement en fusion simple, impliquant la suppression de la commune associée[23]. Un référendum est organisé le , et les Brémois appuient la décision du conseil. Le changement de régime est opéré par un arrêté préfectoral du et entre en vigueur à partir du suivant[24],[25].
Alors que la commune n’a jamais disposé d’un accès à l’océan Atlantique depuis sa création malgré sa dénomination[26], un conseil municipal réuni le sollicite le préfet de la Vendée pour le rattachement d’une bande du littoral au détriment de la commune de Bretignolles-sur-Mer[27].
1927: installation de la première cabine téléphonique
1932: arrivée de l'électricité
1957: arrivée de l'eau potable
1963: construction de la Poste
1964: mise en place du service de collecte des ordures ménagères
Directeur général des services de la CC du Pays des Achards 6e vice-président de la CC du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (2020 → )
Instances administratives et intercommunales
Administrativement, la commune dépend de l’arrondissement des Sables-d’Olonne et du canton de Saint-Hilaire-de-Riez.
Historiquement, du début de 1974 à 2015, Brem-sur-Mer appartient au canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie[34], supprimé à la suite d’un redécoupage opéré en 2014.
À partir du et jusqu’au , la commune est membre de la communauté de communes Côte-de-Lumière. Depuis le , Brem-sur-Mer appartient au Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Agglomération.
Jumelages
Mammendorf(Allemagne)
Population et démographie
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2019, la commune comptait 2 817 habitants[Note 3], en augmentation de 8,06% par rapport à 2013 (Vendée: +4,57%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
521
539
690
663
649
697
682
654
656
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
695
739
726
733
733
718
686
743
798
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
852
888
831
746
737
800
770
757
780
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
834
826
1 161
1 425
1 709
2 054
2 432
2 539
2 607
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 780
2 817
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,5%, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,9% la même année, alors qu'il est de 31,0% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 347 hommes pour 1 433 femmes, soit un taux de 51,55% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
3,1
13,9
75-89 ans
16,6
30,1
60-74 ans
29,2
17,1
45-59 ans
16,7
14,6
30-44 ans
12,6
10,1
15-29 ans
10,2
13,3
0-14 ans
11,5
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[39]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,8
90 ou +
2,1
8,4
75-89 ans
11
19,5
60-74 ans
20,4
20
45-59 ans
19,4
18
30-44 ans
17,1
14,9
15-29 ans
13,2
18,5
0-14 ans
16,8
Enseignement
La commune compte deux groupes scolaires qui font office à la fois d'école maternelle et d'école primaire: une école publique (Sol-et-Vent), une école privée (Notre-Dame-de-l’Espérance).
Les collèges privés et publics les plus près sont ceux d'Olonne-sur-Mer et de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Santé
Le foyer logement de l'Agaret est un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes qui peut accueillir plus de quatre-vingt-six résidents.
Le pôle médical, regroupe l’ensemble des médecins généralistes et spécialistes au sein d’un même bâtiment.
Sports
Le stade municipal Le terrain de football est équipé d'une pelouse synthétique.
La salle omnisports avec courts de tennis en plein air.
Économie
Agriculture et artisanat
Les exploitations agricoles sont principalement situées au nord-est de la commune. L’élevage et la viticulture en sont les principales activités.
L’artisanat s’est fortement développé dans la ville, principalement dans le secteur du bâtiment mais également de la logistique. La zone artisanale, située en bordure de la départementale 80bis, regroupe à ce jour 14 entreprises.
Un parc éolien est situé en bordure de la route départementale 32.
Le secteur industriel n'y est en revanche pas représenté.
Secteur tertiaire
Le service aux personnes et le commerce
Le tourisme est une activité très importante. La commune compte quatre terrains de camping, un hôtel, une colonie de vacances ainsi que plusieurs résidences de vacances.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin était une chapelle de pèlerinage construite par les moines au XIesiècle. Le transept, la façade et le clocher en bec d'hirondelle datent du XIXesiècle. Elle est devenue depuis la fusion avec Saint-Nicolas-de-Brem, l'église paroissiale de la commune.
L'église Saint-Nicolas[40] est l'une des plus anciennes de Vendée. Elle a été construite durant le XIesiècle. Son existence est attestée dès 1020. Elle a été un sujet de conflit entre l'abbaye de Marmoutier, près de Tours, et l'abbaye Sainte-Croix de Talmond. Un accord entre les deux abbayes a été obtenu en 1098. L'église a été durement endommagée pendant les guerres de religion notamment lors de l'expédition de Soubise en 1622 qui se termine par la victoire de Riez remportée par Louis XIII. Il ne reste aujourd'hui que la nef centrale, l'abside et les absidioles du XIesiècle. Elle est pauvrement reconstruite au XVIIesiècle. Sur le portail, on peut voir dans un fronton triangulaire la statue de Saint Nicolas entourée de plusieurs motifs mystérieux. Une étude récente avance pour ces sculptures l'hypothèse d'une origine templière[41]. À l'intérieur deux fresques du XIIesiècle représentent la Crucifixion du Christ (très effacée) ainsi que l'arrivée des Saintes Femmes au Tombeau.
Près de l'église Saint-Nicolas, une motte féodale surmontée d'un calvaire conserve les vestiges d'un château fort édifié pour la défense de l'ancien port du Bram[42].
le vin de Brem est, avec Mareuil, Vix et Pissotte, l'une des quatre régions qui forment les fiefs-vendéens. C'est à l'époque romaine que furent introduits les premiers plants avec la fondation du port d'Hebromagus. Durant le Moyen Âge, les moines de Saint-Nicolas vont alors développer l'activité viticole qui sera l'une des richesses de ce port aujourd'hui disparu. En 1963, les vins obtiennent l'appellation d'Origine Simple et en 1973 les Vins des Anciens Fiefs du Cardinal s'appelleront désormais Les Vins des Fiefs vendéens. En 1984, les efforts fournis par les viticulteurs ont été récompensés par l'obtention de l'AOVDQS puis de l'AOC en 2011. Le vignoble s'étend sur 150 hectares situés sur Brem et les communes environnantes. Il est constitué de vignes basses pour la vendange manuelle et de vignes hautes pour la vendange mécanique. Les cépages utilisés pour les vins blancs sont le Grolleau gris et le Chenin blanc. Ces vins secs se dégustent avec les fruits de mer. Les rosés et les rouges sont élaborés avec les cépages Gamay, Cabernet et Pinot noir.
le menhir de la Crulière est un mégalithe datant de l'époque du Néolithique essentiellement composé de quartz blanc dont le poids avoisine les huit tonnes. Il est classé monument historique depuis le .
Église de Saint-Nicolas-de-Brem.
Église de Saint-Nicolas-de-Brem.
La motte féodale.
La taille des vignes.
Une vigne.
Le village de la Gâchère, sur les bords de l'Auzance.
Personnalités liées à la commune
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Pierre Budaille (1836-1909), instituteur et communard, est né à Saint-Nicolas-de-Brem.
Héraldique, devise et logotype
Article détaillé: Armorial des communes de la Vendée.
Blasonnement:
Écartelé: au premier, d'or au manteau gonfalonné d'azur chargé d'une épée du champ; au deuxième, de gueules à la chapelle campanée d'argent, ouverte et ajourée de sable; au troisième, de gueules au bateau de sable, habillé et flammé d'argent; au quatrième, d'or à la grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople.
La devise de Brem-sur-Mer: Caritas.
Logo de Brem-sur-Mer.
Voir aussi
Bibliographie
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Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
«Commune 19174», Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
«Brem-sur-Mer», Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll.«Geste Poche» (no14), , 3eéd. (1reéd. 1995), 443p. (ISBN2-84561-263-X), p.63.
«Travaux sur le pont de la Gachère: circulation interdite», Ouest-France,.
«Une promenade contée pleine de souvenirs», Ouest-France,.
«Le bureau de poste retrouve son cachet», Ouest-France,.
«Une visite nocturne contée à Brem-sur-Mer», Ouest-France,.
«Le conseil veut réformer les statuts de la fusion», Ouest-France,.
«Fusion de communes: union sans passion», Ouest-France,.
«Nouvel adjoint pour le secteur Saint-Nicolas-de-Brem», Ouest-France,.
Selim Chtayti, «La mer, bel et bien absente du territoire communal», Ouest-France,.
«La commune revendique un accès à la mer», Ouest-France,.
«Claire Bourcereau regarde dans le rétroviseur», Ouest-France, (lire en ligne).
«Remise de médailles et décorations», Ouest-France,.
«Christian Praud, nouveau maire», Ouest-France,.
Jean-Marcel Boudard, «Au centre, le Modem retrouve du jus», Ouest-France, (lire en ligne).
Marylise Kerjouan, «“Je ne suis pas déçu, je suis en colère”», Ouest-France, (lire en ligne).
«Brem-sur-Mer. Premier mandat pour Yann Thomas», Ouest-France, (lire en ligne)
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