Boudrac est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.
Cet article est une ébauche concernant une commune de la Haute-Garonne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Boudrac
L'église de l'Assomption
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Haute-Garonne
Arrondissement
Saint-Gaudens
Intercommunalité
Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire Mandat
Gilles Clarens 2020-2026
Code postal
31580
Code commune
31078
Démographie
Gentilé
Boudracois
Population municipale
147 hab. (2019 )
Densité
13 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 11′ 31″ nord, 0° 31′ 39″ est
Altitude
Min. 379 m Max. 564 m
Superficie
11,64 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Saint-Gaudens
Législatives
Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Boudrac
Géolocalisation sur la carte: France
Boudrac
Géolocalisation sur la carte: Haute-Garonne
Boudrac
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Boudrac
modifier
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, la Gesse, le ruisseau de la Seygouade de Derrière, et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Boudrac est une commune rurale qui compte 147 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 694 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Boudracais ou Boudracaises.
Géographie
Localisation
La commune de Boudrac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 87 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 18 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3]:
Cazaril-Tambourès (1,7 km), Arné (1,8 km), Balesta (3,5 km), Lécussan (4,0 km), Lassales (4,0 km), Bazordan (4,1 km), Saint-Plancard (4,5 km), Sédeilhac (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Boudrac fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Arrats, la Gesse, le ruisseau de la Seygouade de Derrière, un bras de la Gesse, le ruisseau de Gardaloup, le ruisseau de Loiné, le ruisseau de méderac le ruisseau des picharrotes le ruisseau de la hountasse et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[7],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[8].
La Gesse, d'une longueur totale de 52,1 km, prend sa source dans la commune d'Arné et s'écoule vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Save à Espaon, après avoir traversé 21 communes[9].
Réseaux hydrographique et routier de Boudrac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 11,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Gavarnie», sur la commune de Gaussan, mise en service en 1992[15] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,6°C et la hauteur de précipitations de 1 466,6 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Tarbes-Lourdes-Pyrénées», sur la commune d'Ossun, dans le département des Hautes-Pyrénées, mise en service en 1946 et à 45 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[19], à 12,6°C pour 1981-2010[20], puis à 12,9°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22]:
les «bois et tourbière d´Arné et Garaison» (70ha), couvrant 3 communes dont une dans la Haute-Garonne et deux dans les Hautes-Pyrénées[23].
Urbanisme
Typologie
Boudrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[I 2],[25].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (46,8%), forêts (31,2%), terres arables (22%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Accès avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau liO Arc-en-Ciel (anciennement SEMVAT).
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Boudrac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gesse et La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[29],[27].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boudrac.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 82 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 82 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 98% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Histoire
Jusqu'à la Révolution, la paroisse de Boudrac était une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun.
Les Templiers et les Hospitaliers
Boudrac fut dès le XIIIesiècle une commanderie templière qui faisait partie de la province de Provence avant de devenir après la dévolution des biens de l'ordre du Temple l'une des principales commanderies de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en Gascogne au sein du grand prieuré de Toulouse[32].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Nébouzan-Rivière-Verdun et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Boudrac faisait partie de l'ex-canton de Montréjeau) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Nébouzan-Rivière-Verdun. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 dans la Haute-Garonne.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2019, la commune comptait 147 habitants[Note 7], en augmentation de 7,3% par rapport à 2013 (Haute-Garonne: +7,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
312
237
337
345
397
436
466
694
451
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
433
430
411
409
404
391
443
288
241
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
358
319
352
305
283
287
256
244
192
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
165
148
150
144
126
122
110
107
128
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
143
147
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 67 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1% d'actifs (67,2% ayant un emploi et 9% de chômeurs) et 23,9% d'inactifs[Note 8],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,8%[I 9].
Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 18% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 97,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 2,2% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
5 établissements[Note 9] sont implantés à Boudrac au [I 12].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 5 entreprises implantées à Boudrac), contre 12% au niveau départemental[I 13].
Agriculture
La commune est dans les «Coteaux de Gascogne», une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 17 en 2000 puis à 15 en 2010[44] et enfin à 12 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[45],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 493ha en 1988 à 359ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 30ha[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église de l'Assomption.
Monument aux morts.
Monument avec une croix en fer forgé
Monument aux morts en marbre blanc
Monument avec une croix en fer forgé. Sont représentés: au centre, le Christ pantocrator, et tout autour des anges
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Guy Pierre Souverville, La commanderie de Boudrac: de la Palestine aux Pyrénées, Templiers et Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem: chambre prieurale du Grand Prieure de Toulouse, Editions Société d'études et recherches du Nebouzan, , 326p. (présentation en ligne)
Pierre Vidal, Hospitaliers et templiers en France méridionale: le Grand Prieuré de Toulouse de l'Ordre de Malte; guide de recherches historiques, archivistiques et patrimoniales, Les Amis des Archives de la Haute-Garonne et CNRS Éditeurs, , 237p. (ISBN978-2-9074-1624-5, présentation en ligne)
Antoine du Bourg, Ordre de Malte: Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica
Articles connexes
Liste des communes de la Haute-Garonne
Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Liste des commanderies templières dans l'ancienne région Midi-Pyrénées
Grand prieuré de Toulouse (ordre de Saint-Jean de Jérusalem)
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии