Borest est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Borest est située à 7km au sud-est de Senlis et à 43km au nord-est de Paris, sur la RD 330a Senlis - Nanteuil-le-Haudouin et la RN 330, qui traverse la commune mais passe à un kilomètre du centre du village. La distance autoroutière de Paris via l'autoroute A1 est de 53km.
Elle est située à l'orée de la forêt d'Ermenonville.
Communes limitrophes
La commune a une circonférence de 22,7km environ[1]. Elle compte quatre communes limitrophes, dont Fontaine-Chaalis à l'est et au sud, avec 10,7km environ de limites communes. Les autres communes voisines sont Mont-l'Évêque, à l'ouest, Barbery au nord et Montépilloy également au nord. Borest arrive ainsi à 500 m du château de Montépilloy, et à 1km des premières maisons de Barbery. Le bâtiment-voyageurs de l'ancienne gare de Barbery est par ailleurs situé sur la commune de Borest. La ligne de chemin de fer Chantilly - Ormoy-Villers était toutefois éloignée de 4km du centre de Borest et ne profitait guère à la commune, restant un petit village rural.
Le pont Saint-Martin sur la Nonette, avec sa petite cascade
La commune est drainée d'est en ouest par la Nonette (rivière) et ses zones humides
La Nonette est un sous-affluent de la Seine par l'Oise
Géologie et hydrologie
Le territoire de la commune se partage entre les glacis agricoles de la plaine du Valois et la forêt, qui occupe environ un tiers de la superficie de Borest. La limite entre les deux formes paysagers est matérialisée par la Nonette à l'ouest du village, et par la RD 330a à l'est. La Nonette arrose un vallon humide, souvent marécageux, et avec de multiples sources, formant parfois de courts ruisseaux se déversant rapidement dans la petite rivière. Ces dispositions naturelles ont favorisé la création de cressonnières autour de 1900, aujourd'hui abandonnées. Il en reste des étangs de pêche. Quant à la forêt, elle se partage entre des bois privés, plus proches du village, et la forêt d'Ermenonville, avec quinze parcelles[2] qui entrent en partie dans le périmètre de sécurité du champ de tir de l'armée de terre. Contrairement à la commune voisine de Fontaine-Chaalis, Borest ne partage donc que d'une petite partie de cette forêt domaniale. Ses extrémités sont le poteau de la Croix d'Anleu à l'ouest, et le carrefour du Bosquet du Prince au sud.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Senlis», sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7°C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Le Bourget», sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[13] à 11,6°C pour 1981-2010[14], puis à 12,1°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Borest est membre du parc naturel régional Oise-Pays de France pour la totalité de son territoire, entrant également dans le site inscrit de la vallée de la Nonette[16], ainsi qu'en partie dans le site classé de la forêt d'Ermenonville, également ZNIEFF type 1[17].
Urbanisme
Typologie
Borest est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (62,7%), forêts (29,8%), zones urbanisées (3,6%), prairies (2%), zones agricoles hétérogènes (1,4%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 162, alors qu'il était de 153 en 2013 et de 150 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 87% étaient des résidences principales, 3,7% des résidences secondaires et 9,3% des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,7% d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Borest en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,9% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,9% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
3,7
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
9,3
7,1
8,2
Toponymie
Horaires de la ligne de Chantilly-Gouvieux à Crépy-en-Valois en 1936.
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Histoire
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Le village accueillait sur son territoire la gare de Barbery sur la ligne de Chantilly - Gouvieux à Crépy-en-Valois, qui a fonctionné de 1870 à 1939.
Après les destructions de la Première Guerre mondiale, la gare est reconstruite sur les plans de Gustave Umbdenstock
La gare de Barbery.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département du Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1802 du canton de Nanteuil-le-Haudouin[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, comprenant toujours Borest, passe de 19 à 46 communes.
Intercommunalité
Jusqu'au début de l'année 2009, la commune appartenait à la communauté de communes du Pays de Senlis qui regroupait 19 collectivités.
À la suite de désaccords profonds entre élus des communes membres[26], le préfet a décidé de dissoudre l'intercommunalité le [27].
Il autorise la création:
- de la Communauté de communes des Trois Forêts (CC3F) avec les 5 communes de Senlis, Aumont-en-Halatte, Courteuil, Chamant et Fleurines.
- de la communauté de communes Cœur Sud Oise (CCCSO), regroupant treize communes et dont le siège était à Ognon, l'une des plus petites de l'intercommunalité[28].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29],[30], le schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet de l'Oise le prévoit notamment la fusion de la communauté de communes des Trois Forêts et de la communauté de communes Cœur Sud Oise[31].
Après consultation des conseils municipaux et communautaires concernés[32], la nouvelle intercommunalité, recréant de fait l'ancienne communauté de communes du Pays de Senlis (sans Orry-la-Ville)[33], dont la scission en 2010 avait créée ces deux intercommunalités, est constituée au par un arrêté préfectoral du sous le nom de communauté de communes Senlis Sud Oise, dont la commune est désormais membre.
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2019, la commune comptait 338 habitants[Note 8], en augmentation de 2,74% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
240
327
335
356
427
407
407
388
359
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
361
306
326
310
312
327
327
316
336
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
314
303
271
236
257
255
257
287
305
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
312
295
310
271
343
326
339
349
329
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
338
338
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 164 hommes pour 174 femmes, soit un taux de 51,48% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
0,6
3,0
75-89 ans
5,7
18,9
60-74 ans
14,9
26,2
45-59 ans
25,3
15,9
30-44 ans
20,7
9,8
15-29 ans
17,2
26,2
0-14 ans
15,5
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les communes de Senlis, Ermenonville, Borest, Mont-l’Evèque et Fontaine-Chaalis sollicitent en 2013 leur reconnaissance comme Pays d’art et d’histoire[42].
Borest compte trois monuments historiques sur son territoire:
La Queusse de Gargantua, route de Nanteuil (D 330a), au carrefour avec la rue aux Pierres, à l'entrée du village en venant de Senlis, menhir (classé monument historique par arrêté du 10 juillet 1944[43]): Bloc de grès mesurant près de 4,5 m de haut, pour un tiers enfoncé dans le sol. Queuse signifie pierre à aiguiser[44].
Église Saint-Martin, rue de l'Église (inscrite monument historique en 1930[45]): L'église est remarquablement situé au sommet d'une butte, et sa silhouette s'apprécie particulièrement depuis la vallée, de la route venant de Fontaine-Chaalis. Son histoire reste mal connue. L'intéressant portail du milieu du XIIesiècle est la partie la plus ancienne de l'église. Le chœur au chevet plat éclairé par un triplet, ses deux chapelles latérales et le petit clocher forment un ensemble cohérent de style gothique, qui se distingue par son dépouillement raffiné, et tire son influence de l'architecture cisterciennes et de l'abbatiale de Chaalis toute proche. La nef et son unique bas-côté ont été reconstruites au second quart du XVIesiècle dans le style gothique flamboyant, et sont également d'une construction soignée, même si les contraintes économiques ont obligé de concentrer l'effort décoratif sur l'intérieur[46],[47].
Article détaillé: Église Saint-Martin de Borest.
Vestiges du prieuré Sainte-Geneviève, sur l'emprise de la grande ferme à l'ouest du village, rue Élisabeth-Roussel (inscrits monument historique en 1930[48]): Il s'agit d'une partie de son ancien logis du XIVesiècle et des ruines de sa chapelle du XIIesiècle, lourdement endommagée début septembre 1914 lors de la Première Guerre mondiale. N'en restent qu'une partie du chœur et le mur oriental du clocher roman, qui était encore intact au début des années 1960, mais s'est écroulé ensuite en l'absence d'entretien. Le clocher se dressait sur la première travée du chœur, qui en comptait deux. De l'étage de beffroi du clocher, subsistent deux baies plein cintre cantonnées de colonnettes à chapiteaux, dont le caractère permet une datation pour la fin du XIesiècle. Rien de précis n'est connu de la nef de l'église[49],[50],[51].
Le clocher de l'église, vu depuis la rue de la fontaine Saint-Martin.
L'église Saint-Martin de Borest, vue depuis le nord-ouest.
Le logis du XIVesiècle de l'ancien prieuré Sainte-Geneviève, façade ouest.
Colombier, vestige du clocher de la chapelle du XIIesiècle et façade sud du logis.
Le portail de l'église Saint-Martin, de la période de transition entre le roman et le gothique.
On peut également signaler:
À côté de la ruine du clocher u prieuré Sainte-Geneviève, se trouve un magnifique colombier du XVIIesiècle sous la forme d'une épaisse tour ronde.
La fontaine Saint-Martin, rue de la Fontaine-Saint-Martin: source captée à environ 1,30 m en dessous du niveau de la rue. Un escalier permet de descendre vers le petit bassin d'environ 2 m2, et un mur bas en pierres brutes entoure la cavité afin d'éviter des chutes accidentelles des piétons. Cette source à débit relativement important alimente le lavoir voisin et, par son intermédiaire, la Nonette. Depuis la fontaine, l'on bénéficie d'une belle vue sur le clocher de l'église en haut de sa butte, et l'on aperçoit le vieux moulin transformé en habitation, entouré d'un vaste jardin.
Le lavoir de la fontaine Saint-Martin, rue de la fontaine Saint-Martin: bassin en contrebas de la fontaine, avec deux toits en appentis de gauche et de droite, et des murs de trois côtés, sauf vers la Nonette. Le bassin se situe à la même hauteur que la source voisine, et des escaliers permettent d'y accéder: du fait que l'on ne peut pas contourner le bassin à l'intérieur du lavoir, il faut deux accès différents. Celui de droite est situé sous le pignon, vers la rue; celui de gauche est situé dans le mur latéral, sur le court chemin conduisant vers l'abreuvoir sur la Nonette. Cet abreuvoir ne dispose pas d'aménagements particuliers; il se présente comme un simple gué, mais d'un côté de la rivière seulement.
Le château de la Boissière, rue de l'Église: voisin de l'église, il se présente comme un sobre bâtiment de style classique, à un étage et avec un toit à la Mansart, couvert d'ardoise. Avec sa situation privilégiée en haut de la butte, il surplombe la vallée de la Nonette et domine son parc paysager qui s'étend jusqu'à la rue du Pont Saint-Martin. Des douves le protègent vers la rue; il s'agit d'un ruisseau canalisé dont le lit a été aménagé avec des murs. Au sein du parc, la Nonette se divise en deux bras, et un étang avec des îles contribue également à son charme.
Le parc Saint-Vincent, rue Élisabeth-Roussel: parc d'une grande demeure de la fin de l'Ancien Régime, aménagé sous le Second Empire. Complètement laissé à l'abandon depuis la Seconde Guerre mondiale, ce parc de 3ha n'a été restauré qu'à la fin du XXesiècle par son actuel propriétaire, qui l'a traité en jardin anglais. Le parc comporte un potager, une gloriette, un lavoir et surtout un étang avec une île, et descend jusqu'à la Nonette. Il est ouvert au public du 1er juin au 15 octobre, du vendredi au lundi ainsi que les jours fériés, les après-midis, moyennant un droit d'entrée[52],[53].
Le calvaire, près du menhir, route de Nanteuil: haute et mince colonne monolithique en pierre sur un socle relativement petit, surmonté d'un crucifix en fer forgé, finement ciselé.
Rue de la Fontaine-Saint-Martin: la fontaine Saint-Martin, au premier plan, et le lavoir.
Le lavoir de la fontaine Saint-Martin, depuis le sud. Il est traversé par le ruisseau issu de la source.
Le calvaire au carrefour à l'entrée du village depuis la D 330, en face du cimetière et non loin du menhir.
Le château de la Boissière, vu depuis la rue de la Fontaine-Saint-Martin.
Le manoir Saint-Vincent, de la fin du XVIIIesiècle, réaménagé sous le Second Empire.
L'ancien moulin
Personnalités liées à la commune
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Maurice Delaigue, La Nonette: Une vallée prestigieuse au nord de Paris, S.l., s.n., s.d. (ca. 1980), 190p. (ISBN978-2-9504569-2-2 et 2-9504569-2-8)
René de Maricourt, «Les gravures murales de Borest», Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, Imprimerie de Eugène Dufresne, 2e série, vol.X, , p.70-76 (ISSN1162-8820, lire en ligne)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Distances mesurées avec l'outil proposé sur le site «Géoportail», sur geoportail.gouv.fr (consulté le ); à partir de la carte topographique 1: 25 000e affichée en 3D.
Parcelles n° 32-33, 35-39, 41, 48, 63-66 et 69.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Les maires rebelles montent au créneau», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
«Le préfet dissout la communauté de communes», Le Parisien, (lire en ligne).
«La nouvelle donne de l'intercommunalité», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)«Sur les cendres encore fumantes de la communauté de communes du Pays de Senlis (CCPS), de nouvelles entités sont en train de naître, reflétant l'éclatement d'un Pays de Senlis désormais bien morcelé. Sur les dix-neuf communes qui composaient la CCPS, ce sont les treize villages rebelles ayant souhaité et obtenu la dissolution qui ont le plus avancé sur leur nouvelle organisation. (...) Ce nouveau regroupement intercommunal est désormais entré dans une phase plus concrète puisque le préfet de l'Oise vient d'en valider le périmètre et les statuts. Avec un peu moins de cinq mille habitants, les treize membres de Cœur Sud Oise ont désormais leur avenir intercommunal en main pour mettre sur pied la communauté de communes à échelle humaine dont ils rêvaient».
«Oise: voici le nouveau schéma départemental finalisé», L'Observateur de Beauvais, (lire en ligne).
«Des vœux en guise d’adieux pour Cœur Sud Oise», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)«Senlis Sud Oise marquera la renaissance du Pays de Senlis — sans compter toutefois Orry-la-Ville qui a rejoint l’Aire cantilienne — mais dans un climat plus apaisé que celui qui avait conduit à la dissolution de ce dernier en 2009. De graves désaccords entre Senlis et les treize communes parties fonder Cœur Sud Oise avaient provoqué la séparation. «C’est surtout notre bilan humain qu’il faut mettre en avant, conclut Alain Battaglia. Cœur Sud Oise nous a permis de nouer des contacts très forts entre nous et, cet acquis-là, on ne nous l’enlèvera jamais».
EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll.«Annuaire des maires de France», , 254p. (ISBN978-2-35258-160-4, lire en ligne), p.43.
Hervé Sénamaud, «Cinq communes en quête du label Pays d’art et d’histoire», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
«Menhir», notice noPA00114537, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Cf. Louis Graves, Notice archéologique sur le département de l'Oise, Achille Desjardins, Beauvais 1839, 258 p.; p. 11; Lire sur Gallica.
«Église Saint-Martin», notice noPA00114536, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Dominique Vermand, Églises de l'Oise: Canton de Nanteuil-le-Haudouin, Beauvais, Conseil général de l'Oise / comité départemental du tourisme, , 32p., p.9.
Dominique Vermand, Églises de l'Oise: Canton de Nanteuil-le-Haudouin, Beauvais, Conseil général de l'Oise / comité départemental du tourisme, , 32p., p.10.
Voir des photos du monument: a) le clocher avant la guerre: Notice noAPTCF06879, base Mémoire, ministère français de la Culture; b) le clocher après les destructions: Notice noAP70V01741, base Mémoire, ministère français de la Culture.
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