Bivès (Vivèrs en gascon) est une commune française située dans le nord-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée «Toscane française».
Bivès
Vue générale.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Gers
Arrondissement
Condom
Intercommunalité
Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire Mandat
Chantal Calac 2020-2026
Code postal
32380
Code commune
32055
Démographie
Gentilé
Bivèsiens, Bivèsiennes
Population municipale
134 hab. (2019 )
Densité
13 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 50′ 03″ nord, 0° 48′ 20″ est
Altitude
182 m Min. 107 m Max. 192 m
Superficie
9,93 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Fleurance-Lomagne
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
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Bivès
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Bivès
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Bivès
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Bivès
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Bivès est une commune rurale qui compte 134 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 549 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Bivèsiens ou Bivèsiennes.
Géographie
Localisation
Cette commune rurale se situe en Gascogne dans la vallée de l'Arrats en Lomagne à 28 kilomètre au nord-est d’Auch qui est la préfecture.
Bivès se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Voies de communication et transports
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Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Barrère, le ruisseau de Muras, le ruisseau de Napard, le ruisseau de Saudroue et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier de Bivès.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 13,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ste-Anne», sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[11] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 27 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour 1981-2010[15] à 13,5°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17]:
les «bois et bosquets de Bives» (826ha), couvrant 4 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17]:
les «collines de Saint-Léonard à Bivès» (817ha), couvrant 4 communes du département[19];
le «cours de l'Arrats» (815ha), couvrant 30 communes dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Bivès.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Bivès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (80,7%), zones agricoles hétérogènes (15,3%), forêts (4%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Bivès est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arrats. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2008, 2009 et 2018[27],[24].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bivès.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 75 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 75 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
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Histoire
Au Xesiècle, Bivès était le fief de la famille de ce nom. Dès 1418 le fief devient celui de la maison de Marrenx. L’une ou l’autre de ces familles a pu construire la partie la plus ancienne du château de Bivès. Puis par alliance à partir du XVesiècle, le château est la propriété des Castelbajac.
En effet, Pierre de Castelbajac, Seigneur de Paridoux épouse en 1520, Rose de Marrenx, dame de Bivès. Les terres sont vendues en 1557 pour 1370 livres à Bernard de Roquelaure.
Son petit fils, Bernard de Castelbajac passe bail à bâtir avec les maçons du village les et pour opérer des démolitions et d'importantes transformations du château auquel il a été adjoint un corps de logis d’un étage, parallélépipède flanqué au nord-est d’une tour ronde, gage d’une vis de pierre.
Sa petite fille, seigneuresse de Bivès, Philiberte de Castelbajac, épousera Octavien II du Bouzet coseigneur de Ligardes, capitaine du régiment de Roquepine, deuxième fils d’Octavien I, le . Elle lui apportera donc le village de Bivès en dot.
En 1629 un contrat passé avec un maître lissier d’Aubusson témoigne des préoccupations décoratives du château de Bivès.
Devenu par échange la propriété d'Henri de Preissac d'Esclignac qui plus tard émigrera. Le château sera alors vendu comme un bien national le .
En 1855 Bivès devient la propriété de la famille de Mellis. Le château sera victime d'un incendie. Une reconstruction partielle fera l'objet d’une transformation et d’un changement de style renaissance. Dorénavant l’image actuelle du château n’a pas changé.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2019, la commune comptait 134 habitants[Note 7], en augmentation de 8,94% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
495
508
549
502
549
452
445
425
455
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
406
376
378
342
338
342
317
286
272
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
255
259
216
239
238
249
220
206
193
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2017
170
147
133
125
130
131
131
124
133
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
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134
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-
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De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Depuis le dernier recensement de 2007, on y compte 138 habitants. La moyenne est de 13,9 habitants par km². Depuis 1999, la population de Bivès a augmenté de 6,2%.
Enseignement
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En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 76 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9% d'actifs (69,7% ayant un emploi et 9,2% de chômeurs) et 21,1% d'inactifs[Note 8],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6%[I 8].
Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 40% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 83% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 9] sont implantés à Bivès au [I 11].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Bivès), contre 14,4% au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[38] et enfin à 17 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[39],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 773ha en 1988 à 965ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 57ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
À Bivès se trouve quelques curiosités telles que:
un château des XIIIeetXIVesiècles remanié Renaissance;
des pigeonniers;
un moulin à vent;
la chapelle Notre-Dame-des-Neiges du Chicoy.
L’église Saint-André
L'église paroissiale est en réalité une ancienne chapelle voûtée en berceau avec une sacristie du XIIesiècle. La nef, le chœur et le clocher-mur datent de 1612.
Le clocher comporte cinq arcades toutes garnies de leur cloche. Ce qui est rarissime.
En entrant dans la chapelle, le regard se porte à droite sur une statue moderne d’un bienheureux Martyr de Germain de Paris: Antoine Charles Octavien du Bouzet (1739-1792)[40] né au château de Bivès.
Celui-ci au diocèse de Lectoure, fut vicaire général de Reims et abbé commendataire de Notre-Dame-des-Vertus à partir de 1775. Il fut a assassiné lors des massacres de , le 3, en l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés à Paris où il a été incarcéré pour refus de serment. Il sera béatifié sous Pie XI le comme faisant partie des "Martyrs de Septembre".
Un des vitraux près du chœur représente saint André.
En 1853, l’église sera restaurée.
Actuellement le clocher se détériore et des travaux doivent être entrepris pour le restaurer.
L'édifice est répertorié dans la base Mérimée[41].
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.II: Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39919209)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel de La Torre, Gers: Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5032-2, BNF35576310).
Concernant Antoine Charles Octavien du Bouzet, l'on peut lire: Pierre-Louis Péchenard, Deux confesseurs de la foi: Vincent Abraham et Antoine-Charles-Octavien Du Bouzet, massacrés à Paris les 2 et 3 septembre 1792, Paris: J. Mersch, 1901, 29 p.
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