Beyren-lès-Sierck est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Pour les articles homonymes, voir Beyren et Beyren (ruisseau).
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Beyren-lès-Sierck Gandren | |
![]() Église Saint Barthélémy. | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | Communauté de communes de Cattenom et environs |
Maire Mandat |
Philippe Gaillot 2020-2026 |
Code postal | 57570 |
Code commune | 57076 |
Démographie | |
Population municipale |
508 hab. (2019 ![]() |
Densité | 55 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 28′ 19″ nord, 6° 17′ 16″ est |
Altitude | Min. 154 m Max. 268 m |
Superficie | 9,28 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Luxembourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Yutz |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.beyren-gandren.fr |
modifier ![]() |
Puttelange-lès-Thionville | Schengen ( ![]() | |
Rodemack | ![]() |
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Fixem | Haute-Kontz |
La commune se compose de deux villages : Beyren et Gandren.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Beyren, le ruisseau l'Altbach et le ruisseau Deibicherbaach[Carte 1].
Le Beyren, d'une longueur totale de 19,4 km, prend sa source dans la commune de Zoufftgen et se jette dans Ruisseau de Boler à Gavisse, après avoir traversé sept communes[1].
Le ruisseau l'Altbach, d'une longueur totale de 16,6 km, prend sa source dans la commune de Mondorff et se jette dans la Moselle à Haute-Kontz, après avoir traversé cinq communes[2].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de Beyren et du ruisseau l'Altbach, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique du ruisseau l'Altbach était jugé mauvais (rouge)[Carte 2].
Beyren-lès-Sierck est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[6],[7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,9 %), prairies (42,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), forêts (0,1 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Beyren est un ancien village du duché de Luxembourg, il fut administré par la seigneurie de Rodemack. D'autre part, il a aussi dépendu en partie de la seigneurie foncière de Schengen et en partie de celle de Puttelange[12].
Ancienne paroisse de l'archevêché de Trèves (doyenné de Remich)[10].
N'ayant pas formé une dépendance de la prévôté de Thionville, dans laquelle il se trouvait enclavé, cet endroit a continué de ressortir du duché de Luxembourg après le traité des Pyrénées et ne passa à la France qu'en vertu du traité de limites de 1769[12]. Beyren fut ensuite incorporé en 1773 dans le bailliage de Thionville[10].
La commune a absorbé la localité de Gandren en 1812[11].
En 1817, ce village avait 259 habitants, 47 maisons, un moulin et un territoire productif de 363 hectares en terres et prés[13].
![]() |
Blason | Écartelé aux 1 et 4 de gueules à l'écusson d'argent, et aux 2 et 3 d'argent à la croix ancrée de gueules, une crosse d'or en pal brochant sur le tout[14]. |
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Détails |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 1959 | mars 1983 | Roger Leick | ||
mars 1983 | mars 2001 | Gérard Linster | ||
mars 2001 | mars 2008 | Claude Seiter | ||
mars 2008 | mai 2020 | Émile Reicher | ||
mai 2020 | En cours | Philippe Gaillot |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].
En 2019, la commune comptait 508 habitants[Note 3], en diminution de 3,79 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,03 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1836 | 1841 | 1861 | 1866 | 1871 |
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284 | 228 | 204 | 527 | 690 | 687 | 603 | 595 | 583 |
1875 | 1880 | 1885 | 1890 | 1895 | 1900 | 1905 | 1910 | 1921 |
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532 | 520 | 493 | 486 | 479 | 447 | 453 | 459 | 436 |
1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 |
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448 | 414 | 385 | 317 | 330 | 302 | 307 | 308 | 353 |
1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 | 2018 | 2019 | - | - |
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430 | 426 | 462 | 472 | 528 | 508 | 508 | - | - |
Alain Immer, président de la fête du Jambon qui se tient traditionnellement le premier week-end du mois de juillet.
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