Belle-Église est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
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Belle-Église est un village picard du Pays de Thelle situé dans l'Oise mais limitrophe du Val-d'Oise, à 18 km au nord-est de Pontoise, 38 km au nord de Paris, 28 km au sud-est de Beauvais et à 33 km à l'est de Gisors. Il est desservi par les anciennes route nationale 1 et route nationale 323 (actuelles RD 1001et RD 923), et est traversée par l'Autoroute A16
La commune est desservie par la gare de Bornel - Belle-Église sur la ligne de Paris à Beauvais. Cette gare,, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais est située sur la commune de Bornel.
Le village est traversé par le Sentier de grande randonnée GR 11 surnommé le «Grand Tour De Paris».
Belle-Église se situe dans la vallée de l'Esches, qui la traverse et est un affluent de la rive droite de l'Oise, donc un sous-affluent de la Seine.
La limite sud-ouest du territoire communal est constituée par le lit de du ruisseau la Gobette
Autrefois existaient sur le territoire communal deux moulins à eau[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Pontoise - Aero», sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[8] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9°C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Le Bourget», sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 30 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[12] à 11,6°C pour 1981-2010[13], puis à 12,1°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels
La commune comprend trois bois classés "espaces boisés classées à conserver", qui sont: le bois Chevalot, 10ha, le bois de Saint-Just de 10ha et le bois de Montagny.
Urbanisme
Typologie
Belle-Église est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bornel, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 5 426 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (59,4%), forêts (18,3%), zones agricoles hétérogènes (16,8%), zones urbanisées (3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24]
Hameaux et écarts
Le hameau de Montagny-Prouvaire.
Belle-Église est constituée de quatre hameaux: Montagny-Prouvaire, Landrimont, Gandicourt et Plantoignon[1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 109, alors qu'il était de 105 en 2013 et de 103 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 82,6% étaient des résidences principales, 8,2% des résidences secondaires et 9,2% des logements vacants. Ces logements étaient pour 100% d'entre eux des maisons individuelles et pour 0% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Belle-Église en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,2%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,4% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
8,2
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
9,2
7,1
8,2
Toponymie
Son nom a évolué de Belaglisa en 1164[1], Bertetela, Bera-Ecclesia en 1190, Bella-Ecclesia en 1214.
Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Belle-Montagne[25].
Histoire
Selon Louis Graves, «Belléglise appartenait au treizième siècle à une famille qui portait le nom du pays et qui contracta des alliances avec la maison de Beaumont-sur-Oise. Dans les derniers temps, la seigneurie était divisée entre les chevaliers de Malte et l'Abbaye de Royaumont à laquelle Saint-Louis avait donné des bois et une ferme considérable[26]».
Lors des batailles de la Libération de la France de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le eut lieu la bataille de Ronquerolles, en limite des communes de Ronquerolles, Bornel, Belle-Église et d'Hédouville, entre un petit groupe de résistants français et les troupes d'occupation et de répression allemandes de la Sicherungs-Regiment 6, évaluées à trois bataillons, soit de 800 à 1 000 hommes. Sur 17 résistants arrêtés par les Allemands, 11 sont fusillés à L'Isle-Adam et 2 sont déportés[27],[28],[29],[30],[31],[32].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[33], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[34],[35].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise puis communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [36].
Articles connexes: Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Équipements et services publics
Enseignement
Les Belle-Eglisiens disposent d’une école, d’un centre périscolaire avec cantine, garderie, et centre de loisirs pendant les vacances[1].
Culture
La commune dispose d'une bibliothèque municipale[1].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2019, la commune comptait 621 habitants[Note 8], en diminution de 0,96% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
277
303
352
351
382
329
336
352
352
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
381
399
412
403
392
361
451
357
414
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
419
330
405
451
403
408
410
380
389
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
388
406
430
449
503
561
568
592
612
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
621
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 300 hommes pour 308 femmes, soit un taux de 50,66% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
1,0
4,4
75-89 ans
5,0
16,2
60-74 ans
16,5
26,7
45-59 ans
22,6
16,3
30-44 ans
19,5
16,8
15-29 ans
17,0
19,6
0-14 ans
18,4
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Manifestations culturelles et festivités
La Fête de l'attelage, dont la 12eédition a eu lieu en , organisée par les Attelages des Vieux Chariots de Belle-Église, l’association pour la Sauvegarde de l’Environnement de Belle-Église (SEBE), Pomme Cidre et Traditions de Belle-Église et les Go West Dancers de Bornel[48].
Économie
La commune ne compte plus, en 2016, de commerces de proximité. Ses activités sont constituées par l'hôtel 4 étoiles du Château Saint-Just, le restaurant gastronomique La grange de Belle-Église (une étoile au Michelin en 2016[49]) et une société d’agencement, de menuiserie, et de mobilier[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Martin de Belle-Église, rue des Écoles: Contrairement à ce qu'annoncent ses élévations extérieures dénuées de caractère, c'est un édifice d'une surprenante complexité, qui n'est que le résultat des agrandissements et remaniements successifs depuis la fin du XIIesiècle. Seulement la base du clocher roman de la fin du XIe ou du premier quart XIIesiècle subsiste d'origine. Elle se caractérise par sa voûte en berceau, sa grande profondeur et ses murs très épais. Le reste du chœur et de ses deux collatéraux est gothique. Il n'y a guère deux travées analogues, et la plupart des styles architecturaux sont représentés. Cependant, la plupart des travées a été bâtie avec grand soin, et l'architecture des parties orientales est tout sauf rustique. L'on trouve même des éléments remarquables par leur qualité, telles que les voûtes à six branches d'ogives du chœur et du croisillon nord avec leurs supports, ou par leur originalité. L'édifice n'est pas protégé au titre des monuments historiques, mais plusieurs éléments de son mobilier et quatre vitraux le sont en revanche[50],[51].
Article détaillé: Église Saint-Martin de Belle-Église.
Ruines du chœur de la chapelle du prieuré Saint-Jacques, à la sortie sud du village mais noyées dans la végétation, datables du milieu du XIIesiècle. Ce prieuré a été fondé en 1090 par Lancelin de Belle-Église et dépendait de la puissante abbaye Saint-Martin de Pontoise[52]
Château de Saint-Just, en dehors du village, sur la RD 923 en direction de Chambly: appelé d'abord hôtel de Villiers, le château prend son nom définitif avec l'arrivée d'Oudin de Saint-Just en 1450. C'est une construction des XIIe, XIVe, XVIIe, XVIIIeetXIXesiècles. Le château a appartenu successivement aux Villiers, aux Montmorency par alliance en 1415, aux Saint-Just par acquêt en 1450, aux Mérard de Saint-Just par acquêt en 1751, aux marquis de Persan, au général Servan de Gerbey puis aux comtes de Ribes par acquêt en 1826.
Avec son parc de 14 hectares, le château Saint-Just est en 2016 un hôtel 4 étoiles[1].
Jean Vergnet-Ruiz, «Notes pour l'histoire et l'épigraohie du canton de Neuilly-en-Thelle: II: Belle-Église», Comptes-rendus et mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Senlis, années 1967-1968, 1969, p.15-34 (lire en ligne, consulté le ).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Alice Ancelin, «Belle-Église, village aux quatre hameaux», L'Observateur de Beauvais, no959, , p.18.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 144p. (lire en ligne), p.41-42, sur Google Books.
«6 mois avec sursis pour le chasseur imprudent», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Vernet, «Un premier mandat pour Philippe Vincenti», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Philippe Vincenti a été élu par 11 voix, contre 4».
Réélu pour le mandat 2014-2020: «Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés», L'Écho du Thelle, no523, , p.12.
EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll.«Annuaire des maires de France», , 254p. (ISBN978-2-35258-160-4, lire en ligne), p.37.
«Les giboulées ont arrosé la fête de l’Attelage: Alors qu’elle accueille habituellement des milliers de personnes, la dernière Fête de l’Attelage qui a eu lieu dimanche a été victime des intempéries. Pourtant le spectacle prévu était de grande qualité!», L'Écho du Thelle, no631, , p.13.
C.B., V.G., E.L.-S. et P.C, «Oise: quatre restaurants savourent leur étoile au Guide Michelin», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)«Pour garder son étoile, l’établissement «suit les saisons en changeant la carte trois fois par an, explique Marc Duval. En ce moment, ce sont les huîtres et les couteaux. J’essaie de créer des recettes par amour du métier. L’écume du consommé de coquillage au caviar Baeri, je n’en ai jamais vu ailleurs».
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