Balzac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
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Balzac | |
Mairie de Balzac. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Charente |
Arrondissement | Angoulême |
Intercommunalité | GrandAngoulême |
Maire Mandat |
Jean-Claude Courari 2020-2026 |
Code postal | 16430 |
Code commune | 16026 |
Démographie | |
Gentilé | Balzatois |
Population municipale |
1 359 hab. (2019 ![]() |
Densité | 141 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 42′ 38″ nord, 0° 08′ 14″ est |
Altitude | Min. 30 m Max. 102 m |
Superficie | 9,64 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gond-Pontouvre |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.balzac.fr |
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Elle fait partie du Grand Angoulême. Ses habitants sont appelés les Balzatois et Balzatoises[1].
La commune de Balzac est située à environ 7 km au nord-ouest d'Angoulême, dans un méandre du fleuve Charente, près de sa confluence avec l'Argence, formant une sorte de presqu'île.
La route d'Angoulême à Vars (D 737) est la principale voie de communication de la commune, qu'elle parcourt du sud au nord[2].
Ses habitants, les Balzatois, vivent dans plusieurs lieux-dits tels que les Genins, les Rochiers, le Terrier de Bourguignol, les Chabots, les Essarts, les Texiers, les Bourdeix, etc., principalement situés sur les hauteurs.
Récemment, des noms de rues sont apparus tels que « rue des Genins », « rue des Essards », etc.
Vars | ||
Vindelle | ![]() |
Champniers |
Saint-Yrieix-sur-Charente | Gond-Pontouvre |
La commune de Balzac occupe l'intérieur d'un large méandre de la Charente. Le sol d'une grande moitié orientale de la commune, celle la plus en hauteur, est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien).
Le centre du bourg, entre les Labbés, les Génins et les Texier, est occupé par des alluvions anciennes du Quaternaire.
La partie occidentale de la commune, entre la Chapelle et les Chabots, est occupée par d'autres alluvions, qui forment une basse terrasse. Le lit du fleuve (zone inondable) est lui-même constitué d'alluvions encore plus récentes (limons, argile sableuse, tourbe)[3],[4],[5],[6].
Le dos de terrain qui sépare la vallée de la Charente de celle de l'Argence forme une sorte de longue falaise, très élevée et escarpée dans sa partie septentrionale qui est la rive concave du méandre du fleuve, aux environs des villages de Coursac et de la Font-Saint-Martin, et qui s'abaisse progressivement pour venir mourir au pied du château de Balzac.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 102 m, situé à Puylebin à l'est de Coursac. Le point le plus bas est à 30 m, situé au confluent de l'Argence en limite avec Gond-Pontouvre. Le bourg est à environ 60 m d'altitude[2].
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, l'Argence et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Charente borde la commune à l'ouest, qui est située dans son large méandre. Elle forme de nombreux bras. D'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source dans la commune de Chéronnac et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[9].
L'Argence, ruisseau en provenance de Tourriers, limite la commune à l'est en aval de Vouillac jusqu'à son confluent[2]. D'une longueur totale de 4 km, elle prend sa source dans la commune de Jauldes et se jette dans la Charente sur la commune, après avoir traversé 5 communes[10].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[7] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Balzac est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[17] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (11,1 %), forêts (8,8 %), prairies (8,6 %), cultures permanentes (2,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Balzac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et l'Argence. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2021[25],[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 631 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 631 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2010, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Les formes anciennes sont Balazacum et Balazaco en 1298[28].
D'après Dauzat, l'origine du nom de Balzac remonterait à un personnage gallo-romain Ballitius, lui-même dérivant de Ballius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Ballitiacum , ou « domaine de Ballitius »[29]. D'après une autre source, Balatius est un nom d'homme gaulois, délivré de Balatos[30],[31].
L'archéologie aérienne a mis en évidence aux coteaux de Coursac un éperon barré du Néolithique et de l'âge du bronze, sur une position dominant la Charente[32].
Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Balzac se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Marcillac-Lanville, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[33].
Un château a existé au XIIe siècle, et la terre de Balzac était un ancien fief relevant de l'évêché d'Angoulême et de la baronnie de Tourriers, laquelle fut acquise en 1398 par Guy de La Rochefoucauld. Du XIIe au XVIIe siècle, le château est passé en de multiples mains. Le château actuel a été reconstruit sur le même site vers 1600 par Guillaume Guez et son épouse, quittant de temps en temps pour la campagne leur maison d'Angoulême. C'était la résidence de la famille Guez de Balzac et Jean-Louis Guez de Balzac, le Restaurateur de la langue française, y a vécu.
Du 4 mars au , Marie de Médicis y fut hébergée par les Guez, « ne voulant point faire séjour autre part, jusqu'à la paix que lui donna son fils Louis Treizième ». Le château devint lors de ce séjour le carrefour de personnalités de l'époque, comme Richelieu, le duc d'Épernon, le cardinal de La Rochefoucauld, le comte de Béthune[34].
La route de Vars était un chemin saunier qui partait du port de Basseau et l'on y transportait le sel à dos d'âne[35]. Le toponyme la Montée des Sauniers en haut de Coursac est demeuré[2].
Autrefois, au Terrier de Bourguignol, appelé à l'époque plantier de Bourguignone, situé près du Pont Suraud sur l'Argence, était un dolmen appelé tombeau du Bourguignon, encore visible en 1760[36],[37].
Au tout début du XXe siècle, les cerises et les petits pois de Balzac étaient particulièrement appréciés, d'Angoulême jusqu'à Paris. Les prairies fournissaient du lait alimentant deux importantes laiteries de la commune, dirigées par M. Hortolan et M. Rochier[38].
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Blason | Écartelé : Aux 1er et 4e de sinople à trois gousses de petits-pois, feuillées et posées en bouquet en ombre de sable, aux 2e et 3e d'argent au huchet d'or, le pavillon à senestre[39]. |
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Détails | Armes non conforme aux règles héraldiques. |
La commune de Balzac, créée dans le canton de Vars en 1793 est passée dans celui de Hiersac en 1801, d'Angoulême-2 en 1815, de Ruelle en 1973, et enfin de Gond-Pontouvre en 1982. Elle a donc appartenu à cinq cantons différents.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1790 | 1791 | Pierre Doyen | Laboureur | |
1791 | 1795 | Pierre David | Cultivateur | |
1795 | 1797 | Jean Guionnet | Meunier à La Chapelle | |
1797 | 1800 | Jean Rochier | Cultivateur | |
1800 | 1812 | Jean Fretillier | Cultivateur | |
1812 | 1815 | Louis Pierre Neullier Nogueira | Propriétaire, négociant | |
1815 | 1816 | Pierre Richon | Militaire retraité, propriétaire | |
1816 | 1826 | Jean Fretillier[Note 3] | Cultivateur | |
1826 | 1830 | François Barreiron de Villamon | Propriétaire | |
1830 | 1843 | Pierre Richon | Propriétaire | |
1843 | 1848 | Jean Fretillier | Propriétaire, cultivateur | |
1848 | 1852 | Jean Rochier | Boulanger | |
1852 | 1870 | Pierre Doyen | Propriétaire, cultivateur | |
1870 | 1871 | Jacques Rouffignac | Propriétaire, cultivateur | |
1871 | 1874 | Pierre Doyen[Note 4] | Propriétaire, cultivateur | |
1874 | 1875 | François Richon | Cultivateur | |
1875 | 1879 | Pierre Richon[Note 5] | Propriétaire, cultivateur | |
1879 | 1889 | Pierre Élie Doyen | Propriétaire, cultivateur | |
1889 | 1890 | Jean Justin Lair | Propriétaire, cultivateur | |
1890 | 1924 | Pierre Élie Doyen | Propriétaire, cultivateur | |
1924 | 1925 | Adrien Hortolan | Laitier, beurrier et fromager | |
1925 | 1931 | Jean Rochier | Laitier | |
1931 | 1938 | Angel Brebinaud | Cultivateur | |
1938 | 1945 | Albéric Rochier | Cultivateur et boulanger | |
1945 | 1966 | Albert Brillat | Cheminot | |
1966 | 1970 | Jean Caillaud | Ingénieur des Arts et Métiers | |
1970 | 1971 | Gérard Courlit | Agriculteur | |
1971 | 1977 | Jacques Maridat | Chirurgien dentiste | |
1977 | 1995 | Robert Dervaux | Ingénieur chez GDF | |
1995 | En cours (au 6 juin 2020) |
Jean-Claude Courari | PS | Technicien assainissement |
Balzac était aussi le lieu du siège de l'ancienne communauté de communes de Braconne et Charente.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 1 359 habitants[Note 6], en augmentation de 2,1 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
957 | 1 016 | 905 | 961 | 1 000 | 968 | 942 | 928 | 918 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
838 | 815 | 785 | 780 | 768 | 798 | 727 | 705 | 688 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
708 | 644 | 612 | 605 | 623 | 613 | 621 | 644 | 606 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 | 2015 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
687 | 809 | 934 | 1 185 | 1 237 | 1 233 | 1 232 | 1 303 | 1 329 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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1 359 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 670 hommes pour 678 femmes, soit un taux de 50,3 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,1 | 90 ou + | 0,7 |
8,1 | 75-89 ans | 9,3 |
23,2 | 60-74 ans | 21,0 |
22,9 | 45-59 ans | 22,9 |
16,4 | 30-44 ans | 16,5 |
13,2 | 15-29 ans | 12,9 |
16,0 | 0-14 ans | 16,7 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1 | 90 ou + | 2,5 |
8,9 | 75-89 ans | 11,8 |
20 | 60-74 ans | 20,3 |
21 | 45-59 ans | 20,8 |
16,9 | 30-44 ans | 16,2 |
15,6 | 15-29 ans | 13,7 |
16,6 | 0-14 ans | 14,7 |
Balzac qui avait perdu 30 % de sa population dans la deuxième moitié du XIXe siècle puis stabilisé sa démographie a retrouvé une augmentation constante durant le dernier quart du XXe siècle.
La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[46].
L'école est un RPI entre Balzac et Vindelle. Balzac accueille l'école primaire (maternelle et du CP au CE2) et Vindelle l'école élémentaire (du CE2 au CM2). L'école Jean-Caillaud de Balzac est située aux Genins[47].
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