Baillet-en-FranceÉcouter est une commune du Val-d'Oise située en plaine de France, à l'orée de la forêt de L'Isle-Adam et à environ 20 km au nord de Paris.
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Paysage de la commune: la ferme du Grand Gournay .
Baillet-en-France est une commune périurbaine du Pays de France située à 23 km au nord de Paris et à 18 km à l'est de Cergy, entre le Parc naturel régional du Vexin français et le Parc naturel régional Oise-Pays de France.
Elle est desservie par la Croix-Verte, un vaste échangeur qui connecte la route nationale 104 (La Francilienne), l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 301) et l'autoroute A16.
La commune s'étend au pied méridional des pentes de la forêt de L'Isle-Adam sur la plaine de France.
Baillet-en-France est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Montsoult, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 7 282 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Le nom de Baillet provient probablement du latin baliolum, peut-être dérivé du celte bali, «allée d'ombre».
Histoire
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Préhistoire
Un site protohistorique a été découvert sur le territoire de Baillet, avec du mobilier céramique et en pierre (broyeur à grain)[12]
Antiquité et Moyen Âge
Le site est occupé dès le Vesiècleav. J.-C. comme l'atteste la découverte d'un habitat rural sur son territoire. Le village est pour première fois mentionné en 832 dans un inventaire de l'abbaye de Saint-Denis que fit Hilduin.
Baillet passa ensuite à la maison de Courtenay, puis à une famille désignée par un sobriquet. Un des membres de cette dernière, Jean Hutin, surnommé le Baveux, était chambellan du duc de Bourgogne en 1379.
Lors de la Guerre de Cent Ans, les Anglais anéantissent le village entre 1420-1436[12].
Jehanne La Baveuse, fille de Jean, dame de Baillet en 1446, rendait hommage au duc de Bourgogne, à cause de son fief, qui relevait du comté de Clermont.
Son fils Jacques prit le nom d'une seigneurie d'O, qu'il possédait entre Sées et Argentan. Il était chambellan du duc de Bourgogne. Ses deux héritiers, Charles et Jacques, morts, l'un en 1584 et l'autre en 1613, furent inhumés dans l'église de Baillet, qui est dédiée à saint Martin. Au XVIIIesiècle, le village de Baillet avait passé en diverses mains mais le duc de Lauraguais en possédait la plus grande partie.
Le fief, possession des comtes d'O au Moyen Âge, se développe autour de son château féodal, avant de devenir une possession des Guise qui plongent la région dans les guerres de Religion.
Époque moderne
Le duc de Choiseul-Praslin acquiert le village au XIXesiècle et en devient le bienfaiteur; il fait passer la commune dans l'ère moderne. Le village est pillé durant la guerre de 1870.
Le château est acheté en 1937 par l'Union fraternelle des métallurgistes CGT de la région parisienne qui le transforme ainsi que son parc en parc de loisirs après l'instauration des congés payés en 1936. Saisi en 1939, le château est transformé par le Gouvernement Daladier en un camp d’internement pour prisonniers politiques[13],[14], puis en novembre 1940 en un centre des jeunesses pétainistes[12]. Restitué à la CGT après-guerre, il fonctionne jusqu'en 1972, date à laquelle il est vendu à la C.N.P.O (Caisse Nationale de Prévoyance des Ouvriers du Bâtiment). Des fouilles archéologiques ont eu lieu en 2004 qui réactivent l'histoire du parc Henri-Gautier à Baillet[15].
Article connexe: Camp d'internement français.
D'autres fouilles effectuées fin 2012 ont exhumé des éléments sculptés par Joseph Moïseevitch Tchaïkov(en) du pavillon soviétique de l'exposition universelle de 1937[16].
En , l'apparition d'un agroglyphe dans un champ de blé de la commune, repéré par un pilote de l'aéroclub d'Enghien Moisselles, entraîne un afflux de visiteurs qui y voient l'œuvre d'extraterrestres ou d'êtres surnaturels, certains venant même y prier[17],[18]. Le vulgarisateur en astronomie Arnaud Thiry —créateur l'année précédente d'un cercle de culture à Sarraltroff, conçu comme un test à destination des experts en ufologie— révèle finalement que l'agroglyphe de Baillet-en-France est lui aussi une réalisation humaine, inspirée de celle de Sarraltroff[19].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Écouen , année où elle intègre le canton de Sarcelles-Centre de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle rejoint en 1967 le canton de Viarmes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Baillet-en-France fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en février 2008[22]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[23],[24].
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Domont
Articles détaillés: Liste des cantons du Val-d'Oise, Conseil départemental du Val-d'Oise et Liste des conseillers départementaux du Val-d'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives du Val-d'Oise et Liste des députés du Val-d'Oise.
Intercommunalité
Baillet-en-France est membre de la communauté de communes Carnelle Pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Fonctionnaire Vice-présidente de la CC Carnelle Pays de France (2018 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[26],[27]
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2019, la commune comptait 1 899 habitants[Note 3], en diminution de 6,27% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
168
189
189
197
212
224
200
204
185
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
192
189
234
221
246
238
224
240
254
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
242
239
241
290
366
393
381
439
438
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
437
451
1 472
1 495
1 409
1 710
1 787
1 815
1 975
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 031
1 899
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Petite enfance
Une micro-crèche municipale gérée par une structure privée est créée en 2016 avec le soutien financier de la Caf, de la communauté de communes et du Conseil départemental. Elle a une capacité de 10 berceaux
[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Baillet-en-France ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire, hormis son parc.
Église Saint-Martin (XVIe – XIXesiècles): C'est un petit édifice d'une facture simple, avec une nef unique de trois travées et un chœur également de trois travées, se terminant par un chevet en hémicycle. Bâti en 1529, c'est la partie la plus ancienne de l'église et pourrait être l'ancienne chapelle des seigneurs d'O. La tour carrée au nord de la première travée du chœur fut remaniée en 1760. Une chapelle latérale d'une travée flanque le clocher et la seconde travée du chœur. Toutes les fenêtres sont plein cintre. Le porche devant la façade occidentale montre l'influence du classicisme et constitue le seul élément extérieur à avoir bénéficié d'une modeste ornementation sculptée. L'intérieur de l'église est revêtu de lambris en bois de chêne, offert par le comte de Choiseul en 1830[32],[33]. La cloche de 1601[34]; la dalle funéraire avec le gisant de Charles d'O et son épouse Madeleine de L'Hôpital-Vitry[35] et le tableau représentant saint Philippe au recto saint Barthélémy au verso[36] sont classés monument historique au titre des objets.
Fontaine publique, place de la Fontaine: C'est un bel exemplaire du début de la fabrication industrielle de mobilier urbain en fonte, avec un riche décor dont des motifs végétaux et des têtes de lion. Elle est offerte vers 1820 par le comte de Choiseul, ramenant l'eau potable au milieu du village grâce à une conduite en pierre depuis le ruisseau dit «Fontaine des Fièvres»[32].
Ancien relais de poste, place de la Fontaine: L'actuelle boulangerie-pâtisserie, jadis également café, est l'un des plus anciens commerces du village et était encore un relais de poste au début du XXesiècle[32].
Le parc de Baillet [37] est un secteur de la forêt de Montmorency aujourd'hui séparé de cette dernière par la Francilienne. L'accès se fait par l'ancien portail du parc du château, au nord du village. Au parc de Baillet, se situe une mare aménagée au Moyen Âge.
Centre international Joseph Wresinski, de l'association Aide à toute détresse quart monde: À l'emplacement de l'ancien hôtel seigneurial du Petit-Gournay, le comte de Choiseul fait édifier un pensionnat pour jeunes filles vers le milieu du XIXesiècle, et confie la gestion aux sœurs hospitalières de Saint-Charles. L'instruction y est gratuite mais également dominée par la religion. Le pensionnat fonctionne après la Seconde Guerre mondiale au bout d'une longue période de déclin, mais le bâtiment reste occupé par les sœurs de Saint-André-de-la-Croix jusque dans les années 1980. Depuis, l'association ATD Quart monde s'y est installée avec son quartier général, à proximité de l'ancienne résidence du père Wresinski à Méry-sur-Oise, et les archives du fondateur de l'œuvre humanitaire y sont conservées[32]. Les anciens bâtiments du pensionnat ont fait l'objet d'une restauration et ont été complétés par une aile supplémentaire.
Statue monumentale «Notre-Dame de France, reine de la Paix», entre Montsoult et Moisselles, chemin Notre-Dame-de-France (accès depuis la zone d'activités de Baillet près du carrefour de la Croix Verte et de la gare de Montsoult - Maffliers): œuvre de Roger de Villiers et Raymond Subes, cette statue de la Vierge couronnait le pavillon du Vatican durant l'exposition universelle de 1937. Après avoir été installée dans la cour de la chapelle Notre-Dame-de-la-Salette de Suresnes jusqu'en 1959[38] puis été stockée dans les sous-sols de la mairie communiste d'Amiens[39], elle est remontée au cœur de la plaine de France en 1988[32]. Au pied de la statue, haute de sept mètres, un oratoire ouvert nuit et jour et une chapelle consacrée en 2018 accueillent les pèlerins et les visiteurs, notamment plus de cinq mille Tamouls chaque 15 août. La communauté chrétienne chaldéenne vient aussi s’y recueillir[40],[41].
Jean ou Jehan Hutin Le Baveux[42], confident de Charles V, lieutenant et chambellan[43] du duc de Bourgogne en 1369. Il était seigneur de Fresnes et Gaillicourt, seigneur de Baillet-en-France[44] et Franconville en 1377[45]. Il épouse en 1382 Jacqueline de Vieuxpont, fille de Jean II de Vieuxpont et de Jeanne de Vendôme. Il épouse ensuite Mathilde de Poissy.
Claude Ciari, guitariste du groupe Les Champions, a habité au n° 26 Grande-Rue dans les années 1970, devenue depuis rue Jean-Nicolas[réf.nécessaire].
Robert Quibel, dit Bob Quibel (1930-2013), contrebassiste, arrangeur et chef d'orchestre français, mort et enterré à Baillet-en-France.
Michel Sénéchal (1927-2018), artiste lyrique enterré à Baillet-en-France.
Baillet-en-France dans les arts
Article détaillé: Liste de films tournés à Baillet-en-France.
Héraldique
Baillet-en-France
D'azur à la croix d'argent chargée en cœur d'un lion de sable, cantonnée de douze fleurs de lys aussi d'argent ordonnées 2 et 1
«Baillet-en-France», Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
«Baillet-en-France dans l’histoire: Ce village a conservé un caractère rural et l’habitat neuf est maîtrisé. L’ancien parc, autrefois un centre de loisirs pour les métallos, est maintenant ouvert au public», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Thierry Marchand, Camps d'internement en France, 1939-1940: La drôle de guerre des "indésirables" français, Éditions Charles Corlet, , 258p. (ISBN978-2-84706-733-0, présentation en ligne)
David Livois, «Les centres d’internement de la Seconde Guerre mondiale, des camps oubliés de l’histoire d’Île-de-France: Des militants communistes enfermés dans la ferme réquisitionnée des Rothschild, un château appartenant à la CGT transformée pour l’enfermement de syndicalistes... Un ouvrage revient sur les cinq camps d’internement des «indésirables» en Île-de-France, un aspect méconnu de l’histoire de la Seconde Guerre mondial», Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
Dufils Aurélia, Le parc de loisirs de Baillet, une réalisation sociale de l’union syndicale CGT des travailleurs métallurgistes de la région parisienne, de 1937 à 1972, mémoire de maîtrise d'histoire sous la direction de D.Tartakowsky, 2005
Anne Collin, «Maires consultés par Macron: «On ne veut pas d’une mise en musique avec quelqu’un qui fait la partition»: La maire de Baillet-en-France, Christiane Aknouche, figurait parmi les élus invités ce jeudi à échanger sur la crise sanitaire avec le président de la République. L’occasion de «renouer un dialogue un peu perdu», Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )«La maire (SE) de Baillet-en-France faisait partie des édiles invités ce jeudi après-midi à dialoguer avec Emmanuel Macron en visioconférence. A l’ordre du jour, trois points principaux: la vaccination, les perspectives de réouvertures et le plan de relance».
Réélue pour le mandat 2014-2020: Isabelle Godart, «Aknouche réélue haut la main», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Julien Ducouret, «La micro-crèche de Baillet-en-France va ouvrir le 4 mars: C’est imminent. La micro-crèche de Baillet-en-France est sur le point d’ouvrir ses portes. Cette structure répond à un réel besoin sur le territoire (Ndlr: 2 026 habitants à Baillet et 21 151 sur la communauté de communes), qui ne comptait aucune structure collective jusqu’à présent, alors qu’une vingtaine de demandes ont été enregistrées avant même l’ouverture. Nouvelle donne dès le 4 mars», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Baillet-en-France», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol.II, , p.939-941 (ISBN2-84234-056-6).
Mathieu Lours, «Baillet-en-France - Saint-Martin», Églises du Val-d’Oise: Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p.53-54 (ISBN9782953155402).
«Cloche», notice noPM95000055, base Palissy, ministère français de la Culture.
«Dalle funéraire», notice noPM95000054, base Palissy, ministère français de la Culture.
«Tableaux», notice noPM95000807, base Palissy, ministère français de la Culture.
«Ancien parc», notice noIA95000014, base Mérimée, ministère français de la Culture.
ND-de-la-Salette, eglise-suresnes.org, consulté le 29 octobre 2018.
Louise Alméras, Notre-Dame-de-France, la cosmopolite, Famille chrétienne n°2127, du 20 au 26 octobre 2018, pp. 18-19
Fabrice Cahen, «Val-d'Oise. 30 ans de Notre-Dame de France à la Croix-Verte: Érigée en 1988, la monumentale statue Notre-Dame de France fêtera ses 30 ans à Baillet-en-France (Val-d'Oise)», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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