Audignon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Audignon
Le chevet de l'église d'Audignon.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Landes
Arrondissement
Mont-de-Marsan
Intercommunalité
Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire Mandat
Marcel Pruet 2020-2026
Code postal
40500
Code commune
40017
Démographie
Gentilé
Audignonais, Audignonaises
Population municipale
397 hab. (2019 )
Densité
43 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 43′ 24″ nord, 0° 36′ 10″ ouest
Altitude
Min. 37 m Max. 116 m
Superficie
9,31 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Mont-de-Marsan (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Chalosse Tursan
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
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Audignon
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Audignon
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Audignon
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Audignon
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Audignon est connu dans les milieux de la géologie et de la Préhistoire, pour l'anticlinal d'Audignon, l'un des plis les plus étendus d'Aquitaine, qui a fourni entre autres les silex de Montaut, matière première largement utilisée pour la fabrication d'outils et autres artéfacts pendant la Préhistoire, notamment sur le grand atelier de taille du site préhistorique d'Arcet à Montaut.
Géographie
Localisation
Audignon est situé en Gascogne, dans le sud-ouest du département des Landes, au sud de l'Adour, en Chalosse, et plus précisément en plein cœur de la Haute-Chalosse.
Sa préfecture Mont-de-Marsan est à 24 km (par la route) au N-N-E,
Dax à 43 km à l'ouest,
Aire-sur-l'Adour et l'échangeur no6 de l' l'autoroute A65 à 36 km à l'est[1].
Sur la commune se situe l'anticlinal d'Audignon, formant presqu'île qui s'érode au Miocène moyen (environ 13 Ma)[3].
C'est l'un des plis les plus étendus d'Aquitaine avec 28 km de longueur entre Mugron (12 km à l'ouest[2]) et Aire-sur-Adour (26 km à l'est[2]), selon un axe plus ou moins parallèle à l'axe des Pyrénées[4].
Séronie-Vivien, Séronie-Vivien & Foucher (2006) le décrivent comme «un vaste anticlinal à cœur crétacé inférieur auréolé de Crétacé supérieur»[5].
Le Crétacé[6] (145- 66 Ma) y est en partie recouvert par du Miocène-Pliocène[4] (23,03 - 5,333 Ma et 5,333 - 2,58 Ma). Le centre de l'anticlinal est formé de dépôts marins appartenant à l'Albien (113 - 100,5 Ma), au Cénomanien (100,5 - 93,9 Ma) et au Turonien (93,9 - 89,8 Ma) («c1-2»[7], jonction Crétacé inférieur / C. supérieur, en bleu-vert clair sur la carte[8]). Le Sénonien (fin du Crétacé) affleure sur les bordures[4]. Il est marqué de failles sur sa retombée au nord[9].
L'anticlinal est voisin d'un phénomène diapirique du côté de Brassempouy[10] (qui se trouve à une quinzaine de km au sud-est).
Ses silex comme matière première pendant la Préhistoire
La présence dans l'anticlinal d'Audignon de calcaires à silex du Campanien et du Maastrichien explique au moins pour partie l'importance des occupations préhistoriques. Les altérites recouvrant cette structure géologique, les coulées de solifluxion qui la nappent[11] et les formations alluviales qui la bordent ou la traversent, livrent un matériau facilement accessible qui, non gelé, est de bonne qualité. Pour les sites du nord du Bassin aquitain, c'est la première bonne source de matière première lithique rencontrée après la traversée des Landes[4]. Le silex maastrichtien à lepidorbitoides, individualisé dès 1988 pour des artefacts archéologiques trouvés dans le nord de l'Aquitaine, ne peut provenir que du piémont pyrénéen. Il est sourcé en Chalosse (anticlinal d'Audignon), dans les Petites Pyrénées (Pyrénées centrales) — comme par exemple le silex de Tarté[12] sur Cassagne en Haute-Garonne —, et ils sont suspectés dans l'ouest de l'Armagnac (Gers)[12]. Le grand atelier de taille préhistorique d'Arcet à Montaut (3,5 km au nord-ouest) a largement exploité cette ressource.
Traces de bitume et recherches pétrolières
La découverte de traces de bitume sur les structures d'Audignon et de Bastennes-Gaujacq (une quinzaine de km au sud-ouest d'Audignon et à l'ouest d'Hagetmau[2]) a déclenché les recherches pétrolières de la SNPA (maintenant Elf Aquitaine) dans le sud-ouest de la France[10],[Note 1].
Altitude
La commune est à une altitude de 80 mètres environ[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique d'une part, et les climats de montagne et semi-continental d'autre part. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]
Moyenne annuelle de température: 13,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Benquet», sur la commune de Benquet, mise en service en 1972[19] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 1 005,6 mm pour la période 1981-2010[21].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Mont-de-Marsan», sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 20 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour la période 1971-2000[23], à 13,5°C pour 1981-2010[24], puis à 13,9°C pour 1991-2020[25].
Urbanisme
Typologie
Audignon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[27],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (43,2%), forêts (28%), zones agricoles hétérogènes (25,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9%)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Audignon est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gabas et le ruisseau de Laudon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009[34],[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[35]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[36].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Audignon.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 69% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 188 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 137 sont en en aléa moyen ou fort, soit 73%, à comparer aux 17% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Toponymie
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Histoire
Préhistoire
Le territoire est occupé dès le Paléolithique.
Les silex de l'anticlinal d'Audignon sont une matière première importante pour la fabrication d'outils, armes etc. Le grand atelier de taille de silex d'Arcet a livré essentiellement du matériel solutréen[39], mais aussi des traces d'Aurignacien, de Gravettien et d'Azilien[40].
Protohistoire ou Antiquité
Camp protohistorique ou / et gallo-romain de Lassalle
Au milieu d'un camp ovale[41], un espace plus saillant de 20 mètres de diamètre est entouré d’un fossé qui semble constituer une motte castrale[42].
Moyen Âge
La commune est une ancienne étape sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
La construction de la bastide débute au XIesiècle.
Au XIIIesiècle, Audignon est le siège d'une ancienne commanderie du Saint-Esprit relevant d'Auray.
La petite église d'Arcet, bâtie par les Jacobins de Saint-Sever[43] à 3,7 km au nord-ouest d'Audignon[2], devient peu après sa construction la chapelle du nouveau château d'Arcet[44]. Avant la Révolution, elle est une sous-annexe de l'église de Banos, elle-même une annexe de la paroisse d'Audignon; elle est desservie par le vicaire de Banos, entretenu par le curé d'Audignon. Outre d'être le siège d'une confrérie en l'honneur de saint Michel, elle est particulièrement dédiée au culte du diacre martyr saint Vincent de Saragosse, patron des vignerons; la fontaine miraculeuse qui est un attribut de ce culte attirait de nombreux pèlerins[43].
Temps modernes
Lors de la formation des communes en 1790, Montaut absorbe Arcet, commune éphémère[45]. Jusque là, Arcet dépendait de la paroisse d'Audignon.
Au XVIIIesiècle, l'église d'Audignon reçoit un grand retable baroque doré et polychrome. Ce retable est placé devant un retable en pierre du début du XVesiècle, avec arcature peint de 20 effigies, dans le style gothique anglais. Découvert par hasard en 1962, ce retable en pierre a été classé monument historique en 1963[46].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1983
2001
Gabriel Garosi
Psychologue scolaire retraité
mars 2001
En cours
Marcel Pruet
PS
Agriculteur, Président de la Communauté de Communes
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2019, la commune comptait 397 habitants[Note 8], en augmentation de 2,85% par rapport à 2013 (Landes: +4,14%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
581
582
617
588
641
614
578
573
558
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
556
533
526
502
504
520
499
507
502
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
522
538
502
456
467
442
415
371
349
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
337
333
289
294
318
328
344
370
389
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
397
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église d'Audignon.
L'église Notre-Dame est un édifice classé Monument historique depuis le . Fondée fin XIe - début XIIesiècle, cette petite église paroissiale remarquable, aussi nommée Sainte-Marie d’Audignon, se situe dans la vallée du Laudon, sur la via Lemovicensis du chemin de Compostelle. Dans son premier état, l’église, de dimensions assez modestes, présentait un parti général très simple, comportant un chevet voûté ouvrant sur une nef charpentée. De cet édifice, les destructions entraînées par les guerres, des adjonctions et deux agrandissements n’ont pratiquement laissé subsister que le chevet, qui se détache aujourd’hui en avant des volumes plus informes de deux collatéraux[51]. Seule l'abside en moyen appareil régulier, épaulée par deux colonnes et couronnée d'une corniche à boules portée par des chapiteaux et des modillons sculptés, est encore entièrement romane. La nef a été allongée et flanquée de bas-côtés aux XVe – XVIesiècles, un clocher-porche fortifié achève l'ensemble. À l'intérieur, outre un décor sculpté roman avec chapiteaux historiés, plusieurs retables ornent l'église. Celui du chœur, découvert par hasard en 1962, est une pure merveille de style gothique anglais, daté du XVesiècle.
Château de Captan (XIXesiècle), de style Renaissance, classé Monument historique[52]
Jean René Dabadie, né à Audignon le , doyen centenaire de la commune; il a participé à la Seconde Guerre mondiale puis, fait prisonnier par les Allemands, il s'est évadé.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
En 1942 Jean Cuvillier, figure de proue de la nummulitique, organise à Dax un laboratoire de géologie et micropaléontologie stratigraphiques, pour la Société nationale des pétroles d'Aquitaine; à partir de cette date il commence à développer cette science, en insistant sur l'importance des recherches micropaléontologiques en stratigraphie.
Voir «Jean Cuvillier (1899-1969)», sur universalis.fr (consulté en ).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[16].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Audignon», sur google.fr/maps.
Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Itinéraires").
«Audignon, carte interactive» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques» et «Hydrographie» activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
[Capdeville et al. 1997] Jean-Pierre Capdeville, Marie-Christine Gineste (Préhistoire, archéologie), Alain Turq (Préhistoire, archéologie) et Philippe Vergain (Préhistoire, archéologie), Notice explicative de la carte de géologie au 1/50000e «Hagetmau» no978, Orléans, BRGM, , 70p. (lire en ligne[PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr), p.58.
[Séronie-Vivien, Séronie-Vivien & Foucher 2006] Micheline Séronie-Vivien, Marie-Roger Séronie-Vivien et Pascal Foucher, «L'économie du silex au Paléolithique supérieur dans le bassin d'Aquitaine. Le cas des silex à lépidorbitoïdes des Pyrénées centrales. Caractérisation et implications méthodologiques», Paléo, no18, , p.193-216 (lire en ligne[sur journals.openedition.org]), p....
«Carte géologique centrée sur l'anticlinal d'Audignon» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques» et «Géologie» activées. Pour mieux voir l'une ou l'autre carte, modifiez-en la transparence dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
[Lenoir & Merlet 2013] Michel Lenoir et Jean-Claude Merlet, «Un faciès solutréen particulier en Aquitaine: le Solutréen de Montaut (Landes)», Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, no47 «Le Solutréen 40 ans après Smith66», , p.419-429 (lire en ligne[sur persee]), p.427.
[Sébie 1864] Abbé Sébie, «La paroisse de Montaut (Landes) pendant la Révolution française», Revue de Gascogne, t.5, , p.209-228 (lire en ligne[sur gallica])p.223.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Arcet», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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