Aroue-Ithorots-Olhaïby est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Aroue, Ithorots et Olhaïby.
Aroue-Ithorots-Olhaïby
La chapelle d'Olhaïby.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Bayonne
Intercommunalité
Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire Mandat
Michel Sicre 2020-2026
Code postal
64120
Code commune
64049
Démographie
Gentilé
Arüetar
Population municipale
232 hab. (2019 )
Densité
13 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 19′ 09″ nord, 0° 54′ 59″ ouest
Altitude
Min. 89 m Max. 231 m
Superficie
17,85 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Saint-Palais (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Aroue-Ithorots-Olhaïby
Géolocalisation sur la carte: France
Aroue-Ithorots-Olhaïby
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
Aroue-Ithorots-Olhaïby
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Aroue-Ithorots-Olhaïby
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Géographie
Localisation
La commune d'Aroue-Ithorots-Olhaïby se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 57 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 66 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 10 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Etcharry (1,0 km), Lichos (3,7 km), Nabas (3,8 km), Charritte-de-Bas (3,9 km), Domezain-Berraute (4,0 km), Charre (4,0 km), Rivehaute (4,2 km), Gestas (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Aroue-Ithorots-Olhaïby fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.
Aroue (Aroue-Ithorots-Olhaïbe, Pyr-Atl, Fr) l'église dans la lumière du matin.JPG|L'église Saint-Étienne d'Aroue dans la lumière du matin.
Voies de communications et transports
La commune est desservie par la route départementale 11.
Lieux-dits et hameaux
Cinq quartiers composent la commune d'Aroue-Ithorots-Olhaiby[12]:
Aroue
Elizatea
Aldegaraia
Aldepea
Ithorots
Ithorrotze (Ithorots en français)
Olhaiby
Olhaibi (Olhaïby en français).
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier d'Aroue-Ithorots-Olhaïby.
La commune est drainée par le Lauhirasse, le Lafaure, un bras du Lafaure, un bras du Lafaure, le Hourquet, thiankoenerreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[13],[Carte 1].
Le Lauhirasse, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune de Lohitzun-Oyhercq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison à Guinarthe-Parenties, après avoir traversé 5 communes[14].
Le Lafaure, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Lohitzun-Oyhercq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison à Espiute, après avoir traversé 5 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]
Moyenne annuelle de température: 13,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gladie», sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[21] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[22],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14°C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[23].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 40 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[25], à 13,4°C pour 1981-2010[26], puis à 13,8°C pour 1991-2020[27].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: «le Saison (cours d'eau)»[29], d'une superficie de 2 200ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[30],[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Aroue-Ithorots-Olhaïby est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (34,3%), zones agricoles hétérogènes (29,2%), forêts (21,6%), terres arables (14,6%), eaux continentales[Note 10] (0,4%)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aroue-Ithorots-Olhaïby est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Aroue-Ithorots-Olhaïby est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aroue-Ithorots-Olhaïby.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009 et 2014[37].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Aroue apparaît sous les formes
Aroe (1337[44]),
Aroa (1385[45], collection Duchesne volume CXIV[46]),
Aroe et Sent Stephen d'Aroe (respectivement[45] 1460 et 1469, contrats d'Ohix[47]),
Degaierie de Aroa (1520[44]) et
Aroue (1690[44]).
Le toponyme Ithorots apparaît sous les formes
Ithorrodz (1337[44]),
Uthorrotz (1469[44]),
Itorrotz, Utorrotz, Uturrotz et Ytorrotz (respectivement[45] 1469, 1478, vers 1480 et 1482, contrats d'Ohix[47]),
Uthurrotz (1480[44]),
Yptorrotz et Iptorrotz (1690[44]),
Ithorrots (1793[48] ou an II) et
Ittorolz (1801[48], Bulletin des Lois).
Le toponyme Olhaïbi apparaît sous les formes
Olhaivie (1308[44]),
Olhabie (1375[45], contrats de Luntz[49]),
Olfabie (1376[45], montre militaire de Béarn[50]),
Olhaibie et Olhabia (respectivement[45] 1385 et 1407, collection Duchesne volume CXIV[46]),
Olhayvi (1496[45], contrats d'Ohix[47]),
Olharby (1563[45], aveux de Languedoc[51]),
Olhayby et Olhaybié (1690[44]) et
Olhaiby (1793[52] ou an II).
Étymologie
Jean-Baptiste Orpustan[44] indique qu'Ithorots pourrait signifier 'source, fontaine froide' et Olhaïby 'le gué des cabanes'.
Autres toponymes
Le toponyme Abbadie est mentionné en 1863 (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[45]) et provient de l'abbaye laïque d'Ithorots, vassale de la vicomté de Soule.
Bartulague désignait une ferme d’Ithorots-Olhaïby, déjà mentionnée sous les graphies Bairulague (1477[45], contrats d'Ohix[47]) et Barhulague (1863[45], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Béloscar est une ferme d’Aroue, dont les contrats d’Ohix[47] font mention en 1496[45].
L'hydronyme Lafaure apparaît sous les formes
la Phaura en 1538[45] (réformation de Béarn[53]) et
la Phaure et 1863[45].
Olhassaria était un fief d’Aroue, vassal de la vicomté de Soule, mentionné sous les graphies
Olhassari (XVIIesiècle[45], titres D'Arthez-Lassalle[54]) et
Olhassarry (1863[45], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Graphie basque
Son nom basque actuel est Arüe-Ithorrotze-Olhaibi[55].
Histoire
Paul Raymond[45] note qu'Aroue était un des sept vics de la Soule, et dépendait de la messagerie de la Barhoue.
Il y avait à Ithorots une abbaye laïque[45] vassale de la vicomté de Soule.
Le fief d'Olhaïby était vassal de la vicomté de Soule, et son titulaire était l'un des dix potestats de Soule[45].
La commune fut "temple de la Raison" pendant la Révolution, sans doute à cause du voisinage béarnais, Aroue fut la seule commune basque à adopter la politique jacobine antireligieuse.
Entre 1790 et 1794, la commune d'Ithorots absorbe[48] Olhaïby pour former la nouvelle commune d'Ithorots-Olhaïby. Le (par arrêté préfectoral du ), la commune d'Aroue absorbe Ithorots-Olhaïby pour former la nouvelle commune d'Aroue-Ithorots-Olhaïby.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1953
2001
Franz Duboscq
UDR-RPR-UMP
Agriculteur Conseiller général du canton de Saint-Palais (1971-1994), député (1968-1973), sénateur (1983-1992), Président du Conseil Général (1976-1995)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[59].
En 2019, la commune comptait 232 habitants[Note 12], en diminution de 6,45% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
464
379
543
509
514
555
535
500
506
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
506
466
393
400
402
368
340
355
352
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
328
345
326
268
277
254
249
270
265
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
268
223
286
249
254
230
246
260
245
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
248
232
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique
De 1793 à 1968, la population indiquée ne reflète que celle d'Aroue, encore séparé d'Ithorots-Olhaïby, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[48].
Évolution de la population
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
257
265
254
312
292
302
298
300
264
Évolution de la population, suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
263
249
241
211
224
220
207
205
205
Évolution de la population, suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
199
199
196
163
153
142
136
122
93
Évolution de la population, suite (3)
1962
1968
-
-
-
-
-
-
-
87
85
-
-
-
-
-
-
-
(Sources: Cassini)
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Étienne d'Aroue dans la lumière du matin.La tour de l'église d'Aroue.Stèle discoïdale du cimetière d'Aroue.La mairie, située à Aroue.Vue du village d'Ithorots, l'église, le fronton, au fond: le château.L'église d'Ithorots.
Patrimoine civil
C’est un village à l’architecture typique de l'est du Pays basque: toits à deux pentes couverts de tuiles, murs blanchis à la chaux, avec, dans le bourg, des maisons du XVIesiècle.
Comme dans beaucoup de villages basques, le fronton de pelote voisine avec l’église.
Il existe deux châteaux sur la commune, celui de Joantho et celui d’Abbadie.
Patrimoine religieux
La commune se trouve sur le GR 65. Elle marque le début du 7etronçon de ce GR inscrit par l'UNESCO au Patrimoine mondial. Le dossier de présentation à l'UNESCO la situe sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Il n'y a pas de véritable justification historique à cela mais c'est un fait contemporain important pour cette petite localité. Une justification a été trouvée par le docteur Urrutibetehy, pionnier du tracé des chemins dans la région (c'est lui qui a installé la stèle dite de Gibraltar et en a fait un point de convergence de ces chemins). Il a vu dans le cavalier figurant sur le linteau de la porte de la sacristie une représentation de saint Jacques Matamore.
L’église Saint-Étienne[62] à Aroue, romane remaniée au XIXesiècle présente parmi ses sculptures du XIIesiècle un saint Jacques à cheval, image espagnole du «matamoro».
L'église Saint-Samson[63], d'Ithorots, date du XIXesiècle.
L'église d'Olhaïby recèle du mobilier[64] du XVIIIesiècle, inventorié par le ministère de la Culture (retable[65], chandeliers[66], statues[67], tabernacle[68], tableau[69], croix d'autel[70] et de procession[71]).
Personnalités liées à la commune
Franz Duboscq, né à Saint-Jean-de-Luz en 1924, fut député puis sénateur, ancien président du conseil général et maire de la commune jusqu'en 2001.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[18].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», , 246p. (ISBN978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF40190262).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Aveux de Languedoc, Archives de l'Empire
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Olhaïby», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
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