Appy est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Appy
Le village vu depuis Beille.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Ariège
Arrondissement
Foix
Intercommunalité
Communauté de communes de la Haute Ariège
Maire Mandat
David Huez 2021-2026
Code postal
09250
Code commune
09012
Démographie
Gentilé
Pynarols
Population municipale
27 hab. (2019 )
Densité
4,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées
42° 47′ 29″ nord, 1° 44′ 02″ est
Altitude
930 m Min. 744 m Max. 2 168 m
Superficie
6,1 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Haute-Ariège
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Appy
Géolocalisation sur la carte: France
Appy
Géolocalisation sur la carte: Ariège
Appy
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Appy
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Localisée dans le sud-est du département, la commune fait partie, sur le plan historique et culturel, du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau de Girabal, le ruisseau de la Cassagne et le ruisseau du lac d'Appy. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Appy est une commune rurale qui compte 27 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 236 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Pynarols ou Pynaroles.
Géographie
Localisation
Cartographies de la commune
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1Carte dynamique
2Carte Openstreetmap
3Carte topographique
4Carte avec les communes environnantes
La commune d'Appy se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 12 km d'Ax-les-Thermes[2], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ax-les-Thermes[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3]:
Caychax (1,2 km), Urs (1,7 km), Vèbre (1,9 km), Senconac (1,9 km), Axiat (2,1 km), Lordat (2,2 km), Lassur (2,4 km), Vernaux (2,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Appy fait partie du pays de Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[4].
Dans les contreforts du massif de Tabe à 930 m d'altitude, la commune se situe sur la route départementale 20, petite route de cimes dite «Route des corniches», au-dessus et relativement parallèle à la vallée de l'Ariège, dans le terroir historique du Sabarthès. On y accède depuis Les Cabannes par la D 120.
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches métamorphiques datant du Protérozoïque, le dernier éon du Précambrien sur l’échelle des temps géologiques. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille «n°1087 - Vicdessos» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,1 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est la même[7]. Son relief est particulièrement découpé puisque la dénivelée maximale atteint 1424 mètres. L'altitude du territoire varie entre 744 m et 2 168 m[12].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier d'Appy.
La commune est drainée par le ruisseau de Girabal, le ruisseau de la Cassagne et le ruisseau du lac d'Appy, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[13],[14].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat semi-continental», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[16]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[15].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 9,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 7,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20],[21] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mont d'olmes», sur la commune de Montferrier, mise en service en 2000[22] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[23],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 7,4°C et la hauteur de précipitations de 1 560 mm pour la période 1981-2010[24].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 56 km[25], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[26], à 12,3°C pour 1981-2010[27], puis à 12,7°C pour 1991-2020[28].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[29]:
le «massif de Tabe - Saint-Barthélemy» (15 185ha), couvrant 20 communes du département[30], et
les «quiès calcaires d'Albiès à Caussou» (1 328ha), couvrant 14 communes du département[31]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[29]:
les «montagnes d'Olmes» (31 924ha), couvrant 33 communes dont 31 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[32];
les «parois calcaires et quiès de la haute vallée de l'Ariège» (9 891ha), couvrant 40 communes du département[33].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Appy.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Appy est une commune rurale[Note 8],[34]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[35],[36].
La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (68,3%), forêts (18,5%), zones agricoles hétérogènes (6,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,6%)[39].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 36, alors qu'il était de 37 en 2013 et de 38 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 27,3% étaient des résidences principales, 69,9% des résidences secondaires et 2,8% des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,9% d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,1% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Appy en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (69,9%) supérieure à celle du département (24,6%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,8% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,6% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
69,9
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
2,8
9,7
8,2
Risques majeurs
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune d'Appy.
Le territoire de la commune d'Appy est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée)[40],[41].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[42].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Appy[43]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[44].
Toponymie
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Histoire
Mentionnée dès 1074, Appy fait l’objet d’une donation des comtes de Foix à l’abbaye de Cluny, sous l’appellation de «Pinus».
Sur les 49 habitants recensés en 1954, Appy comptait 7 célibataires masculins entre 20 et 40 ans. Le travail des femmes d'éleveurs est particulièrement pénible à la montagne voire jugé dégradant par les intéressées[45]. Selon Georges Bertrand, les petites communes des hautes soulanes de la haute vallée de l'Ariège ont particulièrement souffert de l'exode rural du fait de leur isolement et des conditions de vie[46].
En juillet 2020, les 11 foyers du village reçoivent en prêt gratuit une Renault Zoé avec les équipements nécessaires à la recharge afin d'expérimenter l'utilisation d'un véhicule électrique en zone de montagne isolée. Une borne publique est aussi installée au village[47].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Appy est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 6], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[48].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 6].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 6], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[49].
Tendances politiques et résultats
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Administration municipale
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1988
?
Marius Rouan
mars 2001
décembre 2020 (décès)
Yves Huez
DVG
Retraité agricole
2021
En cours
David Huez
Les données manquantes sont à compléter.
En 2016, la mairie n'occupe qu'une partie du rez-de-chaussée de son bâtiment, le reste étant constitué de logements.
Politique environnementale
En 2020, l'ensemble des foyers de la commune vont participer à une expérience de 3 années d'utilisation de véhicules électriques en zone rurale. La société Renault offre un véhicule par foyer, et son raccordement électrique de rechargement, pour étudier l'usage de ce type de véhicule en zone non urbaine[50].
Les habitants et la mairie ont alors souhaité s’assurer qu’une partie des besoins en électricité soit produite par des panneaux photovoltaïques. Avec l’appuis de la coopérative d’intérêt collectif Enercoop Midi-Pyrénées, une étude a pu être réalisée pour la mise en place d’une opération innovante d’autoconsommation collective[51]. Celle-ci doit être inaugurée en octobre 2022.
Jumelages
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Population et société
Démographie
Ses habitants sont les Pynarols et les Pynaroles[52].L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2019, la commune comptait 27 habitants[Note 9], en diminution de 15,62% par rapport à 2013 (Ariège: +0,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
178
188
202
235
236
227
215
224
224
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
165
148
141
128
134
125
126
124
106
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
100
97
100
82
77
65
70
58
49
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
34
27
20
14
7
9
21
29
24
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
27
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le village est devenu presque inhabité, à tel point qu'il y eut une période de 64 ans sans aucun mariage: le mariage de deux habitants, en 1946, et celui de 2010 qui fit l'objet d'un article dans La Dépêche du Midi pour l'occasion[57].
Manifestations culturelles et festivités
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Économie
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Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[18].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Source: Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Georges Bertrand, «Vie pastorale et industrie dans le Val d'Ariège (canton des Cabannes)., 1961, 32 (1), .», Revue Géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, Institut de géographie (Toulouse)., 1961, tome 32, fascicule 1, pp.63-73 (lire en ligne)
Georges Bertrand, «Le déclin démographique des hautes vallées pyrénéennes: l'exemple du canton des Cabannes (Ariège)», Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, tome 30, fascicule 1, (lire en ligne)
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