Alos-Sibas-Abense est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Alos, Abense et Sibas.
Alos-Sibas-Abense | |
L'église de l'Assomption d'Alos | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Pyrénées-Atlantiques |
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque |
Maire Mandat |
Jean-Pierre Iriart 2020-2026 |
Code postal | 64470 |
Code commune | 64017 |
Démographie | |
Gentilé | Aloztar |
Population municipale |
330 hab. (2019 ![]() |
Densité | 57 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 07′ 12″ nord, 0° 52′ 29″ ouest |
Altitude | Min. 204 m Max. 414 m |
Superficie | 5,78 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Montagne Basque |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | alos-sibas-abense.com |
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La commune d'Alos-Sibas-Abense se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 62 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 15 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Tardets-Sorholus (1,1 km), Trois-Villes (1,6 km), Camou-Cihigue (2,5 km), Ossas-Suhare (2,6 km), Lichans-Sunhar (2,9 km), Laguinge-Restoue (3,0 km), Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (3,8 km), Sauguis-Saint-Étienne (3,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Alos-Sibas-Abense fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.
Ossas-Suhare | Trois-Villes | |
Camou-Cihigue | ![]() |
Tardets-Sorholus |
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette | Lichans-Sunhar | Laguinge-Restoue |
La commune est drainée par le Saison, l'Apoura, le ruisseau Elgalarena, Ardünka erreka, un bras du Saison, Ilhardoiko erreka, Jaga erreka, le ruisseau de Laritolle, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9,54 km de longueur totale[12],[Carte 1].
Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[13].
L'Apoura, d'une longueur totale de 18 km, prend sa source dans la commune de Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Saison sur le territoire communal à quelques centaines de mètres au nord du bourg, après avoir traversé 3 communes[14].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Licq-Atherey », sur la commune de Licq-Athérey, mise en service en 1970[20] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[21],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 507,1 mm pour la période 1981-2010[22]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 48 km[23], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[24], à 13,4 °C pour 1981-2010[25], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[26].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[28],[Carte 2], un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du Gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[30].
Alos-Sibas-Abense est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,2 %), forêts (32 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (4,1 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
16 quartiers composent la commune d'Alos-Sibas-Abense[37] :
Le territoire de la commune d'Alos-Sibas-Abense est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et l'Aphura. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 2009[40],[38].
Alos-Sibas-Abense est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 70,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[45].
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 11]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[47].
Le toponyme Alos est mentionné en 1327[48], 1338[48] puis en 1375[49] dans les contrats de Luntz[50] pour cette dernière date, en 1405[49],[48] dans les rôles gascons (Alos in terra de Soule), puis en 1690[48].
Le toponyme Sibas apparaît sous les formes
Sivas (1178[49],[48], collection Duchesne volume CXIV[51], 1327[48] et 1690[48]) et
Sent-Martin de Sibas (1520[49],[48], coutume de Soule[52] et 1690[48]).
La forme basque est Ziboz(e) ou Ziborotz(e)[48].
Le toponyme Abense apparaît sous les graphies Evense[48], Abense prope Tardetz (1385[49], collection Duchesne volume CXIV[51]), Avense pres Tardets (1520[48]), prop Tardetz Avense (1690[48]) et Abeuze (1801[53], Bulletin des lois).
Jean-Baptiste Orpustan[48] avance que le toponyme provient d'un changement en phonétique romane de l’étymon basque Oniz > onise > oénse > auénse > abense. La base du nom est l’oronyme ona, présent également dans Bayonne et Oneix. La forme basque moderne (Onizegañia[48], Onizegañe[48] ou Omiz(e)[48]) reprend l’expression de haut (gain(e)a > gañia).
Brigitte Jobbé-Duval[54] indique qu'Oniz est le nom d’une maison basque noble.
Domec est un fief d’Alos-Sibas, dans le hameau de Sibas. Il est mentionné en 1385[49] (collection Duchesne volume CXIV[51]). Le fief dépendait de la vicomté de Soule et son titulaire comptait parmi les dix potestats de cette province.
Mendisquer est un fief d’Alos-Sibas, vassal de la vicomté de Soule, qui apparaît sous la graphie Menrisqueta en 1385[49] (collection Duchesne volume CXIV[51]).
La Salle désignait une ferme et un fief d’Alos-Sibas dépendant de la vicomté de Soule. Le toponyme est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[49] et apparaît sous la graphie La Sale de Sibas (1455, collection Duchesne volume CXIV[51]).
Son nom basque actuel est Aloze-Ziboze-Onizegaine[55].
Sibas s'est unie à Alos le [56] pour former Alos-Sibas.
Le [57], à la suite de l'annexion d'une partie du territoire d'Abense-de-Haut, la commune prend le nom d'Alos-Sibas-Abense.
La commune d'Abense-de-Haut disparaît ce même jour, son territoire étant partagé entre Alos-Sibas et Tardets-Sorholus.
Alos
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1796 | 1798 | Alexis Carriquert | ||
1798 | 1799 | Pierre Queheille | ||
1799 | 1798 | Jean Bastereche | ||
1824 | 1836 | Jean d'Arthex | ||
1836 | 1845 | Arnaud Sallabert |
Sibas
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1795 | 1798 | Jean Carrique | ||
1798 | 1808 | Philippe Etchart | ||
1808 | 1813 | Jean Harritchague | ||
1813 | 1825 | Jean Carrique | ||
1825 | 1832 | Jean-Pierre d'Arthez-Lassalle | ||
1832 | 1845 | Dominique Erbin dit Etchecopar |
Abense-de-Haut
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1793 | 1795 | André Etchart | ||
1795 | 1806 | Jean Althabegoity dit Oliberou | ||
1806 | 1810 | Arnaud Irigonegaray | ||
1810 | 1816 | Jean-Baptiste Detchandy | ||
1816 | 1824 | Casimir Etchebarne | ||
1824 | 1848 | Jean-Baptiste Detchandy |
Alos-Sibas
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1845 | 1847 | Arnaud Sallabert | ||
1847 | 1859 | Jules Basterreche |
Abense-de-Haut
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1848 | 1848 | André Etchart | ||
1848 | 1852 | Jean Etchecopar dit Etchahoun | ||
1852 | 1859 | Laurent Maytie |
Alos-Sibas-Abense
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1859 | 1871 | Jules Basterreche | ||
1871 | 1875 | Arnaud André d'Arthez Lassale | ||
1875 | 1881 | Jules Basterreche | ||
1881 | 1888 | Pierre Arainty | ||
1888 | 1896 | Pierre Arrospidegaray | ||
1896 | 1900 | Jean-Pierre Mendicouague | ||
1900 | 1904 | Arnaud Ibar | ||
1904 | 1912 | Arnaud Cocosteguy | ||
1912 | 1916 | Bernard Larragneguy | ||
1916 | 1918 | Bernard Mondot | ||
1918 | 1919 | Bernard Larragneguy | ||
1919 | 1929 | Jean Iriart | ||
1929 | 1939 | Pierre Marmissolle | ||
1939 | 1940 | Joseph Etchart | ||
1940 | 1951 | Pierre Marmissolle | ||
1951 | 1953 | Bernard Aguer | ||
1953 | 1971 | Général Pierre Montjean | ||
1971 | 1983 | Pierre Luchillo | ||
1983 | 2001 | Pierre-Clémént Iratçabal | ||
2001 | 2008 | Anne-Marie Etcheberry | REG | |
2008 | En cours | Jean-Pierre Iriart |
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du SIVOM du canton de Tardets,, du SIVU de l'école de Tardets et du SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous[58].
Le nom des habitants est Aloztar[54],[55].
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | |
---|---|---|---|---|---|---|
Alos[59] | 188 | 212 | 218 | 213 | 223 | 223 |
Sibas[60] | 122 | 110 | 105 | 137 | 133 | 130 |
Abense-de-Haut[53] | 290 | 327 | 322 | 291 | 394 | 406 |
Le , Sibas et Alos sont réunies pour former Alos-Sibas.
1841 | 1846 | 1851 | |
---|---|---|---|
Alos-Sibas | 360 | 354 | 316 |
Abense-de-Haut | 375 | 365 | 364 |
Le , une partie d'Abense-de-Haut est réunié à Alos-Sibas pour former Alos-Sibas-Abense. L'autre partie d'Abense-de-Haut est réunie avec Sorholus à Tardets.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[62].
En 2019, la commune comptait 330 habitants[Note 12], en augmentation de 8,2 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
646 | 565 | 505 | 527 | 523 | 538 | 530 | 536 | 511 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
484 | 463 | 453 | 437 | 421 | 415 | 414 | 401 | 352 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
368 | 343 | 361 | 316 | 309 | 319 | 275 | 269 | 303 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
319 | 330 | - | - | - | - | - | - | - |
La commune dispose d'une école, l'école primaire privée Basabürüa-Ikastola[64]. Cette école propose un enseignement basque par immersion.
La commune dispose d'un pôle petite enfance (halte garderie, crèche) et d'une ikastola.
L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Maison Etchandia, ancienne propriété de la famille d'Etchandy puis de la famille de Berterèche de Menditte.
La Salle d'Abense propriété de la famille Montjean.
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Blasonnement :
D’or au pont d’argent de trois arches d’argent, maçonné de sable posé sur une champagne fascée ondée d’azur et d’argent et surmonté d’un soleil virgulé de huit rais de gueules; le tout sur une champagne tiercée en pal au 1er d’or à la tour de sable ouverte et ajourée du champ, au 2e de gueules à la plume d’argent dans un encrier de sable, au 3e d’azur à trois virgules d’argent rangées en chef.
Commentaires : Devise : «atzotik biharrera» (d'hier à demain). |
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