Ahaxe-Alciette-Bascassan (en basque: Ahatsa-Altzieta-Bazkazane) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Ahaxe et Alciette-Bascassan.
La commune d'Ahaxe-Alciette-Bascassan se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 116 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 59 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 40 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2].
Sur le plan historique et culturel, Ahaxe-Alciette-Bascassan fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
Communes limitrophes d’Ahaxe-Alciette-Bascassan[11]
Réseaux hydrographique et routier d'Ahaxe-Alciette-Bascassan.
La commune est drainée par le Laurhibar, Apatéko erreka, le ruisseau le Behorleguy et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[17],[18].
Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune dans sa partie centrale et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 8 communes[19].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Irouleguy», sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[25] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[27].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Biarritz-Pays-Basque», sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 47 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 14,1°C pour la période 1971-2000[29], à 14,3°C pour 1981-2010[30], puis à 14,6°C pour 1991-2020[31].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[33],[Carte 1]:
les «montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port», d'une superficie de 11 760ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[34];
«la Nive», d'une superficie de 9 473ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[35];
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[36],[Carte 2]:
la «grotte de Mikelauenzilo et alentours» (7 568,16ha), couvrant 7 communes du département[37] et trois ZNIEFF de type 2[Note 9],[36],[Carte 3]:
le «massif des Arbailles» (14 782,04ha), couvrant 13 communes du département[38];
les «montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port» (14 133,83ha), couvrant 9 communes du département[39];
le «réseau hydrographique des Nives» (3 596,23ha), couvrant 33 communes du département[40].
Urbanisme
Typologie
Ahaxe-Alciette-Bascassan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[41],[42],[43].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[44],[45].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35%), zones agricoles hétérogènes (23,5%), prairies (22,6%), forêts (19%)[46].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ahaxe-Alciette-Bascassan est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[47]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[48].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Laurhibar. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014 et 2021[49],[47].
Ahaxe-Alciette-Bascassan est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[50]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[51],[52].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ahaxe-Alciette-Bascassan.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 48,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[54].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Ahaxe 43° 09′ 02″ N, 1° 09′ 54″ O provient de la racine toponymique basque Ahaiz[15] indiquant une hauteur; il est documenté sous les formes
Hatce (1167),
Faxe (1194[15]),
domine de ahacha (1194[15]),Assa, Aassa et Hassa (1249 pour ces trois formes)
Ahatxa (1300),
Ahaxa (1302[12], chapitre de Bayonne[55]),
Haxa et Ahaxe (1304 pour ces deux formes),
Axa (1309 et 1350[15]),
Hatxa (1350),
Hadssa (1366),
Ahtxe (1703[12]), visites du diocèse de Bayonne[56] et
Sanctus Julianus d'Ahaxe (1757[12], collations du diocèse de Bayonne[57]). Jean-Baptiste Orpustan[15] indique que le toponyme provient de la base oronymique basque(h)aitz, 'rocher'/'hauteur'. Le gentile basque est Ahatsarr[15].
Le toponyme Alciette 43° 09′ 02″ N, 1° 09′ 08″ O est une corruption du basque Altzueta[15] 'lieu où abonde l'aulne'; il est documenté sous les formes
Alsuete (1249[15]),
La Grange d'Alsuete (1302[12], chapitre de Bayonne[55]),
Alçueta (1305),
Alzueta (1513[12], titres de Pampelune[58]),
Alçuete et Alçueta (1350 pour ces deux formes),
Alchuete (1387),
Alchuette (1387[15]),
Alçueta (1621[12], Martin Biscay[59]) et
Alsiette (1667[12], règlement des États de Navarre[60]). Le gentilé est Alzietar[61].
Le toponyme Bascassan 43° 08′ 39″ N, 1° 10′ 38″ O provient d'un basque *Ba(ra)zkaitzun[15] 'lieu rocheux de la prairie'; il est documenté sous les formes
Bazquazen (1208[15]),
Bascaçen (1292),
Bascacen (1350),
Bazcacen (1366),
Basquacen (1413),
Bazcacen (1513[12], titres de Pampelune[58]),
Vazquacen (1613[15]),
Vazcazen et Vazaçan (1621[12] pour ces deux dernières formes, Martin Biscay[59]) et
Bascassan (1789[15]). Le gentilé est Bazkazandar[61].
Autres toponymes
Le toponyme Garatehegi 'versant du col' 43° 08′ 51″ N, 1° 09′ 44″ O apparaît sous les formes
Garateguia (1350[15]),
sent jullian et garateheguj (1366[15]),
la parropie de garatehegi (1413[15]),
Garatteguy (1518[12], titres de Pampelune[58]),
Garatéhéguy (1708[12], règlement de la commanderie d'Irissarry[62]) et
Garatéguy (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[12]).
Ligeta 43° 09′ 08″ N, 1° 10′ 33″ O est mentionné sous les formes
Lagueta (1264[15]),
Ligueta (1307[15]),
Liguete (1350[15], 1366[15] et 1413[15]). Le toponyme est basé sur la racine prélatine liga 'boue'[15] (que l'on retrouve dans le nom de la Loire notamment).
Libieta est un toponyme qui apparaît sous les graphies
Libiet (1621[12], Martin Biscay[59]) et
Libiette (1789[15]).
Gaztelua 'château' 43° 08′ 19″ N, 1° 10′ 08″ O apparaît sous la graphie Gastellu en 1863, dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[12].
Irigaraia 'domaine haut' est un fief indiqué en 1385 écrit Irigaraya[12] (collection Duchesne volume CXIV[63]), vassal de la vicomté de Soule.
Ahatsaxilo 'trou d'Ahatsa' est mentionné sous la forme Ahaxachilo, en 1863, par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[12]. Bastida est également indiqué dans ce dictionnaire.
errekaldea 'bord de ruisseau' 43° 08′ 20″ N, 1° 10′ 35″ O y est mentionné sous la graphie Errécaldia et a transmis son nom au dit ruisseau, un affluent du Laurhibar coulant sur Bascassan.
Curutchet (nommé également Garat[12]?) est un ancien fief d’Ahaxe, vassal du royaume de Navarre.
Paul Raymond mentionne un Etheberry[12], fief situé sur la paroisse d’Alciette, vassal du royaume de Navarre.
Graphie basque
Son nom basque actuel est Ahatsa-Altzieta-Bazkazane[1].
Histoire
La seigneurie d'Ahaxe, également dénommée seigneurie de Cize, fut alliée aux vicomtes d'Arbéroue au XIesiècle, ainsi qu'à ceux de Guiche et aux comtes de Biscaye[15].
La commune a été créée le [64] par la réunion des communes d' Ahaxe et d' Alciette-Bascassan. Dans le même temps, une partie du territoire de ces deux communes est retirée pour faire partie de la nouvelle commune d' Estérençuby.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2008
Simone Ithurbide
DVD
2008
En cours
Jean-Paul Bidart
DVD
Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat du RPI Hergaray et du syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port[65].
Population et société
Démographie
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[66] dénombre 21 feux à Ahaxe, 55 à Alciette et 23 à Bascassan.
Le recensement de 1791[67] relève, quant à lui, 337 habitants à Ahaxe.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[69].
En 2019, la commune comptait 269 habitants[Note 13], en diminution de 4,27% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
474
485
472
460
555
588
930
864
892
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
830
738
641
674
670
624
614
571
561
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
576
570
545
469
462
440
454
419
368
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
344
335
307
265
263
320
300
298
291
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
277
269
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[70] puis Insee à partir de 2006[71].)
Histogramme de l'évolution démographique
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Ahaxe, encore séparé d'Alciette-Bascassan, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[72].
Évolution de la population
1793
1800
1806
1821
1831
1836
280
309
320
387
336
452
Enseignement
La commune dispose d'une école maternelle publique[73]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[74].
Économie
L'activité est principalement agricole.
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Le classement 2006 de l'Insee, indiquant le revenu fiscal médian par ménage, pour chaque commune de plus de 50 ménages (30 687 communes parmi les 36 681 communes recensées)[75], classe Ahaxe-Alciette-Bascassan au rang 27 645, pour un revenu de 13 257 €.
Culture locale et patrimoine
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Ahaxe-Alciette-Bascassan est le bas-navarrais oriental.
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le Dolmen de Buluntza et un gaztelu zahar (ensemble fortifié protohistorique), au lieu-dit Gaztalepo (Ahaxe), situé à 550 mètres d'altitude, et une lice, au lieu-dit Gaztelua ou Gastellia, à 313 mètres d'altitude, témoignent du passé ancien de la commune.
Le château fort appelé château Saint-Julien[14] date du XIIesiècle.
La maison Kapila[76] ainsi que les fermes Gohonetxea[13] et Idioinea[77] datent du XVIIesiècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Julien-d'Antioche[78], à Ahaxe, date du milieu du Moyen Âge. Son cimetière figure à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis le . Il contient un ensemble remarquable de stèles discoïdales. L'église est dédiée à saint Julien d'Antioche.
La croix de cimetière[79] d'Ahaxe date de 1827 (inscription aux monuments historiques en date du ).
Stèle discoïdale.
Stèle discoïdale.
Stèle discoïdale.
Croix de cimetière.
L'église Saint-André de Bascassan[80],[81] date des XIIeetXVIIesiècles. Les éléments classés par les monuments historiques () concernent son décor intérieur et le cimetière. On y trouve du mobilier[82] des XVIIeetXVIIIesiècles, et des objets[83] enregistrés par le ministère de la Culture. L'église de Bascassan est l'objet d'un tableau de François-Maurice Roganeau. L'église est dédiée à l'apôtre saint André.
L'ancienne benoîterie[84] de Bascassan est classée aux monuments historiques depuis le . Son existence est mentionnée en 1741[85].
Église de Bascassan.
Benoîterie.
Vieilles tombes.
L'église Saint-Sauveur d'Alciette[16] date des XIIeetXVIIesiècles et est inscrite aux monuments historiques depuis le pour son décor intérieur en bois peint. Elle recèle du mobilier[86] des XVIIeetXVIIIesiècles, une peinture[87] et des objets[88] recensés par le ministère de la Culture. L'église est dédiée au Saint-Sauveur.
Église Saint-Sauveur d'Alciette.
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Héraldique
Blasonnement:
Écartelé aux 1 et 4 d'azur à trois coquilles d'argent, parti d'or à trois trangles de gueules; au 2 de gueules à trois coquilles d'argent et une bordure engrêlée du même; au 3 d'argent à une bande engrêlée de gueules accostée de deux coquilles du même[89].
Pour approfondir
Bibliographie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[32].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», , 246p. (ISBN9782867813962), p.140.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque IV: Révolution de 1789, t.4, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 432p. (ISBN2913156460 et 9782913156463, OCLC492295167), p.300. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III: Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t.3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p.283.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии