La commune d'Abancourt se situe à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime, à 38 km au nord-ouest de Beauvais, 45 km au sud-ouest d'Amiens, à 49 km du Tréport et du littoral de la Manche (mer) , et à 55 km au nord-est de Rouen.
Elle est accessible:
par la route: D 919 (ex-route nationale 319) passe par la rue Principale;
par le train: gare d'Abancourt TER Normandie (ligne Amiens - Rouen) et TER Picardie (ligne Amiens - Rouen, ligne Épinay - Le Tréport);
par avion: à 35 km de l'aéroport de Beauvais-Tillé.
Le territoire communal, de forme irrégulièrement quadrangulaire, fait partie du vaste plateau qui s'étend.des environs de Campeaux jusqu'au département de la Somme[1].
La Bresle prend sa source à Abancourt et s'écoule vers le nord-ouest à travers le plateau de Formerie pour se jeter dans la Manche au Tréport. Ce fleuve côtier est long de 68 à 72kilomètres selon les sources[2] et traverse les départements de l'Oise, de la Somme et de la Seine-Maritime.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 9,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Arnoult», sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2°C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[13] à 10,6°C pour 1981-2010[14], puis à 11,1°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Abancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (40,4%), prairies (28,9%), zones agricoles hétérogènes (15,8%), zones urbanisées (9,4%), forêts (5,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Écarts et lieux-dits
La commune compte plusieurs hameaux: Hennicourt, où se trouve la gare d'Abancourt, la Montagne et Ménival.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 318, alors qu'il était de 289 en 2013 et de 295 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 88,4% étaient des résidences principales, 4% des résidences secondaires et 7,6% des logements vacants. Ces logements étaient pour 95% d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Abancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,4% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,4% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
4
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
7,6
7,1
8,2
Toponymie
Mentions d'Abencort en 1146[23]; Abencurtis en 1148; Hebencurt en 1148; Abencurt en 1150 et 1152, Habencourt en 1180, Abencourt en 1337, 1454 et au XVIesiècle.
Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Abancourt-la-Montagne[24].
Louis Graves indiquait en 1850: «La situation d'Abancourt sur .une, chaussée semble indiquer l'origine romaine de ce village, et en effet on a .trouvé en différents points, des tuiles à rebord et d'autres restes incontestables de cette époque. La tradition locale prétend d'ailleurs que les Pempliers y eurent un 'établissement , sorte de croyance qui dans la Picardie rapporte fresque toujours à des vestiges de constructions romaines.
Des traditions plus certaines attribuent la fondation du chef-lieu aux religieux de l'abbaye de Beaubec , qui possédaient dans ce canton, à une époque reculée, des:terres considérables. Il n'y eut d'abord qu'une chapelle ,avec une seule maison destinée au logement du moine chargé de veiller sur les intérêts de la-communauté; c'était alors-un prieuré simple.
L'abbaye ayant accensé dans la suite la plus grande partie de son domaine, la population s'accrut assez pour justifier l'érection du prieuré en cure.
L'abbaye avait haute, moyenne et' basse justice».
À partir du XIVesiècle, Abancourt était le siège d'une seigneurie.
Le village est rebaptisé Abancourt-la-Montagne à la Révolution française[24]. Entre 1791 à 1823, la commune est rattachée à Romescamps. En 1823, Abancourt est détaché de Blargies, mais Hennicourt lui est rattaché[24].
En 1867, le bourg est desservi par le chemin de fer, avec la création de la gare d'Abancourt sur la ligne Amiens - Rouen, puis est reliée au Tréport et à Paris en 1873-1875.
Pendant la première guerre mondiale, une compagnie de prisonniers de guerre allemands stationne à Abancourt en août 1917. Des messages signalent parfois des évasions de prisonniers[25].
Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [26].
Seconde Guerre mondiale
Article connexe: Bataille de France.
Politique et administration
Intercommunalité
Abancourt fait partie de la communauté de communes de la Picardie Verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Son territoire correspond à l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.
La commune fait également partie du Grand Beauvaisis, l'un des seize pays à constituer le Pays de Picardie[réf.nécessaire].
Tendances politiques et résultats
Lors des élections européennes de 2019, le Rassemblement National réalise un score de 51,35% des voix, contre 23,34% au niveau national.
la République en Marche y réalise un score de 13,06% des voix contre 22,41% au niveau national. Le parti Debout la France réalise un score avec 8,11% contre 3,51% au niveau national. Les autres partis y réalisent des scores inférieurs à 7%, en dessous de leurs scores nationaux[27].
Retraité de la fonction publique Président de la CC de la Picardie verte (2014[30] → 2020) Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Blargies au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal[33].
Culture
La commune s'est dotée en octobre 2019 d'une médiathèque municipale, aménagée dans l’ancienne salle du conseil municipal, et qui fonctionne en réseau avec la médiathèque départementale de l’Oise (MDO)[34],[35].
Postes et télécommunications
Le bureau de poste de la commune a fermé en juin 2004, la poste estimant sa rentabilité insuffisante et ce malgré les efforts de la commune qui avait acheté le bâtiment et assurait les charges de chauffage, du ménage[36]…
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 621 habitants[Note 7], en diminution de 2,82% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1831
1836
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
615
677
700
666
664
609
598
594
595
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
569
583
596
555
567
538
531
546
602
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
558
629
603
529
509
507
519
527
593
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1990
1999
2005
2006
2010
2015
2019
-
-
582
567
625
635
646
647
621
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,9% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 312 hommes pour 323 femmes, soit un taux de 50,87% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,7
90 ou +
1,6
5,4
75-89 ans
6,8
18,8
60-74 ans
21,4
21,5
45-59 ans
18,5
17,1
30-44 ans
16,2
19,1
15-29 ans
15,3
16,4
0-14 ans
20,1
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Économie
En 2008, la commune compte un bar-tabac, une boulangerie et une épicerie qui se trouvent sur la rue principale.
À la gare, un hôtel-restaurant faisant également bar-tabac se tient à la disposition de la clientèle.
Une salle des fêtes est aussi disponible à la location.
Culture locale et patrimoine
L'église.
Lieux et monuments
Église Notre-Dame (XVIIIesiècle)[42], dont la toiture a été rénovée en 2017[43].
Chapelle d'Hennicourt, construite par la famille Galopin-Mabille en 1856, restaurée en 2008[44].
Monument aux morts
Cadre sculpté de porte de maison
Abribus et transformateur électrique.
Personnalités liées à la commune
Druon d'Abancourt est qualifié de chevalier dans un acte du vingt novembre 1455, concernant la vente à son fils Guillaume de la terre de Courcelle-les-Campeaux[1]
Un Jean et un Adrien d'Abancourt sont, l'un après l'autre, seigneurs d'Abancourt au début du XVesiècle[45].
Les d'Abancourt ont été jugés nobles par arrêt du conseil du vingt-et-un mai 1667[1].
Gabriel de. Saehy, contrôleur .général des fortifications en Picardie, possédait en 1690 le domaine d'Abancourt, ou plus probablement une terre dans l'étendue .de la paroisse[1].
Article détaillé: Famille d'Abancourt.
Héraldique
Article connexe: armorial des communes de l'Oise.
Blason
De gueules à la jumelle ondée en bande d'argent, accompagnée, en chef, d'une couronne de laurier d'or, au franc-quartier d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126p. (lire en ligne), p.33-35, sur Google Books.
68 km sur le site du SANDRE, 71 km selon l'EPTB d'Aumale, 72 km d'après le Petit Larousse, l'Encyclopédie Encarta et Pierre-Jean Thumerelle dans son article consacré au fleuve.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN2-85023-076-6), p.1a
Pierre-Emmanuel Reger, «Municipales 2020: à Abancourt, Jean Louis Dor présente une liste plus jeune: Maire d'Abancourt (Oise) depuis 2001, Jean-Louis Dor brigue un nouveau mandat. aux élections municipales. Il présente une liste avec sept nouvelles personnes», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Pierre-Emmanuel Reger, «Jean-Louis Dor a été réélu maire d’Abancourt: Jean-Louis Dor est maire d'Abancourt depuis 2008. Il a été réélu mardi 26 mai 2020 par le nouveau conseil municipal», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Pauline Defoix, «À Abancourt, les élèves se préparent à fêter le Nouvel an chinois: Les élèves du RPI Abancourt-Blargies ont été invités par la bibliothèque d'Abancourt à participer à l'activité manuelle décoration de poupées pour le Nouvel an chinois», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Pierre-Emmanuel Reger, «La bibliothèque municipale a été inaugurée à Abancourt: La commune d'Abancourt (Oise) possède désormais une bibliothèque dans une salle de la mairie. Elle a été inaugurée mercredi 16 octobre 2019», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Pauline Defoix, «Il y a un an, la médiathèque d'Abancourt ouvrait ses portes: Le 16 octobre 2019, la médiathèque d'Abancourt vivait ses premières heures. Depuis, la structure rencontre depuis un franc succès. Rencontre», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Corinne Fourcin, «La Poste s'installe au café», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Pierre-Emmanuel Reger, «Le toit de l'église d'Abancourt est sauvé: L'église Notre-Dame d'Abancourt n'avait pas connu des travaux de restauration depuis de nombreuses années, voilà chose faite», Le Réveil de Neufchâtel, 8/8/2017 mis à jour le 9/8/2017 (lire en ligne, consulté le ).
«Abancourt (Hennicourt): Fin des travaux - La chapelle débute une nouvelle vie», Le Réveil - édition Bresle - Oise - Somme, (ISSN1779-3769).
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