Garons est une ville française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
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Garons | |
L'hôtel de ville. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Alain Dalmas 2020-2026 |
Code postal | 30128 |
Code commune | 30125 |
Démographie | |
Gentilé | Garonnais |
Population municipale |
4 940 hab. (2019 ![]() |
Densité | 402 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 46′ 09″ nord, 4° 25′ 45″ est |
Altitude | Min. 54 m Max. 96 m |
Superficie | 12,28 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Garons (ville isolée) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Marguerittes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-garons.fr |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Garons est une commune rurale qui compte 4 940 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Garons et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Garonnais ou Garonnaises.
La ville est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Nîmes, sur le plateau des Costières, à une altitude de 94 mètres.
Elle est desservie par la sortie n°2 de l'autoroute A54.
La commune est située dans l'arrondissement de Nîmes et dans le canton de Marguerittes.
Caissargues | Bouillargues | |
![]() |
Bellegarde | |
Saint-Gilles |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].
La commune est desservie par la route départementale D442 et par la portion de l'autoroute A54 qui relie Nîmes à Arles.
La ville est desservie par le réseau de transport en commun de Nîmes : TANGO!
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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41 | Nîmes — Costières - Parnasse ⥋ Garons — Champ de Mars | ||||||||
Ouverture / Fermeture / — |
Longueur — |
Durée 25 min |
Nb. d’arrêts 17 |
Matériel — |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / N / N / N |
Voy. / an — |
Exploitant Les rapides de Camargue | |
Desserte : Nîmes, Caissargues et Garons
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Autre : Tout près de la commune de Garons sont implantés un aéroport civil (aéroport de Nîmes - Garons) et une base aéro-navale militaire. Les installations aéroportuaires sont néanmoins situées sur les communes voisines de Saint-Gilles et Nîmes. |
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12].
Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[13].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[14] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[15].
Garons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Garons, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 4 895 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
Garons est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes par la communauté d'agglomération de Nîmes Métropole.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43 %), cultures permanentes (37,6 %), zones urbanisées (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), forêts (0,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Garons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ardèche et le Valat d'Aiguèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1999 et 2005[21],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 534 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1534 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Occitan Garouns, du roman Garons, du bas latin Garonis[25].
Au IIe siècle av. J.-C., 2 villas romaines étaient implantées sur le territoire de Garons.
En 635, le domaine de Garons est attribué à l'évêque Rémessaire par les rois Wisigoths qui occupent la Septimanie. Un texte du VIIe siècle fait mention d'un hameau installé sur le domaine[réf. nécessaire].
Le domaine de Garons fut donné en 784 par l'évêque de Nîmes Rémessaire à la mense épiscopale de Nîmes[26].
Au XVIe siècle, durant les luttes entre catholiques et protestants, le hameau reste du côté des évêques de Nîmes qui y ont élu résidence. De ce passé, la commune a conservé le château des évêques, actuel hôtel de ville.
Le , Bouillargues fut érigée en commune par ordre du comité exécutif du directoire de Nîmes. Les hameaux de Garons, Caissargues et Rodilhan y furent annexés. La nouvelle commune était dirigée par une majorité de protestants. Le 9 novembre de la même année, l’Assemblée Nationale vota l’autonomie de la commune.
Garons n'a été érigé en commune qu'en 1835 (ordonnance royale du 19 octobre)[26]. Au cours du XIXe siècle, la culture de la vigne représente une part importante de l'activité agricole.
L'ouverture de l'aéroport en 1958 renouvelle l'économie du village et au début des années 1960 la forte immigration fait faire un bond à la population de Garons.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1836 | 1840 | Jean Bremond | ||
André Martin | ||||
1871 | Jacques Comis | Bourrelier et propriétaire de vignes[27] | ||
1885 | 1919 | Édouard Rebuffat | ||
1959 | 1976 | Xavier Tronc | ||
1976 | 2008 | Jean Yannicopoulos | DVD | Médecin Conseiller général du canton de La Vistrenque (1982-2011) Vice-président de Nîmes Métropole (2001-2008) |
2008 | En cours | Alain Dalmas | DVD | Agriculteur Vice-président de Nîmes Métropole depuis 2008 |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2019, la commune comptait 4 940 habitants[Note 7], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
653 | 709 | 756 | 850 | 925 | 981 | 999 | 949 | 1 055 |
1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
900 | 995 | 978 | 1 029 | 1 042 | 1 005 | 960 | 797 | 824 |
1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
754 | 689 | 595 | 617 | 664 | 1 317 | 2 049 | 2 788 | 3 648 |
1999 | 2006 | 2008 | 2013 | 2018 | 2019 | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 692 | 4 219 | 4 373 | 4 687 | 4 950 | 4 940 | - | - | - |
L'école maternelle et l'école primaire de la ville portent toutes deux le nom de Jean Monnet. Situées l'une à côté de l'autre dans la rue du Levant, ce sont pourtant deux entités distinctes pour l'Éducation nationale.
L'école Saint-Exupéry, située rue de la République, est l'école historique de la ville. Ses locaux hébergent encore trois classes mais sa gestion administrative a été intégrée à celle de l'école primaire Jean Monnet.
Les établissements de secteur pour le secondaire sont le collège Les Fontaines à Bouillargues et le lycée Ernest-Hemingway à Nîmes.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 840 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 4 809 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 740 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 46 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (43,9 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8,3 % | 11,1 % | 11 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 099 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 24,7 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 1 993 emplois en 2018, contre 1 995 en 2013 et 2 173 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 016, soit un indicateur de concentration d'emploi de 98,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 13].
Sur ces 2 016 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 405 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
357 établissements[Note 11] sont implantés à Garons au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 357 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 40 | 11,2 % | (7,9 %) |
Construction | 73 | 20,4 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 104 | 29,1 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 0,8 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 9 | 2,5 % | (3 %) |
Activités immobilières | 16 | 4,5 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 42 | 11,8 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 39 | 10,9 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 31 | 8,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (104 sur les 357 entreprises implantées à Garons), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
La ville bénéficie de la présence de l'aéroport et de la base de Défense (qui fut longtemps le 1er fournisseur d'emplois).
La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 47 | 25 | 36 | 37 |
SAU[Note 14] (ha) | 759 | 434 | 1 231 | 842 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 25 en 2000 puis à 36 en 2010[35] et enfin à 37 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 21 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 759 ha en 1988 à 842 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 23 ha[35].
La principale activité de la commune jusqu'aux années 1970 était l'agriculture avec la dominance de la viticulture et des vergers.
La commune héberge sur son territoire plusieurs manades, dont la manade Arlatenco. Celle-ci a été fondée à Garons en 1951 par Frédéric Clément, à partir de bétail provenant des manades Pastré et Guillierme[37]. La manade s'étend sur 80 hectares, avec des pâturages sur les communes de Raphèle-lès-Arles et d'Aimargues. Elle possède des arènes et une salle ouverte d’été (loupio) d'une capacité de 320 personnes. Le bétail se compose de 210 taureaux et vaches et 23 chevaux.
La résidence d'été des évêques de Nîmes abrite actuellement l'hôtel de ville et le bureau de poste de la ville.
![]() |
Blason | De gueules à la mitre d'évêque d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |