Viâpres-le-Petit est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.
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Ne doit pas être confondu avec Viâpres-le-Grand.
Viâpres-le-Petit | |
![]() Entrée du village et église. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Aube |
Arrondissement | Nogent-sur-Seine |
Intercommunalité | Communauté de communes Seine et Aube |
Maire Mandat |
Patrick Gombault 2020-2026 |
Code postal | 10380 |
Code commune | 10408 |
Démographie | |
Gentilé | Viâprot |
Population municipale |
132 hab. (2019 ![]() |
Densité | 12 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 33′ 48″ nord, 4° 02′ 35″ est |
Superficie | 11,13 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Troyes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Creney-près-Troyes |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Champfleury | Herbisse | |
Plancy-l'Abbaye | ![]() |
Allibaudières Champigny-sur-Aube |
Bessy | Pouan-les-vallées |
Cette commune est située dans le département de l'Aube en région Grand Est. Elle est traversée par l'Aube. Un pont permet de franchir cette rivière.
Le cadastre de 1810 cite les Cheminées, la Cour, la Francourt, la Grange-des-Vallées, le Moulin-à-vent et la Maison-à-Sullq comme écarts.
Vico Aspero, Viaspera Parva.
Viâpres-le-Petit est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,5 %), forêts (3,3 %), zones urbanisées (2,2 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
La première mention est de 753 où Chelembert donnait l'oratoire de Vico Aspero du pagus de Arciacensis[8].
En 1789, le village dépendait de l'intendance de la généralité de Châlons-sur-Marne, de l'élection de Troyes et du bailliage de Sézanne.
![]() |
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : d’azur au chevron d’or accompagné, en chef à dextre d’un râteau levé d’argent, en chef à senestre, d’une vanette du même et, en pointe d’une gerbe de blé aussi d’or, au chef ondé aussi d’argent.
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Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | 2014 | Jacky Gombault[9] | ||
mars 2014 | En cours | Delphine Carnet | DVG | Ingénieur |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[11].
En 2019, la commune comptait 132 habitants[Note 3], en augmentation de 14,78 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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197 | 209 | 234 | 242 | 250 | 242 | 248 | 250 | 253 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
240 | 245 | 212 | 212 | 204 | 211 | 196 | 168 | 170 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
159 | 163 | 163 | 166 | 159 | 148 | 144 | 121 | 136 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
111 | 95 | 106 | 96 | 93 | 107 | 121 | 125 | 115 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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130 | 132 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 69 hommes pour 61 femmes, soit un taux de 53,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 0,0 |
7,2 | 75-89 ans | 13,1 |
13,0 | 60-74 ans | 14,8 |
14,5 | 45-59 ans | 18,0 |
24,6 | 30-44 ans | 19,7 |
14,5 | 15-29 ans | 9,8 |
26,1 | 0-14 ans | 24,6 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2 |
7,1 | 75-89 ans | 10,2 |
17,2 | 60-74 ans | 18 |
19,8 | 45-59 ans | 19,3 |
17,9 | 30-44 ans | 17,3 |
18 | 15-29 ans | 16 |
19,2 | 0-14 ans | 17,2 |
L'église dépendait du doyenné d'Arcis et à la mense abbatiale de Montier-la-Celle puis à la collation de l'évêque avec la suppression de celle-ci en 1770. La première mention de l'église date de 1153 dans une reconnaissance d'Annastase IV que la dîme relevait de l'abbaye de Montier. Elle datait du XIIe avec des modifications du XVIe et d'Arbois de Jubainville en donnait une description dans son Répertoire archéologique, n° 22 & 23 et était à la dédicace de Cirice. Elle fut rebâtie en 1858 sous le vocable de Saint-Denis-et-Saint-Cirice.
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