Villiers-sur-Morin est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France, à proximité de Crécy-la-Chapelle.
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Villiers-sur-Morin | |
![]() La mairie. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Meaux |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie |
Maire Mandat |
Agnès Audoux 2020-2026 |
Code postal | 77580 |
Code commune | 77521 |
Démographie | |
Gentilé | Villermorinois |
Population municipale |
1 935 hab. (2019 ![]() |
Densité | 308 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 51′ 40″ nord, 2° 52′ 54″ est |
Altitude | Min. 44 m Max. 134 m |
Superficie | 6,28 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Bailly-Romainvilliers (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Serris |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | villiers-sur-morin.fr |
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Villiers-sur-Morin est située dans la Brie, qui forme l'est du Bassin parisien. Elle est longée au nord par le Grand Morin.
Elle est proche de l'autoroute A4 et est desservie par la gare de Villiers - Montbarbin, située sur la commune de Crécy-la-Chapelle.
Ses communes limitrophes sont Crécy-la-Chapelle, Coutevroult, Voulangis, Villeneuve-le-Comte, et Couilly-Pont-aux-Dames.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,2 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[4]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[6] à 11,6 °C pour 1991-2020[7].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,56 km[16].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[17]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Petit et Grand Morin ».
Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[18]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[19].
Le SAGE « Petit et Grand Morin » a été approuvé le . Il comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[20]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[21].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Villiers-sur-Morin comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3],[22],[Carte 1], la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[23].
Villiers-sur-Morin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[27] et 51 652 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].
La commune compte 68 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), terres arables (32,9 %), zones urbanisées (17,7 %), cultures permanentes (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[33].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[34],[35],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Pays créçois, approuvé le [36].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[37]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 880 dont 87,8 % de maisons et 7,4 % d’appartements.
Parmi ces logements, 83 % étaient des résidences principales, 6 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 87,7 % contre 13,1 % de locataires[38], dont 0,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et 1,2 % logés gratuitement.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villaris en 1082, de Villariis en 1228[39].
Villiers : À l’origine, ce nom désignait une partie de la villa (grand domaine agricole de l’époque gallo-romaine). Il s’agissait des dépendances qui comprenaient généralement les habitations des ouvriers et les bâtiments agricoles. Plus récemment, ce nom désigne un écart ou un village.
Sur le Grand Morin, une rivière française qui coule dans les départements de la Marne et de Seine-et-Marne.
Villiers-sur-Morin est un village de la Brie devenu un village de la banlieue parisienne.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Crécy-la-Chapelle[40]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Serris.
La commune est membre de la communauté de communes du Pays Créçois, créée fin 2000 et qui succédait au district rural de Crécy-la-Chapelle-Vallée du Grand Morin créé le , dont elle faisait déjà partie.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1804 | M. Marchand | |||
1807 | 1808 | M. Delaporte | ||
1809 | 1811 | M. Barrois | ||
1814 | 1830 | M. Giverne | ||
1831 | Charles Giverne | Cultivateur | ||
1846 | Jean Louis Isidore Vallet | Cultivateur | ||
1865 | 1876 | Pierre Antoine Berthier | Propriétaire | |
1876 | Etienne Zéphirin Levesque | Vigneron | ||
1878 | Charles Étienne Bequet | Propriétaire | ||
1881 | Pierre Antoine Berthier | Propriétaire | ||
1865 | Emile Auguste Pottier | Propriétaire | ||
1890 | Ferdinand Laurent | Rentier | ||
1919 | Albert Cottin | Entrepreneur | ||
1920 | Eugène Juvigny | Maraîcher | ||
1925 | 1953 | Charles Demaux | Cultivateur | |
1953 | 1959 | Émile Pottier | ||
1959 | 1986 | Alain Renault | ||
juin 1986 | 2001[42] | Jacques Corpechot | DVD | Chef d'entreprise Président de la CC du Pays Créçois (1995 → 2008) |
mars 2001 | septembre 2018[43],[44] | Daniel Chamaillard | Artiste peintre Démissionnaire | |
décembre 2018[45] | En cours (au 10 décembre 2018) |
Agnès Audoux | Commerçante |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [46],[47].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villiers-sur-Morin est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour le transport. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [48],[49],[50].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[48],[52].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [48],[53],[54].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].
En 2019, la commune comptait 1 935 habitants[Note 8], en augmentation de 0,89 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
824 | 856 | 849 | 837 | 842 | 805 | 782 | 747 | 783 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
746 | 724 | 737 | 686 | 622 | 593 | 579 | 533 | 524 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
555 | 566 | 543 | 550 | 535 | 545 | 526 | 642 | 621 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
614 | 597 | 830 | 1 054 | 1 358 | 1 527 | 1 655 | 1 677 | 1 849 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 925 | 1 935 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 689, représentant 1796 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 010 euros[58].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 200, occupant 910 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,1 % contre un taux de chômage de 6,7 %. Les 22,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 7,1 % pour les autres inactifs[59].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 142 dont 6 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 34 dans la construction, 37 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 8 dans l’information et communication, 3 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 32 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 8 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 11 étaient relatifs aux autres activités de services[60].
En 2019, 29 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 24 individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[61].
Villiers-sur-Morin est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[62].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[63]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 44 ha en 1988 à 105 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villiers-sur-Morin, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[62],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 2 | 2 |
Travail (UTA) | 5 | 4 | 3 |
Surface agricole utilisée (ha) | 133 | 141 | 210 |
Cultures[64] | |||
Terres labourables (ha) | 116 | s | s |
Céréales (ha) | s | s | s |
dont blé tendre (ha) | s | s | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | s | s | s |
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | s | s | s |
Élevage[62] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 39 | 12 | 25 |
Villiers-sur-Morin abrite les différentes maisons de ses personnalités célèbres.
Elle abrite aussi l'hôtel-restaurant-café-concert d'Eugène Ancelin, chef de la fanfare de Villiers et musicien de bal. Cette auberge, dénommée la « Maison Ancelin », située à côté de l'église Saint-Rémi le long du ru, devint en 1890 le « Cercle artistique » fondé par Amédée Servin[65]. Elle s'appellera successivement la « maison Tuffin » en 1900, la « maison Borniche » en 1903, « la Clef des Champs », avant de devenir une maison d'habitation à la fin des années 1970 ainsi qu'un restaurant appelé « La Table du Curé ».
![]() |
Blason | D'azur au chevron renversé d'argent accompagné en chef d'une fleur de lys d'or. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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