Villeparisis est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 53 mètres à 133 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 65 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Le système hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés:
le Canal de l'Ourcq, long de 96,55 km[3] et passe non loin de la Place du Marché;
la Reneuse (ou ruisseau la Reneuse), longue de 5,32 km[4], affluent de la Beuvronne;
le canal 01 du Treillage, long de 0,81 km[5], conflue avec la Reneuse;
le fossé 02 de la Commune de Claye-Souilly, canal de 2,67 km[6] qui conflue avec le cours d'eau 01 de la Commune de Claye-Souilly.
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 5,31 km[7].
Climat
Villeparisis, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.
Voies de communication et transports
Voies de communication
Villeparisis est située sur l'ancien tracé (désormais dévié) de la RN 3 reliant Paris à Meaux.
Transports
Voies ferroviaires
La gare de Villeparisis - Mitry-le-Neuf, desservie par le RER B, se situe en lisière de la limite communale, au nord.
Transports en commun
Plusieurs transporteurs desservent la commune, à travers:
les lignes 17, 18 et 21 du réseau municipal Villepa', exploité par les CIF;
les lignes 1, 16, 19, 22 et 23 du réseau de bus des CIF;
la ligne 8 du réseau de bus TVF;
les lignes 3 et 3s du réseau de bus Apolo 7;
et la nuit, par la ligne N41 du réseau régional Noctilien.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[8],[9],[10].
Urbanisme
Typologie
Villeparisis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[14] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Aménagement
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Depuis 2005, le quartier du vieux pays est en rénovation totale. L'opération de rénovation du quartier historique s'étend sur un périmètre de 11 400 m2 compris entre la rue de Ruzé, la rue de la République et la ruelle au Vin. À terme, lorsque la dernière opération immobilière aura été réalisée, plus de 300 logements auront été construits, dont un grand nombre de logements sociaux jusqu'en 2014. Cette concentration a fortement contribué à classer ce secteur de Villeparisis en quartier «politique de la ville» sur la base du critère de référence unique, portant depuis 2012 sur le revenu des habitants du quartier, lui-même défini selon des découpages en carreaux de toute la France par l'État.
Lieux-dits et écarts
La commune compte 38 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[19].
Quartiers
Elle est constituée de plusieurs quartiers, dont[réf.nécessaire]:
le quartier du Boisparisis;
le quartier du Bois Fleuri;
la cité du Corsr;
la cité du Normandie-Niémen;
la cité de La place du marché;
le quartier du Parisis;
le quartier du Vieux Pays.
Occupation des sols
En 2018[20], le territoire de la commune se répartit[Note 4] en 44,4% de zones urbanisées, 20,8% de terres arables, 11,9% de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 11,3% de forêts, 4,9% de mines, décharges et chantiers, 3,8% de zones agricoles hétérogènes, 2,9% d’espaces verts artificialisés non agricoles et 0,5% de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[7],[21].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de
10 825 dont 45,7% de maisons et 53,8% d’appartements.
Parmi ces logements, 91,6% étaient des résidences principales, 0,6% des résidences secondaires et 7,8% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 56,7% contre 42,2% de locataires[22],[Note 5], dont 18,6% de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 1,2% logés gratuitement.
Toponymie
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La localité a été dénommée comme suit:
en 1000: Parisio;
en 1096: Parirsia;
en 1276: Parrochia De Parisiaca;
en 1337: Ville Parysie;
en 1449: Villeparisie;
en 1545: Villeparisy;
en 1593: Villeparisiz;
en 1660: Vileparisis;
en 1789: Villeparisis ou Ville-Parisis.
Le nom de Villeparisis viendrait de la tribu gauloise des Parisii.
Dans des textes latins datant des XIIesiècle mais aussi du XIIIesiècle, le lieu est quelquefois désigné simplement Parisis, sans le faire précéder du mot Ville[23]. Durant la Révolution, on trouve Ville-Parisis.
Histoire
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Le site de Villeparisis semble toujours avoir été situé sur une importante voie de communication, il se trouvait à la jonction des tribus des Parisii et des Meldes.
Plusieurs familles eurent la seigneurie de Villeparisis[24]. Ainsi, aux XIe – XIIesiècles, est signalée la famille seigneuriale de Villeparisis, ou de Parisio, de Parisia, de Parisiaca[25] (comme Garnier/Warnerius vers 1095; Jean en 1166, père d'Adam, Baudouin, Guillaume, Anselme, Étienne; Guillaume en 1210), famille qui fait allégeance à l'évêque de Paris et au sire de Montjay. Les abbayes franciliennes de Saint-Victor, Saint-Denis, Saint-Martin-des-Champs et Livry étaient largement possessionnées à Villeparisis.
À partir du XVesiècle, on rencontre les Clutin/Cleutin[26] comme famille seigneuriale: Henri Ier Clutin, † 1438, changeur royal, mari de Jeanne, fille de Robert L(h)uillier et d'Alix de Laistre[27] (fille ou proche parente du chancelier Eustache de Laistre, du camp bourguignon); leur fils aîné Pierre, conseiller au Parlement, fut père d'Henri II, aussi conseiller au Parlement, † 1514, qui épousa Jeanne de Louviers, d'où leurs fils Pierre (secrétaire du roi, président aux enquêtes au Parlement; le même Pierre Cleutin qui fut prévôt des marchands en 1516-1518?) et Henri III. Ce dernier prit pour femme Jeanne, fille de Guy de Chasteignier de La Roche-Posay, d'où Regnaud, † 1575, abbé de Flavigny et seigneur de Villeparisis, et son frère aîné Henri IV (1510/1515-1566 à Rome), ambassadeur des rois Valois en Écosse puis auprès du pape, vice-roi (lieutenant-général) d'Écosse, sire d'Ois(s)el (Oysel à Fresnay le Vicomte?) et Saint-Aignan au Maine, marié 1° à Jeanne de Thouars au Maine (fille de Nicolas de Thouars et de Louise, fille de Charles Ier d'Angennes et tante du cardinal Charles; d'où Jacques et Marie Clutin, qui suit), et 2° autre Jeanne (1539/1543-1622; fille de Jean III de Chasteignier de La Roche-Posay, remariée veuve en 1573 à Gaspard de Schomberg, d'où le maréchal Henri de Schomberg). L'héritière Marie Cl(e)utin, née vers 1555, épousa 1° 1567 Claude de L'Aubespine, secrétaire d'État, et 2° 1572 Georges de Clermont-Gallerande: Postérité, suite des sires de St-Aignan au Maine.
On trouve ensuite à Villeparisis les Caillard, avec Jacques Ier Caillard (1631-1673; avocat au Parlement; sire de Villeparisis en 1666; protestant), puis son fils Jacques II Caillard (1657-1742; sans postérité; lieutenant-général à la connétablie, il abjure la RPR en )[28]. Il existait d'ailleurs une vague parenté entre les Clutin et les Caillard: en effet Abraham II Caillard d'Aillières (1620-1699), frère aîné de Jacques Ier Caillard, avait pris pour femme Judith Le Vasseur dame d'Aillières (vers 1642-1687; fille de Jean-Antoine, fils de Joachim II, lui-même fils de Joachim Ier Le Vasseur d'Aillières et de Louise de Thouars au Maine, dont nous avons rencontré la sœur Jeanne de Thouars comme la 1° femme d'Henri IV Clutin et la mère de Marie Cleutin[29]).
Jacques II Caillard vendit Villeparisis en à Antoine Ricouard d’Hérouville (né vers 1656 et † en 1726; grand-père d'Antoine d'Hérouville), qui acquit aussi Claye en partie.
En 1884, dans un lieu appelé alors le vieux cimetière situé dans les carrières de Montzaigle ont été mis au jour des sarcophages de pierre datant de l'époque gallo-romaine. On peut donc en déduire que Villeparisis existait au Vesiècle.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune était intégrée depuis 1994 à l'arrondissement de Torcy, qui avait succédé à l'arrondissement de Noisiel du département de Seine-et-Marne.
Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle réintègre le l'arrondissement de Meaux[30].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la septième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Claye-Souilly[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune devient le bureau centralisateur du nouveau canton de Villeparisis.
Intercommunalité
La commune a intégré le la communauté de communes Plaines et Monts de France, créée l'année précédente par la fusion de plusieurs intercommunalités.
Toutefois, dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante capables de dialoguer avec la métropole du Grand Paris, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale, qui a obligé Villeparisis à intégrer la communauté d'agglomération Roissy Pays de France, importante structure intercommunale située dans le Val-d'Oise et en Seine-et-Marne créée par la fusion de plusieurs autres intercommunalités.
Villeparisis en est donc membre depuis le .
Tendances politiques et résultats
Au second tour des élections municipales de 2014, la liste DVD menée par Hervé Touguet obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 612 voix (52,44%, 27 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant de 337 voix celle PS-PCF-EELV menée par Gilles Loubignac[32]—soutenu par le maire sortant José Hennequin, qui ne se représentait pas[33]— qui a recueilli 3 275 voix (47,55%, 8 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 50,13% des électeurs se sont abstenus[34].
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne.
Lors du second tour des élections municipales de 2020[35], la liste menée par Frédéric Bouche (Union de la gauche et écologistes[36]) a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 50,26% des voix, devançant celles menée respectivement par Hervé Touguet, maire sortant (LR / Union de la droite, soutenu par LREM), qui obtient 42,87%, et par Claude Sicre de Fontbrune (UDI, 6,86%).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 31,39% des électeurs se sont abstenus[37].
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne.
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[42],[Note 7]
En 2019, la commune comptait 26 580 habitants[Note 8], en augmentation de 2,67% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
537
487
559
525
606
701
685
737
620
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
564
733
902
849
898
886
853
856
858
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
881
907
910
996
3 011
4 989
5 585
5 610
7 525
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
10 926
13 470
14 817
16 659
18 790
21 296
23 302
24 525
26 327
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
26 580
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Équipements culturels
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Le Centre culturel Jacques-Prévert aurait la particularité d'avoir la même acoustique que l'Olympia, dit-on, ce qui explique que bon nombre d'artistes font passer leurs tournées par Villeparisis.
Le Conservatoire municipal de musique et de danse de Villeparisis, chemin de la Couronne.
La Médiathèque municipale Elsa Triolet, place Pietrasanta.
La Maison pour Tous, chemin de la Couronne.
Le musée de l'histoire locale est situé à l'entrée du parc Honoré de Balzac, créé et géré par l'association d'histoire locale Villeparisis et son Passé (ouverture les samedis matin de 10h00 à 12h00).
Enseignement
Villeparisis dispose de:
8 écoles maternelles;
8 écoles élémentaires;
3 collèges: Marthe Simard (ouvert en septembre 2021[44]), Gérard Philipe et Jacques Monod. Les établissements sont gérés par le Conseil départemental de Seine-et-Marne.
La commune dépend de l'Académie de Créteil; pour le calendrier des vacances scolaires, Villeparisis est en zone C.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 10 264 (dont 59% imposés), représentant 26 900 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 970 euros[45].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 5 229, occupant 11 610 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,1% contre un taux de chômage de 9,6%.
Les 23,3% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 10% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,6% de retraités ou préretraités et 8,7% pour les autres inactifs[46].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 1 554 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 64 dans l’industrie, 260 dans la construction, 1 060 dans le commerce-transports-services divers (dont 305 dans le commerce et la réparation automobile) et 163 étaient relatifs au secteur administratif[47].
Ces établissements ont pourvu 4 056 postes salariés.
Villeparisis dispose de trois parcs d'activités:
la «Z.A.C. de l'Ambrésis», regroupant de grandes enseignes, des restaurants, des entreprises;
le parc d'activité Salengro où se situe un hypermarché et une galerie commerciale;
le parc d'activités Sud-Montzaigle dans lequel sont installées des entreprises.
Un des plus grands marchés du secteur est organisé trois fois par semaine dans la halle couverte et sur la place du Marché les mercredis, vendredis et dimanches matin.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame-de-la-Paix[48]: construite en 1955 (pose de la première pierre le ), sur une architecture moderne du XXesiècle par l'architecte Maurice Novarina. Le clocher, détaché de l'église, a été construit en fin de siècle sur le modèle architectural de l'église elle-même.
Église Saint-Martin: petite église du XIIesiècle (légèrement penchée).
Château de Morfondé: ancien centre d'apprentissage de l'Armée du salut - fermé en - et futur campus[Quand?] qui accueillera diverses sélections nationales ou internationales de football[49].
Piscine intercommunal Jean Taris, l'une des 171 piscines dite «Tournesol».
V de Vasarely, offert à la Ville par Victor Vasarely dans les années 1970[50].
Personnalités liées à la commune
Honoré de Balzac y a vécu dans sa jeunesse; un parc de la ville porte son nom[51].
Győző Vásárhelyi, dit Victor Vasarely, né le 9 avril 1906 à Pécs, en Autriche-Hongrie, et mort le 15 mars 1997 à Paris 16e, en France, est un plasticien hongrois, né austro-hongrois et naturalisé français en 1961, reconnu comme étant le père de l'art optique. Il a laissé une trace durable sur Villeparisis en y installant notamment un V[50].
Jean-Pierre Vasarely dit «Yvaral», né le 25 janvier 1934 à Paris 6e et mort le 2 août 2002 à Villejuif, est un peintre et plasticien français. Comme son père, il a laissé une trace durable sur Villeparisis avec une installation dans le quartier du Parisis[52].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
«Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne», Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, nospécial IDF-001-2017-01, , p.11-23 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
Faustine Léo, «Municipales: Gilles Loubignac (PS), candidat à la succession à Villeparisis: Après dix-neuf ans comme adjoint, le sexagénaire souhaite poursuivre l’action de José Hennequin.Travaux, sécurité et défense de la ville au sein de la nouvelle intercommunalités ont ses priorités», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Faustine Léo, «Municipales: Villeparisis, fief de gauche menacé?: Adoubé par José Hennequin, qui passe la main, Gilles Loubignac (PS) aura face à lui deux listes de droite. Des candidats UMP et UDI qui espèrent bien faire basculer la ville», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Hendrik Delaire, «Municipales à Villeparisis: trois candidats contre le maire sortant: Candidat à sa succession, Hervé Touguet (LR) sera opposé à Frédéric Bouche (PS), Claude Sicre de Fontbrune (UDI) et Sophie Tesa-Tari (SE)», Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Municipales: Frédéric Bouche rassemble la gauche, «Municipales: Frédéric Bouche rassemble la gauche», Magjournal 77, (lire en ligne, consulté le )«Frédéric Bouche a présenté sa liste Villeparisis avec Vous qui rassemble le Parti socialiste, le Parti communiste, Europe Ecologie Les Verts et le Front de gauche».
Audrey Gruaz, «Hervé Touguet aux commandes de la mairie: Les Villeparisiens étaient nombreux à l’hôtel de ville, samedi matin, pour l’investiture de leur nouveau maire», La Marne, (lire en ligne).
Louis Gohin, «Frédéric Bouche: «J’interdis les pesticides dès septembre»: Le nouveau maire de Villeparisis (gauche et écologistes), veut redonner confiance aux Villeparisiens dans la politique en leur permettant de contrôler les décisions de la mairie», La Marne, (lire en ligne, consulté le )«Frédéric Bouche est le nouveau maire de Villeparisis. Il était le candidat de la gauche et des écologistes. Il veut prendre des mesures pour l’environnement et créer de nouvelles instances de démocratie locale pour redonner du sens à la politique».
Antoine Fillion, «Le conseil municipal a élu le nouveau maire, Frédéric Bouche: Le premier conseil municipal post-élection s’est tenu vendredi 3 juillet, au centre culturel de Villeparisis. Cent cinquante personnes ont assisté à la séance. Frédéric Bouche a été élu maire», Magjournal 77, (lire en ligne, consulté le ).
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