Ville-Saint-Jacques est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
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La commune est située à environ 7 kilomètres au sud-ouest de Montereau-Fault-Yonne et 18 kilomètres au nord-est de Nemours.
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La Grande-Paroisse | Varennes-sur-Seine | ![]() | |
Moret-Loing-et-Orvanne | N | Noisy-Rudignon | ||
O Ville-Saint-Jacques E | ||||
S | ||||
Villecerf | Dormelles |
L'altitude de la commune varie de 48 mètres à 118 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 98 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de l'aqueducs de la Vanne et du Loing, long de 156,88 km[3]. Sa longueur totale sur la commune est de 3,92 km[4].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,3 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[7]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 33 km à vol d'oiseau[8], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[9] à 11,6 °C pour 1991-2020[10].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12].
Deux espaces protégés sont présents dans la commune :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Ville-Saint-Jacques comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16],[Carte 1], la « vallée de la Seine entre Vernou et Montereau » (1 626,19 ha), couvrant 8 communes du département[17].
Ville-Saint-Jacques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
La commune compte 72 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[23] dont la Brosse, la Joie, la Panerée, la Vallée aux Pigeons, l'Épinoy, Belvédèr, le Bois d'Échalas, le Cormier, le Grand Leu, le Liébeau, le Tilloy, les Bondons, les Martinets, les Rôtis, les Vallées, l'Orme des Plantes, l'Orme Nochet, Moraille, la Fosse aux Loups.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,7% ), forêts (8,3% ), zones urbanisées (6,6% ), eaux continentales[Note 6] (2,6% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[24].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[27].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 337, dont 96,4 % de maisons et 3,3 % d'appartements.
Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 93,1 % contre 5,9 % de locataires et 1 % logés gratuitement[29] -[Note 7].
La commune est desservie par les lignes d’autocars :
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villaen 1171 ; Decima de la vile en 1173[32].
La ville a été dénommée ainsi car c'était une étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Le village de Ville-Saint-Jacques se situe dans le sud de la Seine-et-Marne (région d'Ile-de-France) sur un territoire de 1 075 ha, sur une crête surplombant la vallée de la Seine et à quelques kilomètres de l’Yonne (Bourgogne) et du Loiret (Centre), en bordure du futur parc naturel régional du Bocage-Gâtinais. La superficie est de 10,6 km2. Ville-Saint-Jacques porte le code Insee 77516 et est associée au code postal 77130. Il se situe géographiquement à une altitude de 100 mètres environ. Il fait partie du canton de Moret-sur-Loing, dépend administrativement de la sous-préfecture de Fontainebleau, et a intégré en 2001, la communauté de communes de Moret Seine et Loing, comptant 21 autres communes avoisinantes pour élargir l’offre des services à la population. Les habitants de Ville-Saint-Jacques s'appellent les Saint-Jacques-Villois et Saint-Jacques-Villoises.
Le village, outre de posséder une très belle église du XIIe et XVIe siècle en plein cœur du village, est contourné par le sud par l’aqueduc de la Vanne construit à la fin du XIXe siècle, lequel alimente Paris en eau potable.
On y faisait du brie dit de Ville-Saint-Jacques. Le village possédait jusqu’en 1959 une gare située sur la route de Noisy-Rudignon sur la ligne de Montereau à Château-Landon.
La vigne était très répandue au XIXe siècle, et l’église recèle un autel de Saint-Vincent, patron des vignerons qu’une confrérie locale, vénère encore. Ville-Saint-Jacques a conservé son âme de petit village doté d’un caractère rural certain, entretenu volontairement par les équipes municipales successives.
La seigneurie et les terres attenantes furent vendues en 1284 aux Templiers de la commanderie de Dormelles puis dévolues aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[33].
Date d'élection | Identité | Qualité |
---|---|---|
1860 | Comte de Froidefond de Florian | ????? |
1865 | Comte de Froidefond de Florian | ????? |
1871 | Louis Buffeteau | ????? |
1874 | Louis Buffeteau | ????? |
1876 | Louis Buffeteau | ????? |
1881 | Louis Buffeteau | ????? |
1884 | Louis Buffeteau | ????? |
1888 | Louis Buffeteau | ????? |
1900 | Louis Buffeteau | ????? |
1904 | Louis Buffeteau | ????? |
1908 | Louis Buffeteau | ????? |
1912 | Louis Buffeteau | ????? |
1913 | Aristide Cretté | ????? |
1919 | Adolphe Forget | ????? |
1925 | Adolphe Forget | ????? |
1929 | Louis Buffeteau | ????? |
1930 | Louis Buffeteau | ????? |
1934 | Alexis Coulon | ????? |
1941 | Henri Péradon | ????? |
1945 | Henri Péradon | ????? |
1947 | Henri Péradon | ????? |
1953 | Maurice Maury | ????? |
1959 | Maurice Maury | ????? |
1965 | René Paupardin | ????? |
1971 | Jean Burdillat | ????? |
1977 | Jean-Claude Valette | ????? |
1983 | Jean-Claude Valette | ????? |
1989 | Jean-Claude Valette | ????? |
1995 | Jean-Claude Valette | ????? |
2001 | Jean-Claude Valette | ????? |
2008 | Francis Duchâteau | ????? |
Ville-Saint-Jacques est, avec quatre autres communes du bocage gâtinais (Blennes, Chevry-en-Sereine, Saint-Ange-le-Viel et Villemaréchal), jumelée avec Starzach, une commune d'Allemagne.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [34],[35].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Ville-Saint-Jacques est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [36],[37],[38].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[39]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[36],[40].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEP de la Vallée de l'Orvanne qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [36],[41],[42].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[43].
Ses habitants sont appelés les Saint-Jacques-Villois[44] et les Saint-Jacques-Villoises[45].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[47].
En 2019, la commune comptait 862 habitants[Note 8], en augmentation de 19,89 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
497 | 478 | 481 | 515 | 596 | 568 | 563 | 620 | 633 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
622 | 627 | 674 | 642 | 639 | 622 | 614 | 581 | 533 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
549 | 544 | 525 | 481 | 448 | 440 | 391 | 442 | 419 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
435 | 393 | 449 | 501 | 580 | 673 | 708 | 718 | 793 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
862 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Ville-Saint-Jacques était renommé pour son fromage, le brie de Ville-Saint-Jacques, qui était un petit brie cendré au charbon de bois, créé au XIXe siècle pour les ouvriers agricoles. De taille modeste (1 kg), il était affiné pendant plus de huit semaines. Séché grâce à la cendre, il ne coulait pas et était protégé des souillures des insectes, ce qui permettait aux ouvriers de l'emporter comme casse-croûte dans les champs. On le laissait souvent à l'ombre d'un arbre, au bord d'un ruisseau, recouvert d'un linge humide. Chaque ferme en fabriquait aux environs de Ville-Saint-Jacques. Il s'agit donc d'un brie de ménage appelé aussi brie de moisson. Disparu dans les années 1970, il a été remis au goût du jour par un maître-fromager bellifontain, qui l'affine dix semaines durant après l'avoir cendré.
Le brie est donc désormais fabriqué ailleurs, mais on fait maintenant à Ville-Saint-Jacques un fromage de chèvre, très apprécié dans la région.
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 317, représentant 827 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 570 euros[50].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 120, occupant 374 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,7 % contre un taux de chômage de 5,9 %. Les 22,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,2 % de retraités ou préretraités et 5,1 % pour les autres inactifs[51].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 60 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 11 dans la construction, 13 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans l’information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 14 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[52].
En 2019, 9 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].
Ville-Saint-Jacques est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[54].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 15 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 61 ha en 1988 à 91 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Ville-Saint-Jacques, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[54],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 15 | 17 | 9 |
Travail (UTA) | 31 | 22 | 17 |
Surface agricole utilisée (ha) | 909 | 853 | 822 |
Cultures[56] | |||
Terres labourables (ha) | 883 | 811 | 813 |
Céréales (ha) | 577 | 523 | 481 |
dont blé tendre (ha) | 321 | 285 | 271 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 95 | 24 | s |
Tournesol (ha) | 84 | s | s |
Colza et navette (ha) | 26 | s | 153 |
Élevage[54] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 53 | 23 | 31 |
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