Valflaunès (en occitanValfaunés) est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault, en région Occitanie. C'est l'un des villages de l'Hérault les plus proches du pic Saint-Loup et de la montagne d'Hortus.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Terrieu, le Rieufrêche et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (le «pic Saint-Loup» et les «hautes garrigues du Montpelliérais»), un espace protégé («L'Hortus») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Valflaunès est une commune rurale qui compte 766 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
Géographie
Carte
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 16,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records VALFLAUNES-PLAINE (34) - alt: 126 m 43° 47′ 12″ N, 3° 50′ 36″ E Statistiques établies sur la période 1990-2010 - Records établis sur la période du 01-06-1990 au 31-03-2012
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
0,9
1
3,8
6,7
10,5
13,9
16,4
16,5
12,5
9,7
4,7
1,5
8,2
Température moyenne (°C)
6,3
7,1
10,3
13
17,1
21,1
23,9
23,8
19,2
15
9,9
6,6
14,5
Température maximale moyenne (°C)
11,6
13,1
16,8
19,3
23,6
28,3
31,4
31,2
25,8
20,4
15,2
11,7
20,7
Record de froid (°C) date du record
−10,5 05.01.1995
−14,4 05.02.12
−11 02.03.05
−2,5 14.04.1998
2,3 05.05.1991
6 15.06.1995
7,4 01.07.1991
8 30.08.1998
2,8 27.09.10
−3 31.10.1997
−7 22.11.1999
−10 30.12.1996
−14,4 2012
Record de chaleur (°C) date du record
22 27.01.03
23,4 23.02.12
28,5 21.03.02
33,1 08.04.11
35,3 30.05.01
39,6 21.06.03
38,8 12.07.06
42,4 12.08.03
35,5 02.09.1999
33,2 02.10.1997
24 04.11.10
21,3 06.12.01
42,4 2003
Précipitations (mm)
85,7
62
51
79,6
83,4
42,8
27,8
43,3
134,2
159,2
100
115,5
984,5
Source: «Fiche 34322003» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
Un espace protégé est présent sur la commune:
«L'Hortus», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 271,7ha[9].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[11]:
le «pic Saint-Loup», d'une superficie de 4 430ha, comprenant de grandes étendues de pelouses et de matorrals à genévrier oxycèdre, en particulier, caractéristiques d'une pratique séculaire du pastoralisme. Les falaises du Pic-Saint-Loup et de l'Hortus recèlent trois espèces végétales endémiques (Erodium foetidum, Saxifraga cebennensis, Hieracium stelligerum)[12]
les «hautes garrigues du Montpelliérais», d'une superficie de 45 444ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30% des effectifs régionaux[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[14]:
la «Bordure orientale du causse de l'Hortus» (1 478ha), couvrant 5 communes dont une dans le Gard et quatre dans l'Hérault[15];
la «montagne d'Hortus» (1 153ha), couvrant 3 communes du département[16];
le «pic Saint-Loup» (818ha), couvrant 5 communes du département[17];
la «plaine de Notre-Dame-de-Londres et du Mas-de-Londres» (3 483ha), couvrant 6 communes du département[18];
les «Pic-Saint-Loup et Hortus» (11 816ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[19];
les «plaines et garrigues du Nord Montpelliérais» (13 097ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Valflaunès.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Valflaunès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (30,1%), forêts (28,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,5%), zones agricoles hétérogènes (13,8%), zones urbanisées (2,9%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Valflaunès est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Valflaunès est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valflaunès.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 89,1% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 382 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 349 sont en en aléa moyen ou fort, soit 91%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2001, 2002 et 2014.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
Toponymie
Valflaunès est la francisation de Valfaunés qui dérive de Val+lat. figulina « atelier du potier » + suff. lat. -ensem.
Plan des ponts de Jenton de la Rouvière et Bouisset (1781-1790)
Histoire
Il y a 30 000 ans, les chasseurs néanderthaliens occupaient la grotte de l'Hortus.
La première mention du village moderne apparaît dans le cartulaire d'Aniane en 923: Val Fileneses.
La commune est aujourd'hui très réputée pour ses domaines viticoles et ses caves.
Héraldique
blason de Valflaunès
Les armes de Valflaunès se blasonnent ainsi:
D'azur à deux clés d'argent passées en sautoir[30].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
mars 2014
Francis Jeanjean
SE
mars 2014
En cours
Gérard Fabre
SE
Cadre
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 766 habitants[Note 9], en augmentation de 6,98% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
196
133
269
200
270
278
247
297
312
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
316
314
334
359
362
340
302
409
411
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
412
414
402
423
425
430
422
295
266
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
272
251
250
398
604
655
694
706
759
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
766
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 327 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 808 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 010 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 458 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3% d'actifs (71,4% ayant un emploi et 9,9% de chômeurs) et 18,7% d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 146 emplois en 2018, contre 154 en 2013 et 133 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 339, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5%[I 10].
Sur ces 339 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 20% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8% les transports en commun, 3,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
73 établissements[Note 12] sont implantés à Valflaunès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
73
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
10
13,7%
(6,7%)
Construction
13
17,8%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
14
19,2%
(28%)
Information et communication
3
4,1%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
1
1,4%
(3,2%)
Activités immobilières
6
8,2%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
17
23,3%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
6
8,2%
(14,2%)
Autres activités de services
3
4,1%
(8,1%)
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,3 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 73 entreprises implantées à Valflaunès), contre 17,1% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35]:
Na2R, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (196 k€)
L'etrier Des Cabanelles, autres activités récréatives et de loisirs (110 k€)
Web Mobilier Distribution - WMD, vente à distance sur catalogue général (88 k€)
Agriculture
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 29 en 2000 puis à 23 en 2010[38] et enfin à 21 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 36% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[39],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 616 ha en 1988 à 626 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19 à 30 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre de Valflaunès.
Château de Valflaunès, ancienne demeure de la famille Durand qui donna un maire de Montpellier durant la Révolution française.
Jean-Jacques-Louis Durand[40] (1760-1794). Il était propriétaire du château et de la seigneurie de Valflaunès. Président de la Cour des comptes, Aides et Finances de Montpellier, il est élu maire de Montpellier le . Il meurt guillotiné à Paris le .
Prix Albertine Sarrazin. Concours qui récompense chaque année des nouvelles et vise à entretenir le souvenir de cette écrivaine.
Festa de la Vendemia. Créée en 2008. Organisée par l'association Culture et Vins en partenariat avec le syndicat des vignerons du Pic Saint-Loup et la municipalité de Valflaunès.
Sports et loisirs
Un site d'escalade situé sur une falaise dans le prolongement de l'Hortus propose une vingtaine de voies équipées pour l'initiation, de 15 m de haut au maximum, et de cotation du 4b au 6b[41].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Henry Lumley (de), La grotte de l'Hortus: Valflaunès, Hérault, les chasseurs néandertaliens et leur milieu de vie, élaboration d'une chronologie du Würmien II dans le Midi méditerranéen, Marseille, Laboratoire de paléontologie humaine et de préhistoire, , 668p.
Georgette Alary, Des mas au pied du Pic Saint Loup à Valflaunès, Montpellier, Université du Tiers Temps, , 147p.
Angély Pézières, «Camp et grotte-refuge à ossements du Mas Rigaud sous le rocher d'Ortus, commune de Valflaunès (Hérault)», Bulletin de la Société Languedocienne de Géographie, , p.383-391
Thierry Ribaldone, «Le château de La Roquette ou de Viviourès à Valflaunès – Hérault», Cévennes magazine, no1740, , p.9-16
Thierry Ribaldone, «Le château de La Roquette ou de Viviourès à Valflaunès et Le Rouet (Hérault): approche historique et architecturale», Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos26-27, , p.65-72 (lire en ligne)
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales déposées de Valflaunès (1673-1931) [0,5 ml]. Cote: 322 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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