Vacognes-Neuilly est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 648 habitants[Note 1].
Pour les articles homonymes, voir Neuilly.
Cet article est une ébauche concernant une commune du Calvados.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Vacognes-Neuilly
Église Saint-Sébastien et mairie.
Administration
Pays
France
Région
Normandie
Département
Calvados
Arrondissement
Caen
Intercommunalité
Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Géologie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Hydrographie
La petite rivière de l'Ajon passe par Neuilly-le-Malherbe et se jette dans l'Odon au Locheur.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Georges D», sur la commune de Seulline, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1°C et la hauteur de précipitations de 1 007,2 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Caen-Carpiquet», sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 14 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9°C pour la période 1971-2000[13] à 11,2°C pour 1981-2010[14], puis à 11,5°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Vacognes-Neuilly est une commune rurale[Note 7],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (72,8%), prairies (20%), zones agricoles hétérogènes (7,2%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom Vacognes-Neuilly vient des communes de Vacognes et de Neuilly-le-Malherbe associées en 1972 dans le cadre de la loi Marcellin.
Le nom de la localité de Vacognes est attesté sous la forme Vasconia vers 1350[23],[24]. Les Vascons ont donné leur nom à ce toponyme.
Neuilly-le-Malherbe vient du mot Norr (qu'on écrit Noue) qui signifie «lieu humide et gras» et de l'ancienne famille de Malherbe-Saint-Agnan qui en a possédé la seigneurie[25]. Il est attesté sous la forme Nully en 1328[26], Nuylly le Malherbe en 1453[24] et Nully le Malherbe en 1460[27]. Elle a porté le nom de Neuilly-sur-Odon[28] au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale.
Histoire
Au XIIIesiècle Jean Malherbe, de la famille Malherbe-Saint-Agnan, est seigneur de Neuilly-le-Malherbe[29]. En 1312 la terre de Neuilly-le-Malherbe est confisquée à Jean de Malherbe pour forfaiture et donnée à Pierre le Paumier, apothicaire du Roi[29].
Au XVesiècle, Jean d'Arclais est seigneur de Neuilly-le-Malherbe et épouse le Marguerite Costard de Cambes. Leur fils Jean épouse Jeanne de Vauville en 1539. Leur fils Nicolas épouse Florimonde de Sainte-Marie en 1565. Leur fils Jean épouse Catherine de Vernay en 1597[30].
Tombe d'Isabeau de Fontaines.
Au XVIIesiècle et XVIIIesiècle, plusieurs membres de la famille de Fontaines sont seigneurs de Neuilly:
N. de Fontaines, dont la famille est anoblie en 1628[25];
Simeon ou Simon de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1647[25];
Claude de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1684[25]; Guy de Fontaines, chanoine de Bayeux, supérieur général des Eudistes, mort à Bayeux le [25],[31];
Michel de Fontaines.
On trouve la tombe d'Isabeau de Fontaines (avant 1590- ), mariée en 1605 à Siméon le Coustellier, et petite-fille de Catherine Malherbe[32] dans l'église Saint-Martin de Vacognes-Neuilly.
Autre famille notable, les Vassel, famille qui siècle possédait des biens à Neuilly-le-Malherbe et a notamment intenté des procès aux curés Jean de Surville en 1722 et Antoine Louvet en 1733. Dans cette famille on trouve:
Nicolas Vassel. anobli en 1598. Né à Neuilly-le-Malherbe vers 1542 et mort entre 1614 et 1622[33].
Pierre Vassel, écuyer, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, chevalier de l'ordre du Saint Sépulchre de Jérusalem, marié à Florence du Thon le [34]. Il est fils aîné de Nicolas Vassel. En 1623 il possède le fief Baussain à Neuilly, ayant appartenu à Pierre Fontaine, écuyer, avocat au bailliage et siège présidial de Caen.
Guillaume Vassel, écuyer, marié à Madeline de Villaines en 1657, mort à Paris en 1678. Il est fils de Pierre Vassel[34].
Dans la 2e moitié du XVIIIesiècle, René-Henri de Brunville est seigneur de Neuilly-le-Malherbe.
Du début du second Empire jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale des carrières de galets et de sables sont exploitées à Neuilly-le-Malherbe[35].
Au début du XXesiècle, l'abbé Eugène Marie (1854-1937) recueille des enfants abandonnés, comme le font ensuite ses successeurs les abbés Robine, Noë et Leroy[35]. En 1961 une association Les Amis de Jean Bosco est créée, avec comme objectif de reconvertir l'orphelinat en institution spécialisée et en 2012 l'association représentait 17 établissements et services, 550 salariés[36]. L'Institut Pédagogique des Amis de Jean Bosco, situé derrière l'église de Neuilly, ferme dans la décennie 2010.
Dans le cadre du plan Raymond Marcellin visant à réduire le nombre de communes, Vacognes (109 habitants en 1968) absorbe le [37] Neuilly-le-Malherbe (137 habitants)[38],[28], au nord de son territoire, qui conserve le statut de commune associée.
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[40]. L'un des adjoints est maire délégué de Neuilly-le-Malherbe.
Liste des maires de Neuilly-le-Malherbe avant 1972
Période
Identité
Étiquette
Qualité
M de Brunville
-
-
Jean Mouley
-
-
Louis Hervé Depiedoue
-
-
Louis Hervé Depiedoue le jeune
-
-
Charles François Demaison
-
-
François-Louis de Saint-Pol
-
-
Jean-Baptiste Dupont
-
-
Alfred de Saint-Pol
-
-
Pierre Malvoisin
-
-
Noël Lamotte
-
-
Zéphir Marguerite
-
-
Maxime de Saint-Pol
-
-
Jean Margueritte
-
-
Julien Coeuret
-
-
Victor Enault
-
-
Albert Hamelin
-
-
Emile Ménard
-
fait fonction de maire
Louis Quedeville
-
-
Maurice Lemarois
-
-
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires de Vacognes avant 1972
Période
Identité
Étiquette
Qualité
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].
En 2019, la commune comptait 648 habitants[Note 9], en augmentation de 24,86% par rapport à 2013 (Calvados: +0,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Vacognes a compté jusqu'à 253 habitants en 1831, Neuilly-le-Malherbe atteignant son maximum démographique la même année avec 261 habitants.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
216
235
228
245
253
238
222
205
200
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
170
185
178
148
157
144
150
145
133
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
97
121
114
107
97
104
109
121
96
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
106
109
273
332
414
412
476
510
617
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
648
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Un projet d'aménagement d'un champ éolien est actuellement en cours au sein de la commune. La commune entend ainsi profiter de l'essor de l'éolien pour assurer sa croissance et contribuer à atteindre les objectifs français en termes d'énergies renouvelables.
Lieux et monuments
Dalle funéraire du XVIesiècle située dans la nef de l'église Saint-Martin.
Château du Moustier, dont le site est classé depuis le [44].
Église Saint-Sébastien de Vacognes, médiévale.
Église Saint-Martin de Neuilly-le-Malherbe, médiévale. D'après Arcisse de Caumont, la nef (XIIIesiècle?[45]) est plus ancienne que le chœur (période ogivale), lui-même plus ancien que le clocher en bâtière (XVIIIesiècle). La porte principale qui se trouvait dans le mur latéral sud a été refaite en 1783. Entre cette porte et la tour a été placée dans une niche une sculpture en pierre polychrome représentant la charité de saint Martin (XVIesiècle)[46]. L'église est remaniée en néo-gothique à la fin du Second Empire et au début de la IIIe République et le clocher est restauré en 1885[35]. Dans la nef, trois dalles funéraires: dalle funéraire non identifiée (datée 1545), d'Isabeau de Fontaines (1628) et d'Antoine Louvet (1748)[47]. L'église abrite des statues dont celles de saint Charles Borromée du début du XVIIesiècle[48],[49],[50],[26],[Note 10] (ou plutôt saint Célerin du XVe ou XVIe?[51]) mais aussi des statues du XXesiècle comme celles de Thérèse de Lisieux et du curé d'Ars. Vitraux signés J. Pelletier (1958).
Grange aux dîmes du XVIIesiècle à côté de l'église Saint-Martin, détruite après la Seconde Guerre mondiale[35].
Croix de chemin: croix route d'Évrecy, érigée en 1861, réédifiée en 1893, brisée en 2017; croix des Baudes, route de Tournay, sans date; croix des Bois, chemin des Londes, sans date.
Lavoir de Neuilly construit en 1903 et restauré en 1988[35].
Château du XVIIesiècle, acquis par François Louis, comte de Saint-Pol (1780-1846)[52]. Ce château, endommagé pendant les bombardements de Normandie de , n'existe plus[35]: ne subsistent au XXIesiècle que ses dépendances.
Château classique avec chapelle néogothique, construits par la famille de Saint-Pol au Second Empire. De 1897 à 1899, Lazare Cernuski, connu pour son faux témoignage contre Alfred Dreyfus, y est hébergé[53].
L'église Saint-Martin de Neuilly-le-Malherbe.
Le cadran solaire de 1707.
La croix de chemin le long de la route d'Évrecy en 2017.
Le lavoir de Neuilly-le-Malherbe.
Vestiges de l'ancien château de Neuilly-le-Malherbe.
Activité et manifestations
Jumelages
Johannesberg(Allemagne)depuis 1990.
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Voir aussi
Bibliographie
Jean Anne, Brève monographie de Vacognes-Neuilly, Vacognes-Neuilly, Jean Anne, , 23p.
Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d.
René Dubourg, «Quelques pages d'histoire locale: les Vassel, seigneurs de Neuilly-le-Malherbe», Annuaire des cinq départements de la Normandie, , p.185-286 (lire en ligne)
Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Calvados. Archives civiles. Série E supplément, Caen, Charles Vallin, (lire en ligne), p.86-89
Actes de baptêmes, mariages et sépultures pages 86 à 89 pour Neuilly-le-Malherbe et pages 146 à 152 pour Vacognes.
Notes et références
Notes
Population municipale 2019.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'ouvrage Les trésors d'art religieux du Calvados en 1940 est le premier à l'identifier comme représentant saint Charles Borromée et à la dater du début du XVIIesiècle tout en remarquant qu' « on la croirait du XVIesiècle, si la canonisation de saint-Charles Borromée ne datait de 1605. Ce serait donc un de ses premières statues». L'ouvrage précise aussi que d'après l'abbé Marie cette statue aurait été trouvée au XIXe siècle, enterrée dans le cimetière. L'hypothèse y est émise que cette statue aurait fait partie d'un autel détruit, d'autant qu'il se trouvait «à Caen, au presbytère Saint-Julien, une statue, des mêmes dimensions, de saint Martin, provenue de Neuilly-le-Malherbe, et hospitalisée par M. Le chanoine de Saint-Pol ». La statue est exposée en 1957 pour l'exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie. Cette identification et datation sont reprises dans le catalogue publié dans la revue Art de Basse-Normandie en 1957 puis répétées. L'hypothèse émise dans la brochure éditée par la communauté de communes d'une représentation de saint Célerin est plus en accord avec le style Renaissance de la statue.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 129.
Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, vol.5: Lettres N-Q, Paris, Desaint et Saillant, , 1064p. (lire en ligne), p.175
Le Patrimoine des communes du Calvados, éditions Flohic, , p.789-790
Gervais de La Rue, Nouveaux essais historiques sur la ville de Caen et son arrondissement: contenant Mémoires d'antiquités locales et annales militaires, politiques et religieuses de la ville de Caen et de la Basse-Normandie, t.II, Caen, Mancel, (lire en ligne)
Franc̜ois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice des familles étrangères, les plus anciennes, les plus nobles & les plus illustres ..., La veuve Duchesne, (lire en ligne)
Michel Béziers et Gaston Le Hardy (publié par), Mémoires pour servir à l'état historique et géographique du diocèse de Bayeux, t.3: Archidiaconés d'Hyesmes et de Caen, Rouen, A Lestringant, (lire en ligne), p.240
Guy Chamillart, Généralité de Caen, recherche de la noblesse, faite par ordre du roi (Louis XIV) en 1666 et années suivantes, Caen, H. Delesques,
(en) Arthur Kingsley Porter, Medieval architecture, its origins and development, with lists of monuments and bibliographies, New Haven, Yale University Press, , p.360
Arcisse de Caumont, Bulletin monumental ou collection de mémoires et de renseignements pour servir à la confection d'une statistique des monuments de la France, classés chronologiquement., t.9, Caen, A. Hardel, (lire en ligne), p.342
L' Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Calvados. Archives civiles. Série E supplément, pp. 86-89 fait la liste des actes de baptêmes mariages et sépultures de 1620 à 1792.
Fernand Engerand, Les trésors d'art religieux du Calvados, t.I: Caen et l'arrondissement de Caen, Caen, Marigny et Joly, , p.302
Jean Seguin, Saints guérisseurs, saints imaginaires, dévotions populaires...: en Basse-Normandie et Haute-Bretagne, Paris, Librairie Guénégaud, , 256p. (lire en ligne), p.156
«Exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie Église Saint-Nicolas de Caen Été 1957», Art de Basse-Normandie, no6, , p.29
Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d., p.31
Ministère de la Justice, Enquête de la Chambre criminelle: Affaire Dreyfus: 2e révision. Tome 2, Paris, Imprimerie nationale, , 511-[19] (lire en ligne), p.107
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии