Thoury-Férottes (écrit localement Thoury-Ferrottes) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Thoury-Ferrottes redirige ici.
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L'altitude de la commune varie de 72 mètres à 152 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 83 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Carte des réseaux hydrographique et routier de Thoury-Férottes.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés:
la rivière Orvanne, longue de 38,84 km[3], affluent du Loing, coule dans la commune, ainsi que:
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,52 km[8].
Deux moulins à aubes fonctionnaient autrefois sur le cours de l'Orvanne, le Moulin Neuf[9] et le moulin des cailloux.
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,5 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,8 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 15,6 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 722 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: -1,1 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -3,6 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 40 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[14] à 11,6°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].
Deux espaces protégés sont présents dans la commune:
la zone centrale de la réserve de biosphère «Fontainebleau et Gâtinais», créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544ha (46 056ha pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles: une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[18],[19].
la zone de transition de la réserve de biosphère «Fontainebleau et Gâtinais», créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544ha (95 595ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles: une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[18],[20].
Urbanisme
Typologie
Thoury-Férottes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 112 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[26] (source: le fichier Fantoir) dont Thoury, Bichereau, les Marais.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (61,1% ), forêts (29,8% ), prairies (3,5% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3% ), zones urbanisées (2,1% ), zones agricoles hétérogènes (0,2%)[27].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[30].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[31].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 319 dont 97,8% de maisons et 2,2% d'appartements[Note 5].
Parmi ces logements, 84,3% étaient des résidences principales, 5,3% des résidences secondaires et 10,3% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,1% contre 13% de locataires et 1,9% logés gratuitement[32].
Voies de communication et transports
Voies de communication
Transports
La commune est desservie par la ligne d’autocars No19 (Blennes – Égreville) du réseau de cars Transdev[33].
Toponymie
La commune est instituée en 1793 sous la dénomination de Tourry Ferolles, puis est nommée en 1801 Toury-et-Ferotte, et prend ultérieurement son nom actuel de Thoury-Férottes[34],[35].
Thoury, du bas latin Thoriatum, domaine de Taurinus[réf.nécessaire].
Ferrottes fait référence aux mines de fer exploitées dès l’époque gauloise[36].
Le village se développe dès le IVesiècleav. J.-C.[36].
Situé à la frontière du Gâtinais et de la Champagne, le village possède une forteresse construite sur une motte féodale, transformée ensuite en ferme fortifiée[36].
Au XVIIesiècle, la paroisse accueille une branche aînée très appauvrie de la famille de Bernard, seigneurs de Champigny (-sur-Yonne). Elle est titrée «sieur de La Motte de Champigny», conservant dans cette titulature son aînesse sur la paroisse de ses origines[C'est-à-dire?] au XVesiècle. Claude de Poysson, veuve de Louis de Bernard, décédé entre 1639 et 1655, liquidera son patrimoine dans l'espoir d'établir son aîné au sein des Écuries du Roi[C'est-à-dire?] (1669)[réf.nécessaire].
La commune a été desservie de 1889 à 1959 par la ligne de Montereau à Château-Landon, un chemin de fer secondaire à voie métrique exploité par CFD Réseau de Seine-et-Marne.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans le département de Seine-et-Marne.
Lors de sa création par la Révolution française, elle était rattachée à l'arrondissement de Fontainebleau, puis en 1926 à celui de Melun, et à nouveau, en 1988, à celui de Fontainebleau[34]. Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Provins[37].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Lorrez-le-Bocage-Préaux[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Nemours.
Intercommunalité
La commune a adhéré en 2012 à la petite communauté de communes du Bocage Gâtinais.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalité éclate, et certaines de ses communes, dont Blennes, sont rattachées le à la communauté de communes des Deux Fleuves (CC2F)[38], qui prend, lors de cette extension, la dénomination de communauté de communes du Pays de Montereau, dont est membre la commune.
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Thoury-Férottes est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [42],[43],[44].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[42],[46].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEP de la Vallée de l'Orvanne qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [42],[47],[48].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[49].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].
En 2019, la commune comptait 655 habitants[Note 6], en diminution de 5,48% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
521
558
542
568
590
623
636
656
667
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
643
603
577
569
583
564
571
525
523
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
510
504
502
409
406
464
442
448
451
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
474
418
404
407
480
609
594
600
668
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
677
655
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés, en 2014, par un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) dont les écoles sont à Flagy (maternelle), Thoury-Férottes (CP à CE2) et Dormelles (CM1 et CM2)[53].
Équipements
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La communauté de communes du bocage gâtinais (CCBG) a implanté dans la commune des installations d'entraînement de rue, en anglais: street workout, en 2016[54].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 276, représentant 659 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 250 euros[55].
Emploi
En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 61, occupant 325 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,5% contre un taux de chômage de 4,5%.
Les 22% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 7,8% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8% de retraités ou préretraités et 6,1% pour les autres inactifs[56].
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 47 dont 5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 12 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 8 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[57].
En 2020, 8 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[58].
Agriculture
Thoury-Férottes est dans la petite région agricole dénommée la «Bocage gâtinais», à l'extrême sud du département[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[59].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[60]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 61ha en 1988 à 70ha en 2010[59].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Thoury-Férottes, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Thoury-Férottes entre 1988 et 2010.
Menhir dit la Pierre Cornoise ou Pierre Cordière, datant du néolithique[62], classé monuments historiques[63].
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XIIesiècle, remise en état en 1350 sur ordre de Charles V après les destructions de la Guerre de Cent Ans. Elle a été réhabilitée au XIXesiècle, et le clocher date de 1995[64].
La cloche, classée monument historique, date de 1669[65], et le retable, également classé, date de 1769[66]. Une dalle funéraire d'un seigneur non identifié, datant de 1500, s'y trouve[67], ainsi qu'un tableau du frère cordelier J. Ludovicus Deslignes de 1769, représentant le Christ remettant les clefs à saint Pierre[68].
Ferme de La Forteresse (XIesiècle-XVIIIesiècle)[69].
Monument aux morts, devant l’entrée du cimetière[64].
Croix de pèlerinage, en ferronnerie posée sur un bloc de pierre, datant de 1808, située à la croisée de 3 chemins, en remontant celui situé à droite de la mairie[70].
Arbre de la liberté, Ginko biloba planté en 1989 à l’occasion du bicentenaire de la Révolution Française, sous l’impulsion du conseil général de Seine-et-Marne. L'essence a été choisie pour rappeler qu'elle est la seule à avoir survécu à l’explosion nucléaire d’Hiroshima et pour sa longévité (les plus vieux spécimens ont plus de 1000 ans)[70].
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Héraldique
Blason
De gueules au taureau d'argent surmonté de deux roues de moulin du même; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or et soutenu d'une divise ondée du même[72].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507p. (ISBN2-84234-100-7), «Thoury-Férottes», p.688–689
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
«THOURY-FÉROTTES», Société d’Histoire, d’Archéologie, de Généalogie et d’Echange - SHAGE 77 (consulté le ).
«Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne», Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, nospécial IDF-001-2017-01, , p.11-23 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
«La CC2F s’agrandit: La communauté de communes du Bocage Gâtinais est vouée à disparaître. Sur les 8 communes qui la composent, 6 vont rejoindre la CC2F au prochain», La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Une nouvelle équipe municipale pour vous servir», Le Tacot, no2, , p.2 et 4 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
«La réforme des rythmes scolaires», Le Tacot, no2, , p.6-7 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
Thomas Martin, «Le street workout débarque: ce sera certainement l’un des derniers équipements que nous inaugurerons avant la fermeture de la CCBG» confirme le président de la communauté de communes et maire (SE) de Flagy, Jacques Drouhin, à propos des nouvelles installations de street workout, ce sport de rue, né dans les prisons et ghettos américains et inspiré de la gymnastique suédoise et de la musculation», La République de Seine et Marne, (lire en ligne, consulté le ).
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