La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
1: carte dynamique; 2: carte OpenStreetMap; 3: carte topographique
Taninges est située dans la moyenne vallée du Giffre, sur la RD 907 menant à Samoëns à l'Est et Mieussy[1] à l'Ouest au carrefour de la RD 902 menant de Cluses aux Gets.
Communes limitrophes
La Côte-d'Arbroz
Les Gets
Mieussy
N
OTaningesE
S
Châtillon-sur-Cluses
La Rivière-Enverse
Verchaix
Urbanisme
Typologie
Taninges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Taninges, une unité urbaine monocommunale[5] de 3 394 habitants en 2019, constituant une ville isolée[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cluses, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (56,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3%), zones agricoles hétérogènes (7,6%), zones urbanisées (4,5%), terres arables (3,8%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,1%), prairies (1,4%), eaux continentales[Note 3] (0,6%)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Taningio et Taningis (1263), Tagningio en (1445), Tanninges (1793), Taninge (1806), Tanninge (Bulletin des lois de 1861).
La forme Taningio est une dérivation en -ingio[11] faite sur un nom d'origine celte. En gaulois tanno- signifie chêne[12]. Dans la langue celte continentale, Taningio est le domaine de Tanno, c'est-à-dire le domaine du gaulois "Duchêne" ou le domaine du chêne. Les arbres avaient une dimension sacrée chez les Celtes (le chêne en particulier)[13]. Chez les celtes, le druide est celui qui a la connaissance du chêne, c'est-à-dire de l'arbre qui représente symboliquement la totalité du monde"[14]. La présence celte a été marquante dans cette vallée où se trouvait un Mediolanon. Ce toponyme très fréquent dans l'ère celte continentale désignait un centre (medio) gaulois[15]. Il s'agissait probablement d'un centre religieux[15].
L'histoire ancienne de Taninges semble difficile à détailler, faute de documents. Ainsi, les premiers documents fournis nous datent du XVesiècle.
Antérieurement, la paroisse était celle de Flérier, et un grand éboulement du Marcelly au XIIe ou XIIIe siècle aurait enseveli le village situé sur les coteaux sous le Marcelly, poussant à fonder la chapelle de Flérier partiellement datée du XIIIe siècle[17]: «L'église était anciennement au bourg; des ravins, soit éboulements, l'ayant détruite avec la majeure partie du bourg, on fut forcé de profiter de l'église de Fleyrier qui appartenait à des moines» (Requête de M. Jean-François Orsat, Maire, à M. le Préfet du Léman en 1804)[18].
En 1457, Taninges obtient par exemple le marché du jeudi et la foire d'avril. Plus tard, en 1696 les foires du et du sont accordées a la commune par le Prince, notamment pour récompenser leur bon comportement durant la guerre[18]. Le , le roi Charles-Albert confère à Taninges le titre et les privilèges de ville[18].
Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 452 pour la commune[21],[22]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8% des Savoyards répondent «oui» à la question «La Savoie veut-elle être réunie à la France?»[23].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Haute-Savoie.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1878
1879
Joseph Tetaz
Conservateur
Notaire Conseiller général de Taninges (1871 → 1883)
Les données manquantes sont à compléter.
?
?
Roger Brand
DVD
Vétérinaire Conseiller général de Taninges (1958 → 1973)
1977
1986
Ernest Nycollin
CD puis UDF-Rad. puis DVD
Cadre bancaire Conseiller régional (1992 → 1998) Conseiller général de Taninges (1973 → 2008) Président du conseil général (1998 → 2008)
Les habitants de la commune sont appelés les Jacquemards[25]., bien que le gentilé originel fut Taningeois. Il semblerait que l'utilisation du nom Jacquemard soit un hommage à un Jacques Montant originaire du village, fondeur de marc, d'où le surnom de «Jacques le Marc», puis Jacquemard, qui aurait été à la tête d'un soulèvement contre le duc de Savoie, vers 1470[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2019, la commune comptait 3 394 habitants[Note 5], en diminution de 0,73% par rapport à 2013 (Haute-Savoie: +7,33%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1822
1838
1848
1858
1861
1866
2 254
2 671
2 684
3 257
3 020
3 188
2 736
2 765
2 640
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
2 457
2 397
2 253
2 302
2 197
2 203
2 249
2 225
2 144
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1 913
1 925
2 072
1 970
1 926
2 028
1 969
2 109
2 354
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
-
-
2 682
2 791
3 140
3 394
3 381
3 406
3 394
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
Juillet: Festigrat's, festival alternatif de musique alternative et de guitares.
Enseignement
La commune de Taninges est située dans l'académie de Grenoble. En 2017, elle administre un groupe scolaire primaire, maternelle et élémentaire, situé sur la route de Mélan, regroupant 324 élèves[31].
La commune accueille le collège Jacques Brel avec 431 élèves, qui propose notamment une section sportive scolaire option ski alpin, nordique et surf[31],[32].
Économie
Entreprises
Agro-alimentaire
Usine Peguet Savoie Salaison (spécialisée dans la salaison de charcuterie)[33].
Usine raffin (Fabrication de charcuterie en gros)
Décolletage
Jenatton
Magasins et commerces
Grande distribution: Super U, Petit Casino
Boulangeries: "Bayard", "La Gourmandise"
Autres commerces: Arcad'Chaussures, Mr Bricolage, Gamm Vert
Tourisme
Tourisme d'hiver avec la station de sports d'hiver de Praz de Lys - Sommand.
Tourisme vert, construction de cabane dans les bois.
En 2016, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 9 369 lits touristiques répartis dans 1 526 structures[Note 6]. Les hébergements se répartissent comme suit: 205 meublés; 3 résidences de tourisme; 3 Hôtels; une structure d'hôtellerie de plein air; un centre ou village de vacances et quatre chambres d'hôtes[34].
La commune dispose de trois restaurants: "Le Marronnier", "L'os à Moelle", "La Crémaillère".
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La chartreuse de Mélan est une ancienne abbaye en partie détruite par un incendie en 1967. Elle conserve encore intacts trois bâtiments d'origine, datant du XIIIeet duXVIesiècle. Des concerts et des expositions d'arts contemporains y sont organisés toute l'année[35];
Maison forte des Buchilles (1475 attestée);
Maison forte de Flérier (attestée);
Église Saint-Jean-Baptiste de Taninges, construite de 1825 à 1832 et pensée par l'architecte Prosper Dunant dans un style néo-grec, l'Eglise mesure 49 mètres de long 11 de large et accueille le Carillon de Taninges[18]. Inscrit MH(2015);
Le carillon de Taninges est installé dans le clocher de l'église. De par son importance, il est le premier carillon de la Haute-Savoie et le cinquième de la région Auvergne-Rhône-Alpes avec 3 tonnes, de 40 et bientôt 50 cloches. Le clocher abrite également un bel ensemble de volée de 3 cloches qui avoisine les 5 000 kg;
La chapelle de Jacquicourt, objectif de promenade et point de vue;
La chapelle Notre-Dame du Vieux Chalet;
En 1941, le Père Jean Noël Philippe curé des paroisses de Sathonay, créé une colonie de vacances, pour des enfants en difficulté, traumatisés par la guerre qui perdure, l'abbé Philippe rencontre le curé de Taninges, c'est ici à l'alpage de Bonnavaz un endroit paisible, qu'il achète un des chalets pour le transformer en centre de vacances. En 1947, le Père Jean Noël Philippe décide de bâtir une chapelle, construite sur l'emplacement d'un ancien édifice religieux. En , la colonie de vacances est vendue. En 1998, un couple de la commune de Taninges s'installe dans ce hameau, rénove la chapelle qui a été à l'abandon plusieurs années, qui sont devenus propriétaire. L'édifice est de style traditionnel moderne.[réf.souhaitée];
Chapelle de Flérier.
Le monument aux morts de la guerre de 1870-1871, statue en fonte inauguré en 1902, œuvre des Fonderies Durenne[36].
La fontaine, inscrite aux Monuments historiques depuis 1931[37].
Maisons fortes ou manoir: des anciennes familles de Taninges, de Fleyrier, du Fresnay, des Buchilles, des Graveruel et d'Avonay.
Le monument aux morts.
Vue de Taninges.
Le Parcours d'art contemporain du Giffre, Sentier art et nature, le long du Giffre propose des œuvres majeures qui s'inscrivent en écho à l’histoire du site. œuvres in situ avec Marie Goussé, Sébastien Lacroix, Régine Raphoz, l'installation du Délesteur sur la Pointe de Uble[38] et l'installation La cabine téléphonique sur le lampadaire (Le phare urbain) de Benedetto Bufalino en 2016.
La maison du Patrimoine, située rue des Arcades reconstituant les métiers d'autrefois, avec des objets d'époque, des reconstitutions de lieux et un film documentaire.
La Chapelle Saint-Anne, dédiée à la Vierge-Marie, construite en 1583, cette chapelle accueillait chants, fêtes et vêpres (1727) fondées par la comtesse de Taninges Marguerite d'Arestel. Cette Chapelle fut également "temple de la raison" et hébergeait les assemblées populaires à la suite de la révolution[18]. Aujourd'hui, cette chapelle appartient à des propriétaires privés et a été l'objet de rénovation.
Espaces verts et fleurissement. En 2014, la commune de Taninges bénéficie du label «ville fleurie» avec «une fleur» attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[39].
Personnalités liées à la commune
François Basthard-Bogain, prêtre, curé de la paroisse de 1932 à 1967. Grand mutilé de la guerre 1914-1918, résistant, il fut arrêté par la Gestapo et emprisonné à la prison Montluc à Lyon. Titulaire de la Croix de guerre avec deux palmes, de la médaille militaire et de la Légion d'honneur. Musicien, il décide de la construction du carillon.
Serge Fiorio, artiste peintre qui a vécu à Taninges de 1924 à 1940.
Jean-François Grange, né à Taninges le 20 septembre 1842, formé aux Ponts et Chaussées puis géomètre à Genève où «il a consacré dix-huit années à la confection du cadastre de la Ville»[40].
Joseph Mogenier dit "La France", né à Taninges le 6 juillet 1837, militant républicain.[41]
Héraldique
Blason
Écartelé en sautoir: aux 1er et 4e de gueules à trois filets en chevron d'argent, ceux du chef renversés, accolés aux traits de partition, aux flancs d'azur; l'azur chargé de deux léopards lionnés d'argent soutenant un écu rond de gueules à la croix d'argent et à la filière du même brochant en cœur[42].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes: Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619p. (ISBN2-7171-0159-4), p.567-590 «Taninge», p.561-566 «Le canton de Taninge».
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie): 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19],[20].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[34].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC1023509935, lire en ligne), p. 45.
Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise: une approche linguistique du vieux-celtique continental, Éditions Errance, (ISBN978-2-87772-631-3 et 2-87772-631-2, OCLC1055598056, lire en ligne), p. 289.
Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, dl 2017 (ISBN978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC1013539963, lire en ligne), pp. 58-59.
Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC1013539963, lire en ligne), p. 356.
Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC1023509935, lire en ligne), p. 51.
Lexique Français: Francoprovençal du nom des communes de Savoie: Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43p. (ISBN978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p.15
Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
Hippolyte Tavernier, Taninges et ses environs, Paris, Le livre d'Histoire-Lorisse, , 162p. (ISBN978-2-84373-857-9 et 2-84373-857-1).
Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p.98.
Paul Guichonnet (préf.Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354p. (ISBN978-2-7171-0235-2), p.163.
Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152p. (lire en ligne).
Paul Guichonnet (préf.Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354p. (ISBN978-2-7171-0235-2), p.167.
Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie: Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399p. (lire en ligne), p.18.
Stéphane Grosjean, «Avec l'élection de Gilles Péguet, une page se tourne à Taninges», L'Essor savoyard, (lire en ligne).
«Taninges», sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
Alexandra Collomb, «Ces drôles de noms d'habitants», Le Messager (France), (Article consulté le 5 septembre 2012)
«La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc», Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : «Les données détaillées par commune, et par station: nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier: Détail des capacités 2014, .xlsx)».
«74 - Haute-Savoie», Dictionnaire des monuments aux morts. Dictionnaire des monuments aux morts de la guerre de 1914-1918 érigés dans les communes de France, sur monumentsmorts.canalblog.com, (consulté le ).
«Fontaine», notice noPA00118449, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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