Sévérac d'Aveyron (écrit officiellement sans trait d'union) est, depuis le , une commune nouvelle française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie[1].
Pour les articles homonymes, voir Sévérac.
Sévérac d'Aveyron
De haut en bas, de gauche à droite: Dolmen de Galitorte à Buzeins; l'église Saint-Dalmazy, et, le Château de Sévérac; la fontaine à bulles de Tantayrou à Lapanouse; le Château du Méjanel, et, le Château de Recoules à Recoules-Prévinquières.
Elle est issue du regroupement des cinq communes de Buzeins, Lapanouse, Lavernhe, Recoules-Prévinquières et Sévérac-le-Château, qui constituaient auparavant la communauté de communes de Sévérac-le-Château.
Le patrimoine architectural de la commune comprend dix immeubles protégés au titre des monuments historiques : le dolmen de Galitorte, classé en 1889, le château de Sévérac, classé en 1922, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, inscrite en 1927, l'église Saint-Hippolyte, inscrite en 1928, le château de Loupiac, inscrit en 1928, l'église Saint-Grégoire, classée en 1929, l'église Saint-Dalmazy, classée en 1930, le dolmen de Surguières, classé en 1933, le château d'Auberoques, inscrit en 1991, le château d'Engayresque, inscrit en 1991, le château du Méjanel, inscrit en 1991, le dolmen des Cayroules 1, inscrit en 1995, et le château de Recoules, inscrit en 2001.
Géographie
Localisation
La commune est située dans l'est du département de l'Aveyron. Elle est limitrophe de la Lozère.
La fusion des cinq communes permet à Sévérac d'Aveyron de devenir la cinquième plus grande commune de France avec 208,72 km2.
Sévérac d'Aveyron est situé à 40km de Rodez, 85 km d'Albi, 153 km de Toulouse, 103 km de Montpellier, 163 km de Clermont-Ferrand, 212 km de Lyon, 510 km de Paris, 294 km de Bordeaux et 219 km de Marseille[réf.nécessaire].
Réseaux hydrographique et routier de Sévérac d'Aveyron.
La commune est drainée par l'Aveyron, le Viaur, le Lumansonesque, le ruisseau du Bourg, le Merdans, le Pas du Loup, le Verlenque, le Verlencuze, le Vironcel, le ravin de Combesourde, le ravin de la Croze, le ravin de Levers, le ruisseau de Destels, le ruisseau de Gaujac, par divers petits cours d'eau[3].
L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn au niveau de Lafrançaise, après avoir arrosé 60 communes[4].
Le Viaur prend sa source à 1200 m d’altitude dans la région naturelle du Lévézou qui présente un relief vallonné, dans la commune de Vézins-de-Lévézou pour confluer, après avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron à 400 m d’altitude à Lacroix-Barrez, après avoir arrosé 30 communes[5].
Le Lumansonesque, d'une longueur totale de 16,5 km, prend sa source dans la commune de Verrières et se jette dans le Tarn à Aguessac, après avoir arrosé 5 communes[6].
Le ruisseau du Bourg, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Rivière-sur-Tarn, après avoir arrosé 3 communes[7].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques: le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[8].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[9],[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[11],[12].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 9,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 7,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
La commune bénéficie d’un «climat semi-continental», ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[15]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau de la commune[16], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[17], à 10,9°C pour 1981-2010[18], puis à 11,3°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[21],[22],[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Sévérac d'Aveyron comprend douze ZNIEFF de type 1[Note 3],[24]:
le «Bois de Croses» (244,5ha), couvrant 2 communes du département[26];
le «Bois de lissirou» (739,6ha), couvrant 3 communes du département[27];
le «Bois de l'ombrette» (169,3ha), couvrant 3 communes du département[28];
le «Causse d'Orbis et bois de la Favarède» (114,10ha), couvrant 3 communes du département[29];
les «Milieux agricoles au nord du col d'Engayresque» (998,7ha), couvrant 3 communes du département[30];
la «Pelouse sèche des Clots à Buzeins» (41,4ha)[31];
les «Pelouses de Malpertus» (419,8ha), couvrant 2 communes du département[32];
les «Pelouses du mont cabrié et de la Baume de Bro» (208,10ha)[33];
les «Pelouses du puech de la Croix» (48,7ha), couvrant 2 communes du département[34];
les «Prairies de Cornuéjouls» (1 013ha), couvrant 4 communes du département[35];
les «Prairies et pelouses de Novis» (116ha), couvrant 2 communes dont 1 dans l'Aveyron et 1 dans la Lozère[36];
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[24],
le «Causse de Sévérac» (3 710ha), qui s'étend sur 6 communes de l'Aveyron[37].
Urbanisme
Typologie
Sévérac d'Aveyron est une commune rurale[Note 5],[38]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[39],[40].
Elle appartient à l'unité urbaine de Sévérac d'Aveyron, une unité urbaine monocommunale[41] de 4 069 habitants en 2019, constituant une ville isolée[42],[43].
La commune est en outre hors attraction des villes[44],[45].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Sévérac d'Aveyron.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (34,1%), forêts (24,9%), terres arables (17,2%), zones agricoles hétérogènes (13,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,5%), zones urbanisées (1,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7%)[46].
Planification
La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[47]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[48].
Voies de communication et transports
Voies ferrées
Article détaillé: Gare de Sévérac-le-Château.
.
À la fin du XIXesiècle, la bifurcation de la voie ferrée venant de Béziers vers le nord (Neussargues) et vers l'ouest (Rodez) installa un dépôt de locomotives, des ateliers de réparation et un quartier neuf peuplé de cheminots. Ce fut Sévérac-Gare. Non loin de la gare se trouvaient des dépôts qui contenaient des locomotives à vapeur jusqu'en 1953. Vers le début des années 1990, les bâtiments furent rasés; seul un bâtiment subsiste encore. Cette ville moderne s'est étendue jusqu'à «rejoindre» la ville haute nommée Sévérac-le-Château.
La ligne de Béziers à Neussargues fut électrifiée en 1500 volts continu par la compagnie du Midi en 1931 de Béziers à Sévérac-le-Château puis terminée en 1932 jusqu'à Neussargues.
Les dépôts de locomotives ont abrité jusqu'en 1986, des locomotives BB «Midi», 1500 volts continu, construites entre 1925 et 1936.
Routes
La construction de l'A75 Clermont-Ferrand-Béziers en 1998, renforcée par la mise en service du viaduc de Millau en 2004, et la mise à 2×2 voies de la N88 Toulouse-Lyon confirment la situation géographique importante de ce carrefour.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sévérac d'Aveyron est vulnérable à différents aléas naturels: climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[49],[50].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[51].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[49]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[52]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[53]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[54],[55].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[56].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Sévérac d'Aveyron est classée à risque moyen à élevé[57]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[58] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[59].
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Histoire
Les informations relatives à l'histoire de cette commune sont la fusion des données des communes fusionnées.
La nouvelle commune est effective depuis le , entraînant la transformation des cinq anciennes communes en «communes déléguées» dont la création a été entérinée par l'arrêté du [60].
Articles détaillés: Pour l'historique avant 2016 voir: Buzeins, Lapanouse, Lavernhe, Recoules-Prévinquières et Sévérac-le-Château.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Sévérac d'Aveyron est membre de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac[61], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Palmas d'Aveyron. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[62].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[61]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Tarn et Causses pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[61], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[63].
Sévérac d'Aveyron dans l'intercommunalité en 2020.
Sévérac d'Aveyron dans le canton de Tarn et Causses en 2020.
Sévérac d'Aveyron dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Tête de liste
Suffrages
Pourcentage
CM
CC
Edmond Gros
1307
61,73%
24
9
Mélanie Brunet Bedel
810
38,26%
5
2
Le conseil municipal de Sévérac d'Aveyron, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[64], pour un mandat de six ans renouvelable[65]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 29[66]. Les vingt-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 62,84%, se répartissant en vingt-quatre issus de la liste conduite par Edmond Gros et cinq issus de celle de Mélanie Brunet Bedel[67].
Edmond Gros est élu nouveau maire de la commune le [68].
Les onze sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Des Causses à l'Aubrac se répartissent en: liste d'Edmond Gros (9) et liste de Mélanie Brunet Bedel (2)[67].
Liste des maires
Liste des maires
Période
Identité
Étiquette
Qualité
2020
Camille Galibert
UDI
juin 2020
En cours
Edmond Gros
SE-DVG
Médecin retraité, ancien conseiller général PS du canton de Sévérac-le-Château (1982-1994) Conseiller départemental du canton de Tarn et Causses depuis 2021
Communes déléguées
Liste des communes déléguées
Nom
Code Insee
Intercommunalité
Superficie (km2)
Population (dernière pop. légale)
Densité (hab./km2)
Sévérac-le-Château (siège)
12270
CC de Séverac le Château
108,42
Buzeins
12040
CC de Séverac le Château
21,59
Lapanouse
12123
CC de Séverac le Château
27,19
Lavernhe
12126
CC de Séverac le Château
26,32
Recoules-Prévinquières
12196
CC de Séverac le Château
25,2
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2019, la commune comptait 4 069 habitants[Note 6].
Dans la continuité de la communauté de communes de Sévérac-le-Château, la nouvelle commune poursuit le développement de projets d'énergie renouvelable sur son territoire. Ainsi une centrale photovoltaïque est en construction sur un terrain communal, tandis qu'un projet de parc éolien a été ouvert au financement participatif sur la plateforme Lendosphere à l'été 2016[70].
Agriculture
Un marché nocturne d'agriculteurs producteurs, associés de «Fermiers de l'Aveyron», se tient fin juillet place de la gare ferroviaire à Sévérac.
Commerce et artisanat
Tourisme
Balade autour des fontaines de Blayac.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Séverac d'Aveyron compte 12 édifices protégés au titre des monuments historiques:
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lapanouse (Inscrit MH(1927, abside)[79])
Église Saint-Dalmazy de Sévérac-le-Château (Classé MH(1930, partie du 12e siècle)[80])
Église Saint-Grégoire de Lavernhe (Classé MH(1929)[81])
Église Saint-Hippolyte de Lavernhe (Inscrit MH(1928, abside)[82])
Autres édifices religieux de la commune:
Église de l'Assomption du Bousquet
Église Notre-Dame de Cornuéjouls
Église Notre-Dame-de-Pitié de Prévinquières
Église Saint-Amans de Novis
Église Saint-Amans de Saint-Amans-de-Varès
Église Saint-Éloi de Saint-Chély
Église Saint-Félix de Buzeins
Église Sainte-Jeanne-d'Arc de Sévérac-le-Château
Église Saint-Michel d'Auberoques
Église Saint-Pierre d'Altès
Église Saint-Pierre de Recoules
Église Saint-Sauveur de Sévérac-le-Château
Chapelle Notre-Dame-de-Vallée-Clause du Méjanel
Chapelle Notre-Dame-de-Lorette de Sévérac-le-Château
Chapelle Saint-Louis de Sévérac-le-Château
Chapelle Saint-Privat de Saint-Privat
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lapanouse
Église Saint-Dalmazy de Sévérac-le-Château
Église Saint-Grégoire de Lavernhe
Église Sainte-Jeanne-d'Arc de Sévérac-le-Château
Église Saint-Michel d'Auberoques
Église Saint-Sauveur de Sévérac-le-Château
Chapelle Notre-Dame-de-Lorette de Sévérac-le-Château
Chapelle Saint-Louis de Sévérac-le-Château
Personnalités liées à la commune
Amaury de Sévérac.
Jourdain de Séverac.
Gui V de Sévérac.
Le premier duc d'Arpajon, Louis, maréchal de France et intime de Louis XIII (et Louis XIV) au point d'inspirer à l'écrivain Robert Merle le parcours du personnage de Pierre de Siorac dans sa série «Fortune de France». Une de ses descendantes fut la Duchesse de Noailles, appelée "Madame Etiquette", révoquée de ce poste par Marie-Antoinette.
Famille de La Valette-Parisot, dont une branche s'était fixée à Sévérac-le-Château.
Pau Gayraud (1898-1994): félibre.
Charles Girou de Buzareingues et la famille Bedel Girou de Buzareingues.
Léon Livinhac, archevêque de Kampala et Père blanc en Afrique.
Famille de Lapanouse
Guillaume-Thomas Raynal né à Lapanouse le 12 avril 1713 et mort à Passy le 6 mars 1796, écrivain, penseur et prêtre français.
Étienne Pierre Sylvestre Ricard (1771-1843), général des armées de la République et de l'Empire est décédé au château de Varès.
Antoine Mas (1830-1898), docteur en médecine, député de l'Aveyron de 1876 à 1885. décédé le 22 mars 1898 à Recoules-Prévinquiéres, à l'âge de 68 ans.
Henri Mendras (1927-2003), universitaire français, professeur de sociologie à Sciences po Paris, a passé une partie de sa jeunesse sur la commune de Sévérac-le-Château et a effectué sa première enquête de terrain à la fin des années 1940 au hameau de Novis dépendant de la commune, publiée dans son premier livre Études de sociologie rurale. Novis et Virgin[83],[84].
Armand Vaquerin: ancien joueur de rugby né à Séverac en 1951.
Voir aussi
Bibliographie
(oc) (fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Bernard Seillier), Rodez, Mission départementale de la culture, coll. «Al canton», 1996, 239p., ill., couv. ill.; 28cm (ISBN2-907279-29-7), (ISSN1151-8375), (BNF36693000)
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии