La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 92 mètres à 173 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 150 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Sourdun.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés:
le ruisseau des Méances (ou ruisseau des Valigots en aval de Chalautre-la-Petite), long de 27,14 km[3], et.
la rivière Voulzie, en limite nord de la commune, longue de 43,86 km[4], affluents de la Seine en rive droite,;
le fossé 01 des Puttes Pierres[5], 3,04 km[6], et;
le fossé 01 de la Maison des Prés, 2,55 km[7], affluents de la Voulzie;
Par ailleurs, son territoire est également traversé par le canal des Ormes[5], aqueduc, conduite forcée de 24,31 km[9] qui conflue avec la Voulzie et par l’aqueduc de la Voulzie.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 20,53 km[10].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[11].
La commune fait partie du SAGE «Bassée Voulzie», en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[12],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de «structure porteuse»[13].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 10,5 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,6 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,8 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 15,7 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 752 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,5 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -6,6 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[16]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 50 km à vol d'oiseau[17], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[18] à 11,6°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Oiseaux»[21],[Carte 1]:
la «Bassée et plaines adjacentes», d'une superficie de 27 643ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[22],[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Sourdun comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[24],[Carte 2],
la «Forêt de Sourdun» (1 744ha), couvrant 7 communes du département[25].
Urbanisme
Typologie
Sourdun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[26],[27],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[29],[30].
Aménagements
Sourdun était le lieu de garnison du 9e jusqu'en 1979 puis du 2e régiment de hussards. Après son déménagement, le site du quartier de lattre-de-Tassigny a été réaménagé pour recevoir:
en 2009, le premier Internat d'excellence;
en , le Service d'études sur les transports, les routes et leurs aménagements (Sétra), service technique à compétence nationale du ministère de l'Écologie, du Développement Durable et de l'Énergie;
en 2012, une partie du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema) Île-de-France.
Lieux-dits et écarts
La commune compte 118 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (68%), forêts (22,6%), zones urbanisées (4,6%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7%), prairies (0,8%)[32].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[33],[34],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[35].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[36]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 681 dont 87,5% de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 12,3% d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 84,4% étaient des résidences principales, 7,8% des résidences secondaires et 7,8% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 73,1% contre 24,5% de locataires[37] dont, 2,9% de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,4% logés gratuitement.
Voies de communication et transports
Voies de communication
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Transports
La commune est desservie par les lignes régulières d'autocars:
du réseau de bus Procars No11 (Nogent-sur-Seine - Provins)[38];
du réseau de bus Procars No12 (Provins - Sourdun)[39].
Le préfixe -sor (aujourd'hui: -sour) peut provenir d'un mot ou d'un théonyme gaulois ou gallo-romain, il serait imprudent de retenir le composé celtique duno désignant une forteresse ou un lieu fortifié, ou le terme prélatin dunum désignant une hauteur.
Michel Brandière propose le préfixe sord ou sor incluant l'idée d'une source en particulier de l'eau en général. Ce préfixe est très ancien, c'est-à-dire celtique ou même pré-celtique. Pourquoi ne pas rattacher cette hypothèse avec le lieu-dit, au sud de Sourdun: « La Fontaine aux malades» qui indique une source aux valeurs curatives, aujourd'hui disparue.
Paul Lebel[Note 8] avance la notion de «sec», donc de source intermittente ou de ruisseau temporaire[42], citant Sorbais dans l’Aisne, Sourbais en 1333, Sorbais en 1335, Sorbey dans la Meuse.
Histoire
En 1789, Sourdun faisait partie de l'élection de Provins et de la généralité de Paris et suivait la coutume de Troyes.
Directeur Commercial Vice-président de la CC du Provinois
Politique environnementale
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [45],[46].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Sourdun gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[47].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[48]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[47],[49].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [47],[50],[51].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Sourdunois.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].
En 2019, la commune comptait 1 504 habitants[Note 9], en augmentation de 2,66% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
803
844
800
785
877
847
861
859
809
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
830
876
852
864
880
833
790
797
835
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
836
795
716
638
643
662
667
741
753
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
676
731
777
979
1 114
1 232
1 471
1 463
1 603
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 493
1 504
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
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Enseignement
Sourdun dispose d’une école primaire située 2 rue Jules Ferry.
Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée): 0770913Z, comprend 178 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[55].
Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.
La commune dépend de l'Académie de Créteil; pour le calendrier des vacances scolaires, Sourdun est en zone C.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 533, représentant 1 439 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 100 euros[56].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 548, occupant 592 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 62,9% contre un taux de chômage de 8,3%.
Les 28,8% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 16,2% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,4% de retraités ou préretraités et 6,3% pour les autres inactifs[57].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 84 dont 11 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 8 dans l’industrie, 7 dans la construction, 43 dans le commerce-transports-services divers et 15 étaient relatifs au secteur administratif[58].
Ces établissements ont pourvu 467 postes salariés.
Secteurs d'activité
En 2018, la commune était classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également. Le classement des communes en ZRR était valable jusqu’au [59],[60].
Agriculture
Sourdun est dans la petite région agricole dénommée la «Brie champenoise» (ou Provinois), une partie de la Brie autour de Provins[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[61].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[62]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 10 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 125ha en 1988 à 142ha en 2010[61].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Sourdun, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Sourdun entre 1988 et 2010.
L'église Saint-Martin.Tourelles au fond du parc du château de l'Ormurion.
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin, XIIe, XIIIeetXVIesiècles, classée au titre des monuments historiques en 1971[64],[65].
La mairie (ancien prieuré XVIeetXVIIesiècles) classée en 1971[66].
Le château de l'Ormurion (propriété de la famille Ferlet).
La chapelle Saint-Hubert sur la route de Provins.
La forêt de Sourdun.
Personnalités liées à la commune
Émile Eugène Belin (1853-1937), général de division, né à Sourdun.
Francine de Selve (1920-2002), écrivain, ancienne propriétaire de l'Ormurion.
Gérard Hamel (1945), homme politique, né à Sourdun.
Héraldique
Blason
Écartelé: aux 1er et 4e d'argent à quatre fasces d'azur, aux 2e et 3e de gueules plain.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Marie-Martine Agneau, Vie et mort dans un village de Brie: Sourdun XVIIeetXVIIIesiècles, mémoire de maîtrise d'histoire de l'université Paris I, , disponible en mairie et aux archives départementales de Seine-et-Marne.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
Paul Lebel, (1901-1965), Conservateur du Musée Archéologique de Dijon - Directeur de la Revue Archéologique de l'Est de la France. Ami de la «Revue Archéologique du Centre», à laquelle il a puissamment contribué par ses conseils. Il a fréquenté de nombreuses années la Sorbonne, pour s'initier à la linguistique et à l'onomastique.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Lebel, «Critique de la valeur phonétique des notations toponymiques», Revue des études anciennes t. XLIII (1941), p. 241-248; et Principes et méthodes d’hydronymie françaises, Paris, 1956, p. 335-342; Martina Pitz, «Pour un nouveau dictionnaire toponymique du département de la Moselle. L’exemple du canton de Delme», Cahiers de la Société française d’onomastique n° 00 (2008), p. 117-149; Xavier Gouvert, Problèmes et méthodes en toponymie française. Essais de linguistique historique sur les noms de lieux du Roannais, thèse de doctorat, Univ. Paris-IV, 2008, p. 217-221.
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