Saint-Vincent-d'Olargues (Sant Vincenç d'Olargues en occitan) est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie. La commune est membre du Parc naturel régional du Haut-Languedoc. Elle adhère également à la communauté de communes Orb et Jaur.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Jaur, le ruisseau de Mauroul, le ruisseau de Rautely, le ruisseau de Saillens, le ruisseau du Cros et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «grotte de Julio») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Vincent-d'Olargues est une commune rurale qui compte 355 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 604 habitants en 1831. Elle est ville-centre de l'unité urbaine d'Olargues.
Ses habitants sont appelés les Vincentinois.
Géographie
Carte
Saint-Vincent-d'Olargues se situe au nord ouest du département de l'Hérault, à 5km d'Olargues, à 30km de Bédarieux et à 50km de Béziers. La commune est traversée par deux routes départementales; la RD 908 reliant Saint-Pons-de-Thomières à Bédarieux via Olargues et la RD 14 rejoignant le col de Fontfroide.
Saint-Vincent est accroché au flanc de l'Espinouse formant les premiers contreforts du Massif central au-dessus du village d'Olargues.
La commune est baignée par le Jaur au niveau de Galhergues et de Julio ainsi que par de nombreux ruisseaux dont le plus important est le ruisseau de Coustorgues.
La commune a la particularité d'être composée de douze hameaux dispersés, depuis les bords du Jaur jusqu'au flanc de l'Espinouse, autour du bourg centre qu'est Saint-Vincent.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cambon-et-Salvergues», sur la commune de Cambon-et-Salvergues, mise en service en 1998[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,4°C et la hauteur de précipitations de 1 477,6 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[11], à 14,1°C pour 1981-2010[12], puis à 14,5°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «grotte de Julio»[20], d'une superficie de 17,44ha, un lieu de présence et/ou de mise-bas pour de nombreuses espèces de chauve-souris mentionnées dans l'annexe II de la Directive, en particulier, le Minioptère de Schreibers, le grand Murin, le petit Murin, le Vespertilion de Capaccini, le Rhinolophe eutyale,et le Rhinolophe de Mehely[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22]:
la «grotte de Julio» (58ha), couvrant 2 communes du département[23] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[22]:
le «massif de l'Espinouse» (20 035ha), couvrant 19 communes du département[24];
le «massif du Somail» (23 004ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[25];
la «montagne noire centrale» (34 724ha), couvrant 27 communes du département[26].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Vincent-d'Olargues.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Vincent-d'Olargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Olargues, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[I 2] et 2 458 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (63,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,5%), zones agricoles hétérogènes (14,4%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,4%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Vincent-d'Olargues est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers: le risque minier et le risque de radon[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Saint-Vincent-d'Olargues est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[32].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vincent-d'Olargues.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[33]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 321 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 205 sont en en aléa moyen ou fort, soit 64%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 2003, 2014 et 2018.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Risque particulier
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[37]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[38].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Vincent-d'Olargues est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].
Histoire
Plan cadastral napoléonien (1831).
L'occupation du site de Saint-Vincent remonte à l'époque préhistorique comme le prouve le dolmen de Raspailhac dont les vestiges sont exposés au musée d'Olargues.
Au cours de la Révolution française, la commune porte les noms de Collines-et-Rochers et de Vincent-de-Collines-et-Rochers[40].
Au XIXe et au XXesiècle, le village s'est spécialisé dans la production castanéicole, de prunes et de cerises.
Ce n'est que le [41] que l'appellation Saint-Vincent-d'Olargues fut adoptée en remplacement de Saint-Vincent.
Depuis 2014, à la suite de la disparition de l'ancien canton d'Olargues, la commune appartient au canton de Saint-Pons-de-Thomières.
Les Hospitaliers
Saint-Vincent est une ancienne commanderie hospitalière de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem attestée depuis au moins 1174[42] devenue après 1345 un membre de la commanderie de Narbonne du grand prieuré de Saint-Gilles au sein de la langue de Provence[43],[44],[45].
L'église de Saint-Vincent est mentionnée dès 1157 lorsque Pons d'Olargues en fait don aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[46].
Héraldique
Les armes de Saint-Vincent-d'Olargues se blasonnent ainsi: parti, au premier d'azur à deux pots d'or rangés en pal, au deuxième de sable à une croix de Malte d'argent bordée d'or[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2019, la commune comptait 355 habitants[Note 9], en augmentation de 10,94% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 472
1 329
1 541
1 560
1 604
1 576
1 550
1 515
1 568
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 494
1 434
1 372
1 305
928
836
929
781
740
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
758
703
634
603
567
552
546
520
498
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
438
372
340
335
301
323
318
323
351
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
355
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Vie locale
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
25 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Vincent-d'Olargues au [I 7].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 25 entreprises implantées à Saint-Vincent-d'Olargues), contre 14,1% au niveau départemental[I 8].
Entreprises et commerces
spéléologie;
randonnée pédestre.
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 7 lors du recensement agricole de 2020[Note 11] et la surface agricole utilisée de 38 ha[Carte 3],[Carte 4].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 189 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 347 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 740 €[I 9] (20 330 € dans le département[I 10]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 202 personnes, parmi lesquelles on compte 73,2% d'actifs (60,5% ayant un emploi et 12,7% de chômeurs) et 26,8% d'inactifs[Note 13],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 5],[I 14]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,2%[I 15].
Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 32% des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6% les transports en commun, 1,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église
L'église de Saint-Vincent de Saint-Vincent-d'Olargues: elle contient des représentations picturales très bien conservées. L'église abrite également un calvaire remarquable.
Tour romane à Gallergues.
Maison Renaissance à Julio.
Pont du Cros.
Chapelle Saint-Martin-des-Œufs citée en 1694.
Ancienne mine.
Forêt domaniale de Carcadal.
Personnalités liées à la commune
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Rémi Azemar, «Les roches à cupules de Malaret (commune de Saint-Vincent d'Olargues, 34)», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no16, , p.25-31
Rémi Azemar, «Les gravures rupestres des dolmens des Cévennes occidentales», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no16, , p.17-24
Robert Guiraud et Marcel Soulier, «Les plaques-boucles de Saint-Vincent d'Olargues», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no4, , p.43-49
Robert Guiraud, «Vestiges d'époque gallo-romaine dans la commune de Saint-Vincent-d'Olargues», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no5, , p.19-23
Robert Guiraud, «Les dolmens de la commune de St-Vincent d'Olargues», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no1, , p.18-26
Florence Journot, «La tour de Gaillergues (commune de Saint-Vincent d'Olargues) et la Tour du Pin (commune de Vieussan): Saint-Vincent d'Olargues et Cébazan (Hérault)», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no7, , p.61-70
Joseph Sahuc, «Deux croix cimétériales», Revue historique du diocèse de Montpellier, no1, , p.41-48
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Saint-Vincent-d'Olargues (1679-1950) [5,53 ml]. Cote: 291 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
IGN, Géoportail, consultation à l’échelle Ville + 1/4, le 12 décembre 2008
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Clovis Brunel, Les plus anciennes chartes en langue provençale: recueil des pièces originales antérieures au XIIIe siècle, publiées avec une étude morphologique, Slatkine Reprints, , 779p. (présentation en ligne), p.131-32, doc. 139.
Abbé Sabarthès, «La commanderie de Narbonne: Ordre de Malte», Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne, t.VII, 1894-1895, lire en ligne sur Gallica.
Abbé C. Nicolas, «Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806: tome III», Mémoires de l'Académie de Nîmes, t.XXIX, , p.121, lire en ligne sur Gallica.
J. Sahuc, Archives de l'ancien évêché de Saint-Pons: Inventaire de 1746, J. Lauriol, , 423p. (présentation en ligne).
Antoine du Bourg, Ordre de Malte: Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica
La commanderie de Narbonne faisait partie du grand prieuré de Saint-Gilles mais une partie des archives des commanderies de ce prieuré se trouvaient à Toulouse.
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Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN1264-5354), p 67.
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