Saint-Siméon est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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Le village se trouve en bas d'un coteau sur la rive gauche du Grand Morin, pratiquement au confluent du Vannetin. Son altitude varie de 76 mètres à 161 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 99 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Siméon.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de sept cours d'eau référencés:
la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[3], affluent en rive gauche de la Marne, ainsi que:
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 10,14 km[11].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].
La commune fait partie du SAGE «Petit et Grand Morin», approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de «structure porteuse»[14].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 10,9 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,1 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,1 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 14,9 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 729 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: -3,9 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -1,8 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[17]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 44 km à vol d'oiseau[18], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[19] à 11,6°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[22],[Carte 1]:
la «Rivière du Vannetin», d'une superficie de 63,3ha, une rivière de première catégorie piscicole située dans un contexte agricole encore varié et extensif mais qui a conservé des écosystèmes naturels particulièrement riches pour la région Île-de-France. Ce cours d’eau accueille des populations de Lamproie de Planer et de Chabot. La Loche de rivière a aussi été observée sur le site[23],[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Siméon comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[25],[Carte 2],
le «Ru de Piétrée» (25,74ha)[26].
Urbanisme
Typologie
Saint-Siméon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 164 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[32] (source: le fichier Fantoir).
Le tiers de la population est domicilié dans le chef-lieu de la commune, le reste s'éparpille dans une vingtaine d'écarts dont les plus peuplés sont les hameaux de Charcot, du Grand Mont, de la Montagne (où se trouve la gare et les laiteries, et qui, bientôt, ne devrait faire qu'un avec le chef-lieu, en raison de constructions nouvelles), de la Vanne, Réveillon, de Mondollot, de la Vacherie, des Bordes.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (73,2% ), forêts (12,3% ), prairies (6,7% ), zones agricoles hétérogènes (4,6% ), zones urbanisées (3,2%)[33].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[34],[35],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[36],[37].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 406, alors qu'il était de 444 en 2014 et de 434 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 85,9% étaient des résidences principales, 6,7% des résidences secondaires et 7,4% des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,3% d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,9% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Siméon en 2019 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,7%) supérieure à celle du département (3%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,8% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,7% en 2014), contre 61,8% pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
6,7
3
9,7
Logements vacants (en%)
7,4
6,8
8,2
Voies de communication et transports
La principale route qui permet d'y accéder est le chemin de grande communication no55 de Nanteuil-sur-Marne à Provins.
Le village est desservi par le chemin de fer (compagnie de l'Est, ligne de Gretz à Sézanne).
La commune possède une gare, sur la ligne de Gretz-Armainvilliers à Sézanne; mais les derniers trains ont été remplacés par des cars.
Toponymie
Jusqu’au IVesiècle le village s’appelle Villa-Alte («Ville-Haute»)[38], puis Apud Sanctum Simeonem vers 1172[39]; Ecclesia Sancti Simeonis de Vana en 1201[40]; Saint Symeon en 1265[41].
Ce lieu et son église sont voués à Saint Siméon[42].
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom d'Union[43] en 1793.
Histoire
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Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Provins du département de la Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de La Ferté-Gaucher[43]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Coulommiers
Articles détaillés: Liste des cantons de Seine-et-Marne, Conseil départemental de Seine-et-Marne et Liste des conseillers départementaux de Seine-et-Marne.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de Seine-et-Marne.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de Seine-et-Marne et Liste des députés de Seine-et-Marne.
Intercommunalité
Saint-Siméon était membre de la communauté de communes de la Brie des Morin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2010 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des Deux Morin dont est désormais membre la commune.
Vice-présidente de la CC des Deux Morin (2020 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[48]
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [49],[50].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Siméon est assurée par le SITEU de Chauffry, Saint-Rémy, Saint-Siméon pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [51],[52],[53].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[51],[55].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[51],[56],[57].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].
En 2019, la commune comptait 896 habitants[Note 6], en augmentation de 0,45% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
537
643
648
672
718
745
851
851
863
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
810
800
763
657
674
717
671
719
732
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
701
710
700
633
647
656
615
574
606
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
615
563
519
547
691
737
823
848
892
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
894
896
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Il existe une école à Saint-Siméon, regroupant les classes de maternelle et des CP. L'école fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal, avec celles du village voisin de Saint-Rémy-la-Vanne.
Manifestations culturelles et festivités
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Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 348, représentant 908 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 710 euros[61].
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 51 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 12 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,
6 dans l’Information et communication, 1 dans les activités immobilières, 8 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 4 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 8 étaient relatifs aux autres activités de services[62].
En 2020, 8 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 6 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[63].
Agriculture
Saint-Siméon est dans la petite région agricole dénommée les «Vallées de la Marne et du Morin», couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[64].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[65]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 10 en 1988 à 6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 94ha en 1988 à 34ha en 2010[64].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Siméon, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Saint-Siméon entre 1988 et 2010.
Église dédiée à Saint-Siméon de style néo-gothique, (XIXesiècle).
Reconstruite en 1869 sous le second Empire. L'intérieur de l'église a la particularité d'avoir été entièrement peint entre 1890 et 1896 dans le style néo-gothique.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Thomas Baron, «L’ancien maire de Saint-Siméon, Guy Simon, revient sur ses 46 années de mairie: Conseiller municipal puis maire de Saint-Siméon de 1983 à 2017, Guy Simon était à l'honneur, vendredi soir, à l'Hôtel de Ville», Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le )«La mairie de Saint-Siméon était en effet son quotidien depuis quarante-six années, d’abord en tant que conseiller municipal en 1971, avant qu’il ne soit élu maire en 1983».
Ewen Gavet, «Près de La Ferté-Gaucher: Guy Simon, maire de Saint-Siméon entre 1983 et 2017, est décédé: Guy Simon est décédé ce 25 juillet, à 84 ans. Il manquera sûrement aux habitants de Saint-Siméon, dont il a été le maire de 1983 à 2017, au moment de prendre sa retraite», Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le )«il a transformé Saint-Siméon, dont il était maire, entre 1983 et 2017: «Il a fait la salle des fêtes, entretenu l’église et la voirie, est à l’origine de la crèche municipale et s’occupait de l’agrandissement des écoles».
«Renée Chabrillanges élue maire, les trois nouveaux conseillers déjà menacés: Vendredi 20 octobre, à 19 heures, le conseil municipal de Saint-Siméon se réunissait pour élire le nouveau maire et ses adjoints. Le village est désormais dirigé par une femme, Renée Chabrillanges, qui était auparavant la 1readjointe de Guy Simon», Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
Ewen Gavet, «Abribus. Inquiète pour les lycéens, Aurore Collas lance des appels aux collectivités: Depuis plusieurs années, une mère de lycéens demande un abribus près de Saint-Siméon, sur la D934. Elle estime ces jeunes en danger, notamment l'hiver quand il fait encore nuit.», Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
«Saint-Siméon: Renée Chabrillanges et ses trois adjoints officiellement élus par le Conseil: Le conseil municipal de Saint-Siméon s'est réuni lundi 25 mai afin d'élire Renée Chabrillanges en tant qu'édile, ainsi que ses trois nouveaux adjoints», Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le )«Renée Chabrillanges, maire depuis 2017, avait remporté l’élection municipale au premier tour du scrutin avec sa liste «Ensemble vers l’avenir».
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