Saint-Rémy-l’Honoré est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Saint-Rémy-l’Honoré | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Rambouillet |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Yvelines |
Maire Mandat |
Patrick Ratel 2020-2026 |
Code postal | 78690 |
Code commune | 78576 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Rémois |
Population municipale |
1 621 hab. (2019 ![]() |
Densité | 160 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 45′ 25″ nord, 1° 52′ 54″ est |
Altitude | Min. 94 m Max. 180 m |
Superficie | 10,15 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aubergenville |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | saintremylhonore.fr |
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Plusieurs affaires judiciaires concerne certains élus. Le nombre d'affaires est étonnante pour une petite commune de cette taille. Les élus ont été condamnés et sont poursuivis dans plusieurs affaires.
Sous le mandat de Madame Toine Bourrat [1], l’association des Marcheurs cueilleurs [2] menée par son fondateur Michael Le Saulnier [3] fera part à celle-ci de sa volonté d’organiser au printemps 2019 une mission d'intérêt général de collecte de déchets sur la commune. À la suite de leur courrier indiquant leur venue, l’édile y opposera un refus catégorique [4] . Bravant cet avis, les bénévoles mèneront tout de même leur opération à son terme, découvrant lors de leur passage une vaste décharge à ciel ouvert située en plein cœur d’une zone naturelle classée [5].
Interrogée dans les médias, Toine Bourrat finira par avouer [6] que ce lieu, propriété de la commune au bout de la rue des Pâtis, sert bien au stockage en pleine terre de détritus en tous genres que ramassent les agents municipaux sur la voie publique avant d’être acheminés en déchèterie.
Quelques jours après cette découverte, un incendie s’y déclare. [7]
Une seconde mission quelques semaines plus tard, ayant pour but d’aider la commune à nettoyer ce site sera organisée, profitant d’une opération annuelle du PNR.[8] Elle sera encadrée par la police municipale. [9]
A ce jour, la Commune continue d’utiliser ce site comme une décharge de transit.[10]
Saint-Rémy-l'Honoré est une petite commune de 1 430 habitants (en 2014) située à l'ouest-sud-ouest de Paris (44,7 km par la route) et de Versailles(~24 km, à 7,3 km au sud de Jouars-Pontchartrain et à 8,9 km à l'ouest de Maurepas par la N10 (4,5 km à vol d'oiseau)[1].
Située dans le nord de la forêt de Rambouillet, la commune fait partie depuis 2011 du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse[2]. Le parc naturel régional du Vexin français se trouve à 32,5 km au nord, le point le plus proche en étant sur Gargenville.
La commune est arrosée par deux cours d'eau principaux[3] :
Le territoire communal se trouve sur le versant nord du massif des Yvelines, dans une zone ou naissent différents cours d'eau du bassin de la Mauldre. Le relief est relativement vallonné, avec dans sa partie sud un plateau entaillé vers le nord par des vallées parallèles descendant rapidement jusqu'à 100 mètres.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[6].
Bazoches-sur-Guyonne | Le Tremblay-sur-Mauldre | Jouars-Pontchartrain |
Les Mesnuls | ![]() |
Coignières |
Les Bréviaires | Les Essarts-le-Roi |
Les grands axes routiers proches sont la N10 qui passe à 300 m de la limite de commune au sud ; et au nord la N12 dont l'accès le plus proche est à 7 km nord-nord-est sur Jouars-Pontchartrain[1].
La commune est desservie par la route départementale 34 qui traverse la commune du nord au sud, rejoignant vers le sud la route nationale 10 aux Essarts-le-Roi, à quatre kilomètres du village, et la route nationale 12 vers le nord.
Les gares ferroviaires les plus proches de la commune sont celles des Essarts-le-Roi à 5 km et Coignières à 5,5 km.
La commune est desservie par les lignes P et V de la société de transport Hourtoule et par la ligne 49 de l'établissement Transdev de Rambouillet, mais aussi par la ligne 5 Hourtoule depuis le .
Elle est traversée par le sentier de grande randonnée GR 11 « tour de l'Île-de-France », qui traverse la commune dans le sens sud-est/nord-ouest en passant par le village.
Saint-Rémy-l'Honoré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 82,92 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 8,34 % d'espaces ouverts artificialisés et 8,73 % d'espaces construits artificialisés[15].
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 19,9 % | 204 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 32,5 % | 333 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 3,1 % | 32 |
Forêts de feuillus | 44,4 % | 455 |
Source : Corine Land Cover[16] |
La commune compte environ 77 lieux-dits répertoriés dont les plus importants sont :
En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 575 (dont 85,9 % de maisons et 13,9 % d’appartements).
Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 2,4 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 87,3 %[17].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Remigius en 1220, Seint Remi en 1289[18], Saint Remy en 1793, Saint-Remy-l'Honoré en 1801[19].
La localité a pris un saint comme patron, Saint Rémy évêque de Reims, celui qui sera « honoré » du titre d'apôtre des Francs par Hincmar[20], archevêque de Reims.
Hagiotoponyme composé de Saint-Rémy et « l'honoré » pour le distinguer des autres Saint-Rémy.
Le plateau de Saint-Rémy-l'Honoré a été occupé depuis l'époque romaine, comme en témoignent les restes d'un camp romain en bordure de la forêt. En limite sud de commune, le chemin aux Bœufs est en réalité la voie romaine allant de Coronarias ou Coignières à Saint Léger.
En 987, Hugues Capet entre en possession de Saint-Léger pour le compte de la couronne et son fils, Robert le Pieux y fait construire un château comme domaine de chasse. Cette acquisition favorise l'essartage ou le défrichage de la région.
La fondation du prieuré de Haute-Bruyère est peut-être décidée pendant l'hiver 1112 ; les premières traces de ce projet se trouvent dans un acte de donation de l'Yveline par Pépin le Bref en 768 et dans l'existence d'un "mansus" mérovingien dénommé "alta bruyère"[2].
Ce prieuré est fondé en 1115 près de la source de la Mauldre par Louis VI le Gros pour sa belle-mère Bertrade, devenue veuve en 1108 à la mort du roi Philippe Ier "Auguste" et entrée au monastère de Fontevrault, mais elle souhaitait se rapprocher du berceau de ses ancêtres. Primitivement destiné à recevoir les dépouilles funéraires des comtes de Montfort, Haute-Bruyère eut l'honneur de conserver dans un monument célèbre le cœur de François Ier jusqu'à la Révolution de 1789[21]. Le prieur de Haute-Bruyère était en même temps curé de la paroisse.
Le prieuré, dont il reste certains bâtiments, ne se visite pas (propriété privée).
Vers 1450, d’après les états du diocèse de Chartres, la paroisse de Saint Rémy compte soixante habitants redevables d'une somme de vingt livres envers l'évêché et à la collation des religieuses de Haute Bruyère. Cette participation était apportée directement à la porte du couvent par les paroissiens. Le porche d'entrée existe encore de nos jours "rue des fourmis" au lieu-dit Les hautes Bruyères.
Au cours de la guerre de Cent Ans, toutes les cultures seront ravagées par les armées du duc de Bourgogne ainsi que par les Anglais qui campent aux abords du prieuré. Ce n’est que vers 1520 que la culture reprend dans les terres du pays chartrain. Les seigneurs de Montfort cèdent les grandes fermes au prieuré. Ainsi, jusqu’à la Révolution, la vie du village se construit autour du couvent, fort de 80 religieuses, et d'une quarantaine de personnes qui résideront à Saint-Rémy.
Le , l'Assemblée de Monfort convoque le curé de Saint Rémy, Robert Bouillery pour que les biens du couvent soit pris à bail.
La suspension des vœux monastiques décrétée par l’Assemblée constituante du et l’interdiction faite aux abbayes d'exploiter leurs terres elles-mêmes, entraîne la fermeture du monastère et le licenciement des religieuses. Tous le mobilier est mis en vente le , an 1er de la République française. Le prieuré est démoli en 1794.
Les locaux inadaptés dans lesquels se donne l'instruction de 1707 à 1880 situés face à la Mairie étant détruits, une nouvelle mairie-école est inaugurée le .
Au XIXe siècle, une vingtaine d'ouvriers est occupée aux carrières à grès à ciel ouvert, tandis que d'autres travaillent aux quatre moulins sur le ruisseau alimenté par les eaux de Coignières et de la fontaine des pères. Leurs activités cessent à la fin du siècle ainsi que celle d’une importante tuilerie dont il n'en reste plus rien aujourd'hui[2].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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1945 | 1952 | Charles Mariller | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1952 | 1959 | Rémy Thibault | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1959 | 1971 | Maurice Le Contellec | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1971 | 2001 | Clarisse Lebel | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
2001 | 2014 | Jean-Pierre Simonin | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
2014 | 2020 | Toine Bourrat | Cadre d'entreprise Sénatrice (2020 → ) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
2020 | En cours | Patrick Ratel | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.
Liste des maires avant 1945
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Sous le mandat de Madame Toine Bourrat [1], l’association des Marcheurs cueilleurs [2] menée par son fondateur Michael Le Saulnier [3] fera part à celle-ci de sa volonté d’organiser au printemps 2019 une mission d'intérêt général de collecte de déchets sur la commune. À la suite de leur courrier indiquant leur venue, l’édile y opposera un refus catégorique [4] . Bravant cet avis, les bénévoles mèneront tout de même leur opération à son terme, découvrant lors de leur passage une vaste décharge à ciel ouvert située en plein cœur d’une zone naturelle classée [5].
Interrogée dans les médias, Toine Bourrat finira par avouer [6] que ce lieu, propriété de la commune au bout de la rue des Pâtis, sert bien au stockage en pleine terre de détritus en tous genres que ramassent les agents municipaux sur la voie publique avant d’être acheminés en déchèterie.
Quelques jours après cette découverte, un incendie s’y déclare. [7]
Une seconde mission quelques semaines plus tard, ayant pour but d’aider la commune à nettoyer ce site sera organisée, profitant d’une opération annuelle du PNR.[8] Elle sera encadrée par la police municipale. [9]
A ce jour, la Commune continue d’utiliser ce site comme une décharge de transit.[10]
Plusieurs affaires judiciaires concerne Toine Bourrat, ancienne maire et Patrick Ratel maire remplaçant. Le nombre d'affaires est étonnante pour une petite commune de cette taille. Les élus ont été condamnés et sont poursuivis dans plusieurs affaires.
Articles de presse :
[1] : http://www.senat.fr/senateur/bourrat_toine20152b.html
[2] : https://www.les-marcheurs-cueilleurs.com
[3] : https://www.lechorepublicain.fr/bullion-78830/actualites/avec-michael-le-saulnier-xavier-caris-maire-de-bullion-veut-prendre-un-virage-ecolo_13801914/
[4] : https://gazette-montfortois.fr/?p=29724
[5] : https://www.leparisien.fr/yvelines-78/saint-remy-l-honore-une-decharge-sauvage-decouverte-au-milieu-des-bois-17-03-2019-8033877.php
[6] : https://www.leparisien.fr/yvelines-78/saint-remy-l-honore-la-decharge-a-ciel-ouvert-appartient-bien-a-la-mairie-20-03-2019-8035980.php
[7] 22/03/2019 : https://www.evasionfm.com/actualite-42867-un-incendie-s-est-declare-hier-dans-la-decharge-sauvage-de-saint-remy-l-honore.html?version=somme
[8] https://www.parc-naturel-chevreuse.fr/destination-parc/actualites-rendez-vous-parc/nettoyage-de-printemps-0
[9] https://youtu.be/FGU9kOY46UA
[10] https://www.facebook.com/mieuxpourSRH78/posts/859469768123776
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2019, la commune comptait 1 621 habitants[Note 3], en augmentation de 19,02 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
506 | 486 | 475 | 465 | 499 | 479 | 432 | 431 | 441 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
430 | 410 | 394 | 404 | 367 | 373 | 376 | 365 | 369 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
366 | 362 | 330 | 300 | 313 | 350 | 355 | 300 | 362 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
294 | 378 | 541 | 791 | 1 004 | 1 299 | 1 384 | 1 379 | 1 565 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 621 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 812 hommes pour 766 femmes, soit un taux de 51,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 0,8 |
4,8 | 75-89 ans | 5,4 |
21,1 | 60-74 ans | 20,7 |
17,7 | 45-59 ans | 20,8 |
18,1 | 30-44 ans | 19,1 |
17,0 | 15-29 ans | 15,9 |
20,8 | 0-14 ans | 17,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,3 |
5,7 | 75-89 ans | 7,7 |
13,4 | 60-74 ans | 14,5 |
20,6 | 45-59 ans | 20,3 |
19,8 | 30-44 ans | 19,9 |
18,4 | 15-29 ans | 17 |
21,5 | 0-14 ans | 19,4 |
La commune possède une école élémentaire publique : école publique Clarisse-Lebel (du nom du maire en poste de 1971 à 2001)[28].
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 526 représentant 1 391 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 33 253 €[17].
En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 237, occupant 646 actifs résidants (salariés et non salariés) .
Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,9 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 7,5 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,7 %, retraités ou préretraités 7 %, autres inactifs 5,3 %[17].
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de cent trente-sept dont trois dans l’agriculture-sylviculture-pêche, six dans l'industrie, six dans la construction, quatre-vingt-quinze dans le commerce-transports-services divers et vingt-sept étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, quinze entreprises ont été créées dont neuf par des auto-entrepreneurs[17].
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Blason | D’azur à la fasce d’argent accompagnée de trois croisettes d’or. |
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Détails | Ce blason, validé en 1996 par la commission nationale d'héraldique, a été repris de celui du prieuré de Haute-Bruyère[32]. |
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