Saint-Pé-de-Léren (en béarnaisSent-Pèr-de-Lèren ou Sén-Pè-de-Lèren) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Saint-Pé-de-Léren
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité
Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire Mandat
Gérard Loustau 2020-2026
Code postal
64270
Code commune
64494
Démographie
Gentilé
Lérennois
Population municipale
259 hab. (2019 )
Densité
49 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 29′ 35″ nord, 1° 02′ 12″ ouest
Altitude
Min. 9 m Max. 49 m
Superficie
5,31 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Pé-de-Léren
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Pé-de-Léren
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
La commune de Saint-Pé-de-Léren se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 75 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 54 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Peyrehorade[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Léren (1,2 km), Saint-Dos (2,5 km), Carresse-Cassaber (3,8 km), Auterrive (4,3 km), Sorde-l'Abbaye (4,3 km), Labastide-Villefranche (4,6 km), Saint-Cricq-du-Gave (5,1 km), Arancou (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Pé-de-Léren fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Pé-de-Léren.
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Baniou, un bras du gave d'Oloron, L'Entran, le ruisseau Lagabotte, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il borde la commune a l'est puis est rejoint par le gave de Pau en amont de Peyrehorade pour former les Gaves réunis, après avoir traversé 64 communes[9].
Le Baniou, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de Came et s'écoule du sud vers le nord. Il borde la commune à l'ouest puis se jette dans les gaves réunis à Oeyregave, après avoir traversé 8 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]
Moyenne annuelle de température: 14°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Bidache», sur la commune de Bidache, mise en service en 1985[16] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 1 386,8 mm pour la période 1981-2010[18].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Biarritz-Pays-Basque», sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 39 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1°C pour la période 1971-2000[20], à 14,3°C pour 1981-2010[21], puis à 14,6°C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: «le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche»[24], d'une superficie de 2 547ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[25],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[26],[Carte 3]:
les «Barthes et marécages de Saint-Pé-de-Léren» (46,07ha), couvrant 2 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[26],[Carte 4]:
le «réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents» (6 885,32ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pé-de-Léren est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[29],[30],[31].
La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (62,9%), zones agricoles hétérogènes (22,3%), forêts (9,6%), eaux continentales[Note 10] (5,2%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
la Bourgade;
le Bois;
Lapeyre.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale 28.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Pé-de-Léren est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Baniou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014, 2018, 2019, 2021 et 2022[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pé-de-Léren.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[39].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Saint-Pé-de-Léren apparaît sous les formes Sent-Per (1302[40], titres de Béarn[41]), Sanctus-Petrus de Sendos (1413[40], rôles gascons) et Saint-Pé en France (1675[40], réformation de Béarn[42]).
Étymologie
Le nom vient du latin Sanctus Petrus qui donne Sent Pèir ou Sent Pèr en gascon. L'hypothèse faisant venir le nom du village du gascon sendèr (sentier) est assez peu plausible. L'orthographe a fluctué allant de Saint-Pée à Saint-Pé avant de devenir définitivement Saint-Pé de Léren au début du XXesiècle pour le distinguer de Saint-Pée-sur-Nivelle.
Graphie béarnaise
Son nom béarnais est Sent-Pèr-de-Lèren[43] ou Sén-Pè-de-Lèren[44].
Histoire
Paul Raymond[40] note que Saint-Pé-de-Léren appartenait à l'archiprêtré de Rivière-Fleuve, nom d'un archiprêtré du diocèse de Dax qui tirait son nom de l'Adour.
La baronnie de Saint-Pé-de-Léren
La commune formait avec Came et Sames une baronnie dépendant du château de Dax, incluse dans le duché de Gramont.
Le village est né du dénombrement de grandes propriétés gallo-romaines et a très longtemps dépendu de l'abbaye bénédictine de Sorde. Il se présente avec un habitat très dispersé de chaque côté de l'ancienne voie de communication Peyrehorade-Oloron.
Politique et administration
Situation administrative
Saint-Pé-de-Léren a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[45].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995
2020
2020
à ce jour
Bernard Saphores
Gérard Loustau
Intercommunalité
Saint-Pé-de-Léren fait partie de sept structures intercommunales[46]:
la Communauté de communes du Béarn des Gaves;
le SIGOM;
le SIVU des cinq villages;
le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves;
le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].
En 2019, la commune comptait 259 habitants[Note 12], en augmentation de 1,57% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
296
334
390
400
420
391
376
379
388
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
438
405
380
387
409
372
378
362
378
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
337
353
340
303
295
304
272
246
248
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
228
217
200
207
207
205
235
243
255
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
258
259
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Groupe de chanteurs béarnais et de danseurs-es sur échasses "Les Chancayres"
Festival Lo Primtemps de l'Arribèra[51] qui se tient la veille des vacances de Pâques (3 jours-dont 2 jours avec les enfants de écoles)
École de musique
Bibliothèque municipale
Patrimoine civil
Le château Labernède était le siège d'une notairerie royale pendant des siècles.
Le château Girard fut propriété d'un inspecteur général des troupes indigènes au Tonkin.
Le moulin Dufau, moulin à eau toujours en activité, bâti au XIIesiècle par les moines de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, produit des farines Bio de blé, seigle, sarrasin, maïs, petit épeautre, à partir de grains fournis par des producteurs locaux. La vente s'effectue aux boulangers, commerces et particuliers.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[52] avec son clocher récent qui a remplacé un clocher fronton probablement trinitaire, date partiellement du milieu du Moyen Âge. Plusieurs curés et seigneurs sont inhumés dans l'église. Elle recèle deux vitraux, l'un de Mauméjean représentant la tiare pontificale, l'autre dit «du coq» symbolisant le reniement de saint Pierre.
Équipements
Enseignement
Saint-Pé-de-Léren dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
Bernard Charbonneau a habité dans la commune jusqu'à la fin de sa vie; décédé en 1996 à la clinique de Saint-Palais, il est inhumé dans un caveau personnel situé dans sa propriété «Le Boucau» proche du gave d'Oloron; son épouse Henriette, née Daudin et décédée en 2005 est inhumée également dans ce caveau auprès de son mari[53].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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