Saint-Nazaire-de-Pézan [sɛ̃ na.zɛ.ʁə də pe.zɑ̃] (en occitan Sant Nazari de Pesan [sant na.'za.ri de pe.'zan]) est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Saint-Nazaire-de-Pézan | |
![]() Vue aérienne. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Montpellier |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lunel |
Maire Mandat |
Christophe Calvet 2020-2026 |
Code postal | 34400 |
Code commune | 34280 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Nazairois |
Population municipale |
615 hab. (2019 ![]() |
Densité | 109 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 38′ 38″ nord, 4° 07′ 11″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 5 m |
Superficie | 5,66 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Lunel (banlieue) |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lunel |
Législatives | Neuvième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saintnazairedepezan.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Dardaillon et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (l'« étang de Mauguio »), deux espaces protégés (l'« étang de l'Or » et la Petite Camargue) et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Ses habitants sont appelés les Saint-Nazairois.
Saint-Nazaire-de-Pézan est une commune urbaine qui compte 615 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'agglomération de Lunel et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Saint-Nazairois ou Saint-Nazairoises.
Une grande partie de son territoire est située en zone humide. Le classement NATURA 2000 de ses milieux fragiles vise à protéger l’ensemble de ses richesses naturelles et sa biodiversité. Canards sauvages et autres espèces protégées : flamants roses, tortues cistudes, hérons, aigrettes… sont nombreux sur le territoire.
Les traditions camarguaises font partie de son identité. La commune est bordée par les manades.
Le village est marqué par une activité agricole prépondérante (pommiers, vignes, maraîchage, céréales etc.) et une zone artisanale dynamique
Saint-Nazaire-de-Pézan est un village situé à 3 km au sud-ouest de Lunel et à 20 km à l'est-nord-est de Montpellier.
Le village est également proche de la région naturelle de la Camargue.
Saint-Just | Lunel (sur 200 m) | |
Lansargues | ![]() |
Marsillargues |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsillargues », sur la commune de Marsillargues, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 621,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 9 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[19],[20], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[21].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] : le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[23] et la « mare du Christoulet » (5 ha)[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] : le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » (14 344 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[25].
Saint-Nazaire-de-Pézan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[26],[I 1],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lunel, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 51 540 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,2 %), zones humides côtières (26,5 %), zones urbanisées (6,7 %), terres arables (5,6 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Nazaire-de-Pézan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les département de l'Hérault et du Gard, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[31], retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[32]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2009, 2014 et 2016[33],[29].
Saint-Nazaire-de-Pézan est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[34].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 238 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 237 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1745 | 1764 | François Pagès | ||
1764 | 1769 | André Pagès | ||
1769 | 1770 | Jean Castan | ||
1770 | 1771 | François Ollivier | ||
1771 | 1775 | Pierre Coulondre | ||
1775 | 1787 | Jean Vitou | ||
1787 | 1789 | Antoine Ollivier | ||
1789 | 1814 | Pierre Rafin | ||
1814 | 1830 | Louis Boulet | ||
1830 | 1841 | Pierre Avesque | ||
1841 | 1851 | Louis Pagès | ||
1851 | 1855 | François Pagès | ||
1855 | 1869 | Louis Pagès | ||
1869 | 1875 | Guillaume Tourret | ||
1875 | 1876 | Julien Pagès | ||
1876 | 1878 | Baptiste Ollivier | ||
1878 | 1881 | Pierre Renard | ||
1881 | 1898 | Antoine Boyer | ||
1898 | 1900 | Julien Pagès | ||
1900 | 1902 | Eugène Dussol | ||
1902 | 1919 | Emile Nayral | ||
1919 | 1925 | Edouard Mazauric | ||
1925 | 1929 | Jean Manse | ||
1929 | 1931 | Jules Lauga | ||
1931 | 1944 | Gaston Brun | ||
1944 | 1970 | Joseph Dugaret | ||
1970 | juin 1995 | Adrien Dugaret | ||
juin 1995 | mars 2008 | Gilles Peyre de Fabrègues | ||
mars 2008 | 2020 | Robert Pistilli | ||
2020 | En cours | Christophe Calvet | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 615 habitants[Note 10], en augmentation de 4,06 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
80 | 68 | 59 | 106 | 106 | 138 | 145 | 176 | 153 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
181 | 185 | 201 | 168 | 180 | 135 | 143 | 149 | 170 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
185 | 197 | 218 | 253 | 233 | 286 | 205 | 197 | 215 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
235 | 224 | 200 | 278 | 469 | 539 | 556 | 550 | 576 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
622 | 615 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 248 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 607 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 050 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 10,9 % | 7,6 % | 8,1 % |
Département[I 10] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 365 personnes, parmi lesquelles on compte 81,9 % d'actifs (73,8 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 18,1 % d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 70 emplois en 2018, contre 102 en 2013 et 96 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 277, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,8 %[I 13].
Sur ces 277 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 36 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
69 établissements[Note 13] sont implantés à Saint-Nazaire-de-Pézan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 69 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 13 | 18,8 % | (6,7 %) |
Construction | 17 | 24,6 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 14 | 20,3 % | (28 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,4 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 3 | 4,3 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 6 | 8,7 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 9 | 13 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 6 | 8,7 % | (8,1 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,6 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 69 entreprises implantées à Saint-Nazaire-de-Pézan), contre 14,1 % au niveau départemental[I 17].
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 13 lors du recensement agricole de 2020[Note 15] et la surface agricole utilisée de 491 ha[Carte 4],[Carte 5].
Le nom de Saint-Nazaire est attesté en 1793, puis en 1801. La commune devient Saint-Nazaire-de-Pézan en 1956 (décret du [44]), mais ce changement ne devient officiel sur le plan administratif qu'au 1er [45].
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Les armoiries de Saint-Nazaire-de-Pézan se blasonnent ainsi :
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