Saint-Martin-le-Beau est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.
Cet article est une ébauche concernant une commune d’Indre-et-Loire.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
La commune est bordée sur son flanc sud par le Cher (1,846 km) qui constitue sa limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 16,89 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Filet (4,553 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].
Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[3]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5],[6].
Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[7],[8].
Sur le plan piscicole, le Cher est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].
Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher à Tours, après avoir traversé 10 communes[10].
Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7].
Sur le plan piscicole, le Filet est également classé en deuxième catégorie piscicole[9].
Trois zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire: «les Communs», «la vallée du Ruisseau de Battereau et ses étangs» et «la vallée du Ruisseau du Filet»[11],[12].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-le-Beau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[16] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (30,2%), cultures permanentes (28%), terres arables (12,2%), zones urbanisées (11,7%), zones agricoles hétérogènes (10,9%), prairies (5,3%), eaux continentales[Note 7] (1,7%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Martin-le-Beau est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et le Filet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2016 et 2018[25],[23].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-le-Beau.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 369 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1221 sont en en aléa moyen ou fort, soit 89%, à comparer aux 91% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 1993 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Sanctus Martinus de Bello au XIesiècle[28].
Il s'agit d'une des nombreuses communes françaises dont l'église est consacrée à saint Martin et dont elle a pris le nom. La légende locale n'a certainement aucun fondement étant donné la fréquence de cette dédicace en France.
Lors de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Le Beau-sur-Cher[29].
Histoire
Selon une légende, Saint-Martin-le-Beau remonte aux incursions des Vikings: une bataille sanglante aurait opposé en 903 les Tourangeaux aux hommes du Nord, après que ces derniers ont miraculeusement fui Tours à la vue du reliquaire de saint Martin. Pour rendre grâce à celui-ci, les Tourangeaux victorieux bâtirent une chapelle en son honneur.
En 1044 eut lieu la bataille de Nouy, situé sur la commune, entre Thibaud III de Blois et Geoffroy II Martel qui fit tomber la Touraine dans le giron de l'Anjou.
La chapelle d'origine fut remplacée par une église romane au XIIesiècle, agrandie ensuite au XVIesiècle. Le , l'église est fortement endommagée à la suite d'un incendie volontaire[30]. Réparée, elle rouvre au culte en [31].
Durant l'Occupation, la ville se trouvait sur la ligne de démarcation. Raymonde Sergent, qui tenait un café dans le village, fit passer la ligne à des dizaines de personnes. Arrêtée, elle fut déportée à Auschwitz où elle mourut en [32].
Héraldique
Article connexe: armorial des communes d'Indre-et-Loire.
Les armes de Saint-Martin-le-Beau se blasonnent ainsi:
De gueules à la châsse de Saint Martin d'or posée sur un brancard du même, à la champagne cousue de sinople chargée d'une grappe de raisin tigée et feuillée aussi d'or[33].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Indre-et-Loire.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Maires avant 1945
Période
Identité
Étiquette
Qualité
24/01/1790
27/06/1790
Jacques Philippe Barat
Maître chirurgien
27/06/1790
27/11/1791
Antoine Étienne Léoman
Prêtre, vicaire
27/11/1791
1794
Jean Pillault
Laboureur, marchand
1794
1800
Antoine Capillon
Maître maçon
1800
1813
Georges Auguste Gaudron
Notaire
1813
1817
Grégoire Antoine Amyot
Lieutenant-colonel de chasseur à cheval
1817
1831
Jules Charles Mériadech Scourion de Beaufort
Propriétaire
06/10/1831
12/11/1831
François Abraham Courtemanche
Drapier, sous-lieutenant de cavalerie
03/01/1832
02/05/1832
Sébastien Boullet
Prêtre, vicaire, huissier
1832
1847
Jacques Briau
Arpenteur-géomètre, agent voyer
1847
1860
Jules Charles Mériadech Scourion de Beaufort
Propriétaire
1860
1865
Jacques Briau
Arpenteur-géomètre, agent voyer
07/1865
1871
Augustin Jean Marie Pillault
Docteur en médecine
1871
1874
Jacques Avenet
Cultivateur
1874
1881
Silvain Aimé Serrault
Meunier
1881
1882
Grégoire Denis Perrault
Entrepreneur de travaux publics, maire de Vallières-les-Grandes 1864-1876 et 1888-1889
1882
1882
Julien Noël Desplaces
Fait fonction de maire
1882
1888
André Emmanuel Mabille
Constructeur mécanicien, manufacturier, maire d'Amboise, chevalier de la Légion d'Honneur
1888
05/1896
Eugène Marie Fernand Martin
Procureur
05/1896
05/1901
Louis Etienne Félix Thomas
Entrepreneur de travaux publics
05/1901
05/1907
Grégoire François Doumas
Arpenteur, géomètre
05/1907
1919
Prosper Petiot de Laluisant
Fabricant/Négociant en huiles
1919
1929
Ernest Etienne Mignot
Cultivateur
1929
1941
Gatien François Piau
Cultivateur
1941
1945
Georges Emile Lelarge
Fait fonction de Maire, cultivateur
1945
1959
Georges Paul Brochard
Bourrelier
1959
1971
Marcel Habert
Viticulteur
1971
1977
Charles Gérard Delétang
Viticulteur
1977
1989
Marcel Habert
Viticulteur
1989
2001
Pierre Rabier
03/2001
2008
Alain Kerbriand-Postic
PS
Conseiller général (2004-2015)
03/2008
mai 2014
Didier Avenet
SE
Viticulteur
05/2014
mai 2020
Angélique Delahaye
UMP-LR
Agricultrice
05/2020
En cours
Alain Schnel
SE
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2019, la commune comptait 3 181 habitants[Note 8], en diminution de 0,44% par rapport à 2013 (Indre-et-Loire: +1,64%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 206
1 298
1 323
1 445
1 406
1 422
1 345
1 353
1 379
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 340
1 341
1 297
1 323
1 331
1 368
1 408
1 296
1 288
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 207
1 239
1 212
1 133
1 127
1 030
1 067
1 159
1 130
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
1 106
1 220
1 403
2 051
2 427
2 481
2 606
2 985
3 148
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
3 181
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Saint-Martin-le-Beau se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Pierre-des-Corps.
L'école maternelle Dolto et l'école élémentaire La Bergeronnerie accueillent les élèves de la commune.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Manoir de Thomas Bohier
Barrage de Nitray, établi sur le Cher en 1841 pour en réguler le débit et favoriser la circulation fluviale.
Personnalités liées à la commune
Plaque de rue en l'honneur de Raymonde Sergent.Raymonde Sergent, née Delalande, y est née en 1903, dans une famille d'agriculteurs. En 1928, elle y prend, avec son mari Paul Sergent, le café-hôtel de l'Union, après avoir travaillé plusieurs années avec lui dans des restaurants ouvriers parisiens. Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que son mari a été fait prisonnier, elle entre dans la Résistance, faisant passer des clandestins en zone libre. Les Allemands l'arrêtent une première fois en 1941, mais la libèrent faute de preuves, puis deux fois en 1942. La troisième est la dernière: elle sera déportée le du camp de transit de Compiègne vers Auschwitz. Ce convoi du fut un double transport emmenant vers des camps de concentration et d'extermination nazis: 230 femmes, comptant parmi les «31 000»[38] et 1 466 hommes, parmi les «45 000»[38]. Raymonde Sergent meurt à Auschwitz en 1943.
Une rue de son village natal porte maintenant son nom.
Georges Calzant, né à Saint-Martin-le-Beau en 1897.
Josep Tarradellas i Joan président de la Généralité de Catalogne en exil jusqu'en 1977.
Notes et références
Notes
Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, «on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année».
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, Formations dialectales (suite) et françaises: étymologie de 35000 noms de lieux, Librairie Droz, Genève, p. 1560
Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire: Communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 301p. (ISBN978-2-916043-45-6), p.213.
Ivan Roullet, «Nuit de destruction à Saint-Martin-le-Beau», La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
«L'église de Saint-Martin-le-Beau renaît de ses cendres», La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne).
Éric Alary, La ligne de démarcation, Paris, Perrin, , 429p., p.143.
Le blason de la commune sur Gaso. Consultation: mars 2009.
Saint-Martin-le-Beau, Village de Touraine dans l'Histoire de France, Robert Uhart, 1reédition imprimée pour le compte de l'auteur; 2eédition: Éditions P.S.R. - La Roche-Rigault, 1990 (ISBN2-908571-00-5)
Naître à Saint-Martin-le-Beau aux 18e et 19esiècles, Jean-François Badier, Auto-édition, 2009 (ISBN978-2-7466-1430-7)
La famille Bougrier de Saint-Martin-le-Beau, notables tourangeaux entre 19e et 20e siècle, Jean-François Badier, Auto-édition, 2022 (ISBN978-2-9546-029-1-2)
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии