Saint-Jean-du-Castillonnais est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.
Saint-Jean-du-Castillonnais
Vue aérienne du village.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Ariège
Arrondissement
Saint-Girons
Intercommunalité
Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire Mandat
Philippe Martin-Lempereur 2020-2026
Code postal
09800
Code commune
09263
Démographie
Gentilé
Saint-Jeantois
Population municipale
22 hab. (2019 )
Densité
4,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées
42° 56′ 12″ nord, 0° 55′ 55″ est
Altitude
Min. 633 m Max. 1 416 m
Superficie
4,74 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Saint-Girons (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton du Couserans Ouest
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Saint-Jean-du-Castillonnais
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Saint-Jean-du-Castillonnais
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Saint-Jean-du-Castillonnais
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Saint-Jean-du-Castillonnais
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Bouigane et par deux autres cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jean-du-Castillonnais est une commune rurale qui compte 22 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 310 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Saint-Jeantois ou Saint-Jeantoises.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Jean-du-Castillonnais se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 55 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 18 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3]:
Orgibet (0,5 km), Augirein (1,2 km), Galey (1,3 km), Buzan (2,7 km), Illartein (2,8 km), Saint-Lary (3,1 km), Aucazein (3,6 km), Villeneuve (4,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Jean-du-Castillonnais fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].
Saint-Jean-du-Castillonnais est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département de la Haute-Garonne.
Carte de la commune de Saint-Jean-du-Castillonnais et de ses proches communes.
Communes limitrophes de Saint-Jean-du-Castillonnais[5]
Herran (Haute-Garonne)
Fougaron (Haute-Garonne)
Buzan
Galey
Orgibet
Augirein
Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans à l'ouest de Saint-Girons. Elle fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Elle est limitrophe du département de la Haute-Garonne.
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches métamorphiques datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille «n°1073 - Aspect» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 4,74 km2[8],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,76 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 783 mètres. L'altitude du territoire varie entre 633 m et 1 416 m[11].
La superficie de la commune de est de 474 hectares; son altitude varie de 633 à 1 416mètres[12].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Jean-du-Castillonnais.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Bouigane, le ruisseau de Bidarros et le ruisseau de l'Estrouède, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[14],[15].
La Bouigane, d'une longueur totale de 24,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Lary et s'écoule du sud vers le nord puis d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans le Lez à Audressein, après avoir traversé 8 communes[16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat semi-continental», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[17].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 7,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22],[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Augirein», sur la commune d'Augirein, mise en service en 1990[24] et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[25],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5°C et la hauteur de précipitations de 1 188,8 mm pour la période 1981-2010[26].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 17 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[28], à 12,3°C pour 1981-2010[29], puis à 12,7°C pour 1991-2020[30].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[31],[32].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[33].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[34]:
les «massifs d'Arbas, Paloumère et Cornudère» (3 917ha), couvrant 22 communes dont 4 dans l'Ariège et 18 dans la Haute-Garonne[35];
le «réseau hydrographique de la Bouigane en aval de Saint-Lary» (114ha), couvrant 14 communes dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne[36],
la «soulane de Balaguères au Char de Liqué» (5 178ha), couvrant 13 communes du département[37];
et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[34]:
le «massif d'Arbas» (27 233ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[38].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Jean-du-Castillonnais.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-du-Castillonnais est une commune rurale[Note 8],[39]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[40].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (87,8%), prairies (10,7%), zones urbanisées (1,5%)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 56, alors qu'il était de 53 en 2013 et de 54 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 21,4% étaient des résidences principales, 66,1% des résidences secondaires et 12,5% des logements vacants. Ces logements étaient pour 100% d'entre eux des maisons individuelles et pour 0% des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Jean-du-Castillonnais en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (66,1%) supérieure à celle du département (24,6%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,7% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,6% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 6].
Le logement à Saint-Jean-du-Castillonnais en 2018.
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
66,1
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
12,5
9,7
8,2
Voies de communication et transports
Accès avec la route départementale D 618.
Risques majeurs
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Saint-Jean-du-Castillonnais.
Le territoire de la commune de Saint-Jean-du-Castillonnais est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée)[42],[43].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[44].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Saint-Jean-du-Castillonnais[45]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[46].
Toponymie
La commune devait probablement s'appeler autrefois Saint-Jean d'Orgibet.
Histoire
Légendes
La légende de Jeanne de Moraze et de Jean le Fort se déroule au château de Saint-Jean d'Orgibet[47].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Jean-du-Castillonnais est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[48].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[49].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[50],[51].
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 dans l'Ariège.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1995
2014
Robert Sablayrolles
Universitaire
2014
mai 2020
Gérard Tougne
SE
Retraité de l'enseignement
mai 2020
En cours
Philippe Martin-Lempereur
Les données manquantes sont à compléter.
Le , la commune a voté pour le projet de fusion avec les communes limitrophes d'Orgibet, Buzan et Illartein[52].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].
En 2019, la commune comptait 22 habitants[Note 10], en diminution de 12% par rapport à 2013 (Ariège: +0,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
190
104
175
195
218
229
277
259
310
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
247
223
217
214
210
191
201
191
207
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
196
163
153
114
97
95
59
56
50
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
36
31
46
33
20
22
25
26
25
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
22
22
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Saint-Jean-du-Castillonnais fait partie de l'académie de Toulouse.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 14 personnes, parmi lesquelles on compte 92,9% d'actifs (85,7% ayant un emploi et 7,1% de chômeurs) et 7,1% d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 3 emplois en 2018, contre 3 en 2013 et 6 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 13, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,3% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 77,8%[I 14].
Sur ces 13 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 travaillent dans la commune, soit 8% des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 76,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,4% les transports en commun, 7,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 16].
Activités hors agriculture
3 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-Jean-du-Castillonnais au [I 17].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 3 entreprises implantées à Saint-Jean-du-Castillonnais), contre 13,2% au niveau départemental[I 18].
Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole[Note 13]</ref> de 2010 (un en 1988)[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et bâtiments
Église Saint-Jean-Baptiste.
Chapelle Sainte-Geneviève.
Personnalités liées à la commune
Robert Sablayrolles: archéologue et épigraphiste, professeur émérite d'histoire et archéologie romaines, université Toulouse II.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[9],[10]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne<ref group=''>Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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