Saint-Gervazy est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ne doit pas être confondu avec Saint-Gervasy, commune du Gard.
Cet article est une ébauche concernant une commune du Puy-de-Dôme.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Saint-Gervazy | |
Le château de Saint-Gervazy. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Puy-de-Dôme |
Arrondissement | Issoire |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Agglo Pays d'Issoire |
Maire Mandat |
Serge Barthomeuf 2020-2026 |
Code postal | 63340 |
Code commune | 63356 |
Démographie | |
Population municipale |
335 hab. (2019 ![]() |
Densité | 24 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 24′ 57″ nord, 3° 13′ 01″ est |
Altitude | Min. 458 m Max. 790 m |
Superficie | 14,23 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Issoire (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Brassac-les-Mines |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Saint-Gervazy est traversé par le ruisseau de la Volave et est dominé par le pic du Montcelet (738 m). Ce dernier est surmonté par les restes d'une tour, ultime vestige d'un château. Outre le village proprement dit, Saint-Gervazy est constitué des hameaux de Segonzat, Scourdois et de Unsac.
Madriat | Collanges | Vichel |
Augnat | ![]() |
Moriat |
Apchat | Chambezon Haute-Loire |
Saint-Gervazy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (29,6 %), terres arables (29 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,6 %), forêts (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Roche ou Rocher[7].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
avant 1981 | ? | Léon Leyreloup | PS | |
mars 2001 | mars 2008 | Bernard Jourlin | ||
mars 2008 | En cours (au 8 septembre 2020) |
Serge Barthomeuf[8],[9] | Berger[10] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].
En 2019, la commune comptait 335 habitants[Note 3], en augmentation de 6,69 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
715 | 545 | 660 | 687 | 725 | 696 | 714 | 727 | 752 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
709 | 660 | 630 | 657 | 635 | 613 | 630 | 641 | 641 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
570 | 515 | 435 | 350 | 310 | 310 | 286 | 307 | 341 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
242 | 206 | 249 | 226 | 264 | 256 | 290 | 300 | 314 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
333 | 335 | - | - | - | - | - | - | - |
Le village comporte un château du XIIIe siècle restauré et ouvert à la location au public depuis septembre 2011[précision nécessaire].
L'église contenait une Vierge noire typique de la région Auvergne qui fut volée en 1983 et repérée dix huit ans plus tard dans un catalogue de vente aux enchères à Madrid et retrouvée en Hollande. Par sécurité elle était alors conservée dans le trésor de la cathédrale de Clermont-Ferrand. Depuis 2005, grâce à des fonds récoltés par l'Association de la Vierge Noire, elle a été restituée dans son emplacement d'origine, dans l'église Notre-Dame de Saint-Gervazy.
À côté du hameau d'Unsac, s'élève un dolmen constitué de six pierres levées formant un couloir et de deux dalles de chevet, l'ensemble formant une allée couverte. Les dalles de couvertures n'étant plus sur l'ensemble mais reposant à côté de l'allée. L'ensemble formant une allée couverte unique dans la région.
Une histoire se raconte depuis deux décennies dans le village, comme quoi la place du château aurait été le lieu d'un culte obscure dans les années de la révolution française. Une secte aurait ouvert un portail temporel vers un monde ténébreux, une sorte d'au delà infernal. Le portail avait été fermé la première fois par d'église, redevenue toute puissance en 1792 après la chute de Maximilien de Robespierre. Le portail a été ouvert une seconde fois en 1940 de manière mystérieuse et fermé six ans plus tard par un vétéran de la seconde guerre mondial, le vétéran aurait habite jusqu'au début des années 2010 dans une maison haute et étroite sur le pont du village. Il disait garder un portail derrière le château du village et veiller a ce que les monstres obscures ne reviennent pas... Il n'y a plus de traces de ce vétéran depuis la mise en vente de sa maison. Le notaire aurait retrouvé et mis a disposition des habitants du village une note que le vétéran a légué à la commune en guise d'héritage. En voici un extrait :
Héritage pour St Gervazy :
Pour fermer le portail réussir les artefacts suivants :
- Un crucifix sur lequel je veillerai pour l'éternité
- Une fiole d'eau bénite du Vatican cachée là où les prisonniers obtiennent leur dernier jugement
- De l'ail planté par le maire sur le domaine communal
Disposer les artefacts en triangle autour du portail et prononcer, AVANT MINUIT, l'incantation suivante :
"Pie VI, Pie VI, par ton pouvoir consacré par Dieu, ferme ce portail et fait taire les monstres en ce lieu."
Sur les autres projets Wikimedia :