Saint-Briac-sur-Mer est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 193 habitants[Note 1].
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Saint-Briac-sur-Mer
Le port et la plage du Béchet.
Administration
Pays
France
Région
Bretagne
Département
Ille-et-Vilaine
Arrondissement
Saint-Malo
Intercommunalité
Communauté de communes Côte d'Émeraude
Maire Mandat
Vincent Denby Wilkes 2020-2026
Code postal
35800
Code commune
35256
Démographie
Gentilé
Briacin
Population municipale
2 193 hab. (2019 en augmentation de 11,6% par rapport à 2013)
La commune est bordée au nord par la Manche et à l'ouest par le Frémur et son estuaire qui marque la limite occidentale du département d'Ille-et-Vilaine. Un pont la relie à Lancieux (département des Côtes-d'Armor).
Du point de vue de la richesse de la flore, Saint-Briac est à la septième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 611 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 54 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207); 27 taxons protégés et 35 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[1].
Plusieurs plantes de littoral comme l'armérie maritime se rencontrent sur la commune, notamment à la pointe de la Garde-Guérin avec sa pelouse littorale à silène maritime (Silene uniflora) et les orchidées des marais du Dinard Golf «espace d'une exceptionnelle richesse floristique» (Ophioglossum vulgatum)[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 11,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Dinard», sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,4°C pour la période 1971-2000[11], à 11,6°C pour 1981-2010[12], puis à 11,9°C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Briac-sur-Mer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Elle appartient à l'unité urbaine de Dinard, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[17] et 32 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].
Selon le baromètre de l'immobilier, Saint-Briac-sur-Mer était, après La Trinité-sur-Mer , en 2021 la commune de Bretagne où le prix médian des maisons était le plus élevé (580 000 euros)[25].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (45,7%), zones urbanisées (35,9%), terres arables (8,6%), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4%), zones humides côtières (1,4%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Briaci en 1271, Saint Bria en 1277, Sancti Briaci en 1371, S. Briac en 1654, S. Briach en 1709[28].
Son nom vient d'un saint nommé Briac. La tradition dit qu'il était irlandais. En fait Briac est un nom d'origine brittonique. C'est la version haute bretonne de Brioc/Brieuc., ce qui ne veut pas dire que saint Briac et saint Brieux sont les mêmes saints. Ils portent le même nom.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Port-Briac[29].
La dénomination bretonne de la commune est Sant-Briaget la gallèse est Saent-Beriac[réf.nécessaire].
Le gentilé est Briacin.
Histoire
Préhistoire
La commune comportait plusieurs sites mégalithiques signalés dans les recensements du XIXe mais désormais détruits ou introuvables: un menhir et un dolmen près de la Garde Guérin, un alignement dénommé les Roches-Hues[30].
Moyen Âge
Selon l'hagiographe breton Albert Le Grand, Briac débarque en Bretagne avec saint Tugdual sur la côte du Léon vers 548. Une nouvelle version de l'histoire de Briac le voit vivre au Xesiècle.
La paroisse est créée vers 1150 et le choix du nom est sans doute effectué par l'évêque Jean de Chatillon, ancien prieur à Guingamp et familier du Briac de Bourbriac.
Ancien Régime
Le premier briacin connu est Guillaume de St Briac qui en 1220 est prieur à Combourg. La paroisse est mentionnée pour la première fois en 1271. Il s’agit d’un démembrement de la paroisse primitive de Pleurtuit et elle dépendait de l'évêché de Saint-Malo.
Du XVIesiècle et jusqu'à la Révolution, les Du Breil de Pontbriand étaient les seuls seigneurs de Saint-Briac-sur-Mer.
Bataille de Saint-Cast
Article détaillé: Bataille de Saint-Cast.
Les 4 et , une flotte britannique, forte de plus de 113 navires et commandée par l'amiral Richard Howe, débarque dans l'anse de la Fosse, à l'est de la Garde Guérin, un corps de plus de 9 000 hommes (voire 13 000) sous les ordres du général Thomas Bligh qu'accompagnait le duc d'York, le futur roi Georges III. Elle établit un camp au village de la Plate-Roche (Saint-Lunaire), après avoir pillé Saint-Briac et ses environs: à Saint-Briac, elle incendia les villages de la Fosse, du Mesnil, du Chemin et de la Ville-au-Coq. Après avoir constaté qu'elle ne pourra pas passer à St Malo, elle se déplace et réembarque à St Cast sous le feu des troupes françaises qui sont arrivées.
Le XIXesiècle
Les peintres et la villégiature
Comme le montrent les tableaux des grands peintres de la fin du XIXesiècle et les photographies d'époque, la côte, avant l'implantation des villégiatures, était dépourvue d'arbres: ce sont les nouveaux résidents estivaux qui ont planté toutes sortes d'espèces et ainsi agrémenté le site.
1896: Construction du club-house du Dinard Golf Club.
Le XXesiècle
La Belle Époque
En 1901 ouvre la ligne de tramway de Saint-Briac à Dinard. C’était une ligne de tramway à vapeur à voie métrique qui reliait les villes de Saint-Briac et Dinard en passant par Saint-Lunaire. Elle a été ouverte entre 1901 et 1902. En 1929, la ligne ferma pour être remplacée par un service d'autocar.
La Première Guerre mondiale
En 1914, l'hopital militaire complémentaire n°43 est ouvert à St Briac devant l'afflux des blessés. Il sera fermé en 1916.
L'Entre-deux-guerres
1920 est l'année de la création des tennis à la Houle.
Au début de la décennie 1920, le grand-duc Cyrille Vladimirovitch (cousin du tsar Nicolas II) s'installe à Saint-Briac avec sa femme et ses enfants.
En 1927 ouvre le deuxième club-house du "Dinard Golf Club", construit par l'architecte Marcel Oudin[32].
La Deuxième Guerre mondiale
Le monument aux morts américain érigé en l'honneur du Captain Wilner, du First Class Roy O'Posey et du First Class J. MacDaniel, tombés le à Saint-Briac.
Saint-Briac est le flanc ouest de la «Festung» de Saint-Malo. De nombreux blockhaus[33] y sont construits, dont l'ensemble de la pointe de la Garde-Guérin[34].
La commune est libérée par les Américains le , au prix de la vie de trois soldats américains. Tony Vaccaro y réalise les photographies de guerre.
Le XXIesiècle
L'opposition de certains riverains à l'ouverture du sentier littoral GR 34 au droit de leurs propriétés suscite de nombreuses polémiques[35].
Héraldique
Le blason de Saint-Briac.
Blason
D'azur au pont courbé de trois arches d'argent, maçonné de sable, mouvant des flancs et posé sur une champagne aussi d'azur[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Armes de la famille de Pontbriand: d'azur à un pont de trois arches d'argent maçonné de sable)
Politique et administration
La commune a eu pour maire de à , Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, fondateur de Génération écologie et bénéficiaire, par sa mère, du manoir de la fondation Forbes des Essarts.
De mars 2008 à 2014, le maire est Auguste Senghor, un neveu de Léopold Sédar Senghor (1906-2001), l'ancien président de la république sénégalaise. Auguste Senghor avait été auparavant maire du May-sur-Èvre (en Maine-et-Loire, à côté de Cholet) de 1977 à 1989 et de 1995 à 2008[37]. Vétérinaire de profession, il a été le président du conseil régional de l'Ordre des vétérinaires pour les Pays de la Loire[38].
Depuis mars 2014, le maire est Vincent Denby-Wilkes, franco-américain, ingénieur agronome de formation, coordonnateur EDF régional de profession, il est également président de Sciences Po Rennes et de France énergies marines[39].
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Liste des maires avant 1944
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1789
?
René Chevallier
1792
?
Pierre Joulain (élu)
1793
?
Joseph Le Meuf (nommé)
1794
?
Joseph Joulain (nommé)
1795
?
Joseph Joulain
1848
1878
Guillaume Buot
1878
1881
Emile Buot
1881
1887
Alfred Moreau Descoings
1887
1892
Joseph Bourge
1892
1899
Maurice de Villebresme
1899
1907
Julien Perrette
1907
1912
Louis Thoreux
1912
1916
Eugène Villeaumoras
1916
1928
Eugène Noël
1931
1943
Gaston Dambreville
1944
1944
Célestin Touzé
Source:
1944
Alexis David (1889-1970)
Capitaine au long cours, cap-hornier Maire honoraire
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].
En 2019, la commune comptait 2 193 habitants[Note 8], en augmentation de 11,6% par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine: +5,84%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 760
1 697
1 809
1 982
2 439
2 040
1 878
1 668
1 880
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 077
2 120
2 071
2 414
2 089
2 178
2 317
2 220
2 168
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 960
1 981
2 213
1 782
1 970
2 042
1 920
1 880
1 947
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
1 709
1 666
1 619
1 691
1 825
2 054
1 950
1 948
1 955
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 978
2 193
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,5%, soit en dessous de la moyenne départementale (38,2%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 50,3% la même année, alors qu'il est de 23,3% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 019 hommes pour 1 113 femmes, soit un taux de 52,2% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,18%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,9
90 ou +
3,6
15,7
75-89 ans
18,6
30,8
60-74 ans
29,7
17,3
45-59 ans
19,4
11,6
30-44 ans
12,0
10,9
15-29 ans
6,7
11,7
0-14 ans
10,0
Pyramide des âges du département d'Ille-et-Vilaine en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,7
6,1
75-89 ans
8,7
14,1
60-74 ans
15,2
19,7
45-59 ans
18,8
19,7
30-44 ans
18,8
20,1
15-29 ans
18,8
19,7
0-14 ans
17,9
Économie
Saint-Briac-sur-Mer est une station balnéaire réputée de la Côte d’Émeraude.
Une économie tournée vers le tourisme
En 2004, Saint-Briac comportait 913 résidences principales et 1 572 résidences secondaires. Les retraités représentaient alors 35% de la population.
Les services de proximité sont le secteur offrant le plus d'emplois (83), suivis par la distribution (60), le BTP (44), l'administration (40) et l'entretien/réparation (37).
Monuments et lieux particuliers
Monuments historiques
La commune compte plusieurs monuments historiques:
l'église Saint-Briac (XVIIesiècle), reconstruite entre 1870 et 1875 à l'emplacement d'églises primitives datant de 1671 et des XIe, XIIe – XIIIesiècles. Cette reconstruction a été en partie financée par les marins de Saint-Briac ayant en échange reçu une autorisation de pêcher le dimanche[48] (des maquereaux sculptés ornent d'ailleurs l'extérieur de l'édifice). L'ancienne église, qui datait de 1671, se composait d'une nef avec deux collatéraux, d'un transept, d'une abside à pans coupés, et d'un clocher daté de 1671. La chapelle prohibitive des seigneurs de Pontbriand, comme seigneurs de la Garde, était du côté nord. Une litre aux armes des seigneurs de Pontbriand entourait l'église au XVIIesiècle. Le chœur de l'église renfermait jadis un tombeau élevé appartenant aux seigneurs de la Houlle. Un reliquaire ou charnier, avec une inscription en quatre vers, se voyait autrefois en face de la porte d'entrée. L'ancienne église a été démolie en 1870; seule la tour carrée à l'ouest, surmontée d'un clocher, a été conservée. Entièrement en granit, il est orné de deux galeries à balustres et coiffé d'un dôme octogonal. Ce genre de construction unique en Ille-et-Vilaine, rappelle certains autres clochers bretons du Trégor ou du Finistère[48]. Il abrite une cloche de 1690 donnée par le seigneur de Pontbriand. Ce clocher a été classé monument historique par arrêté du [49],[50];
l’île Agot qui renferme des sites protohistoriques. Elle a été inscrite par arrêté du [51];
la boutique du 2 rue du Commandant-Pierre-Thoreux, dont le décor en mosaïque de l'atelier d'Odorico est inscrit au titre des monuments historiques depuis le [52],[53];
le Club-House du Golf [54],[55],[56] (à l'exception toutefois du sas ajouté à l'entrée du bâtiment) est inscrit au titre des monuments historiques par un arrêté du 27 octobre 2014.
Autres sites et monuments de la commune
La chapelle de l'Épine-Notre-Dame ou chapelle Saint-Adam, mentionnée sous ce nom dès 1628[57]. Elle est déclarée en ruine en 1682 et reconstruite en 1688 sous le nom de Notre-Dame de l'Épine. Ancienne chapelle frairienne, elle est réédifiée en 1833. Son campanile porte les dates de 1565, 1688 et 1833. La tradition prétend qu'elle est construite sur l'emplacement d'une épine où l'on trouva une statue de la Vierge. On y conserve l'ancienne cloche de la chapelle Saint-Adam et la statue de la Vierge.
L'ancienne chapelle du Vieux-Couvent (XIXesiècle) des sœurs de la Sagesse (1700-1800)
Le calvaire des marins (XIXesiècle), située au bourg de Saint-Briac[58]. Il se trouve à l'emplacement d'un ancien dolmen détruit vers 1850.
La croix située au village de la Chapelle[59]. Cette croix remplace l'ancienne chapelle Saint-Pabu ou Saint-Tugdual.
Le château du Nessay (XIXe-XXesiècle)[60]. Le château de Saint-Briac qui était situé au lieu-dit la Houle a été détruit vers 1650. La seigneurie de La Houle est annexée par le roi en 1650 à la seigneurie de la famille Breil-de-Pontbriand. Le château actuel a été érigé en 1886, par le comte Maurice de Villebresme, maire (1892-1899) de la commune. Il appartient à la commune qui le fait fonctionner en centre de vacances. Le parc contient une chapelle[61] reconstruite au XIXesiècle, avec réemploi d'une porte du XVIesiècle.
L'ancien château fort de la Houle, mentionné dès le XIIesiècle dans le Roman d'Aquin. Il possédait jadis une chapelle privée[61]. C'était le château seigneurial de la paroisse. Propriété de la famille d'Elbiest en 1460 et en 1520[62]. Il est annexé en 1656 à la seigneurie de Pontbriand,
Le boulevard de la Mer[67] et le balcon d'Émeraude[68]
Quatre moulins dont les moulins à vent de la Houle[69] (encore surnommé Moulin de Pierre Allée) (XVIIesiècle), de la Marche[70], de la Tourelle, et le moulin à eau de Rochegoude[71],[72] (XIXesiècle)
L'ancien manoir de la Garde[74]. Propriété de la famille Boutier, puis de la famille du Breil en 1682
L'ancien manoir de la Ville-aux-Provôts, situé route de Pleurtuit. Propriété de la famille du Breil en 1682[62].
Le bureau de poste[75] construit sur les plans de Pierre-Jack Laloy en 1936 est un bon exemple de l'architecture régionaliste de l'entre-deux-guerres. Il comporte des bas-reliefs de Armel Beaufils et des mosaïques d'Odorico
Sites naturels
Pointe de la Garde-Guérin
La Garde Guérin est un promontoire rocheux culminant à 48 mètres au nord de la commune. De son sommet, la vue s'étend du cap Fréhel à Saint-Malo et au-delà. Cet espace naturel départemental abrite deux espèces de chauves-souris inscrites au livre rouge des espèces menacées en France: le grand murin et le grand rhinolophe.
Article détaillé: Pointe de la Garde-Guérin.
Jumelages
Besse(France)
Personnalités liées à la commune
Résidents célèbres
Famille impériale russe
Après la Révolution bolchévique, Saint-Briac servit de résidence aux membres exilés de la famille impériale russe. Le grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie et son épouse, la grande-duchesse Victoria Mélita, y vécurent avec leurs enfants, le grand-duc Vladimir Kirillovitch, la grande-duchesse Maria Kirillovna, princesse de Linange et la grande-duchesse Kira Kirillovna, princesse royale de Prusse, transformant la station en véritable «capitale» de l'émigration des Russes blancs.
Famille Forbes
Une branche de la famille Forbes, une riche et ancienne famille américaine de Boston d'origine écossaise qui a fait fortune au XIXesiècle dans le commerce de l'opium avec la Chine et le chemin de fer, possède un domaine sur la commune, aux Essarts. James Grant Forbes (1879-1955), né à Shangaï et ayant fait ses études en Angleterre et à Harvard, à côté de Boston, conforta la fortune familiale en commerçant en Chine dans le commerce de l'opium. Il fit l'acquisition du domaine des Essarts qui allait devenir le lieu de réunion familiale. James Grant Forbes était le grand-père de Brice Lalonde, candidat écologiste à l'élection présidentielle française de 1981, ancien ministre de l'Environnement et ancien maire de la commune et de John Forbes Kerry, sénateur démocrate du Massachusetts, Secrétaire d'État, candidat à l'élection présidentielle américaine de 2004. La commune et le domaine des Essarts connurent alors une certaine notoriété médiatique.
De nombreux membres de la famille Forbes ont passé les vacances d'été en Bretagne dans ce domaine familial. Durant l'Occupation, Les Essarts furent réquisitionnés et employés comme siège d’une société allemande. À leur départ, les occupants bombardèrent et brûlèrent la propriété. Le domaine fut reconstruit en 1954. Cousins germains, Brice Lalonde et John Kerry ont souvent passé, avec leurs parents, les vacances d'été dans la maison familiale de Saint-Briac-sur-Mer, "Les Essarts".
Brice Lalonde s’oppose à la construction par l'État d’un sentier de randonnée en application de la loi dite du Littoral, sentier qui passerait le long de sa propriété[76],[77].
Personnalités politiques françaises
Brice Lalonde (1946), ancien maire de Saint-Briac-sur-Mer, ancien ministre de l'environnement,
Yvon Bourges (1921-2009), maire de Dinard (1962-1967 et 1971-1989), conseiller général d'Ille-et-Vilaine(1964-1988), président du conseil régional de Bretagne (1986-1998), ministre de la Défense (1975-1980), y a beaucoup séjourné.
Artistes et œuvres inspirées par Saint-Briac
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Jean Ajalbert (1863-1947) séjourne à Saint-Briac en 1886
Eugène Baudin (1853-1918) céramiste, ouvre une faïencerie à Saint-Briac en 1897, en laisse la direction à son fils adoptif, Paul Baudin, en 1906
Armel Beaufils, (1882-1952) sculpteur, a résidé à Saint-Briac-sur-Mer de 1929 à 1952
Monument à la mémoire de la grande-duchesse de Russie, boulevard de la Mer
Gabrielle Bellocq (1920-1999), pastelliste impressionniste, a vécu plusieurs années impasse Croix-des-Marins, à Saint-Briac-sur-Mer, où elle est décédée, et est inhumée au cimetière communal.
Émile Bernard (1868-1941), peintre et écrivain, a décoré, au cours des deux mois passés à Saint-Briac-sur-Mer, sa chambre de l'auberge de Mme Lemasson située dans la rue qui porte aujourd'hui son nom. Il séjourna à Saint-Briac en 1886, 1887, 1888, 1889, 1891
Place à Saint-Briac, 1886-1887
Après-midi à Saint-Briac, huile sur toile, 1887
Promenade à Saint-Briac, 1887
Le pré à Saint-Briac, 1887
Femme à Saint-Briac, 1887
Champ de blé levant et église de Saint-Briac, huile sur toile, 1887
Étude de vitrail, Saint-Briac, aquarelle, 1887
Bord de mer en Bretagne, Saint-Briac, huile sur toile, 1888
Portrait de M. Poulain, 1889
Paysage à Saint-Briac, 1889
Trois bretonnes au bord de la mer à Saint-Briac, huile sur toile, 1889
Le Repos sur la falaise, huile sur toile, 1890, 108x45 cm, collection particulière.
Paysage en Bretagne, 1890
Les gauleuses de pommes, huile sur toile, 1890
Bretonnes à Saint-Briac, huile sur toile, 1890
Rue de la Haye à Saint-Briac, huile sur toile, 1890
Femme au râteau (Faneuse à Saint-Briac), huile sur toile, 1891
Moisson au bord de la mer, huile sur toile, 1891, musée d'Orsay, Paris
La Bretonne aux fleurs (portrait de Mme Lemasson), huile sur toile, 1891
Portrait d'Edouard Rozé, huile sur toile, 1891
Portrait de Marie Lemasson, 1892
Étude de nu, 1892
Saint-Briac, femmes aux râteaux, huile sur toile, 1892
Paysage avec meule et personnage
Rue à Saint-Briac (1886).
Paysage à Saint-Briac (1886).
Paysage, Saint-Briac (1887).
Le port à Saint-Briac (1887).
Après-midi à Saint-Briac (1887).
Saint-Briac (date inconnue).
Portrait de Marie Lemasson (1892, musée d'Israël).
Saint-Briac, élégante à la pointe du Crosnier, huile sur toile
Paul Grandhomme, maitre émailleur. Son tombeau est surmonté d'une statuette en bronze réalisée par les sculpteurs Émile Armel-Beaufils (1882-1952) et son épouse Zannic Armel-Beaufils, née Suzanne Duvivier (1892-1978).
Saint-Briac, le vieux moulin de la Houle, huile sur toile, 1892
Karl Madsen (1855-1938), peintre et historien d'art danois
Passage près de la Ville Hue, huile sur toile, 1878
Plage près de Saint-Briac, huile sur toile, 1878
Gilles Mahé
Pierre Manoli (1927-2001), sculpteur [réf.nécessaire]
Beldy Maugham (1874-1971), Cynthia Maugham Farrell (-1964), Daphné Maugham Casorati (1897-1982), peintres, belle-sœur et nièces de Somerset Maugham, y ont passé les étés de 1919 à 1935
Alexandre Nozal (1852-1929), peintre, a représenté de nombreux paysages de Saint-Briac-sur-Mer et des environs.
Le bourg de Saint-Briac vu du Chatelet
Saint-Briac, les cabines du Port Hue, gouache
Saint-Briac, Le Port-Hue, gouache
Saint-Briac, le moulin de Pierre Allée, huile sur toile
Saint-Briac, coucher de soleil sur l'Islet, gouache
Les gerbes de blé à Saint-Briac, gouache
Plage de la Grande Salinette sous la neige, sans date
Saint-Briac, l'estuaire du Frémur à marée basse, gouache
Le Bechet vu de la Forge, gouache
Saint-Briac, l'ile Dame Jouanne, gouache
Champ de trèfles incarnat devant l'embouchure du Frémur, gouache
La Ville es-Toire, gouache
Meules de blé, la Garde Guérin à Saint-Briac, huile sur toile
Le village au ciel rose, gouache
Lancieux vu du Calvaire des Marins, gouache
Le petit port de Saint-Briac, gouache
La baie de Saint-Briac, gouache
Les roches Aigües, gouache
Julie Nozal, graveuse. Fille de Victor-Paul Grandhomme, épouse de Jacques Nozal, fils du peintre Alexandre Nozal.
Saint-Briac, scène de marché, huile sur toile, 1903
Yvonne Postel-Vinay (1880-1968)
La pointe du Perron, aquarelle
Auguste Renoir (1841-1919) a peint une paysanne et sa vache près du moulin. Séjourne à Saint-Briac en 1886
La bergère, la vache et la brebis, 1886
Scène de jardin en Bretagne à Saint-Briac, huile sur toile, 1886
Jeune bretonne à Saint-Briac, 1886
Henri Rivière (1864-1951) a débuté comme créateur du théâtre d'ombres du cabaret le Chat Noir avant de s'imposer dans l'histoire de l'estampe, de la gravure sur bois et de l'aquarelle. Séjourne à Saint-Briac en 1884, 1886, 1890
Le potager à la Ville Hue, eau-forte, 1884
Le clos des Pommiers, eau-forte, 1884
La vieille maison au bord de mer, eau-forte, 1884
Les Ebihens, eau-forte, 1884
La mer: études de vagues
Vague par la pluie (Port-Hue), gravure sur bois, 1890
Petite vague montante (Pointe de la Haye), gravure sur bois, 1890
Vague mer montante (plage de la Garde Guérin), gravure sur bois, 1890
Paysages bretons
Lancieux, gravure sur bois, 1890
Les balises, la Bouche, Chéruette, et l'Ane au crépuscule, gravure sur bois, 1890
Le Béchet, gravure sur bois, 1890
Femmes séchant du linge, gravure sur bois, 1890
Le Perron, gravure sur bois, 1890
Vaches dans les champs de la Garde Guérin, gravure sur bois, 1890
La Garde Guérin, gravure sur bois, 1890
La pointe de la Haye, gravure sur bois, 1890
La balise Cherruette à marée basse, gravure sur bois, 1890
Potager à la Ville-Hue, gravure sur bois, 1890
L'heure du pain à la Ville Hue, gravure sur bois, 1890
Barque et steam-boat, Saint-Briac, 1890
Les Ebihens, gravure sur bois, 1890
Un cheval et le village de la Chapelle, gravure sur bois, 1890
Ferme de la Garde Guérin, gravure sur bois, 1890
Une femme et une vache, pointe de la Haye, gravure sur bois, 1890
Le village de la Chapelle vu des Tertres, gravure sur bois, 1890
Pointe de la Haye vue de la Garde Guérin, gravure sur bois, 1890
Un grain, gravure sur bois, 1890
Pointe du Décollé vue de la Garde Guérin, gravure sur bois, 1891
Edwin Scott (1863-1929), paysagiste américain
Saint-Briac, la Fosse, huile sur toile
Paul Signac (1863-1925), peintre paysagiste, créateur du pointillisme et du divisionnisme, s'est souvent arrêté à Saint-Briac-sur-Mer au cours de ses navigations côtières. Séjourne à Saint-Briac en 1884, 1885, 1890
Bord de rivière, 1884
Le moulin de Pierre Allée, 1884
Marée basse à Saint-Briac (Rivière de Lancieux), 1884
Saint-Briac, la croix des marins à marée basse, huile sur toile 1885
Saint-Briac, la croix des marins à marée haute, huile sur toile 1885
Saint-Briac vu de ma fenêtre, huile sur toile, 1885
Cour à la Ville Hue, 1885
Le port de Saint-Briac, 1885
Saint-Briac, le Béchet, huile sur toile, 1885
Les balises, Saint-Briac (La passe balisée de Saint-Briac), 1885
Saint-Briac, le Port Hue, 1890
Les bouées, 1890
Bord sablonneux de la mer (Le Port Hue), 1890
Emmanuel de la Villéon (1858-1944), artiste-peintre français, l'un des derniers représentants de l'impressionnisme.
Saint-Briac, l'Ile Agot vue du Perron, huile sur toile, 1903
Cinéma
Patrick Rocca (1947), comédien et chanteur d'opéra français est résident de la commune.
Autres personnalités
Pierre-Louis Thoreux (1890 - 1971), commandant, notamment, du paquebot Normandie, est né et est enterré à Saint-Briac
Galerie
Le club-house au golf.
Au temps des P.T.T.
Les mouillages au Béchet.
Le château du Nessay.
Le clocher de l'église.
La plage du Béchet.
La plage du Béchet en été.
Le port et la plage du Béchet vus du Balcon d'Émeraude.
La plage de la Grande Salinette en contrebas, côté ouest, du parc du château du Nessay.
La plage de la Salinette et ses cabines en bois.
La mairie.
Le chemin du perron bordé de ganivelles, avec vue sur la presqu’île du perron.
Notes et références
Notes
Population municipale 2019, légale en 2022.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p.170.
Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005. p.38, 41.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
(br) Vallerie, Erwan, 1944-, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, Ar Releg-Kerhuon, An Here, , 560p. (ISBN2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC63764620, lire en ligne), p.183.
Jacques Briard, Loïc Langouët et Yvan Onnée, Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Centre régional d'archéologie d'Alet, coll.«Patrimoine archéologique de Bretagne», , 122p. (ISBN978-2-86822-092-9), p.86-87.
Hôtel de voyageurs, dit des Panoramas, Notice noIA35006423, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
golf dit de Dinard, Notice noIA35006424, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Les corps de garde et blockhaus sur la commune de Saint-Briac-sur-Mer, Notice noIA35006517, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
La Garde Guérin: Ensemble de blockhaus en réseau, Notice noIA35006538, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Conservation régionale des monuments historiques, «Club-house du Dinard Golf», sur culture.gouv.fr, environ 2014 (consulté le )
Chapelle frairienne Notre-Dame de L'Epine, Notice noIA35005827, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Croix monumentale dite Croix des Marins, Notice noIA35006441, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Croix de chemin dite de Saint-Pabu, Notice noIA35006575, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Le Nessay, château, Notice noIA35006428, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Chapelle du Nessay, Notice noIA35005827, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Auguste Lemasson, La féodalité à Saint-Briac: les terres nobles et leurs seigneurs du XVesiècle à la Révolution, Rennes, Imprimerie Oberthur, , 32p. (lire en ligne).
Faïencerie Baudin, actuellement maison, Notice noIA35006669, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Hôtel de voyageurs dit hôtel de la Houle, Notice noIA35006625, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Maison de marin, 1 rue du Nord, Notice noIA35006789, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Maison, rue de la Croix des Marins; rue Émile-Bernard, Notice noIA35006782, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Quartier du boulevard de la Mer, Notice noIA35006518, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Route dite Balcon d'Émeraude, Notice noIA35006440, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Moulin à vent dit le Vieux Moulin, Notice noIA35006478, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Moulin de la MarcheNotice noIA35006849, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
moulin à marée, puis minoterie de Rochegoude, actuellement maison, Notice noIA35000513, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Moulin à marée, puis minoterie de Rochegoude, actuellement maisonNotice noIA35000513, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Le Tertre Girault, Croix de chemin, Notice noIA35006972, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
La Garde, ferme, Notice noIA35006668, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Poste, Notice noIA35006472, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
«En Bretagne, de riches propriétaires refusent de partager leur accès privé à la mer», Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
Cette bibliographie recense trop d'ouvrages(juillet 2022).
Les ouvrages doivent être «de référence» dans le domaine du sujet de l'article dans lequel ils apparaissent. Il est souhaitable — si cela présente un intérêt — de les citer comme source et de les enlever de la section «bibliographie».
Jean-Pierre Bihr et Henri Fermin, Regards d'émeraude: Les pays de la Côte d'émeraude de Dinard au Cap Fréhel, Saint-Jacut-de-la-Mer,
Aimée Gourin et Cédric Gourin, La Côte d'Emeraude, de Saint-Lunaire à Saint-Jacut-de-la-Mer, éditions Alan Sutton,
Roman historique qui relate les débuts du tourisme sur la Côte d'Emeraude et notamment la période de résidence des peintres à Saint-Briac. Prix Jackie-Bouquin «la Femme dans l'histoire».
Auguste Lemoine, De Saint-Malo au Cap Fréhel,
Auguste Lemasson, La descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, Paris, Lorisse - Le livre d'histoire, , 174p. (ISBN978-2-7586-0124-1)
Auguste Lemasson, La Descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, l'an 1758, récit complet et authentique d'après trois relations et plusieurs autres documents inédits, F. Guyon,
Auguste Lemasson, La Féodalité à Saint-Briac. Les terres nobles et leurs seigneurs du XVesiècle à la Révolution, Rennes, impr. de Oberthur, (lire en ligne)
Auguste Lemasson, «Nouvelle relation de la descente des Anglais à Saint-Briac & de leur défaite de Saint-Cast en 1758, suivie d'une lettre inédite d'un officier du Fort La Latte», Société d'Émulation des Cotes-du-Nord - Mémoires, vol.LXI, (lire en ligne)
Auguste Lemasson, Saint-Briac, centre de la correspondance des princes 1794-1796. Puisaye. Busnel. Prigent,
Catherine Dressayre (ed.), Activité maritime et construction navale à Saint-Briac au XVIIIesiècle: récit de voyage... dans les archives, Saint-Briac-sur-Mer, Association Namasté,
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Lucien Decombe, Excursion à Saint-Briac, l'alignement mégalithique de la Croix-des-Marins, Rennes, impr. de Catel,
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«La côte de Bretagne depuis Pontorson jusqu'à Saint-Briac d'après un mémoire manuscrit du chevalier Mazin», Annales de la société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo,
Achkren Allée, La faïencerie de Saint-Briac-sur-Mer et l'histoire d'Eugène Baudin, Dinard, Association Histoire et patrimoine du pays de Dinard,
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Henri Fermin, Les bains de mer sur la côte d'Émeraude: la guerre des bains, Trégueux, Impr. Saint-Michel, , 127p. (ISBN2-9514735-1-6)
Bernard de Coux, Les temps de Saint-Briac: Mémoire d'un village, Editions Cristel, (ISBN978-2-84421-066-1 et 2-84421-066-X)
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Léo Kerlo et René Le Bihan, Peintres des côtes de Bretagne, Saint-Briac, Douarnenez, Chasse-Marée, (ISBN2-914209-08-8)
Jacqueline Duroc, Alexandre Nozal, peintre de nos paysages, Saint-Briac-sur-Mer,
Collectif, Saint-Briac. Regard sur le passé,
Sarazin, St Briac, Paris, imp. Sarazin,
M. Bourgouin, St-Briac. St-Lunaire (Ille-et-Vilaine). 1: 5.000 approché. Croquis topographique. Document de première approximation, Paris, Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme France,
M. Bourgouin, St-Briac. St-Lunaire (Ille-et-Vilaine). 1: 5.000 approché. Croquis topographique. Document de première approximation, Paris, Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme,
M. Bourgouin et L. Lemay, France, France, Ille-et-Vilaine, Saint-Briac. 1: 2.000. Plan topographique régulier, Paris, Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme,
Saint-Briac. Ille-et-Vilaine 1: 2 000 Cartographie établie, Paris, Ministère de l'équipement France (ed.),
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François-Xavier David, Benoni Rivière, cafre blanc (roman), Saint-Denis, Société des Écrivains, Saint-Denis, , 296p. (ISBN978-2-342-05660-0)
François-Xavier David, Jan Cocheril, enquêteur à Saint Briac (roman), Saint-Denis, Société des Écrivains, Saint-Denis, , 239p. (ISBN978-2-342-16595-1, lire en ligne)
Présentation de la commune de Saint-Briac-sur-Mer, Notice noIA35006419, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
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