Saint-Blimont est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
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Saint-Blimont | |
La mairie et l'école. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Somme |
Arrondissement | Abbeville |
Intercommunalité | CA de la Baie de Somme |
Maire Mandat |
José Marque 2020-2026 |
Code postal | 80960 |
Code commune | 80700 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Blimontois |
Population municipale |
878 hab. (2019 ![]() |
Densité | 132 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 07′ 18″ nord, 1° 34′ 30″ est |
Altitude | Min. 18 m Max. 67 m |
Superficie | 6,63 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Friville-Escarbotin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Friville-Escarbotin |
Législatives | 3e circonscription de la Somme |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.mairiedesaintblimont.com/ |
modifier ![]() |
Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
Saint-Blimont est un village picard placé à la limite du Vimeu industriel, d'une part, et sur la partie arrière de la côte picarde touristique d'autre part. Il se trouve à 7 km de la côte de la Manche et à 9 km au sud-ouest de Saint-Valery-sur-Somme. Il est facilement accessible par les anciennes routes nationales RN 25 (actuelle RD 925/229) et RN 40 (actuelle RD 940).
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].
![]() |
Brutelles | Lanchères | Pendé | ![]() |
Vaudricourt | N | |||
O Saint-Blimont E | ||||
S | ||||
Friville-Escarbotin | Nibas |
Saint-Blimont comprend trois hameaux.
Saint-Blimont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,2 %), prairies (20,4 %), zones urbanisées (13,6 %), forêts (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
L'histoire de Saint-Blimont est liée à celle de Saint-Valery-sur-Somme.
En 615 Saint Valery, alors moine évangélisateur de la région du rocher de Leuconaus (actuellement Saint-Valery-sur-Somme), guérit Blimond. Ce dernier désira rester auprès de son bienfaiteur et lui succéda ensuite à la tête de l'abbaye de Saint-Valery.
Le toponyme rue des Juifs semble indiquer la présence d'une communauté juive à Saint-Blimont au Moyen Âge.
En 1830, deux frères construisirent deux bâtisses (presque) jumelles de part et d'autre de la rue du moulin à Offeu. Ces manoirs sont emblématiques dans le village. La première fut d'abord une maison de maître habitée par différents notables de la ville et de la région. Pendant la Première Guerre mondiale, la maison éclairée servait de repère pour s'orienter et comme elle fut la première maison de la région à avoir de l’électricité, on la nomma la Lumière. Elle fut ensuite acquise en 1939 comme maison de campagne par une famille du Nord de la France, les Vandenberghe. C'est bien après que la Lumière se transforma en château des Lumières devenue aujourd'hui chambres d'hôtes de charme. La seconde bâtisse fut habitée par Antoine de Roucy, puis par son gendre Bernard Fleury qui fut maire du village de 1989 à 1995.
Avant 1789, l'administration locale était confiée à un intendant général.
À la Révolution française, la notion de maire n'existe toujours pas. Mais c'est un agent municipal, élu au suffrage universel direct qui gère la commune et l'état civil. À Saint-Blimont, sont agents municipaux : André Deloison, Antoine Boulanger et Jean-Baptiste Depoilly[9].
En 1795, la Constitution de l'an III met en place les municipalités cantonales. Chaque commune élit un agent municipal qui participera à la municipalité cantonale. À Saint-Blimont, sont agents municipaux cantonaux : Pierre Depoilly, Nicolas Delignières, Charles Queval et Claude Fournier[9].
La Constitution de l'an VIII (1799) instaure la fonction de maire, nommé par le préfet. À Saint-Blimont, le premier maire apparaît en l'an VIII, le 4 floréal (). Nicolas Delignières, agent municipal devient maire provisoire[9]. C'est en fait le premier maire de Saint-Blimont.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1800 | 1815 | Louis-François de Juliac De Manelle | Ancien officier des gardes du roi | |
1815 | 1817 | Jean-Baptiste de Boulanche | Intérim, pour campagne de guerre | |
1817 | 1821 | Louis François de Juliac De Manelle | Reprend ses fonctions à son retour | |
1821 | 1831 | Charles-Nicolas Lefevre des Fontaines | Châtelain d'Elincourt | |
1831 | 1842 | Bernard-Albin Gaffé de Saint-Martin | Châtelain d'Offoël | |
1842 | 1850 | Aimable Fournier | Agriculteur, négociant en bestiaux | |
1850 | 1853 | Thimoléon de Fautereau | Châtelain d'Offeu | |
1853 | 1861 | Ferdinand Fournier | Frère d'Aimable Fournier. Démissionnaire en mai 1861. | |
1861 | 1868 | Adolphe Rocque | Cultivateur. Maire par intérim en mai 1861, nommé officiellement en août 1862. Décédé le 30 janvier 1868. | |
04/1868 | 1879 | Elphège de Fautereau | Châtelain d'Offeu. Décédé le 11 février 1879 à Noyon. | |
07/1879 | 10/1892 | Camille de Fautereau | Châtelain d'Offeu | |
10/1892 | 05/1912 | Ludovic d'Anchald | Châtelain d'Elincourt | |
05/1912 | 05/1929 | Jacques d'Anchald | Châtelain d'Elincourt | |
05/1929 | 11/1934 | Roger Chapelet | Industriel. Démissionnaire en novembre 1934. | |
12/1934 | 1944 | Blimont Boutté | PRRRS | Instituteur retraité Conseiller d'arrondissement du canton de Saint-Valery-sur-Somme (1933-1940) |
10/1944 | 1945 | Antoine de Roucy | Représentant de commerce. Président du Comité de Libération | |
1945 | 1969 | Eugène Delignères | SFIO | Décède à son 5e mandat |
1969 | mars 1971 | Eugène Bultel | DVD | 1er adjoint, remplace le maire |
mars 1971 | octobre 1983 | Maurice Fournier | PCF | Malade au début de son 3e mandat |
octobre 1983 | mars 1989 | Achille Forestier | PCF | 1er adjoint, remplace le maire |
mars 1989 | juin 1995 | Bernard Fleury | DVD | Décédé le 22 février 2012, à l'âge de 90 ans |
juin 1995 | mars 2001 | Jean Lejeune | DVD | |
mars 2001 | mars 2014 | Claude Loiselle | PCF | |
mars 2014[10] | En cours (au 30 mai 2020) |
José Marque | DVG | Réélu pour le mandat 2020-2026[11] |
En , le village obtient les félicitations du jury pour sa première participation au concours des villes et villages fleuris[12].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14].
En 2019, la commune comptait 878 habitants[Note 3], en diminution de 4,36 % par rapport à 2013 (Somme : −0,2 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Le maximum de la population a été atteint en 1866 avec 1 312 habitants.
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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1 161 | 1 208 | 1 249 | 1 254 | 1 246 | 1 265 | 1 303 | 1 244 | 1 256 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 238 | 1 297 | 1 312 | 1 280 | 1 238 | 1 227 | 1 240 | 1 184 | 1 202 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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1 202 | 1 206 | 1 150 | 992 | 996 | 1 014 | 983 | 876 | 931 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
968 | 958 | 989 | 1 056 | 1 046 | 948 | 947 | 940 | 943 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
880 | 878 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,7 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 434 hommes pour 444 femmes, soit un taux de 50,57 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,49 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,2 | 90 ou + | 1,8 |
9,4 | 75-89 ans | 10,8 |
22,4 | 60-74 ans | 27,7 |
19,8 | 45-59 ans | 20,0 |
14,7 | 30-44 ans | 14,2 |
13,8 | 15-29 ans | 14,0 |
18,7 | 0-14 ans | 11,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,7 |
6,3 | 75-89 ans | 9,2 |
16,6 | 60-74 ans | 17,4 |
20,1 | 45-59 ans | 19,3 |
18,3 | 30-44 ans | 17,7 |
19,4 | 15-29 ans | 18 |
18,7 | 0-14 ans | 16,7 |
La commune dispose[Quand ?] d'une école primaire, l'école Pierre-Dupont, et d'une école maternelle.
Pour améliorer la vie locale, plusieurs associations loi de 1901 se sont créées.
La principale association sportive est l'Amicale des Anciens Élèves la Saint-Blimontoise, proposant plusieurs disciplines comme la marche, le tir à l'arc, le step, la gymnastique d'entretien, la gymnastique rythmique, le tennis de table, le cyclotourisme, le cyclosport, le VTT, l'équitation, le char à voile, l'aéroglisseur, la course à pied, la couture, la philatélie et la danse de salon.
L'Avenir Feuquières Saint-Blimont est un club de handball très réputé dans la région. L'AFSB est créé en 1988, reconnu aux niveaux régional et national avec des équipes séniors présentes en prénational, N3 voire N2 au gré des saisons sportives. En 2018, le club compte 203 licenciés. L'école de handball, avec ses 40 licenciés, décroche le label or[19]. En 2013, les équipes féminines de l'AFSB et de l'EAL Abbeville fusionnent pour former l'Entente Abbeville-Feuquières. En revanche, les deux clubs restent indépendants pour leurs équipes masculines et jeunes.
Le Sporting Club Football participe aux championnats locaux. Il engage deux équipes en catégorie senior et trois équipes en juniors.
Tout d'abord, la plus vieille association de la commune, l'Harmonie municipale. Créée en 1890, elle participe à toutes les manifestations patriotiques autant nationales que locales. Elle anime aussi les fêtes locales du village et de ses hameaux. Son président actuel[Quand ?] se nomme David Caru .
Un quatuor de saxophones, nommé Arpège, s'est créé en 1999 regroupant quatre musiciens de la Picardie maritime.
Une autre association culturelle non musicale existe au sein de la Saint-Blimontoise, il s'agit du patrimoine historique. Celle-ci a pour but de faire des recherches sur l'histoire de la commune grâce aux archives ou aux témoignages des ainés. Depuis 1990, elle sort plusieurs livres documentaires, comme les cartes postales, les photos de classes, l'activité économique au XXe siècle...
Chaque mois pendant la saison touristique des expositions de peintures de peintres principalement picards se font au château des Lumières à Offeu. Emmanuel Kavi y expose ses toiles en 2011.
Plusieurs associations d'anciens combattants cohabitent à Saint-Blimont.
D'abord l'Association nationale des anciens combattants de la Résistance (ANACR), présidée par la présidente départementale, Lucienne Gaillard-Forestier.
Puis l'Union nationale des combattants (UNC), où est inscrit Jean Lejeune (ancien maire) président UNC de l'arrondissement d'Abbeville.
Et enfin l'Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC), association d'anciens combattants de tendance communiste présidée par Achille Forestier, président départemental de l'association.
D'autres associations plutôt de services se chargent de la protection des Saint-Blimontois comme l'Amicale des Sapeurs Pompiers et leur Centre de Première Intervention composé de onze pompiers.
Il y a aussi le Club des Ainés permettant aux personnes âgées de rompre leur solitude. Pour cela sont organisés des rendez-vous soit au foyer les mercredis après-midi d'octobre à avril, soit au repas et thés dansants ou soit à des sorties culturelles.
Et enfin, la Société de Chasse regroupe des propriétaires chasseurs qui se donnent un règlement pour la chasse que chacun des adhérents doit respecter sous peine d'amende et d'exclusion. Un garde-chasse permet lors d'hiver rude de nourrir le gibier, de l'abreuver lors de sécheresse et de le protéger des prédateurs.
Pour le culte catholique « Vimeu-Bresle-Côte Picarde », Saint-Blimont fait partie de la paroisse Saint-Éloi-en-Vimeu[20].
Plusieurs entreprises industrielles ou artisanales sont, aujourd'hui, en activité à Saint-Blimont. La spécialité pour certaines, est la serrurerie puisque la commune se situe à la limite du Vimeu industriel.
La plus importante est la société Dény-Security (ex : Dény-Fontaine)[21], entreprise implantée à Saint-Blimont en 1891 par son fondateur, Charles Dény. Cette société fabrique et commercialise des serrures de haute sécurité. Son premier grand succès fut l'équipement des portes des installations électriques de la première ligne du métro parisien. Puis elle équipa de nombreuses administrations (SNCF, EDF, parlement européen, INSEE, prisons...), de nombreux monuments (Tour Eiffel, Sacré-Cœur, arènes de Nîmes, Opéra National, château de Versailles, Centre Georges-Pompidou…). Mais aussi des centrales nucléaires. Elle fait partie du groupe européen DOM Security (ex: Sécuridev) [22] depuis 1994 et emploie aujourd'hui 120 personnes. D'après son site officiel, Dény Security est le leader français de l’organigramme et du contrôle des accès. La société Dény Security est connue internationalement.
La Société Moreau, créée en 1968 par les fils du maréchal-ferrant du village, est une entreprise de décolletage faisant de la sous-traitance pour serrurerie et de la quincaillerie de l'ameublement.
La commune accueille également un atelier de polissage et de traitement des métaux (Ets Blondel), un atelier d'usinage et de découpe industrielle (Ets Bénicourt) fermé depuis 2011, une entreprise de couverture et de zinguerie (Ets René Petit)[23], deux garages Peugeot (Bonhomme et Du Lion), un ferrailleur (Croc'fer), un artisan plombier (Plomberie Carrelage Maçonnerie) et un artisan paysagiste (Horyzon Vert).
La société Somme-Ensemble basée au Château des Lumières [24] (à Offeux) organise des soirées, des séminaires et des réceptions.
Il existe encore quelques commerces sur le territoire de la commune : le café sur la place de la mairie qui fait office de dépôt de pain où l'on trouve tabac et journaux. Des commerces itinérants sont apparus depuis le début de la désertification de la campagne et notamment un boulanger, un poissonnier et un boucher qui viennent régulièrement sur la place du village.
Le château des Lumières offre des chambres d’hôtes et un lieu pour des séminaires et des réceptions. On trouve enfin la société Petit René, une entreprise de couverture.
Les seigneurs successifs, dont les noms sont parvenus jusqu'à aujourd'hui, furent[a 3] :
En 1682, la seigneurie de Saint-Blimond devient marquisat en l'honneur d'André III.
C'est à la Révolution française, que la terminaison du nom de Saint-Blimond fut modifiée pour se terminer par un t. La seigneurie et marquisat de Saint-Blimond prend fin après plusieurs siècles de règne sur la région et ses alentours.
![]() |
Blason | De sable au sautoir engrêlé d'or[35]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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