Quissac est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
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Quissac | |
![]() Vue aérienne du village. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Le Vigan |
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol (siège) |
Maire Mandat |
Serge Cathala 2020-2026 |
Code postal | 30260 |
Code commune | 30210 |
Démographie | |
Gentilé | Quissacois, Quissacoise |
Population municipale |
3 299 hab. (2019 ![]() |
Densité | 141 hab./km2 |
Population agglomération |
3 217 hab. (2017) |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 54′ 37″ nord, 4° 00′ 03″ est |
Altitude | Min. 60 m Max. 472 m |
Superficie | 23,32 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Quissac (ville-centre) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Quissac (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | quissac.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, le ruisseau de Crieulon, le ruisseau de Banassou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Quissac est une commune rurale qui compte 3 299 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Quissac. Ses habitants sont appelés les Quissacois ou Quissacoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le temple protestant, inscrit en 2012.
Quissac est un village gardois situé en bordure du fleuve le Vidourle, non loin de Nîmes et de Montpellier, dominé par le massif de Coutach dont la forêt se compose essentiellement de chênes verts et dont le point culminant, au sommet d'une grande colline (presque une montagne...) de forme pyramidale, atteint 472 mètres à Piecan. Entre mer et Cévennes, Quissac fait partie de ces villages pittoresques au riche passé, entouré de vignes et de garrigues.
Le Vidourle peut connaître des crues spectaculaires, les vidourlades[1], qui sont dans la mémoire de tous les Quissacois. Le reste de l'année, le Vidourle a un régime proche de celui des oueds. Son débit est souvent faible, en été, presque à sec, il n'est guère impressionnant.
La Garonette, rivière sachant se faire discrète, disparaît sous le village pour réapparaître au pied du temple et se jeter dans le Vidourle. Ce ruisseau est cependant redoutable en cas de fort orage, notamment en automne...
Le Crieulon, affluent du Vidourle avec un régime pluvial qui peut atteindre des débits importants, a nécessité la construction d'un barrage écrêteur de crues (le barrage de la Rouvière). L'édifice se situe sur les communes de Bragassargues (pour la rive gauche) et de Quissac (rive droite).
Quissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[I 1],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quissac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 3 497 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), cultures permanentes (9,3 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (8,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[4].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Quissac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[5]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[6].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Vidourle et le ruisseau de Crieulon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 2001, 2002, 2010, 2014 et 2021[7],[5].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 208 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1203 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[8],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[9].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[10].
Nommé Quintiacum dans un texte latin médiéval de 1274, ce nom signifie "le domaine de Quintus", nom romain de personne ("le Cinquième").
La fondation de Quissac remonte au Moyen Âge, comme en témoigne le quartier de Vièle. Avec ses ruelles étroites et ses maisons en pierre, le vieux quartier de Quissac a gardé son authenticité. On trouve la première mention de Quissac en 1274 : son église dépend alors de l'abbaye de Sauve[11]. La paroisse devient ensuite le centre d'un des archiprêtrés mis en place à la fin du XVIIe siècle pour renforcer l’encadrement catholique de la région, l'église étant reconstruite et agrandie à la même période. La population est cependant majoritairement protestante. L’industrie textile et des peaux se développe : le bourg devient un centre de fabrication de chapeaux et de bas de soie, activité qui perdurera jusqu'au XXe siècle[12].
Avec le XIXe siècle et l'essor économique de la vigne, le village se développe, aidé par l'arrivée du chemin de fer en 1872. L'existence de tanneries sur le Vidourle, mais également des activités plus traditionnelles comme le commerce de bestiaux et les traditionnelles magnaneries, participent à ce développement.
Autour du « Camp Neuf », un deuxième village se co
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[13] : le « barrage de la Rouvière » (49 ha), couvrant 3 communes du département[14], et les « collines marneuses du Banassou » (179 ha), couvrant 2 communes du département[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[13] :
nstitue.
À noter également, la construction au milieu du XIXe siècle d'un canal d'irrigation à partir du Vidourle, allant de Quissac à Orthoux.
![]() |
Blason | D'argent au pont de sept arches de gueules, celle du milieu plus grande, sommé d'un saule pleureur de sinople et posé sur des ondes du même mouvant de la pointe. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Quissac appartient à l'arrondissement du Vigan et au canton de Quissac, dont elle est le chef-lieu depuis sa création. Le redécoupage cantonal de 2014 en a modifié sa composition.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription du Gard, représentée depuis par Olivier Gaillard (SE, ex-LREM).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance et du conseil de prud’hommes d'Alès, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Nîmes et de la cour administrative d'appel de Toulouse[18].
Depuis le , date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes du Piémont Cévenol, intercommunalité issue de la fusion de trois communautés de communes. Cette entité a succédé à la communauté de communes Coutach Vidourle fondée en 2003.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[19].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
? | ? | Eugène Conduzorgues-Lairolles | Républicain | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1883 | 1889 | Jean Auzilhon | Républicain | Docteur en médecine Conseiller général du canton de Quissac (1883 → 1889) |
1889 | 1892 | Jacques Triaire | ||
1892 | 1896 | Albin Ducamp (1831-1906) | Républicain | Ancien lieutenant de vaisseau, propriétaire Ancien conseiller général du canton de Quissac (1883) |
1896 | 1900 | Jean Girondon | ||
1900 | 1904 | Henri Jalaguier | ||
1904 | 1904 | Léon Félix Valette | ||
1904 | 1905 | Antoine Roux | ||
1905 | 1919 | Jean Girondon | ||
1919 | 1928 | Jean Sipeire | ||
1928 | 1935 | Jean Turc | ||
1935 | 1937 | Eugène Gervais | ||
1937 | 1941 | René Marion | SFIO | Conseiller d'arrondissement (1937 → 1940) |
1941 | 1944 | Marcel Bastide | ||
1944 | 1944 | Louis Cavalier | ||
1944 | René Marion | SFIO | Conseiller général du canton de Quissac (1945 → 1958) | |
Maurice Perry | ||||
Désiré Rousset[21] | PS | Enseignant retraité Conseiller général du canton de Quissac (1958 → 1988) | ||
René Clément | ||||
René Drevon | ||||
Robert Bresson[22] (1948-2019) | UDF puis UMP | Médecin psychiatre, chef d'entreprise | ||
Marc Jonget | PS | |||
En cours (au 26 mai 2020) |
Serge Cathala | DVD[23] | Retraité du ministère de l’Intérieur Vice-président de la CC du Piémont Cévenol Réélu pour le mandat 2020-2026 |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2019, la commune comptait 3 299 habitants[Note 4], en augmentation de 5,87 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 310 | 1 277 | 1 324 | 1 413 | 1 518 | 1 560 | 1 590 | 1 588 | 1 770 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 736 | 1 558 | 1 556 | 1 679 | 1 608 | 1 531 | 1 532 | 1 516 | 1 552 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 606 | 1 630 | 1 705 | 1 734 | 1 806 | 1 902 | 1 737 | 1 524 | 1 460 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 607 | 1 716 | 1 953 | 1 923 | 2 052 | 2 272 | 2 569 | 2 649 | 3 116 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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3 259 | 3 299 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 359 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 3 121 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 610 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 38 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (43,9 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8,8 % | 10,4 % | 9,2 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 937 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 7],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 12]. Elle compte 1 191 emplois en 2018, contre 1 139 en 2013 et 1 000 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 283, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 13].
Sur ces 1 283 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 500 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 76,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,4 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
359 établissements[Note 8] sont implantés à Quissac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 359 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 28 | 7,8 % | (7,9 %) |
Construction | 55 | 15,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 95 | 26,5 % | (30 %) |
Information et communication | 9 | 2,5 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 6 | 1,7 % | (3 %) |
Activités immobilières | 10 | 2,8 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 51 | 14,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 70 | 19,5 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 35 | 9,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (95 sur les 359 entreprises implantées à Quissac), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[28] :
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 53 | 32 | 19 | 18 |
SAU[Note 11] (ha) | 726 | 718 | 348 | 351 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 32 en 2000 puis à 19 en 2010[31] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[32],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 726 ha en 1988 à 351 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 20 ha[31].
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